
29/06/2025
Pour couper court contre toutes contestations
CELLOU SE DOIT DE MIGRER OU CRÉER UN AUTRE PARTI...
L’exemple du Laurent Gbagbo en est une illustration.
Lorsque la France l’à débarqué de la présidence ivoirienne en 2010, Gbagbo a été déporté à la Cour Pénale Internationale (CPI). Pendant les dix ans passés à la Haye, son second, en l’occurrence Pascal Afi NGessan s’est approprié le parti, le Front Populaire Ivoirien (FPI) en s’emparant du poste de Président du parti.
Au retour de Gbagbo en Côte d’Ivoire après sa libération, il a tout simplement ignoré le FPI pour aller créer un autre parti, le Parti du Peuple Africain Côte d’Ivoire (PPA-CI). Toute polémique est fermée.
Ce n’est pas une faiblesse. Cellou Dalein se doit de laisser le nom de l’UFDG. Il a pour cela deux options.
Ou l’ancien premier ministre migre vers un autre parti déjà créé et fonctionnel. Ou bien il créé un autre parti.
A l'heure où les oppositions fusent de partout, la première option - migration vers un autre parti - semble la plus plausible.
Comme cela, tous ceux des militants qui sont avec Cellou ralliement le nouveau parti. Et les différentes structures, de la base au sommet, ne feront que changer de noms et continuer le fonctionnement du parti.
C’est la seule option qui pourrait permettre à Cellou de continuer son combat comme il le dit. Mais pour cla, il se doit de faire vite.
Le sigle ne fait pas un parti. C’est l’aura du leader, le savoir-faire des animateurs du parti qui font la différence.
Gbagbo l’a prouvé. Alors...