Tellyaashiq - 100 % Séries Indiennes

Tellyaashiq - 100 % Séries Indiennes Avis, épisodes, news et pleins d'autres choses à partager sur vos séries préférées

Guddan Tumse Na Ho Payega – Épisode 18 : Ce que je fais pour moi, même si ça dérangeKanpur, 6h15. La cuisine est vide, s...
23/04/2025

Guddan Tumse Na Ho Payega – Épisode 18 : Ce que je fais pour moi, même si ça dérange

Kanpur, 6h15. La cuisine est vide, silencieuse. Pour la première fois, Guddan n’est pas celle qui prépare le petit-déjeuner.
Elle est assise dans le salon, un classeur sur les genoux.

Aujourd’hui, elle lance un concours culinaire local pour les jeunes filles des quartiers populaires, un projet qu’elle a imaginé, financé, et coordonné… seule.

Sans l’aide d’AJ.
Sans l’aval de Durga.
Sans l’approbation de la famille Jindal.

Durga, bien sûr, y voit une tentative de s’éloigner de ses “devoirs d’épouse”.

“Tu préfères courir les rues que t’occuper de ta maison ?”

Mais Guddan ne répond pas.

Elle sourit.
Et dit simplement :

“Je préfère construire un monde que surveiller un couloir.”

AJ, de son côté, reste observateur.

Il ne s’interpose pas.

Mais quand Guddan lui demande :

“Est-ce que tu crois que je vais trop loin ?”

Il répond :

“Je crois que tu vas… là où personne n’a osé t’imaginer.
Et c’est ce que j’aime chez toi. Même si ça me dérange parfois.”

Le concours commence dans un petit centre communautaire.
Des filles de 14 à 20 ans présentent des plats hérités de leurs mères, de leurs grand-mères.
Certaines n’ont jamais cuisiné devant d’autres.
Mais elles rayonnent.

Guddan les regarde avec émotion.

Une jeune fille, Paro, lui dit :

“Tu sais… c’est la première fois qu’on m’a dit que ce que je savais déjà était suffisant pour oser.”

En parallèle, une polémique éclate sur les réseaux sociaux.

Certains accusent Guddan de vouloir “exister seule”, de “mettre AJ dans l’ombre.”

Elle lit tout.
Mais elle ne répond à rien.

Elle agit.

Le jour de la finale, une journaliste locale lui demande :

“Comment vivez-vous les critiques ? Ceux qui disent que vous vous éloignez de votre rôle de bahu traditionnelle ?”

Elle répond, devant tout le public :

“Je n’ai jamais voulu être une ‘bonne’ belle-fille.
Je veux être une bonne femme.
Une femme libre, juste, imparfaite.
Et si cela bouscule… alors tant mieux.
Car ce monde a besoin de femmes qui dérangent les vieilles idées.”

AJ, dans la salle, se lève.
Il prend le micro.

“Je suis son mari.
Mais je suis surtout… son témoin.
Et je veux qu’elle sache ceci, devant vous tous :
je ne la soutiens pas parce qu’elle est mon épouse.
Je la soutiens parce qu’elle est un changement que je suis fier d’avoir croisé.”

Un tonnerre d’applaudissements.

Le soir, dans sa chambre, Guddan se regarde dans le miroir.
Elle ne voit plus une fille qui se débat.

Elle voit une femme qui rayonne.

Elle écrit dans son carnet :

“Je ne veux plus que ma force serve d’exemple.
Je veux qu’elle serve de feu.
Pour allumer d’autres voix.
Pour que plus jamais une femme ne dise :
‘Je ne peux pas.’”

👉 Et vous, quand une femme ne veut plus simplement bien faire, mais faire grand, êtes-vous capable de marcher avec elle sans essayer de la ralentir ?
Rendez-vous pour l’épisode 19.


Anupamaa – Épisode 18 : Ce que je n'efface pas, même si je vais de l’avantAhmedabad, 6h05. Dans la maison tranquille du ...
23/04/2025

Anupamaa – Épisode 18 : Ce que je n'efface pas, même si je vais de l’avant

Ahmedabad, 6h05. Dans la maison tranquille du quartier de Shah Niwas, Anupamaa allume une petite lampe à huile devant le tulsi.
Non pas par habitude.
Par ancrage.

Ce matin, elle reçoit une lettre. Pas manuscrite. Pas sentimentale.
Une proposition.
Une fondation new-yorkaise spécialisée dans les arts thérapeutiques veut l’inviter pour une résidence de trois mois.

