Association Humanitaire Setoise

Association Humanitaire Setoise Nous sommes solidaires, emportés par la même planète, équipage d'un même navire. ♥️ Tendre la main. Une main n'applaudit pas seule.

C'est un gâchis car le travail associatif est dur mais récompense à la fin lorsque nous sommes submergés de sourires et de chaudes larmes de joie.

On a grandi dans une époque qui n’existe plus…Celle où les voitures sentaient le tabac froid et la liberté,où nos parent...
14/12/2025

On a grandi dans une époque qui n’existe plus…
Celle où les voitures sentaient le tabac froid et la liberté,
où nos parents fumaient la fenêtre entrouverte en disant “ça sortira tout seul”.

Nous, les enfants des années 60, 70, 80 et début 90…
une génération charnière, forgée entre l’ancien monde et le nouveau.

On a connu les goûters au pain-beurre-chocolat,
les cartables trop lourds et les genoux toujours écorchés.
On rentrait quand les lampadaires s’allumaient,
et personne ne nous “géolocalisait” pour savoir où on était.

🎮 On a vu naître les premières merveilles :
le Walkman, le Minitel, les premiers ordis, les manettes qui grinçaient.
On a soufflé sur les cartouches Nintendo pour que ça redémarre,
et collé nos oreilles à la radio pour enregistrer nos chansons préférées.

🌈 On a grandi dans un monde sans filtres, sans likes, sans notifications.
Un monde où on apprenait la vie dehors,
sur un terrain vague, une cour d’école, un banc public.

On a connu les mercredis après-midi devant Dorothée,
les posters de boys bands collés de travers,
les salons remplis d’énormes télés qui faisaient “TAC” quand on les éteignait.

On a voyagé dans des voitures sans clim,
avec des vitres manuelles,
des cartes Michelin sur les genoux,
et la phrase mythique :
— “C’est bon, on arrive bientôt.”
(même quand il restait deux heures de route.)

Mais surtout…
on a connu le vrai, le simple, le brut.
Les amitiés sans réseaux sociaux,
les discussions jusqu’à t**d,
les dimanches en famille,
les étés entiers dehors.

❤️ On est cette génération qui a eu la chance de vivre entre deux mondes.
Assez vieux pour connaître l’avant,
assez jeune pour comprendre l’après.
Une génération irremplaçable, solide…
et profondément authentique.

14/12/2025
Un homme a vendu un chameau🐪 dans un marché, puis ils l’ont emmené à l’abattoir.Le chameau a refusé d’entrer dans l’abat...
03/12/2025

Un homme a vendu un chameau🐪 dans un marché, puis ils l’ont emmené à l’abattoir.
Le chameau a refusé d’entrer dans l’abattoir et toutes les tentatives ont échoué. Un homme expérimenté est alors intervenu et a dit : “Amenez le propriétaire du chameau.”
En effet, ils ont fait venir le propriétaire, qui a pris la bride du chameau et l’a conduit. Le chameau le suivait pas à pas. Ils se sont précipités vers lui avec leurs couteaux pour l’abattre, mais le propriétaire leur a dit : “Comment pourrais-je trahir celui qui a confiance en moi et qui a suivi mes pas ?”
Il leur a rendu l’argent qu’il avait reçu et est parti avec le chameau, jurant qu’il ne vendrait jamais celui qui lui avait confié sa vie.

Quand le populisme devient la gloire 🌍 Partout dans le monde, une même tendance se dessine : la montée des leaders popul...
03/12/2025

Quand le populisme devient la gloire 🌍

Partout dans le monde, une même tendance se dessine : la montée des leaders populistes. Des États-Unis à l’Europe, jusqu’à l’Afrique subsaharienne, le populisme gagne du terrain en exploitant les frustrations sociales et les incertitudes économiques. Son mécanisme est simple : simplifier des problèmes complexes, désigner un ennemi, promettre des solutions faciles et détourner la colère populaire vers un bouc émissaire. Ce discours s’impose comme un écran de fumée, masquant souvent l’absence de vision, l’incompétence ou la médiocrité de certains dirigeants incapables de proposer une véritable stratégie nationale.

