Association Humanitaire Setoise

Association Humanitaire Setoise Nous sommes solidaires, emportés par la même planète, équipage d'un même navire. ♥️ Tendre la main. Une main n'applaudit pas seule.

C'est un gâchis car le travail associatif est dur mais récompense à la fin lorsque nous sommes submergés de sourires et de chaudes larmes de joie.

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2025/07/30/le-roi-du-maroc-renouvelle-son-appel-a-un-dialogue-fraternel-et-sincer...
30/07/2025

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2025/07/30/le-roi-du-maroc-renouvelle-son-appel-a-un-dialogue-fraternel-et-sincere-avec-l-algerie_6625503_3212.html?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR7k5L5sxLRNidJ46QfPlovM3N33MiC586DL7YMI6iW3kfCaQMgYVjCr3GmzyQ_aem_yyT7ZYt0ghqQWyOx4PZ0nQ =1753865725

Dans un contexte de tensions autour du Sahara occidental, Mohammed VI a plaidé pour une solution « sans vainqueur ni vaincu ». Les relations diplomatiques avec Alger sont rompues depuis 2021.

💎 Une histoire vraie…Un homme abandonne sa femme au milieu d’un naufrage pour sauver sa propre vie.D’instinct, on pense ...
24/07/2025

💎 Une histoire vraie…
Un homme abandonne sa femme au milieu d’un naufrage pour sauver sa propre vie.
D’instinct, on pense : Quel genre d’homme ferait une chose pareille ?
Mais parfois, ce que l’on voit n’est qu’une infime partie de la vérité.

Un jour, un professeur raconta cette histoire à ses élèves :
Un navire pris dans une tempête, un couple à bord, le chaos…
Il ne restait plus qu’une place dans un canot de sauvetage.
L’homme s’y précipita, laissant sa femme derrière lui.
Sur le pont, immobile face à la mort, elle le regarda une dernière fois, et prononça quelques mots.

Le professeur s’arrêta là.
— D’après vous, que lui a-t-elle dit ?

Les élèves réagirent aussitôt :
— Traître !
— Tu n’es qu’un lâche !
— Je te hais !

Mais au fond de la classe, un élève murmura :
— Elle lui a dit : Prends soin de nos enfants.

Ému, le professeur lui demanda :
— Tu connaissais cette histoire ?
— Non, répondit l’enfant, mais… c’est ce que ma mère a dit à mon père avant de mourir.

Le silence s’installa. Puis le professeur reprit :
L’homme survécut. Il retourna auprès de leur fille unique.
Des années plus t**d, il mourut à son tour.
Sa fille, en rangeant ses affaires, découvrit son journal intime.
Elle y lut ces lignes :

*"Elle était condamnée, les médecins l’avaient dit.
Ce voyage était son dernier.
Quand le bateau a sombré, j’ai voulu la sauver.
Mais elle m’a arrêté. Elle a souri, et m’a dit doucement :
‘Va. Notre fille a encore besoin de toi.’

J’aurais voulu rester. Mourir à ses côtés.
Mais pour notre enfant, je suis parti.
Et depuis ce jour, je vis avec le poids de son absence… et de son courage."*

Lorsque le récit prit fin, la salle de classe resta figée.
Ce jour-là, les élèves apprirent une chose essentielle :
La vérité n’est pas toujours là où on la croit.
Derrière chaque choix se cache une histoire…
Et derrière chaque silence, une douleur qu’on ne voit pas.

Alors avant de juger, apprenez à écouter.
Car parfois, ceux que l’on condamne sont ceux qui ont aimé le plus fort.

21/07/2025
Dans la Barcelone médiévale, le mot “banqueroute” n’était pas qu’une simple métaphore financière.Les banquiers n’avaient...
21/07/2025

Dans la Barcelone médiévale, le mot “banqueroute” n’était pas qu’une simple métaphore financière.

Les banquiers n’avaient ni bureaux ni comptoirs. Ils exerçaient leur métier sur de simples bancs de bois installés en plein cœur du marché. C’est là qu’ils prêtaient de l’argent, signaient des contrats et accordaient du crédit.
Mais lorsqu’un banquier ne pouvait plus honorer ses dettes, ce n’était pas seulement son honneur qu’il perdait : c’était sa tête.

La loi était claire et implacable. L’insolvabilité n’entraînait ni amende, ni prison. Elle valait la décapitation publique, à la hache. Et pour marquer la faillite de manière visible et définitive, on fracassait son banc devant la foule. Banca rota.
Voilà l’origine littérale du mot que nous utilisons encore aujourd’hui.