Trois mois.
Loin de tout ce qu’elle connaît.
Mais peut-être plus proche que jamais de ce qu’elle est devenue.

Lorsqu’elle annonce la nouvelle à sa famille, les réactions sont mitigées.

Kinjal sourit :

“Maa, c’est… énorme. C’est ce que tu mérites.”

Baa fronce les sourcils :

“Trois mois ? À ton âge, on ne voyage pas pour ‘s’épanouir’. On reste près des siens.”

Mais Anupamaa reste calme.

“Je suis toujours des vôtres.
Mais pour être là pour vous… je dois d’abord être là pour moi.”

Pendant la journée, elle s’assoit avec Anuj, dans le jardin du centre.
Il l’écoute, en silence, comme toujours.

Puis il dit :

“Tu sais que je t’attendrai.
Mais pas comme on attend un train.
Comme on garde la lumière allumée pour quelqu’un qui construit ailleurs… mais revient libre.”

Elle le regarde, émue.

“Et si je ne reviens pas ? Si je change trop là-bas ?”

Il répond :

“Alors je tomberai amoureux de ta nouvelle version. Encore. Et encore.”

Dans les jours suivants, Anupamaa se prépare.
Pas ses valises.
Son cœur.

Elle revisite l’école où elle a enseigné autrefois.
Elle offre ses carnets à ses anciennes élèves.
Et surtout…
Elle va parler à Vanraj.

Pas pour permission.
Pour clôture.

Il l’accueille avec ironie.

“Alors maintenant tu pars conquérir l’Amérique ?”

Elle sourit doucement.

“Non. Je pars rencontrer une femme que tu n’as jamais connue.
Et moi non plus.
Celle que je suis devenue grâce à ce que j’ai survécu ici.”

Il ne répond pas.

Mais il la regarde avec un respect qu’il ne sait pas nommer.

Le jour du départ, la famille l’accompagne à l’aéroport.
Pas de pleurs exagérés.
Pas de drame.

Juste des mains serrées.
Des yeux pleins.
Et une force tranquille.

Avant de monter, elle murmure :

“Je ne pars pas pour m’éloigner.
Je pars pour revenir… entière.”

Dans l’avion, elle ouvre un petit carnet.
Et elle écrit :

“J’ai passé la moitié de ma vie à m’excuser d’exister.
Aujourd’hui, je vais apprendre à m’agrandir sans culpabilité.
Je ne veux pas devenir un exemple.
Je veux juste montrer que même à 45 ans,
on peut commencer à dire :
‘Et maintenant… à moi.’”

👉 Et vous, quand une femme ne s’enfuit pas, mais ose partir sans promesse de retour, pouvez-vous la soutenir sans chercher à l’attacher ?
Rendez-vous pour l’épisode 19.


Rabb Se Hai Dua – Épisode 18 : Ce que je défends, même quand on m’accuseHyderabad, 5h50. Le ciel est encore couvert de n...
23/04/2025

Rabb Se Hai Dua – Épisode 18 : Ce que je défends, même quand on m’accuse

Hyderabad, 5h50. Le ciel est encore couvert de nuages gris. Dans la cour centrale, Dua balaie le sol de ses pas tranquilles.
Ce matin, elle prépare une rencontre avec les mères du quartier, pour lancer un atelier d’éducation financière pour les femmes.

Mais tout le monde ne voit pas cela d’un bon œil.

Hina, plus tendue que jamais, déclare à Haider :

“Dua veut tout contrôler. Les femmes, la religion, la maison ! Et toi, tu restes silencieux ?”

Mais Haider la regarde et dit, sans élever la voix :

“Elle ne contrôle rien.
Elle répare ce que d’autres ont abandonné.
Et moi, je choisis de l’aider. Pas de l’enfermer.”

Le quartier, cependant, commence à murmurer.
Des voix conservatrices montent :

“Qui est cette femme pour éduquer nos épouses sur l’argent ?”
“Elle incite à la désobéissance domestique.”
“Son centre est une hérésie déguisée.”

Dua les entend.

Mais elle ne se justifie pas.
Elle agit.

Le lendemain, elle reçoit une lettre anonyme glissée sous la porte.
Un verset du Coran, sorti de son contexte, sur le rôle des femmes.
Et une phrase :

“Retourne à ta place.”

Elle regarde le papier.

Puis le brûle.
Pas par colère.
Par propreté spirituelle.

