Clément Lanot

Clément Lanot Agence de presse. L'actualité, sur le terrain. Images en intégralité, sans commentaire depuis 2016. CLPRESS est une agence de presse vidéo.

Nous fournissions des images aux médias français et internationaux.

17/10/2024

Un homme de 49 ans a tragiquement perdu la vie ce jeudi soir dans le 19e arrondissement de Paris après qu'un arbre est tombé sur lui. Ses deux jeunes enfants, âgés de 3 et 5 ans, ont également été blessés. Le drame s'est déroulé dans la Cité rose, une résidence du bailleur Paris Habitat, aux alentours de 19h, alors que la famille se trouvait à proximité de leur domicile. La mère des enfants, qui n'était pas présente lors de l'accident, est arrivée sur les lieux peu après.

Le porte-parole de Paris Habitat a indiqué que l'équipe psychologique du Samu a été mobilisée pour soutenir la famille. Un périmètre de sécurité a été mis en place, et les locataires ont pu regagner leurs logements, à l'exception de ceux résidant à proximité du lieu de l'incident, en attendant l'enlèvement du corps par les pompes funèbres. Selon Paris Habitat, aucun des 51 arbres de la résidence n'avait été jugé dangereux avant l'accident. Les circonstances de la chute de l'arbre restent à déterminer, dans un contexte de mauvaises conditions météorologiques.

17/10/2024

La crise liée à la vie chère en Martinique se poursuit malgré l'annonce d'un accord par l'État pour réduire de 20 % les prix des produits alimentaires. Cet accord, signé le 16 octobre 2024 après une septième série de négociations entre la préfecture, la Collectivité territoriale de la Martinique, les distributeurs, et d'autres acteurs locaux, vise à diminuer les prix sur 54 familles de produits. Le préfet, Jean-Christophe Bouvier, a souligné que cette réduction sera obtenue grâce à des mesures structurelles touchant les coûts d'achat et d'acheminement des produits alimentaires importés, ainsi qu'à l'engagement des grands distributeurs de réduire leurs marges.

Cependant, le collectif Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens (RPPRAC), à l'origine de la mobilisation depuis le 1er septembre, a refusé de signer l'accord. Son leader, Rodrigue Petitot, a critiqué l'accord pour ne concerner qu'une partie limitée des produits alimentaires, alors que le collectif demandait des réductions sur l'ensemble des produits, soit 40 000. En réponse, le RPPRAC a appelé à poursuivre les manifestations et à maintenir les barrages installés sur l'île.

Le préfet a appelé à la désescalade de la violence, alors qu'un couvre-feu nocturne reste en vigueur jusqu'au 21 octobre. Malgré l'accord, la crise n'est pas résolue, le RPPRAC refusant de céder tant que leurs revendications ne seront pas pleinement satisfaites. Cette situation inquiète le député Marcellin Nadeau, qui estime que la sortie de crise reste incertaine tant que le collectif n'a pas signé l'accord.

16/10/2024

Le 16 octobre 2024, la CGT a organisé une manifestation à l'intérieur d'un magasin Carrefour en Martinique, dans le cadre de la mobilisation contre la vie chère qui agite l'île depuis plusieurs semaines. Rodrigue Petitot, leader du collectif RPPRAC (Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens), accompagné d'autres militants, a pris la parole pour dénoncer l'augmentation excessive des prix, notamment dans la grande distribution.

Les manifestants ont souligné que cette situation touche l'ensemble de la population, et que l'objectif de cette mobilisation est d'encourager les salariés des entreprises locales à se joindre à la lutte. Ils ont visité plusieurs commerces pour recueillir les revendications des employés et les mobiliser pour de futures actions. Ils dénoncent également l'inaction du gouvernement et la répression exercée par les forces de l'ordre, notamment la présence de la CRS 8, dont ils demandent le départ immédiat de l'île.

Les militants ont également exprimé leur espoir que les négociations en cours avec les autorités, notamment lors de la dernière table ronde prévue ce jour-là, aboutissent à des solutions concrètes pour réduire les prix des produits de base. Ils critiquent la structure actuelle des prix, marquée par des taxes multiples, et préconisent l'importation de produits en provenance de la Caraïbe pour alléger les coûts.

