Le Mirebalaisien

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21/09/2025

[Haïti – Sécurité] : Un drone kamikaze explose à Simon-Pelé

Un drone kamikaze a explosé ce samedi 20 septembre 2025, aux environs de 8 heures du soir, dans les parages du parc sportif de Simon-Pelé.

Selon les premières informations, l’attaque est survenue alors que Steevenson Albert, alias “Jouma”, chef de gang du quartier de Simon-Pelé, s’apprêtait à célébrer son anniversaire.

Le bilan provisoire fait état de plusieurs habitants tués et de nombreux blessés graves. Aucun membre des groupes armés n’aurait été signalé parmi les victimes pour l’instant.

17/09/2025

Haïti – Assassinat de l’ancien chef rebelle Wilford Ferdinand, alias Ti Will

L’ancien chef rebelle de Raboteau, Wilford Ferdinand, connu sous le surnom de Ti Will, a été abattu ce mardi 16 septembre 2025, dans la localité de Labadie, zone Kanal Bwa, aux Gonaïves.

Selon les premières informations, il se trouvait à bord de son véhicule en compagnie d’une autre personne lorsque des individus lourdement armés ont ouvert le feu sur lui.

L’annonce de sa mort a rapidement provoqué une vive mobilisation dans plusieurs rues de la Cité de l’Indépendance. Jerry Bien-Aimé, un proche de Ti Will et figure de proue de cette mobilisation, accuse le nouveau directeur départemental de la police de l’Artibonite, Jacques Adère, d’être impliqué dans cet assassinat.

Toutefois, d’autres sources locales avancent une version différente : l’ancien rebelle aurait été victime d’une embuscade en raison d’un conflit foncier qui opposait plusieurs clans.

Wilford Ferdinand, alias Ti Will, fut un acteur influent de la rébellion armée de 2004 contre le président Jean-Bertrand Aristide. Aux côtés d’Amiot Métayer et d’autres membres du « Front de Résistance », il avait marqué l’histoire politique récente du pays par son opposition farouche au régime de l’époque.

Wilfrid Figaro

17/09/2025

Haïti – Insécurité : Les gangs « Gran Grif » démolissent le commissariat de Liancourt

Dans la nuit du 14 au 15 septembre 2025, le commissariat de Liancourt, dans l’Artibonite, a été attaqué puis démoli par des membres du gang « Gran Grif », avant qu’une partie du bâtiment ne soit incendiée. L’information a été confirmée par le commissaire du gouvernement près le tribunal de Saint-Marc, Me Venson François, dans une interview accordée à Radio Télé Kiskeya.

Selon Me François, aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée du côté de la police, bien que plusieurs matériels aient été consumés par les flammes. Il a toutefois souligné que les policiers kényans déployés dans l’Artibonite ne sont pas opérationnels depuis l’assassinat de l’un des leurs, laissant la zone particulièrement vulnérable.

Le chef du parquet de Saint-Marc n’a pas caché l’impuissance de l’État face à la montée en puissance des gangs dans la région, malgré le changement intervenu à la tête de la Police nationale d’Haïti (PNH) dans le département avec l’arrivée de Vladimir Paraison.

Il a rappelé que Jacques Adère, directeur départemental de la PNH dans l’Artibonite, tente de multiplier les actions en coordination avec le parquet pour contrer les bandits. Cependant, ces efforts demeurent limités, faute de moyens logistiques. « La direction départementale attend encore que la direction générale lui fournisse des matériels adéquats afin de poursuivre les opérations », a expliqué Me François.

Le commissaire a précisé que l’attaque contre le commissariat visait à permettre aux bandits d’installer des « postes paysagers » dans la commune de Liancourt, consolidant ainsi leur mainmise sur la zone.

Il convient de rappeler que depuis plusieurs semaines, des alertes circulaient sur la vulnérabilité du commissariat de Liancourt. Pourtant, aucune mesure préventive n’avait été prise par les autorités pour anticiper ou éviter cette attaque.

Wilfrid Figaro

[Haïti – Insécurité] Des tirs nourris secouent plusieurs zones de la capitaleÀ la veille de la passation de coordination...
07/08/2025

[Haïti – Insécurité] Des tirs nourris secouent plusieurs zones de la capitale

À la veille de la passation de coordination du Conseil présidentiel de transition (CPT), prévue ce 7 août 2025 en faveur de M. Laurent Saint-Cyr, successeur désigné de Fritz Alphonse Jean, plusieurs quartiers de la zone métropolitaine de Port-au-Prince ont été le théâtre de violentes détonations d’armes automatiques, de la nuit du 6 août jusqu’au matin du 7. Ces tirs, attribués aux gangs de la coalition Viv Ansanm, ont semé la panique parmi la population.