Le vendredi, elle se rend à la mosquée pour une réunion intercommunautaire.
Le silence se fait lorsqu’elle entre.
Mais elle ne se démonte pas.

Elle prend place.
Et dit simplement :

“Je ne suis pas là pour diviser.
Je suis là pour rappeler que l’Islam a été porté par une femme avant même qu’il ne soit une révélation publique.
Khadija ne s’est pas tue.
Aïsha ne s’est pas excusée.
Alors moi non plus, je ne me tairai pas.
Parce que ce que je fais n’est pas une rébellion.
C’est un retour aux sources.”

Un silence profond.
Mais cette fois, pas hostile.

Une vieille femme s’avance.
Elle dit :

“Ma fille n’a jamais pu finir l’école.
Aujourd’hui, elle veut gérer son commerce toute seule.
Et c’est grâce à ce que vous dites.
Alors merci.
Et continuez.”

Le soir, de retour chez elle, Dua retrouve Haider dans la cuisine.

Il cuisine en silence.

Puis dit :

“J’ai passé toute ma vie à croire qu’aimer une femme, c’était la protéger.
Mais toi, tu n’as jamais eu besoin de protection.
Tu avais juste besoin d’espace.”

Elle répond :

“Et maintenant que je l’ai…
je veux en faire un sanctuaire.
Pas un champ de bataille.”

Elle s’assoit, écrit dans son carnet :

“Je ne cherche plus à convaincre ceux qui ne m’écouteront jamais.
Je parle pour celle qui, quelque part, a entendu ma voix et a osé relever la tête.
Je ne suis pas une menace.
Je suis une réponse.
Et si cela dérange…
alors je suis sur le bon chemin.”

👉 Et vous, quand une femme parle au nom de sa foi avec conscience et dignité, êtes-vous prêt à l’écouter sans lui rappeler son genre à chaque phrase ?
Rendez-vous pour l’épisode 19.


Kaise Mujhe Tum Mil Gaye – Épisode 18 : Ce que j’ouvre sans me trahirBerlin, 6h35. Un rayon de soleil timide traverse la...
23/04/2025

Kaise Mujhe Tum Mil Gaye – Épisode 18 : Ce que j’ouvre sans me trahir

Berlin, 6h35. Un rayon de soleil timide traverse la vitre de la petite librairie où Amruta donne désormais un atelier intitulé “Réécrire sa propre narration.”

Elle s’adresse à une dizaine de femmes venues d’horizons divers.
Des histoires de migration, d’abandon, de reconstruction.
Mais aussi de choix.

Aujourd’hui, elle leur pose une question simple :

“Quand avez-vous cessé de demander la permission d’être vous-même ?”

Un silence s’installe.
Puis des murmures. Des réponses.
Et dans leurs yeux, elle voit ce qu’elle-même a mis des années à comprendre :

L’authenticité coûte, mais l’attente coûte encore plus.

Virat est encore à Berlin.
Il loge non loin d’elle, mais ils ne se voient pas tous les jours.

Pas par distance émotionnelle.
Par respect du rythme.

Mais ce matin, il l’invite à un brunch.
Pas dans un restaurant chic.
Dans un petit parc, avec un panier en osier, comme une scène de livre illustré.

Ils mangent en silence, au milieu des passants.

Puis, Virat dit :

“Tu sais, je suis là.
Mais je ne sais pas quoi faire de moi, à côté de toi.
Tu es devenue ce que je n’ai jamais osé rêver… et ça m’intimide.”

Amruta repose sa tasse.

“Je ne veux pas que tu sois fasciné.
Je veux que tu sois honnête.
Et si tu ne sais pas où te placer, alors regarde-moi.
Parce que je ne suis pas au-dessus.
Je suis juste droite.
Et j’ai besoin de quelqu’un qui tient debout aussi.”

Plus t**d, Virat demande s’il peut l’accompagner à l’un de ses ateliers.
Elle accepte.

Il reste assis, discret, pendant qu’elle guide les participantes à travers un exercice :

Écrire une lettre à celle qu’on a été à 18 ans.

Elle écrit aussi.

Sa lettre dit :

“Tu seras tentée de devenir moins pour être plus aimée.
Mais n’écoute pas.
Parce que tu es déjà assez.
Et un jour, quelqu’un t’aimera sans te demander de changer de ton.”

Après l’atelier, Virat s’approche.

Il dit doucement :

“Je crois que je suis prêt à aimer une femme qui n’a pas besoin de moi.
Mais qui me choisit quand même.”

Elle le regarde.
Longtemps.

