L’homme Derrière la Caméra

L’homme Derrière la Caméra Je capte l’essence des vies, derrière la caméra, mettre en lumière ce/ceux qu’on oublie. True Is real

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02/09/2025

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🚨Fait-Divers🚨Un corps sans vie retrouvé à la cité des ailes.
28/08/2025

🚨Fait-Divers🚨

Un corps sans vie retrouvé à la cité des ailes.

28/08/2025

🚨 ALERTE ARNAQUE EMPLOI 🚨

Ce monsieur en chemise blanche , pantalon gris et cravate noire, 🇨🇲que vous voyez dans cette vidéo, est à la tête d’une '' structure '' (si on peut appeler ça comme ça car je doute fort qu'ils soient en règle) basée au PK5 qui arnaque et exploite les jeunes Gabonais ! 😡Leur méthode ? Simple mais redoutable : Ils publient en boucle des offres d’emploi, de stage ou de formation trop belles... Et quand tu te présentes plein d’espoir ? ➡️ On t’annonce qu’il s’agit de vente ambulante, mal payée, sans contrat clair... Bref, une structure de malhonnêtes ! Et c’est eux qui mettent souvent les affiches un peu partout écrit : OFFRE D’EMPLOI AVEC UN NUMÉRO DESSUS, et vous re le✊🏾 STOP à ces pratiques ! Tu es déjà tombé dans le piège ? Témoigne ! Connais-tu quelqu’un qui cherche du boulot ? Identifie-le ! Partage massivement pour que plus personne ne se fasse avoir.

🛑 Halte à la répression de la presse au Gabon !La tentative de fermeture de Gabon Media Time par un membre du gouverneme...
25/08/2025

🛑 Halte à la répression de la presse au Gabon !

La tentative de fermeture de Gabon Media Time par un membre du gouvernement est inacceptable. Ce média, essentiel pour une information libre, est menacé pour avoir simplement exercé son rôle : informer.

Le Gabon a besoin de médias indépendants , pas de censure. Nous exigeons le respect de la liberté de la presse et la protection des voix critiques.

Ne laissons pas éteindre cette voix !

Gabon Media Time
Harold Leckat
France 24 - Europe
RFI
Geoffroy Foumboula Libeka

[À LIRE ABSOLUMENT] – Quand faire taire Gabon Media Time (GMT) devient un objectif politique ?En tant que directeur de p...
25/08/2025

[À LIRE ABSOLUMENT] – Quand faire taire Gabon Media Time (GMT) devient un objectif politique ?

En tant que directeur de publication de Gabon Media Time, je me dois de prendre la parole, avec gravité et responsabilité.

Ce que nous vivons actuellement est sans précédent : c’est la troisième fois en moins d’un an qu’une procédure est engagée contre notre média par un membre du gouvernement en fonction, avec pour objectif à peine voilé la fermeture pure et simple de GMT. Une situation jamais vue, même sous Ali Bongo Ondimba, où aucun ministre en fonction n’avait osé saisir la HAC pour exiger des sanctions contre un média libre.

Aujourd’hui, alors que le Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema encourage les jeunes à entreprendre, à oser, à créer de la valeur, c’est un média gabonais, né d’un rêve, bâti par des Gabonais, qui est ciblé.

Mais derrière GMT, ce ne sont pas que des articles. Ce sont des vies, des familles, des salaires, des contributions sociales et fiscales régulières, des emplois directs et indirects, et une parole journalistique responsable.

Je vous invite à lire l’éditorial courageux de notre rédacteur en chef, Morel Mondjo Mouega, publié ce 25 août 2025, dans lequel il parle non pas en journaliste, mais en père, en collègue, en citoyen engagé. Un texte sobre, digne et puissant, qui dit tout ce que cette tentative de musellement signifie pour nous, et pour la démocratie gabonaise.

👉 Lire l’éditorial complet ici :
https://gabonmediatime.com/gabon-gmt-menace-de-fermeture-par-un-membre-du-gouvernement/

📎 À partager massivement pour que nul n’ignore ce qui se joue.

« La vivacité d’une démocratie se mesure à celle de sa presse. »
Tenter de faire taire un média, c’est saboter la politique du président lui-même.

Harold Leckat Igassela
Directeur de publication de Gabon Media Time
Entrepreneur, juriste, journaliste.