Dans de nombreux cas, le populisme n’est pas une idéologie construite, mais une technique de survie politique. Quand le projet est vide, le slogan prend la place du programme.
Les débats de fond disparaissent au profit d’émotions immédiates. L’éducation, la santé, l’emploi, l’innovation ou la transition énergétique sont relégués au second plan ; l’essentiel devient de paraître proche du peuple plutôt que de construire son avenir. Plus les résultats sont faibles, plus le ton se radicalise : moins il y a de contenu, plus il y a de bruit. C’est le paradoxe populiste : l’échec nourrit le discours, et le discours masque l’échec.

Cette dynamique soulève un enjeu crucial pour nos sociétés. Ce n’est pas le rejet du peuple qui est dangereux, mais le rejet de la compétence. La vraie question devient alors : voulons-nous des gouvernements qui flattent nos émotions ou des gouvernements qui préparent notre avenir ? Dans un monde incertain, la tentation populiste peut être forte, mais elle ne doit pas devenir le refuge de la médiocrité. La souveraineté ne devrait pas être un cri, mais une vision. Une démocratie solide ne redoute pas la complexité : elle la transforme en projet collectif.

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S.S.C

L’argent et le pouvoir ne changent pas réellement les individus ; ils révèlent simplement ce qu’ils sont en profondeur. ...
03/12/2025

L’argent et le pouvoir ne changent pas réellement les individus ; ils révèlent simplement ce qu’ils sont en profondeur. Tant que quelqu’un manque de moyens ou d’influence, il doit se plier aux contraintes de la vie : dépendre des autres, contrôler ses émotions, cacher ses intentions. La pauvreté agit alors comme un masque social qui peut donner l’illusion d’humilité, de gentillesse ou de sagesse.

Mais lorsque l’argent ou le pouvoir entrent en jeu, ces contraintes disparaissent. L’individu n’a plus besoin de jouer un rôle, et son véritable caractère ressort. Ainsi, une personne naturellement généreuse, noble, le devient encore plus grâce aux ressources qu’elle possède, tandis qu’une personne égoïste ou arrogante exprime plus ouvertly ses défauts. L’argent et le pouvoir n’inventent rien : ils amplifient les qualités comme les faiblesses, et dévoilent ce que la pauvreté cachait.

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S.S.C

Je choisis l’humilité, car rien de ce que je tiens entre mes mains ne m’appartient vraiment. Chaque bien, chaque talent,...
03/12/2025

Je choisis l’humilité, car rien de ce que je tiens entre mes mains ne m’appartient vraiment. Chaque bien, chaque talent, chaque instant de paix n’est qu’un souffle que l’univers me prête pour un temps. Et c’est dans cette conscience que chaque jour je dépose l’orgueil, pour marcher plus léger.

Je choisis l’humanité, car derrière mes certitudes, je ne suis qu’une parcelle fragile de vie, faite d’erreurs, de doutes et d’élans sincères. Je ne suis ni au-dessus, ni en dehors du monde : j’en suis une vibration parmi tant d’autres, liée aux autres par cette commune vulnérabilité.

Et dans ce choix d’humilité et d’humanité, je trouve mon équilibre : celui de regarder l’autre sans jugement, d’aimer sans condition, d’avancer sans prétention. Car c’est dans la simplicité assumée que j’existe dans ma forme la plus noble.

A propos de ce voile qui chiffonne certains...A titre personnel, je suis pour la libre expression pour tous, chacun fait...
03/12/2025

A propos de ce voile qui chiffonne certains...

A titre personnel, je suis pour la libre expression pour tous, chacun fait comme il veut, à condition de ne pas être excessif ou extrémiste, ni d'imposer à autrui ses propres convictions.