Dès les premières heures de la matinée, la circulation a été paralysée dans plusieurs artères clés, notamment à Bas-Delmas, sur la route de l’Aéroport et dans la plaine du Cul-de-Sac. Ces violences armées, devenues fréquentes depuis la chute du gouvernement en 2024, suscitent de vives inquiétudes quant à la tenue de la cérémonie d’installation de M. Saint-Cyr à la tête du CPT.

Selon plusieurs observateurs, ces attaques pourraient viser à faire obstruction à la prise de fonction de Laurent Saint-Cyr, perçu comme un représentant influent du secteur privé, dans le but de contrecarrer ce que certains considèrent comme une mainmise de ce secteur sur les rênes du pouvoir politique. Le CPT, rappelons-le, regroupe des acteurs aux sensibilités politiques divergentes et reste marqué par de profondes dissensions internes.

Figure bien connue du monde des affaires, Laurent Saint-Cyr a été président de la Chambre de commerce américaine en Haïti (AmCham), membre du Haut Conseil de Transition (HCT) et représente actuellement le secteur privé au sein du CPT. Il est devenu ces derniers jours l’un des principaux visages de la transition politique en cours.

Après avoir empêché le retour de l’ex-Premier ministre Ariel Henry en Haïti depuis le 24 avril 2024, les gangs de Viv Ansanm pourraient-ils aujourd’hui réussir à bloquer l’entrée en fonction de Laurent Saint-Cyr ?

Wilfrid FIGARO


Quand l’Ambassade américaine nous prend pour des canards sauvagesDans un énième communiqué, les autorités américaines an...
18/07/2025

Quand l’Ambassade américaine nous prend pour des canards sauvages

Dans un énième communiqué, les autorités américaines annoncent une prime colossale en échange d’informations menant à la capture de Joseph Wilson, alias Lanmò San Jou, chef du gang 400 Mawozo et membre actif de l’organisation terroriste désignée Viv Ansanm.

Ce qui choque, ce n’est pas la récompense elle-même, mais l’hypocrisie qu’elle dégage. Car Lanmò San Jou n’est pas un fantôme. L’homme s’affiche régulièrement sur les réseaux sociaux. Il parade en armes, distribue de l’argent à la foule, parfois à visage découvert, comme récemment à Thomazeau, non loin de Croix-des-Bouquets. Ses vidéos, souvent relayées sur TikTok, sont à peine voilées d’une mise en scène de Robin des Bois des bidonvilles.

Alors, comment expliquer que les services de renseignement américains, capables de localiser Ben Laden au fin fond du Pakistan, soient soudainement aveugles en Haïti ?

Plus troublant encore : un ancien ambassadeur américain a reconnu, sans gêne, avoir été en contact régulier avec Vitelhomme Innocent, un autre chef de gang haïtien pour lequel Washington a également promis des récompenses faramineuses. Cherchez l’erreur.

Est-ce un jeu d’ombres ? Une pièce de théâtre diplomatique ?
Ou devons-nous comprendre que certains criminels sont utiles jusqu’à ce qu’ils deviennent gênants ?

Dans l’avis du FBI, on nous met en garde : « Ne vous laissez pas tromper. Cet individu n’est pas un bienfaiteur, mais un fugitif recherché pour enlèvements, meurtres, extorsions et terrorisme ».

Le problème, ce n’est pas qu’on le dise. Le problème, c’est qu’on fasse semblant de le chercher.

Elizé Pierre
18/07/2025

[Haïti] : Les gangs armés 400 Mawozo et Taliban sèment la terreur entre Mirebalais et LascahobasLa terreur continue de g...
03/07/2025

[Haïti] : Les gangs armés 400 Mawozo et Taliban sèment la terreur entre Mirebalais et Lascahobas

La terreur continue de gagner du terrain dans le Plateau Central, où les gangs armés dénommés 400 Mawozo et Taliban étendent leur emprise sur la route nationale reliant Mirebalais à Lascahobas.

Selon des témoins, les hommes armés auraient atteint la localité de Chambrun, en direction de Lascahobas. Ils ont incendié plusieurs maisons de paysans, provoquant une vague de panique. Des dizaines de familles ont pris la fuite pour échapper à la violence.

Cette situation chaotique a déjà un impact direct sur le déroulement des examens officiels de la 9e année fondamentale, prévus cette semaine. Les centres d’examen ont été abandonné. Des élèves se retrouvent dans l’incapacité de composer.