L’image est brutale, mais le message était limpide : celui qui prend la responsabilité de l’argent des autres doit en répondre jusqu’à sa dernière heure, s’il faillit.

De nos jours, lorsque l’on parle de “banqueroute”, bien peu imaginent qu’il fut un temps où ce mot équivalait à une condamnation à mort.

« J’ai dû faire semblant que ça ne me faisait pas mal… quand mon propre fils est passé devant moi sans même me saluer. »...
21/07/2025

« J’ai dû faire semblant que ça ne me faisait pas mal… quand mon propre fils est passé devant moi sans même me saluer. »

Monsieur René avait 67 ans et une chaise en plastique devant sa maison, où il passait ses après-midis. Non pas par plaisir… par habitude. Sa femme, Gisèle, était décédée trois ans plus tôt, et depuis, sa seule raison de sortir était d’espérer qu’on le reconnaisse.
Son fils, Julien, était parti vivre en ville. Il avait promis de venir. De l’appeler. D’envoyer quelque chose. Mais seules arrivaient des factures… et le silence.

Un vendredi comme les autres, René se rendit au centre du village pour toucher sa pension. Alors qu’il faisait la queue à la banque, il le vit. Julien. Plus grand maintenant, vêtu comme un homme de bureau, le visage pressé. Il le reconnut aussitôt. Ses jambes tremblèrent. Il sourit et leva la main… mais Julien le regarda droit dans les yeux, fronça les sourcils… et continua son chemin.
Comme s’il ne le connaissait pas.
Comme si l’homme qui l’avait élevé n’était qu’un inconnu parmi d’autres.

René ne le suivit pas. Il ne cria pas. Il baissa simplement la main. Ses yeux le brûlaient, mais il ne pleura pas.
À la place, il acheta un sachet de pain, rentra chez lui et s’assit sur sa chaise.
Ce soir-là, il ne mangea pas. Il pensa. Il pensa aux nuits où Julien était malade et lui ne dormait pas. Aux fois où il avait marché des kilomètres pour lui acheter des cahiers. Aux chaussures qu’il avait recollées à la colle. Et à tout ce qu’il n’avait jamais demandé en retour… sauf une seule chose : ne pas être oublié.

Depuis ce jour, quand les gens lui demandent s’il a des enfants, il répond :
« J’en ai eu. »

Pas par rancune. Mais par vérité.
Car il avait compris qu’il existe des abandons pires que de laisser quelqu’un dans la rue : le laisser vivant… mais sans présence.

Et même s’il l’attend encore, ce n’est plus avec espoir.
Juste avec la certitude qu’il l’a élevé pour qu’il prenne son envol…
pas pour qu’il disparaisse.

« Il y a des enfants qui grandissent tant… qu’ils n’ont plus de place pour le souvenir de ceux qui les ont portés avec les mains vides. »

Un avocat vend un puits à un professeur.Deux jours plus t**d, il revient et dit :« Je vous ai vendu le puits, mais pas l...
17/07/2025

Un avocat vend un puits à un professeur.
Deux jours plus t**d, il revient et dit :
« Je vous ai vendu le puits, mais pas l’eau. Si vous voulez l’utiliser, vous devrez payer un supplément…»

Le professeur sourit doucement :
« Justement, je voulais vous parler. Si l’eau vous appartient, je vous laisse jusqu’à demain pour la retirer de MON puits. Sinon, je vous facturerai un loyer. »

L’avocat, soudain mal à l’aise, balbutie :
« Je plaisantais… »

Le professeur lui répondit avec sagesse:
« Et dire que ce sont des professeurs comme moi qui forment des avocats comme vous. Vous cherchez à gagner, moi je cherche à élever.»

Quand la logique de l’école dépasse la ruse du tribunal.
Un bel hommage aux enseignants, ces architectes silencieux de l’intelligence.

17/07/2025

Un peut d’humour

En Égypte, devant les pyramides, une femme dit : "Au Paradis, je demanderai au pharaon comment il a bâti tout ça." Le mari, moqueur : "Il sera en Enfer." Elle, implacable : "Parfait, tu pourras lui demander pour moi."

Un jour, un petit garçon rentra chez lui en courant, une lettre à la main.Il la tendit à sa mère et lui dit :— Mon maîtr...
17/07/2025

Un jour, un petit garçon rentra chez lui en courant, une lettre à la main.
Il la tendit à sa mère et lui dit :

— Mon maître m’a demandé de te la donner… à toi seule.

Elle la lut en silence.
Ses yeux se remplirent de larmes, mais elle sourit et dit :

— Ton maître dit que tu es un génie. Que dans cette école, ils n’ont ni les ressources ni les enseignants adaptés pour t’accompagner. Il pense que le mieux serait que je t’instruise moi-même, à la maison.