Néanmoins, comme je lis sur les réseaux sociaux que beaucoup d'internautes occidentaux estiment que les arabo-musulmans doivent s'habiller à l'occidentale lorsqu'ils vivent en France, je peux témoigner qu'ayant vécu et voyagé pas mal de temps à l'étranger, quasiment tous les occidentaux (sauf exceptions) qui y vivent persistent à porter leurs vêtements occidentaux sans tenir compte des cultures et coutumes locales, mais comme ces pays sont souvent des plus tolérants (sauf l'Arabie saoudite et l'Iran qui veulent imposer comme la France leurs propres coutumes) cela ne pose aucun problème !

Je me souviens que dans mon enfance ma mère et mes soeurs se rendaient à l'église avec un fichu ou foulard, que les filles ne portaient alors pas de pantalon car c'était très mal vu. A école les garçons et les filles étaient séparés. Les filles alors ne couchaient pas avant le mariage, même si la pilule commençait à peine ; et avoir un enfant hors mariage était une véritable catastrophe pour la jeune femme comme pour sa famille ; entre 1965 et 1975 la mentalité des femmes était encore d'un niveau que de nos jours beaucoup estimeraient comme étant rétrograde.

Avec cette histoire de voile islamique qui resurgit régulièrement, on constate que les adeptes les plus virulents de l'impérialisme socio-culturel occidental qui, se croyant supérieur, a réussi à s'imposer en même temps que le système libéral capitaliste, à dissoudre ou détruire les grandes cultures de l'humanité... redeviennent furieux, notamment après des événements terroristes, mais aussi lorsqu'ils sentent quelques résistances, et surtout si une autre forme de culture s'impose dans sa sphère (comme le voile ou un habit traditionnel étranger ou religieux), alors qu'ils ne se gênent nullement d'en faire autant partout quand ils sont à l'étranger...

Cela dit, on peut comprendre que nombre de laïcs n'étant pas ou peu croyants, donc ne pouvant comprendre une démarche spirituelle, ils sont convaincus que porter le voile est une manière de brandir un drapeau et faire du prosélytisme. Ce qui est faux, à part pour certains jeunes en mal d'identité et dans certains quartiers en souffrance. La majorité des croyantes sans ou avec voiles, comme jadis les chrétiennes, (et de nos jours encore dans les campagnes orthodoxes russes, chez les femmes hindoues, et bien d'autres traditions locales disséminées sur le globe )..... portent leur foi aussi bien dans leur cœur qu'à travers une tenue exprimant leurs traditions, mais aussi une pudeur tant à l'égard de Dieu que d'une manière générale sur le plan social. Ce qui n'a rien à voir avec le prosélytisme que les paranos croient entrevoir dans tout ce qui leur déplaît tant ils y projettent leur propre nature !

Que Dieu illumine les cœurs, et inspire paix et fraternité à tous !

Ibrahim Marc B.

La vraie chance, ce n’est pas de trouver 50 euros par terre…C’est de faire ce qui est juste.Vendredi, en allant chercher...
24/11/2025

La vraie chance, ce n’est pas de trouver 50 euros par terre…
C’est de faire ce qui est juste.

Vendredi, en allant chercher mon fils, j’ai trouvé un billet devant l’école. Ma première pensée : “Quelle chance !”
La seconde : “Quelqu’un en a peut-être vraiment besoin.”

Je me suis souvenu de ma mère, en larmes, le jour où elle avait perdu son salaire… et de la solidarité qui l’avait sauvée. Alors impossible pour moi d’ignorer ce billet.

Je suis retourné à l’école demander si quelqu’un l’avait signalé.
Un enseignant m’a répondu aussitôt :
“Oui, une maman cherche un billet de 50 euros.”

On l’a retrouvée. Elle pleurait : cet argent devait servir à nourrir sa famille pour le week-end. Elle pensait l’avoir perdu à jamais.

Ce jour-là, j’ai compris une chose :
on ne peut pas se réjouir de ce qui fait souffrir quelqu’un d’autre.

