Haïti dans nos cœurs

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01/07/2025
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29/06/2025

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Analyse critique de la révocation du TPS pour les Haïtiens par Donald Trump : une manœuvre politique à double tranchantL...
28/06/2025

Analyse critique de la révocation du TPS pour les Haïtiens par Donald Trump : une manœuvre politique à double tranchant

La récente décision de Donald Trump de révoquer le TPS (Temporary Protected Status) accordé aux Haïtiens vivant aux États-Unis a déclenché un flot de réactions. Certains crient à l’inhumanité, d’autres y voient une opportunité inattendue pour Haïti. Mais si l’on gratte un peu le vernis diplomatique, ce choix cache une ironie géopolitique bien piquante.

D’un côté, Trump déclare que l’amélioration de la sécurité en Haïti justifie le retour des bénéficiaires du TPS. Pourtant, cette même semaine, l’ambassade américaine déconseille à ses citoyens de rester sur le territoire haïtien en raison de risques terroristes et d’insécurité extrême. Qui croire ? Trump ou l’ambassade de Trump ? Voilà le paradoxe !

Cette révocation semble moins motivée par la réalité du terrain que par une volonté de couper tout lien apparent avec le gouvernement de transition haïtien, jugé incompétent et illégitime. En mettant fin au TPS, Trump refuse de traiter avec une administration haïtienne qu’il ne reconnaît pas politiquement*, tout en lançant un signal fort à sa base électorale : "je nettoie les restes des politiques migratoires de Biden".

Mais faut-il pour autant applaudir ? Le CPT (Conseil Présidentiel de Transition) haïtien, déjà affaibli, voit là un désaveu de plus. L’ironie, c’est qu’en prétendant "encourager" les Haïtiens à rentrer, Trump renforce indirectement la pression sur des institutions haïtiennes qui n’ont ni les moyens économiques ni les structures sociales pour accueillir dignement ce retour forcé.

Derrière le masque de la fermeté se cache donc une instrumentalisation électoraliste d’un peuple en détresse. Ce n’est ni plus ni moins qu’un jeu géopolitique à saveur de mépris, où Haïti reste le pion idéal des calculs de pouvoir.
Mendel Eustache Jean

Branchez chaque Mardi et Mercredi à compter de 5h30 Pm à 7h30 pmPodcast pour le mois juillet dans l'émission Haïti dans ...
26/06/2025

Branchez chaque Mardi et Mercredi à compter de 5h30 Pm à 7h30 pm
Podcast pour le mois juillet dans l'émission Haïti dans nos cœurs diffusée sur les ondes de la radio fidélité 96.3fm à Jean Rabel, vous aurez les audios préenregistrés sur la page Haïti dans nos cœurs
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Haïti : une République de dominos ? Quand l’État vacille au rythme des caprices et des egosPar Mendel Eustache Jean, cos...
24/06/2025

Haïti : une République de dominos ? Quand l’État vacille au rythme des caprices et des egos

Par Mendel Eustache Jean, cosmopolite engagé – 24 juin 2025

Dans un pays où l’instabilité est devenue une tradition d’État, la journée du 24 juin 2025 entre dans les annales des scènes politiques absurdes. Cette fois-ci, c’est le Premier ministre Alix Didier Fils Aimé qui, comme une pièce de domino mal placée, menace de tomber — ou plutôt d’être poussé — par ceux qui devraient le soutenir. Oui, en Haïti, on révoque un chef de gouvernement comme on change un mot de passe : à tout moment, et sans rendre de comptes à personne.

Que s’est-il passé ?
Selon des sources crédibles, le Premier ministre aurait royalement refusé de participer au Conseil des ministres de ce mardi, convoqué à la Villa d’Accueil. Une absence que les membres du Conseil Présidentiel de Transition (KPT) n’ont pas digérée. Résultat : menaces, pressions, ultimatum. Certains évoquent déjà une révocation expéditive du chef du CSPN, comme si gouverner un pays en crise relevait du feuilleton Netflix.

Mais au fond, qui gouverne ?
Haïti semble être dirigée par un organe flou, difforme, sans colonne vertébrale : un Conseil de neuf têtes sans consensus, une primature en sursis, des institutions vidées de leur essence. Ce n’est plus une crise politique, c’est une mise en scène kafkaïenne où chacun joue pour son clan et oublie l’essentiel : le peuple.

Devant la Villa d’Accueil, la présence massive d’unités policières donne à cette tragédie des airs de coup d’État administratif. Une république de policiers et de conseillers zélés où la loi est remplacée par la menace, et le dialogue par la peur.

Haïti ne mérite pas ça.
Elle mérite une vraie gouvernance. Pas un théâtre d’ombres où les “autorités” se battent pour le pouvoir alors que les enfants n’ont pas d’écoles, les hôpitaux n’ont pas de seringues, et les marchés n’ont plus rien à vendre sauf le désespoir.

24/06/2025

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24/06/2025

"Ils ne savent pas ce qu'ils foutent" : le gros coup de colère de Trump après la violation du cessez-le-feu Israël-Iran

"Cessez-le-feu piétiné : quand les géants du chaos jouent avec l’humanité"Par Mendel Eustache Jean, cosmopolite engagé L...
24/06/2025

"Cessez-le-feu piétiné : quand les géants du chaos jouent avec l’humanité"

Par Mendel Eustache Jean, cosmopolite engagé

Les masques tombent. À peine l’encre du cessez-le-feu entre Israël et l’Iran a-t-elle séché que le président américain, Donald Trump, lui-même, dénonce ce que beaucoup soupçonnaient déjà : une farce diplomatique, une mascarade sécuritaire, un jeu dangereux de puissances qui, visiblement, n'ont aucun respect ni pour leurs peuples, ni pour la paix mondiale.

« L’Iran a violé le cessez-le-feu, mais Israël aussi », a lâché Trump, visiblement dépassé, avant d’ajouter dans une phrase glaçante d’ironie : « Ces deux pays se battent depuis si longtemps et si durement qu’ils ne savent même plus ce qu’ils font. »

Trahison ? Le mot est faible.

Ces prétendues superpuissances, aux égos gonflés par des décennies de conflits géostratégiques, ont réduit le cessez-le-feu à un chiffon de papier, foulé aux pieds par des missiles, des drones, et des stratégies tordues. Le monde ne peut plus tolérer cette diplomatie de l’arrogance, cette politique de la mèche allumée en permanence.
Israël, que Trump « appelle à se calmer » (comme s’il s’agissait d’un enfant capricieux), continue de croire que sa sécurité passe par la provocation. L’Iran, quant à lui, joue sur l’ombre de ses alliances orientales pour tester les limites occidentales. Et au milieu ? Des civils, des familles, des enfants — ceux qui paient le vrai prix du cynisme militaire.

Ceux qui violent la paix ne méritent pas le silence complice du monde.

Les autres nations ne doivent plus être spectatrices de cette honte mondiale. Car si la guerre éclate, c’est l’humanité entière qui vacille. Le multilatéralisme doit se réveiller. L’ONU doit cesser d’être une salle d’attente diplomatique et devenir un réel rempart contre la folie des puissants.
À Israël et à l’Iran, nous disons ceci :
Vous n’êtes pas seuls dans ce monde. Vos bombes ont des échos au-delà de vos frontières. Vos décisions influencent.

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Jean-Rabel

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