Et c’est ce qu’elle fit.
Avec amour et patience, elle s’occupa elle-même de son éducation.

Les années passèrent. Sa mère mourut.
Et ce petit garçon — que tant de gens ne comprenaient pas — devint l’un des plus grands inventeurs de l’histoire : Thomas Alva Edison.

Un jour, devenu adulte, il fouillait dans de vieux souvenirs lorsqu’il retrouva cette lettre.
Il l’ouvrit par curiosité… et ce qu’il lut le bouleversa.

Il n’y était nullement question de génie.
En réalité, la lettre disait ceci :

« Votre fils est atteint de troubles mentaux. Il ne peut plus fréquenter notre école. »

Edison pleura pendant des heures.
Puis il écrivit dans son journal :

« J’étais un enfant avec des difficultés… mais j’ai eu une mère assez courageuse pour me faire croire que j’étais un génie. Et je le suis devenu. »

Incroyable, n’est-ce pas ?
Cette mère aurait pu lui dire la vérité… et le briser.
Mais elle a choisi autre chose.
Elle lui a offert une phrase si puissante, qu’elle l’a porté toute sa vie.

Voilà le pouvoir des mots.

Et aussi, le pouvoir de croire en quelqu’un… quand personne d’autre ne le fait.

Souviens-toi : ce que tu dis à un enfant reste gravé dans son cœur pour toujours.

Alors, choisis bien tes mots.
Car ils peuvent blesser… ou sauver.

Et comme cette mère l’a fait :
Ne laisse jamais les paroles des autres définir qui tu es.

Écris ta propre histoire.

Et surtout…
N’abandonne jamais.

J’élève mes enfants avec une conviction profonde : les frères et sœurs ne sont pas des rivaux, mais une équipe pour la v...
17/07/2025

J’élève mes enfants avec une conviction profonde : les frères et sœurs ne sont pas des rivaux, mais une équipe pour la vie.

Je veux qu’ils comprennent que leurs chemins pourront être différents, mais que leurs cœurs doivent battre à l’unisson.

Qu’il n’y a pas de place pour l’envie entre eux, seulement des applaudissements sincères quand l’un d’eux rayonne.
Et si l’un venait à trébucher, que l’autre ne pose pas de questions... mais tende la main, simplement, sans conditions.

Il ne s’agit pas de compter les services rendus, mais de se bâtir mutuellement.

Respectez-vous. Aimez-vous. Prenez soin les uns des autres sans prétexte, sans calendrier, sans limites.
Car les amis peuvent changer, mais un frère, une sœur… c’est pour toujours.

Aujourd’hui, demain, et jusqu’à leur dernier souffle.
Mon vœu le plus cher : que lorsque je ne serai plus là, ils continuent à se traiter ainsi.

« Mes propres enfants m’ont laissé dans une maison de retraite… et sont partis avec tout. Alors j’ai décidé de recommenc...
12/07/2025

« Mes propres enfants m’ont laissé dans une maison de retraite… et sont partis avec tout. Alors j’ai décidé de recommencer. Mais cette fois, sans eux. »

Ils sont venus un dimanche, le sourire doux et les mots bien emballés dans des cartons vides.
Ils m’ont dit que je méritais de me reposer.
Ils m’ont laissé devant une maison de retraite… et ne sont jamais revenus.
Tout était déjà réglé : ils avaient vidé mon compte, vendu la voiture, et m’avaient laissé là… comme on abandonne une vieille chaise.

Ce qui a le plus fait mal, ce n’est pas la trahison.
C’est le silence.
Des mois sans un appel, sans un joyeux anniversaire, sans un simple « comment vas-tu ce matin ? ».
Il ne restait que la solitude… et la compagnie de ceux qui, comme moi, portaient l’étiquette de l’oubli.

Mais dans cet abandon, j’ai découvert quelque chose d’inattendu : la valeur.
L’un savait sculpter le bois, un autre avait été comptable, une dame cousait avec une élégance rare, et un autre peignait avec une beauté qui serrait le cœur.
Et moi… j’avais encore ma tête pour entreprendre.

Je leur ai proposé une idée un peu f***e : créer une petite marque, faite par nous, les “mis de côté”.
Au début, ils ont ri.
Puis, avec le peu qu’on avait, quelque chose est né : des coussins, des carnets, des peintures, des sacs.
On l’a appelée : “Mains Sages”.