La vraie chance, c’est d’avoir l’intégrité de rendre ce qui n’est pas à nous. ❤️

L'association setoise toujours sur le terrain 10 chiot on était donner à une association ainsi que des croquettes, 6 chi...
24/11/2025

L'association setoise toujours sur le terrain 10 chiot on était donner à une association ainsi que des croquettes, 6 chiot encore seront placé chez l'association 34 quk fait un travail magnifique.
Elle a réussi à placé 16chiot bravo 🥰

Si tu mets 100 fourmis noires et 100 fourmis rouges dans un bocal, il ne se passe rien.  Mais si tu secoues fort le boca...
18/11/2025

Si tu mets 100 fourmis noires et 100 fourmis rouges dans un bocal, il ne se passe rien.
Mais si tu secoues fort le bocal, elles commencent à s’entre-tuer.
Les rouges croient que leurs ennemies sont les noires, et les noires croient que leurs ennemies sont les rouges.

Pourtant, le véritable ennemi, c’est celui qui secoue le bocal.

Il en va de même dans nos sociétés humaines.
Avant de nous battre les uns contre les autres,
prenons le temps de réfléchir à qui secoue le bocal... 🙄🙄

Les journaux ont annoncé que 47 mot**ds avaient enlevé 22 enfants placés dans un foyer, les avaient fait passer clandest...
10/11/2025

Les journaux ont annoncé que 47 mot**ds avaient enlevé 22 enfants placés dans un foyer, les avaient fait passer clandestinement d’un État à l’autre avant que les autorités ne puissent intervenir.
C’est ce que la police a affirmé lorsqu’elle a dépêché six voitures à nos trousses.
C’est ce que la directrice du foyer a hurlé au téléphone quand elle s’est rendu compte que les enfants avaient disparu.

Mais ce n’est pas du tout ce qui s’est réellement passé.

Je m’appelle Robert Chen. Je suis travailleur social dans le Nevada, et cela fait dix-neuf ans que je travaille dans le système de placement familial.
J’ai vu toutes les formes de détresse imaginables.

Mais rien — absolument rien — ne m’avait préparé à ce que j’ai découvert au foyer Bright Futures, ce mois d’octobre-là.

Vingt-deux enfants. De 6 à 17 ans.
Tous placés.
Tous oubliés.
Et tous condamnés à passer un énième Noël dans un établissement infesté de rats, avec des murs couverts de moisissures.
L’État devait le fermer.
Ça faisait trois ans qu’on me disait « bientôt ».

Pendant huit mois, j’ai tenté désespérément de faire transférer ces enfants ailleurs.
Aucun centre n’en voulait.
Trop de traumatismes. Trop de besoins médicaux. Trop de problèmes comportementaux. Trop cher.

Le système avait abandonné ces gamins.

Alors quand mon ami Marcus m’a appelé un jeudi soir, j’étais assez désespéré pour l’écouter.
Marcus roulait avec le Desert Storm Veterans MC, un club de 50 anciens militaires, tous décorés, tous en quête de sens après leur retour.

— Frère, j’ai entendu parler de ta situation avec les gamins. Le club veut aider.
Puis :
— Et si on leur offrait une semaine au Grand Canyon ?

J’ai ri. Un rire amer.
— Marcus, ces enfants n’ont même pas l’autorisation d’aller au cinéma. L’État n’approuvera jamais un voyage pareil.
— Alors on ne demande pas la permission, a-t-il répondu. On demande le pardon.

Et c’est ainsi que tout a commencé.
La chose la plus f***e, la plus illégale et la plus belle à laquelle j’ai participé.

Marcus et son club ont tout planifié.

Ils ont loué un camp d’été vide en hiver.
Fait venir des médecins, thérapeutes, psychologues — tous bénévoles.
Collecté des dons : jouets, vêtements, nourriture, activités.

Et ils sont venus chercher les enfants.

18 novembre. Samedi. 6h du matin.

Quarante-sept mot**ds débarquent devant le foyer Bright Futures.
Le bruit était incroyable. Comme du tonnerre. Comme une armée.

Les enfants se sont réveillés en sursaut, ont couru aux fenêtres. Certains ont crié. D’autres pleuré.
Ils n’avaient jamais vu ça.