Enfin, les manifestants ont insisté sur la nécessité d'un changement global dans le mode de consommation et la gestion de la distribution, tout en soulignant que la colère monte sur l'île et que, si aucune solution n'est trouvée, la situation pourrait dégénérer davantage.

15/10/2024

Des blindés de la gendarmerie détruisent les barrages érigés par les manifestants contre la vie chère sur l'île de la Martinique. La lutte contre la vie chère continue pour les manifestants, notamment les membres du RPPRAC à la tête du mouvement. Depuis plusieurs jours de nouveaux barrages ont été érigés sur l'île de la Martinique alors que les négociations avec l'Etat continuent par ailleurs, Ces négociations ont pour objectif de bloquer ou même faire baisser les prix sur des milliers de produits de la vie quotidienne afin de réduire les écarts extrêmement importants du coût de la vie entre la Martinique et la métropole.

14/10/2024

Rodrigue Petitot, 42 ans, est une figure charismatique de la mobilisation contre la vie chère en Martinique, notamment avec ses interventions percutantes sur les réseaux sociaux et sa présence régulière sur les blocages et manifestations. Reconnaissable par sa voix imposante et son tatouage dans le cou, il incarne la lutte pour des prix plus justes, dénonçant les abus de la grande distribution. Avec son slogan “On est chez nous ici”, il a su rassembler les militants du Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens (RPPRAC), dont il est le président.

Ayant partagé sa vie entre la Martinique et la métropole, Petitot est devenu le porte-parole d’une partie de la population martiniquaise, frustrée par l’inflation et les inégalités économiques. Pour ses soutiens, comme Joe, un manifestant présent devant la Collectivité territoriale de Martinique (CTM), Rodrigue Petitot représente “le peuple” et incarne “la souffrance” des habitants face aux difficultés de la vie quotidienne. Alors que les négociations pour la baisse des prix alimentaires se poursuivent, Petitot et ses partisans espèrent obtenir des changements concrets.

De nouveaux barrages ont été érigés sur l'île de la Martinique cette soirée du 12 octobre 2024, alors que les négociations devaient commencer. Ces négociations, toujours au point mort, ont pour objectif de bloquer ou même baisser les prix sur des milliers de produits de la vie quotidienne afin de réduire les écarts extrêmement importants du coût de la vie entre la Martinique et la métropole. Le ministre des Outre-Mer n'est toujours pas arrivé sur l'île, ce que lui reprochent notamment les membres du RPPRAC.

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13/10/2024

Une manifestation contre la ligne ferroviaire à grande vitesse (LGV) du Sud-Ouest permettant de relier Paris à Toulouse en 3h, a dégénéré à Lerm-et-Musset, en Gironde, samedi 12 octobre 2024, entraînant de vives tensions. Un véhicule de gendarmerie a été vandalisé par un groupe d'une vingtaine à une trentaine de manifestants habillés en noir. Ces derniers ont brisé les vitres et endommagé le véhicule, forçant les gendarmes à abandonner le site après avoir essuyé des tirs de projectiles. La préfecture a qualifié ces actes d'« agissements intolérables » et annoncé l'ouverture d'une enquête.

La veille, un hélicoptère de la gendarmerie survolant le site des manifestants avait également été la cible de tirs, bien que l'appareil n'ait pas été touché. Les autorités surveillent étroitement ce rassemblement d'opposants, auquel participent divers collectifs et le mouvement écologiste des Soulèvements de la Terre.

Au moins un millier de personnes se sont réunies pour protester contre ce projet ferroviaire qui vise à relier Toulouse à Paris en trois heures et dix minutes d'ici 2032, et à raccourcir le trajet Bordeaux-Dax. Les travaux au nord de Toulouse ont déjà commencé, mais l'autorisation des aménagements au sud de Bordeaux est toujours attendue d'ici novembre.