Harold Leckat
Gabon Media Time

Franchement du grand n’importe quoi 🤦Pour certains qui y figurent les carrières sont obsolètent.
25/08/2025

Franchement du grand n’importe quoi 🤦

Pour certains qui y figurent les carrières sont obsolètent.

Il paraît que…
23/08/2025

Il paraît que…

23/08/2025

🚨Fait-Divers🚨

Jr , 21 ans , aurait été t*é par la police

22/08/2025

Ils ont peur.

Ils ont rejeté la candidature d’Haresse Kengue ainsi que celle de ses colistiers, malgré un dossier complet, en règle, déposé dans les délais. Pourquoi ? Parce qu’ils ont peur.

Ils ont peur de la jeunesse qui se lève.
Ils ont peur de ceux qu’ils ne peuvent pas acheter, ni manipuler.
Ils ont peur de voir émerger une génération qui n’est pas née pour courber l’échine.

Haresse Kengue ne fait pas partie de leur système. Elle ne doit rien à personne, sauf à son peuple. Elle ne répond pas aux codes de la politique corrompue, aux alliances de couloirs, aux promesses empoisonnées.

Elle est indépendante, elle est droite, elle est portée par la volonté populaire. Et c’est précisément pour cela qu’ils veulent l’écarter.

Mais qu’ils sachent une chose : on ne peut pas censurer une idée dont le temps est venu.
Rejeter une candidature n’empêchera pas un mouvement de naître.

On ne bâillonne pas la jeunesse. On ne freine pas l’espoir.
Et surtout, on ne contrôle pas l’inévitable.



21/08/2025

🚨Accident de circulation🚨

J'étais à Moanda et, franchement, j'ai été frappé d'une tristesse qui ne dit pas son nom. Comment une ville aussi riche ...
21/08/2025

J'étais à Moanda et, franchement, j'ai été frappé d'une tristesse qui ne dit pas son nom. Comment une ville aussi riche peut-elle continuer d'année en année à être sale de la sorte ? Les jeunes sont livrés à eux-mêmes : les garçons sont plongés dans l'alcool, le braquage et le vol, tandis que les jeunes filles sont obligées d'aller dans les foyers espérant avoir une meilleure vie, ou font de leur corps un fonds de commerce pour survivre.

Beaucoup sont dans des sous-traitances et sont exploités, ou travaillent dans les camions qui transportent le sable pour une modique somme de 5 000 francs par tour, quitte à se bousiller le dos à la longue. Beaucoup ont grandi là, d'autres sont partis sans jamais bénéficier de la richesse du sol sur lequel ils sont nés. Leur richesse bénéficie à d'autres personnes, cela se voit dans le quotidien des Moandais.

Cette ville est frappée d'une précarité immense. Certains quartiers sont sous-alimentés en eau potable : l'eau n'arrive pas dans les ménages, il faut parcourir des centaines de mètres pour en avoir. L'électrification est un chaos total : les câbles de courant traînent à même le sol dans certains quartiers, d'autres se font même voler, et certains sont obligés de faire le pont pour avoir le courant.

Certains quartiers sont toujours dans la poussière, sans routes. Pour constater cette discrimination, il suffit d’aller à Moukaba 1, Loisis, idembe et autres, il suffit aussi d'attendre que la SEEG décide de couper le courant : regardez la cité des cadres et les quartiers populaires, vous verrez comment les gens de Moanda sont traités. En haut, il y a la lumière, et en bas, c'est le noir. C'est une illustration du paradis et de l'enfer.

Mais ce qui est le plus choquant, c'est que les autres quartiers de Moanda peuvent bénéficier du même réseau d'électrification que la cité des cadres. Il suffit de vouloir et de prendre les mesures nécessaires pour que tous les habitants de Moanda aient accès aux mêmes services de base.

Je me rappelle que le président avait fait un don de camions à ordures à la mairie, mais pendant mon séjour, je n'ai vu aucun de ces camions circuler. Les ordures que j'ai trouvées en bordure de route quand je suis arrivé sont restées là jusqu'à mon départ.

Dans mes échanges avec certaines personnes, un nom revenait souvent : LEPEMANGOYE. Je ne l’ai jamais vu, mais apparemment, ce monsieur aurait marqué les cœurs de la population de Moanda par son travail, Moanda a besoin de dirigeants qui font passer le peuple avant tout.

Il faut que la jeunesse de Moanda se réveille, sinon cette misère dans laquelle elle se trouve va se transmettre de génération en génération. Il faut que vous preniez conscience, Pendant que vous buvez du vin et que d'autres vendent leur corps, d'autres profitent des grâces de votre ville. La jeunesse de Moanda doit se réveiller."