Le président du club, Jackson, un homme de 70 ans, barbe blanche et poitrine pleine de médailles, m’a remis un dossier.

— Décharges, autorisations médicales, contacts d’urgence. On a fait ça aussi légalement que possible.

La directrice du foyer, Patricia, est arrivée en courant dans sa robe de chambre.

— Qu’est-ce qui se passe ? Qui sont ces gens ?!
— Patricia, ai-je dit calmement, ces messieurs emmènent les enfants en camping. Une semaine. Tout encadré, tout payé.
— Absolument pas ! Vous ne pouvez pas emmener des pupilles d’État hors de l’État ! Je vais appeler la police !
— Appelez-les, a répondu Jackson. Pendant ce temps, on va demander aux enfants s’ils veulent voir le Grand Canyon. Et s’ils disent oui, on part. Vous réglerez le reste après.

Le choix des enfants

Nous avons réuni les 22 enfants.

Marcus a pris la parole :
— On est des vétérans. On roule à moto. Et on voudrait vous emmener à l’aventure.

La petite Emma, 6 ans, peluche contre elle :
— Vous allez nous faire du mal ?

Mon cœur s’est serré.

Jackson s’est agenouillé devant elle :
— Non, chérie. On va vous protéger. Vous emmener camper. Voir le Grand Canyon. Monter à cheval. Pêcher. Vous offrir la meilleure semaine de votre vie. Si tu veux venir.

— Et si on dit non ? demanda DeShawn, 17 ans, brisé par trop de placements.

— Alors on s’en va, répondit Jackson. C’est votre choix.

Doucement, une main s’est levée.
Puis une autre.
Puis toutes.

Les 22 enfants ont dit oui.

Patricia a appelé la police.
Mais quand les sirènes ont retenti, les enfants étaient déjà dans les vans.
Les mot**ds encadraient le convoi.

Interceptés sur la route

À 30 km de la frontière d’État, six voitures de police nous ont barré la route.

Jackson est descendu, mains levées.
J’ai montré ma carte professionnelle.
Nous avons présenté les dossiers.

Un silence. Des radios. Des vérifications.
Puis un officier vétéran a reconnu l’insigne de Jackson. Ils ont parlé entre soldats.

Finalement :

— On ne peut pas vous laisser partir, mais on ne renverra pas ces enfants dans ce foyer. Suivez-nous au poste. On va régler ça.

Au commissariat, le chaos.
Mais la presse a flairé l’histoire :
« Des vétérans sauvent des enfants placés d’un foyer insalubre ».

Dons. Soutiens. Pressions.

Un juge a été réveillé.
Elle a tout lu.
Puis a dit :

— C’est… irrégulier. Mais compte tenu des circonstances… Autorisation provisoire. Une semaine. Encadrement. Et M. Chen, vous accompagnez.

Une semaine de lumière

Et nous sommes partis.

Cette semaine fut magique.

Emma sur un cheval, éclatant de rire.
DeShawn pêchant avec Jackson, parlant enfin.
Maya peignant le canyon au lever du soleil.

Feux de camp. Confiance. Larmes. Réparations lentes.

Certains mot**ds ont demandé à devenir familles d’accueil.
D’autres mentors.

L’histoire a explosé nationalement.
L’État a enquêté.
Bright Futures a été fermé.
Des réformes lancées.

Le retour

Les enfants sont revenus transformés.
Pas tous adoptés immédiatement, mais tous vus.
Tous aimés.
Tous porteurs d’espoir.

Emma adoptée à Reno.
Maya chez un couple d’artistes.
DeShawn a eu un travail, une moto, une famille : celle du club.

Moi ?
Un mois de suspension… puis une promotion.

Marcus et moi roulons toujours ensemble.

Cela a commencé par un grondement de motos un samedi matin.

Cela s’est terminé par 22 enfants qui ont compris qu’ils n’étaient pas oubliés.

Que parfois, le système a besoin d’un peu de rébellion pour se souvenir de son humanité.

Via Lueur d’Histoire

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