Puis répond :

“Alors ne sois pas prêt. Sois réel.
Je ne cherche plus de promesse.
Je cherche de la clarté.”

Ils rentrent ensemble.
Rien n’est dit sur “ce que c’est entre eux”.
Mais leurs silences sont devenus des accords.

Le soir, seule sur son balcon, Amruta écrit dans son carnet :

“Je n’ai pas peur d’être fragile.
J’ai peur de redevenir invisible pour être supportable.
Et si l’amour me voit dans tous mes états — alors peut-être, je lui ouvrirai la porte.
Mais cette fois, sans me réduire pour qu’il entre.”

👉 Et vous, quand une femme n’attend plus qu’on la comprenne parfaitement, mais qu’on l’accompagne avec conscience… êtes-vous prêt à devenir adulte dans l’amour ?
Rendez-vous pour l’épisode 19.


Gangaa – Épisode 18 : Ce que je choisis d’habiter, même sans leur bénédictionAllahabad, 5h50. Les premières lueurs perce...
23/04/2025

Gangaa – Épisode 18 : Ce que je choisis d’habiter, même sans leur bénédiction

Allahabad, 5h50. Les premières lueurs percent à travers les rideaux de coton blanc de la chambre de Gangaa.
Assise au sol, elle récite doucement ses mantras, mais ce matin, sa voix tremble moins.
Non pas parce qu’elle est moins en colère, mais parce que elle est enfin en paix avec sa colère.

Aujourd’hui, le conseil municipal doit voter sur l’officialisation du centre d’accueil pour femmes v***es que Gangaa a initié.
S’il est reconnu, il bénéficiera de subventions.
Mais s’il est rejeté… il pourrait être fermé sous pression religieuse.

Le cœur de la ville hésite entre tradition… et justice.

Et au milieu, Gangaa ne supplie plus.
Elle propose.
Et si on refuse… elle agira sans.

Niranjan, dans le silence de son bureau, prépare une déclaration de soutien qu’il lira publiquement si le vote est négatif.
Kanta Dadi l’observe, silencieuse.

Puis elle murmure :

“Elle est plus Chaturvedi que nous tous.”

Au centre, Gangaa reçoit la visite surprise de Sagar.
Il vient les mains vides, mais le regard chargé de choses non dites.

“Je voulais être là. Pas pour parler. Juste… être là.”

Elle sourit.

“C’est la plus belle chose que tu puisses faire.
M’accompagner sans m’effacer.”

L’heure du vote arrive.

Dans la salle communautaire, les visages sont serrés.
Certains veulent protéger le “dharma”.
D’autres veulent éviter le scandale.

Mais Gangaa monte sur l’estrade.
Et elle ne lit aucun discours.

Elle parle avec le souffle de son ventre, avec le feu de ses pertes, avec le poids de toutes les fois où elle s’est tue.

“On m’a fait croire que ma vie avait pris fin à 10 ans, quand mon mari est mort.
Mais ce n’était pas une fin.
C’était une naissance.
Et aujourd’hui, je vous demande de ne pas voter pour moi.
Votez pour la possibilité que plus jamais une enfant ne soit traitée comme une v***e au lieu d’une fille.”

Silence.

Puis un à un, les votes tombent.

Et à une voix près…
le centre est reconnu.

Officiellement.
Légalement.
Publiquement.

Mais Gangaa ne pleure pas.

Elle salue.
Puis elle sort.

Et au lieu de célébrer, elle va s’asseoir au bord du Gange.

Elle ouvre un petit carnet.
Dedans, une liste :

Pushpa – logement trouvé

Leela – rendez-vous médical confirmé

Sunehri – en formation couture

Gangaa – enfin “Gangaa”, pas une “v***e”

Sagar la rejoint.

“Tu as gagné.”

Elle le regarde.

“Non.
J’ai juste arrêté de perdre.”

Le soir, elle entre dans le centre.
Elle retire ses sandales.
Et elle dit à voix haute, face aux femmes rassemblées :

“Ce lieu n’est plus un abri.
C’est un tremplin.
Et désormais, plus aucune de nous ne portera sa douleur comme une identité.”

Dans son journal, cette nuit-là, elle écrit :

“Ce que j’ai construit aujourd’hui, je ne l’ai pas fait contre eux.
Je l’ai fait pour celles qui viendront après moi.
Parce qu’une femme debout n’est pas une provocation.
C’est un phare.
Et j’ai décidé d’être lumière, même seule.”