Mais qu’est-ce qui se passe avec la jeunesse de Moanda ?Franchement, c’est triste de voir à quel point la jeunesse de Mo...
16/08/2025

Mais qu’est-ce qui se passe avec la jeunesse de Moanda ?

Franchement, c’est triste de voir à quel point la jeunesse de Moanda est perdue. Les jeunes ici ont un rapport maladif, presque excessif, avec l’alcool. Refuse une bière à un jeune de Moanda, et il te considérera comme son ennemi.

La plupart, surtout les garçons, vivent au jour le jour. Sans projet, sans vision, comme si demain n’allait jamais exister. Leur seul horizon : boire, sortir, dépenser. Les jeunes de Moanda tournent autour de trois choses : les bars, l’alcool et le sexe. Certains se lèvent le matin, travaillent dur toute la journée, juste pour finir le soir dans un bar à boire jusqu’à l’aube. Et le lendemain, ça recommence. Jour après jour, ça devient une routine, une habitude… presque un mode de vie.

Depuis que je suis arrivé, je me suis promené dans la ville, revisitant les quartiers de mon enfance, les lieux dont on parlait tant autrefois. Mais j’ai aussi découvert une autre réalité : le niveau de saleté est alarmant. Pour moi, Moanda est la ville la plus sale du Haut-Ogooué. Des quartiers entiers sans bitume, sans pavés, noyés dans la poussière et la pauvreté. Des maisons construites à la va-vite, sans règles. Moanda est devenue… dégueulasse. Et c’est à se demander comment une ville aussi célèbre et aussi riche peut en arriver là.

Et je comprends mieux pourquoi tant de jeunes s’abandonnent aux vices. Certains travaillent dans des carrières de sable ou de bois, d’autres dans des sociétés de sous-traitance où ils sont exploités et mal payés. Pourtant, certains peuvent gagner jusqu’à 20 000 francs par jour en travaillant dans les camions de sable. Mais l’argent s’évapore aussitôt : tout part dans l’alcool, dans les filles. Aucun projet, aucune épargne. La plupart vivent encore chez leurs parents, font des enfants sous le toit familial, sans se projeter.

Chez les filles, c’est encore plus dramatique. Beaucoup se prostituent avec des étrangers : boutiquiers, garagistes, chauffeurs de camions. Certaines font même des enfants, mais les abandonnent aux pères parce qu’un bébé devient un frein à leur « vie de bar ». Elles préfèrent continuer à sortir, boire, s’amuser… quitte à sacrifier leur avenir.

Le paradoxe est là : au marché, tu vois des jeunes filles bien habillées, tissages chers, iPhone dernier cri en main. Mais si tu visites leurs maisons, tu restes choqué par la misère. Ici, l’important, c’est le paraître. Derrière les apparences se cache une précarité sans nom.

On voit des jeunes filles, à peine adultes, déjà mères de trois enfants avec trois pères différents, mais qui continuent de sortir comme si de rien n’était, parce que ce sont les parents qui assument la garde des enfants.

À Moanda, même certains parents vivent comme leurs propres enfants : les mères célibataires reproduisent le même schéma, sans repère, sans discipline.

Et le plus choquant, c’est que certaines mères encouragent même leurs filles à se vendre. Comment une mère peut accepter que sa fille ait plusieurs hommes ? Comment une mère peut tolérer qu’une fille ramène des hommes différents à la maison ? Et pourtant, ici, c’est devenu un mode de vie. Sortir avec plusieurs hommes est perçu comme une stratégie de survie, un véritable fonds de commerce.

Une fille peut avoir un boutiquier, un taximan, un Libanais, un agent de Comilog… et, en parallèle, un petit ami officiel. En réalité, à Moanda, tout le monde sort avec tout le monde. Et c’est ainsi que le sida et d’autres maladies continuent de se propager. Tu peux être un jeune sérieux, convaincu que ta copine est fidèle, mais en dehors de toi, elle a peut-être une quinzaine d’autres partenaires.

Même celles qui travaillent dans les magasins ou les boutiques tenues par les étrangers finissent, pour certaines, par coucher avec leurs patrons. Tout devient une transaction. Tout devient compliqué.

La jeunesse de Moanda a un problème profond. Et c’est triste de voir comment une ville aussi riche, qui devrait être un modèle, est devenue le théâtre de tant de dérives.