Les opposants, dont des élus locaux, des habitants, et des professionnels du secteur forestier et viticole, critiquent le projet pour son coût de quinze milliards d'euros et son impact écologique, notamment l'artificialisation de 5 000 hectares de terres, incluant la vallée du Ciron, riche en biodiversité. Ils préconisent plutôt une rénovation des lignes existantes pour améliorer les trains du quotidien et dénoncent l'imposition d'une taxe spéciale sur des milliers de communes pour financer ce chantier.

11/10/2024

La situation en Martinique a pris une tournure inquiétante avec la montée des tensions liées aux manifestations contre la vie chère. Le 9 octobre 2024, des affrontements violents ont éclaté entre les manifestants et les forces de l'ordre, notamment au Carbet, où un bâtiment de la gendarmerie a été incendié. Ce bâtiment, qui servait de local, a été entièrement dégradé, et plusieurs feux de poubelles ont été signalés dans la zone. Malgré ces tensions, aucune victime n'est à déplorer dans l'incendie du bâtiment.

Face à cette recrudescence de violence, la préfecture de Martinique a annoncé un couvre-feu et une interdiction de manifester, après que des barricades enflammées ont été érigées dans plusieurs communes. Douze gendarmes ont été blessés, dont un par b***e, lors des opérations de levée de barrages au Carbet. La situation est particulièrement tendue sur la RN2, l'un des principaux axes routiers de l'île, où des centaines de véhicules ont été bloqués. Les forces de l'ordre ont dû recourir à la force après avoir tenté de négocier avec les manifestants qui les attaquaient avec des projectiles.

10/10/2024

La situation en Martinique a pris une tournure inquiétante avec la montée des tensions liées aux manifestations contre la vie chère. Le 9 octobre 2024, des affrontements violents ont éclaté entre les manifestants et les forces de l'ordre, notamment au Carbet, où un bâtiment de la gendarmerie a été incendié. Ce bâtiment, qui servait de local, a été entièrement dégradé, et plusieurs feux de poubelles ont été signalés dans la zone. Malgré ces tensions, aucune victime n'est à déplorer dans l'incendie du bâtiment.

Face à cette recrudescence de violence, la préfecture de Martinique a annoncé un couvre-feu et une interdiction de manifester, après que des barricades enflammées ont été érigées dans plusieurs communes. Douze gendarmes ont été blessés, dont un par b***e, lors des opérations de levée de barrages au Carbet. La situation est particulièrement tendue sur la RN2, l'un des principaux axes routiers de l'île, où des centaines de véhicules ont été bloqués. Les forces de l'ordre ont dû recourir à la force après avoir tenté de négocier avec les manifestants qui les attaquaient avec des projectiles.

Ces manifestations s'inscrivent dans le cadre d'un mouvement "île morte" organisé par plusieurs syndicats et groupes militants, dénonçant la répression policière exercée par la CRS 8 contre les militants anti-vie chère. Ce mouvement a été déclenché début septembre par le Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens (RPPRAC), qui réclame un alignement des prix des produits alimentaires avec ceux de la métropole, où les prix sont 40 % moins élevés.

La crise actuelle fait écho à des mouvements similaires survenus dans les Antilles françaises ces dernières années. La préfecture, qui a déjà organisé quatre tables rondes sans parvenir à un accord satisfaisant pour les protestataires, a annoncé une cinquième réunion pour présenter un plan d'action.

Les violences urbaines qui secouent l'île ont amené les autorités à mobiliser la CRS 8, unité spécialisée dans la gestion des troubles urbains, après des nuits d'affrontements dans plusieurs quartiers de Fort-de-France et du Lamentin. La situation reste tendue, et les autorités tentent de rétablir l'ordre tout en cherchant à apaiser les revendications sociales.

Manifestation en soutien à Gisèle Pelicot et aux victimes de viol
15/09/2024

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  à   contre la nomination de Michel Barnier comme Premier Ministres à l’initiative des organisations de jeunesse et de ...
07/09/2024

à contre la nomination de Michel Barnier comme Premier Ministres à l’initiative des organisations de jeunesse et de

07/09/2024

Manifestation à Paris le 7 septembre contre Michel Barnier suite à sa nomination comme Premier Ministre par le Président de la république Emmanuel Macron.

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Saint-Dizier-en-Diois
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