👉 Et vous, quand une femme ne se débat plus pour entrer dans le cadre, mais crée sa propre architecture… pouvez-vous vous réjouir de son monde, même s’il ne vous ressemble pas ?
Rendez-vous pour l’épisode 19.


Kumkum Bhagya – Épisode 18 : Ce que je chante, même sans retourLondres, 6h20. Un froid sec glisse entre les rues pavées....
23/04/2025

Kumkum Bhagya – Épisode 18 : Ce que je chante, même sans retour

Londres, 6h20. Un froid sec glisse entre les rues pavées. Dans une salle de répétition aux murs de briques rouges, Pragya accorde un vieux piano.
Pas celui de sa jeunesse.

Un autre, trouvé dans une école secondaire, où elle donne désormais des ateliers de musique narrative pour femmes migrantes.

Ce matin, une élève pakistanaise lui demande :

“Est-ce que la douleur disparaît quand on la met en chanson ?”

Elle répond :

“Non. Mais elle change d’odeur.
Elle devient mémoire.
Et la mémoire, ça peut aussi guérir.”

Le soir, dans un café modeste de Camden, Pragya est invitée à une lecture musicale.

Pas pour briller.
Pour raconter.

Elle chante un ghazal, ancien, vibrant.

Et entre deux couplets, elle glisse quelques mots personnels :

“Je suis venue d’un pays qui m’a tout donné et tout pris.
J’ai aimé un homme qui m’a vu, puis oublié.
Mais aujourd’hui, je ne suis plus ce que j’ai perdu.
Je suis ce que j’ai décidé de porter avec moi.”

La salle est silencieuse.

Puis des applaudissements. Pas exubérants. Profonds. Respectueux.

Pendant ce temps à Mumbai, Abhi termine la production de son album.
Mais un journaliste lui demande :

“Et vous ? Que pensez-vous du retour de Pragya sur scène, à Londres ?”

Il répond, regard fixe :

“Je suis son premier public.
Et peut-être… celui qui l’a le moins entendue.
Mais je suis heureux que d’autres l’écoutent mieux que moi.”

Il envoie à Pragya un message.

Sobre.

“Je t’entends.
Enfin.”

Elle lit.
Elle ne répond pas.
Mais elle garde le message.

Pas pour espérer.
Pour honorer la boucle.

Le lendemain, elle est invitée à diriger un programme de résidence artistique.
Le thème : “Chanter sa reconstruction.”

Elle hésite.

Puis elle dit oui.

Mais à une condition : que les femmes participantes écrivent leur propre histoire avant de la chanter.

Parce que pour elle, le chant n’est pas l’échappatoire.
C’est le témoin.

Le soir, dans son journal, elle note :

“Je ne suis pas guérie.
Mais je suis debout.
Et ça, c’est déjà une musique.
Je ne veux plus de grand amour.
Je veux des vérités à hauteur de peau.
Je ne veux plus être une muse.
Je veux être l’auteur.
De ma voix. De ma vie.”

👉 Et vous, quand une femme transforme ses blessures en partition et ses silences en refrains, pouvez-vous la voir comme une force — même quand elle ne revient plus vers vous ?
Rendez-vous pour l’épisode 19.


Silsila Badalte Rishton Ka – Épisode 18 : Ce que je protège, même si c’est nouveauMumbai, 6h15. Une brise légère caresse...
23/04/2025

Silsila Badalte Rishton Ka – Épisode 18 : Ce que je protège, même si c’est nouveau

Mumbai, 6h15. Une brise légère caresse les rideaux du centre. Mauli ouvre les yeux, un carnet encore ouvert sur son lit.
La veille, elle y a écrit :

“Ce que j’ai perdu m’a appris à choisir.
Ce que je choisis aujourd’hui m’apprendra à rester.”

Et ce matin, elle a décidé de rester fidèle à cette promesse.

Le centre a reçu un appel important : une fondation américaine souhaite financer l’ouverture d’une annexe dans un quartier sensible de Pune.
Mais pour cela, la fondation exige un visage officiel. Une ambassadrice.

Tous les regards se tournent vers Mauli.

Elle dit :

“Je ne veux pas qu’on m’idéalise.
Je veux qu’on m’écoute.”

Mais dans les heures qui suivent, elle reçoit une vague d’articles, des rappels de son passé avec Kunal, des photos, des titres :

“Mauli, victime hier, modèle aujourd’hui ?”
“Est-ce qu’on peut vraiment reconstruire sur des ruines ?”

Le choc est fort.
Les bénévoles sont solidaires, mais les financeurs deviennent frileux.