Si Parfait ! Voici une version réécrite et fluide, intégrant ton dernier passage sur les bars, l’alcool et le sexe, tout en gardant le ton critique et percutant :

Mais qu’est-ce qui se passe avec la jeunesse de Moanda ?

Franchement, c’est triste de voir à quel point la jeunesse de Moanda est perdue. Les jeunes ici ont un rapport maladif, presque excessif, avec l’alcool. Refuse une bière à un jeune de Moanda, et il te considérera comme son ennemi.

La plupart, surtout les garçons, vivent au jour le jour. Sans projet, sans vision, comme si demain n’allait jamais exister. Leur seul horizon : boire, sortir, dépenser. Les jeunes de Moanda tournent autour de trois choses : les bars, l’alcool et le sexe. Certains se lèvent le matin, travaillent dur toute la journée, juste pour finir le soir dans un bar à boire jusqu’à l’aube. Et le lendemain, ça recommence. Jour après jour, ça devient une routine, une habitude… presque un mode de vie.

Depuis que je suis arrivé, je me suis promené dans la ville, revisitant les quartiers de mon enfance, les lieux dont on parlait tant autrefois. Mais j’ai aussi découvert une autre réalité : le niveau de saleté est alarmant. Pour moi, Moanda est la ville la plus sale du Haut-Ogooué. Des quartiers entiers sans bitume, sans pavés, noyés dans la poussière et la pauvreté. Des maisons construites à la va-vite, sans règles. Moanda est devenue… dégueulasse. Et c’est à se demander comment une ville aussi célèbre et aussi riche peut en arriver là.

Et je comprends mieux pourquoi tant de jeunes s’abandonnent aux vices. Certains travaillent dans des carrières de sable ou de bois, d’autres dans des sociétés de sous-traitance où ils sont exploités et mal payés. Pourtant, certains peuvent gagner jusqu’à 20 000 francs par jour en travaillant dans les camions de sable. Mais l’argent s’évapore aussitôt : tout part dans l’alcool, dans les filles. Aucun projet, aucune épargne. La plupart vivent encore chez leurs parents, font des enfants sous le toit familial, sans se projeter.

Chez les filles, c’est encore plus dramatique. Beaucoup se prostituent avec des étrangers : boutiquiers, garagistes, chauffeurs de camions. Certaines font même des enfants, mais les abandonnent aux pères parce qu’un bébé devient un frein à leur « vie de bar ». Elles préfèrent continuer à sortir, boire, s’amuser… quitte à sacrifier leur avenir.

Le paradoxe est là : au marché, tu vois des jeunes filles bien habillées, tissages chers, iPhone dernier cri en main. Mais si tu visites leurs maisons, tu restes choqué par la misère. Ici, l’important, c’est le paraître. Derrière les apparences se cache une précarité sans nom.

On voit des jeunes filles, à peine adultes, déjà mères de trois enfants avec trois pères différents, mais qui continuent de sortir comme si de rien n’était, parce que ce sont les parents qui assument la garde des enfants.

À Moanda, même certains parents vivent comme leurs propres enfants : les mères célibataires reproduisent le même schéma, sans repère, sans discipline.

Et le plus choquant, c’est que certaines mères encouragent même leurs filles à se vendre. Comment une mère peut accepter que sa fille ait plusieurs hommes ? Comment une mère peut tolérer qu’une fille ramène des hommes différents à la maison ? Et pourtant, ici, c’est devenu un mode de vie. Sortir avec plusieurs hommes est perçu comme une stratégie de survie, un véritable fonds de commerce.

Une fille peut avoir un boutiquier, un taximan, un Libanais, un agent de Comilog… et, en parallèle, un petit ami officiel. En réalité, à Moanda, tout le monde sort avec tout le monde. Et c’est ainsi que le sida et d’autres maladies continuent de se propager. Tu peux être un jeune sérieux, convaincu que ta copine est fidèle, mais en dehors de toi, elle a peut-être une quinzaine d’autres partenaires.

Même celles qui travaillent dans les magasins ou les boutiques tenues par les étrangers finissent, pour certaines, par coucher avec leurs patrons. Tout devient une transaction. Tout devient compliqué.

La jeunesse de Moanda a un problème profond. Et c’est triste de voir comment une ville aussi riche, qui devrait être un modèle, est devenue le théâtre de tant de dérives.
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