On a commencé à vendre sur internet.
Certains petits-enfants nous ont aidés avec les réseaux sociaux.
Et peu à peu, les commandes sont arrivées.
Un reportage à la télé. Puis, un article dans un magazine.
Deux ans plus t**d, nous avions une fondation.
Nous employons aujourd’hui plus de 120 personnes âgées dans différents établissements.

Nous avons une boutique, un atelier de production, et nous distribuons dans tout le pays.
Chaque produit porte un message :
« Fabriqué par quelqu’un que le monde avait rejeté… mais qui avait encore tant à offrir. »

Il y a peu, mes enfants sont revenus me voir.
Ils avaient tout perdu.
Ils m’ont demandé de l’aide.

Je leur ai offert mieux : un emploi.
Je leur ai dit :
— Ici, rien n’est offert. Tout se mérite.

Un seul est resté.
L’autre est reparti, les yeux baissés.

Je ne garde aucune rancune.
Parce que ce qu’ils ont laissé derrière eux… moi, je l’ai transformé en raison d’être.

Aujourd’hui, je ne suis pas seulement un père.
Je suis le fondateur d’une famille invisible… mais inestimable.

« Tous ceux qui t’abandonnent ne t’écrasent pas. Parfois, ils ne font que t’indiquer le chemin de ce que tu es venu bâtir. »

– Don Álvaro Castaño

🔥 POSTE D’ASSISTANCE D’URGENCE – INCENDIES DANS LE 66 & 34 🔥[APPEL À LA SOLIDARITÉ – MEGA-FEUX EN COURS]Les départements...
08/07/2025

🔥 POSTE D’ASSISTANCE D’URGENCE – INCENDIES DANS LE 66 & 34 🔥
[APPEL À LA SOLIDARITÉ – MEGA-FEUX EN COURS]

Les départements Pyrénées-Orientales (66) et Hérault (34) et l Aude (11) sont actuellement en proie à un méga-feu incontrôlable.
Des personnes avec des animaux (chevaux, chiens, chats...) sont en attente d’évacuation, sans solution d’accueil.

Le listing établi sera envoyé au commandement opérationnel sur place qui gèrent les évacuations merci 🙏.
Ne pas se rendre sur place ne pas gêner les secours .

🙏 Nous lançons un appel urgent à TOUS LES PROFESSIONNELS et STRUCTURES CAPABLES D’ACCUEILLIR EN URGENCE :
➡️ Merci de nous contacter en message privé avec :

Votre lieu précis

Votre département et ville

Le nombre de places disponibles

Les types d’animaux que vous pouvez accueillir

⛔ Merci de relayer massivement cette alerte dans les groupes locaux, équestres, agricoles, animaliers, ou citoyens susceptibles de pouvoir aider.

📲 Nous faisons le lien 24h/24 entre les personnes en détresse et les lieux d’accueil disponibles.
Restons unis, restons humains.

🔥 MERCI POUR VOTRE MOBILISATION 🔥

WhatsApp : 0667717823


MA PREMIÈRE LETTRE VA ÊTRE ENVOYÉE À MIDI……à toutes les personnes qui se sont inscrites sur mon sitewww.jeanjacquescharb...
07/07/2025

MA PREMIÈRE LETTRE VA ÊTRE ENVOYÉE À MIDI…

…à toutes les personnes qui se sont inscrites sur mon site
www.jeanjacquescharbonier.com

Je rappelle que cette inscription est gratuite et qu’il vous suffit de noter votre mail et de cliquer sur la case « s’enregistrer » quand vous avez écrit votre mail dans l’espace blanc qui est à coté de cette case ; c’est tout. C’est aussi simple que ça !

Je m’exprimerai dans ces lettres en totale liberté sans les filtres habituels des réseaux surveillés par les algorithmes pilotés par les fantassins du cartel de B..Ph…

Vous aurez également sur cette lettre la primeur de toute mon actualité que je diffuserai en priorité dans cette lettre et dans un deuxième temps sur cette page car je souhaite privilégier les personnes qui se démarquent de cette façon pour me soutenir.

Si vous n’êtes pas encore inscrit(e), ce sera trop t**d après midi pour la première lettre, mais ne loupez pas la seconde et aussi les suivantes, ça va vraiment valoir le coup et vous ne regretterez pas de m’avoir indiqué votre mail. 😉

Je reste toutefois vigilant car je n’oublie pas non plus que les collabos sont toujours là, cachés derrière leurs persiennes comme au bon vieux temps.
Mon grand-père paternel était aussi un résistant. Comme quoi, le transgénérationnel n’est pas qu’une légende urbaine ; les derniers travaux d’épigénétique nous l’ont bien montré.

Bon matin les amis.

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