Mauli reste debout.
Mais elle est blessée.

Elle rentre chez elle. S’assoit. Prend son téléphone.
Et appelle Kunal.

La conversation est brève.

“Je ne t’en veux plus.
Mais je ne veux plus porter ton ombre.
Alors si tu as encore une once de dignité…
fais une déclaration. Dis que je n’ai rien à voir avec ce qui vous est arrivé.”

Il reste silencieux. Puis murmure :

“Je vais le faire. Pour toi. Et pour tout ce que je n’ai pas su être.”

Le lendemain, il publie une lettre ouverte.

Sobre. Respectueuse.

“Mauli est une femme d’intégrité.
Ce qui s’est passé entre nous appartient au passé.
Elle ne m’a jamais retenu, jamais trahi.
Et si quelqu’un mérite d’inspirer, c’est elle.”

Les financeurs reviennent.
Mais Mauli décide de ne pas accepter immédiatement.

Elle veut aller à Pune.
Elle veut voir de ses propres yeux.

Elle se rend dans un petit quartier de la vieille ville.
Elle y trouve une pièce vide, des enfants curieux, une vieille femme qui l’observe.

Elle leur parle.
Elle les écoute.

Et elle comprend que ce qu’elle va faire là-bas ne sera pas un duplicata.
Ce sera un nouveau souffle.

En revenant à Mumbai, Ishan l’attend.
Il n’a pas parlé depuis trois jours.
Pas par distance.
Par respect de son rythme.

Elle le remercie.

“Tu sais ce que j’ai le plus redouté ces derniers jours ?
Qu’on me demande de me justifier.
Tu ne l’as pas fait.”

Il répond :

“Je ne veux pas comprendre ton passé.
Je veux t’accompagner dans ce que tu construis après.
Et peut-être…
que j’y aurai une place.
Si tu veux.”

Ce soir-là, Mauli écrit :

“Je ne veux plus expliquer pourquoi je suis debout.
Je veux que ça devienne normal.
Et si je protège quelque chose aujourd’hui, ce n’est pas ma douleur.
C’est ma lumière.
Celle qui est née après.”

👉 Et vous, quand une femme bâtit sans balayer ce qu’elle a traversé… saurez-vous marcher à ses côtés sans la ramener à ce qu’elle n’est plus ?
Rendez-vous pour l’épisode 19.


Iss Pyaar Ko Kya Naam Doon – Épisode 18 : Ce que j’attends sans supplierDelhi, 6h45. Le manoir Raizada s’éveille dans le...
23/04/2025

Iss Pyaar Ko Kya Naam Doon – Épisode 18 : Ce que j’attends sans supplier

Delhi, 6h45. Le manoir Raizada s’éveille dans le silence tendu d’une maison qui cache une vérité encore non dite.
Khushi, dans la cour, balaie les pétales de jasmin tombés du banian.
Elle le fait lentement, méthodiquement.

Pas parce qu’elle est triste.
Parce qu’elle organise sa paix.

À l’intérieur, Arnav regarde son reflet dans le miroir de sa chambre.
Il tient une petite boîte dans sa main.
Un pendentif, discret.
Pas une bague.
Pas encore.
Mais le symbole d’un pas.

Il l’a achetée il y a une semaine.
Et il n’a pas encore trouvé le courage de la lui offrir.

Pas parce qu’il ne l’aime pas.
Mais parce que l’amour ne lui suffit plus.

Il a compris que ce qu’elle attendait, ce n’était pas une promesse romantique…
Mais une transformation.

Pendant la journée, ils se croisent.
Des regards.
Des silences pleins.
Mais aucune discussion.

Jusqu’à ce qu’un incident brise l’équilibre.

Anjali, en préparant le temple de la maison, découvre les anciens dessins de mariage de Khushi et Shyam.

Elle est bouleversée.

Même si Khushi n’y est pour rien, les images ravivent une douleur que la maison n’a jamais su panser.

Vanraj, un membre influent de la famille, propose :

“Peut-être que Khushi devrait s’éloigner quelque temps… le temps que les choses se calment.”

Tout le monde détourne les yeux.
Même Arnav.

Et c’est là que Khushi comprend.

Elle monte dans sa chambre. Range lentement ses affaires.
Aucune plainte.
Aucune larme.

Juste un repli digne.

Mais au moment de franchir la porte, Arnav la rejoint.

Il tend la boîte.

Elle ne la prend pas.

“Tu veux m’offrir un bijou alors que tu n’as pas pu dire une seule phrase pour moi ?”

Il baisse les yeux.

“Je ne savais pas si c’était le bon moment.”

Elle répond :

“Alors laisse-moi t’apprendre quelque chose, Arnav Singh Raizada.
Il n’y a jamais de ‘bon’ moment pour faire ce qui est juste.
Il y a le courage. Ou il y a le silence.”

Il essaie de la retenir.

“Tu pars ?”

Elle le regarde droit dans les yeux.

“Je pars de cette maison.
Mais je ne fuis pas.
Je me rends à moi-même.”

Le soir, chez Buaji, elle s’installe sur la terrasse.
Un vent léger soulève son dupatta.
Elle ferme les yeux.

Elle ne regrette rien.

Dans son carnet, elle écrit :

“Ce que je veux n’est pas un homme qui me choisit dans l’intimité.
Je veux qu’il me choisisse devant le monde.
Je ne veux pas de l’amour caché.
Je veux de l’amour courageux.
Et s’il n’est pas prêt…
alors je le serai pour deux. Mais seule.”

Pendant ce temps, Arnav relit les messages qu’il n’a jamais envoyés.

Et pour la première fois,
il pleure.

Pas parce qu’elle est partie.
Parce qu’elle avait raison.

👉 Et vous, quand une femme ne vous quitte pas en colère mais en cohérence… êtes-vous prêt à l’aimer assez pour changer — même quand elle ne regarde plus ?
Rendez-vous pour l’épisode 19.


Mehek – Épisode 18 : Ce que je sers avec foi, même sans étoileDelhi, 6h00. La pluie tambourine sur les vitres du dortoir...
23/04/2025

Mehek – Épisode 18 : Ce que je sers avec foi, même sans étoile

Delhi, 6h00. La pluie tambourine sur les vitres du dortoir des finalistes d’India Super Cook.
Mehek, enroulée dans un châle, s’assied avec son carnet de recettes.
Aujourd’hui, c’est l’épreuve la plus redoutée : Créer un plat signature, reflet de son identité.

Pas un plat pour convaincre.
Un plat pour dévoiler.

Pendant que les autres candidats révisent frénétiquement des recettes de chefs étoilés, Mehek ferme les yeux.
Elle revoit la cuisine de sa mère.
Le poêle à bois.
Le bruit du cumin craquant dans le ghee.

Elle n’a pas besoin de manuel.
Elle a la mémoire du goût comme bagage.

Shaurya, depuis la loge des juges, regarde la liste des thèmes.
En voyant “plat signature”, il pense aussitôt à elle.
Pas pour la juger.
Pour la lire.
Parce qu’il sait désormais que la cuisine de Mehek est une lettre ouverte.

Pendant l’épreuve, elle commence par une chose inattendue :
elle sort une vieille boîte en métal cabossée.
Dedans, des graines séchées, des épices, un foulard brodé —
tout ce qu’il reste de sa mère.

Elle se met à cuisiner le khichdi au curcuma que sa mère préparait lors des jours de pluie.

“Ce n’est pas un plat de concours.
Mais c’est ce qui m’a élevée.”

Elle ajoute une touche de citron confit, des graines de nigelle.
Un twist.
Une trace d’elle-même.

Les autres concurrents l’observent avec étonnement.
Ils préparent des plats sophistiqués.
Elle prépare un souvenir.

L’heure du verdict arrive.

Shaurya goûte le plat.

Il reste silencieux.
Puis pose sa cuillère.
Et dit :

“Ce n’est pas la complexité que je retiens.
C’est que j’ai senti une main sur mon cœur.
Et dans ce plat…
j’ai mangé une promesse.”

Les autres juges sont partagés.
Certains pensent que le plat est “trop simple”.
Mais l’un d’eux dit :

“Et si c’était justement là le génie ?
Faire de l’ordinaire un lieu sacré.”

Mehek est déclarée finaliste officielle pour l’ultime épreuve.

Elle ne saute pas de joie.
Elle retourne à sa table, ferme son carnet,
et chuchote à la photo de sa mère glissée dedans :

“On y est, Maa. Et je suis venue comme je suis.”

Shaurya, plus t**d, vient la voir dans les coulisses.

“Tu ne sais pas à quel point tu m’as fait douter aujourd’hui.
Moi qui croyais que la technique était tout…
Tu m’as rappelé que le talent, c’est aussi de savoir qui on est.”

Elle répond :

“Et toi ?
Est-ce que tu sais qui tu es… quand tu ne critiques pas ?”

Il sourit, un peu désarmé.

“Je crois que j’apprends.”

Ce soir-là, dans son carnet, Mehek écrit :

“Aujourd’hui, je n’ai pas cuisiné pour un prix.
J’ai cuisiné pour honorer une femme qui m’a élevée sans jamais demander.
Et si un jour, je gagne…
que ce soit parce que j’ai été fidèle à mes racines.
Pas parce que j’ai imité ceux qui ont oublié les leurs.”

👉 Et vous, quand une femme crée sans chercher à impressionner, mais simplement à transmettre… êtes-vous capable de la reconnaître comme une artiste de la vérité ?
Rendez-vous pour l’épisode 19.


Guddan Tumse Na Ho Payega – Épisode 17 : Ce que je décide sans permissionKanpur, 6h40. L’aube enveloppe doucement la mai...
23/04/2025

Guddan Tumse Na Ho Payega – Épisode 17 : Ce que je décide sans permission

Kanpur, 6h40. L’aube enveloppe doucement la maison Jindal. Dans la cuisine, Guddan prépare un chai épicé pour toute la famille.
Pas parce qu’on lui a demandé.
Parce que ce matin, elle veut commencer par la douceur.

Mais la journée ne restera pas douce longtemps.

Une décision choc tombe : AJ est convoqué à un salon international de la gastronomie en France.
Il doit y aller en urgence.
Et toute l'équipe s’attend à ce qu’il parte seul.

Mais au dernier moment…
il annonce que Guddan l’accompagne.

Durga explose.

“Tu veux que cette enfant représente notre nom à l’étranger ? Elle ne connaît même pas la différence entre persil et coriandre !”

AJ répond avec calme :

“Elle connaît la différence entre l’orgueil et l’humilité. Et c’est ça qu’il faut à mes côtés.”

Mais Guddan intervient.

“Je ne suis pas un accessoire.
Je ne veux pas être ‘emmenée’.
Je veux décider si j’y vais… parce que je le choisis.”

Cette phrase claque dans l’air comme une déclaration d’indépendance.

Plus t**d, dans la chambre, AJ tente de la convaincre doucement.

“Ce serait une belle opportunité.
Et j’aimerais que tu sois là.
Avec moi.”

Elle le regarde.

“Alors dis-moi : tu veux que je vienne pour te soutenir ? Ou parce que tu crois en moi ?”

Il répond :

“Je veux que tu sois là…
parce que tu fais partie de ce que je réussis désormais.”

Elle sourit.

“Alors je viens.
Mais je ne serai pas une figurante.
Je veux ma place sur scène. Pas dans l’ombre du chef.”

Avant le départ, Daadi la prend à part.

“Je t’ai souvent jugée, Guddan.
Mais aujourd’hui, je vois en toi… une force qu’on n’a pas su nommer.”

Le vol est prévu pour le lendemain.
Mais la veille du départ, Guddan reçoit un appel d’une association locale : un jury l’a choisie pour représenter la région à une conférence sur les jeunes femmes et le leadership domestique.

Deux choix. Deux routes.

Et cette fois, elle ne demande l’avis de personne.

Elle annule son vol.
Et laisse à AJ une lettre.

“Je t’admire. Mais je ne veux plus être une pièce de ton puzzle.
Je veux construire mon propre tableau.
Et si nos chemins se recroisent, qu’ils se rejoignent parce qu’on marche, pas parce que l’un suit l’autre.”

Le lendemain, sur la scène locale, Guddan parle avec une assurance nouvelle.
Elle évoque son parcours, ses maladresses, mais surtout :

“Ce qu’on appelle ‘immaturité’ chez une femme jeune…
est souvent juste une lucidité que les anciens refusent de reconnaître.”

AJ, à Paris, regarde la vidéo sur son téléphone.

Et il sourit.

“Elle ne m’appartient pas.
Mais elle m’inspire.
Et c’est mieux.”

Cette nuit-là, Guddan écrit dans son carnet :

“Je ne veux pas être la femme qu’on félicite parce qu’elle s’adapte.
Je veux être celle qu’on respecte parce qu’elle s’impose.
Et si l’amour existe…
il saura me trouver, là où je m’élève, pas là où je me plie.”

👉 Et vous, quand une femme choisit sa voix sans renier ses liens… pouvez-vous l’aimer assez pour ne pas lui faire croire qu’elle doit choisir entre elle et vous ?
Rendez-vous pour l’épisode 18.

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