À Lascahobas, la peur est palpable. Des habitants tentent en ce moment même de quitter la ville, anticipant une éventuelle offensive armée.

Les autorités locales et centrales n'ont pas encore réagi officiellement à ces développements alarmants. La population, livrée à elle-même, lance un appel urgent à l’État haïtien et à la communauté internationale pour une intervention immédiate.

[États-Unis] : Donald Trump salue une décision de la Cour suprême qui ouvre la voie à la remise en cause du droit du sol...
27/06/2025

[États-Unis] : Donald Trump salue une décision de la Cour suprême qui ouvre la voie à la remise en cause du droit du sol

Washington, 27 juin 2025 — Le président des États-Unis, Donald Trump, a salué avec enthousiasme une décision de la Cour suprême rendue ce vendredi, qui marque un tournant dans le débat sur la citoyenneté automatique aux États-Unis. Par six voix contre trois, la plus haute instance judiciaire du pays a limité le pouvoir des juges fédéraux d’émettre des injonctions nationales contre les ordres exécutifs présidentiels. Une décision que Trump qualifie de « victoire historique », notamment pour sa politique migratoire.

Une brèche ouverte contre le droit du sol

Cette décision pourrait faciliter l’application d’un décret présidentiel signé par Donald Trump, visant à mettre fin à l’octroi automatique de la citoyenneté aux enfants nés sur le territoire américain de parents en situation irrégulière. Connu sous le nom de « droit du sol », ce principe est garanti par le 14e amendement de la Constitution, qui affirme que toute personne née aux États-Unis est citoyenne américaine.

Lors d’une conférence de presse à la Maison-Blanche, le président Trump a déclaré :

« Cette clause constitutionnelle avait été adoptée à l’origine pour les enfants d’anciens esclaves nés en sol américain, pas pour les touristes ou les migrants illégaux. »

Il s’est dit déterminé à appliquer son décret dans les plus brefs délais, estimant que la décision de la Cour suprême lui en donne désormais la marge légale nécessaire.

Une bataille juridique toujours en cours

Toutefois, malgré les célébrations du président, la Cour suprême n’a pas tranché sur la légalité ou la constitutionnalité du décret lui-même. Cela signifie que les recours judiciaires engagés contre cette mesure peuvent se poursuivre devant les tribunaux inférieurs.

Des juristes soulignent que la question du 14e amendement reste entière. Modifier son interprétation représenterait un bouleversement majeur du droit constitutionnel américain, et poserait de graves questions juridiques et humanitaires, notamment en matière de risque d’apatridie pour les enfants nés aux États-Unis.

[États-Unis] : Le département de la Sécurité intérieure annonce la fin du TPS pour les HaïtiensWashington, 27 juin 2025 ...
27/06/2025

[États-Unis] : Le département de la Sécurité intérieure annonce la fin du TPS pour les Haïtiens

Washington, 27 juin 2025 — Le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS) a annoncé ce vendredi 27 juin qu’il ne renouvellera pas le programme de protection temporaire (TPS) pour les ressortissants haïtiens vivant sur le territoire américain. L’annonce a été faite par la secrétaire à la Sécurité intérieure, Kristi Noem.

Le TPS accordé aux Haïtiens prendra officiellement fin le 3 août 2025, mais la mesure ne deviendra effective qu’à partir du 2 septembre 2025, a précisé le DHS. Cette période d’un mois supplémentaire est prévue pour permettre aux bénéficiaires actuels de s’organiser ou de demander une autre forme de statut migratoire, dans la mesure du possible.

« Les conditions ayant justifié l’octroi du TPS à Haïti ont été réévaluées. Après analyse, nous considérons que la situation actuelle ne répond plus aux critères exigés pour le maintien de cette protection exceptionnelle », a déclaré Mme Noem, tout en assurant que les droits humains des personnes concernées seront respectés.

[MÉTÉO] Haïti sous surveillance météorologique alors que la saison cyclonique s’intensifieSelon les dernières informatio...
24/06/2025

[MÉTÉO] Haïti sous surveillance météorologique alors que la saison cyclonique s’intensifie

Selon les dernières informations communiquées par l’ (Unité Hydrométéorologique d'Haïti), ANDREA, le nom de la première tempête tropicale de la saison cyclonique 2025, évolue actuellement dans la région des Bermudes. Toutefois, les autorités assurent qu’elle ne représente aucun danger pour le territoire haïtien à ce stade.

En revanche, un autre système tropical est en train de se former et menace potentiellement Haïti aujourd’hui. D’après les prévisions, ce phénomène pourrait entraîner des pluies soutenues accompagnées de rafales de vent à partir de cet après-midi, en soirée et durant la nuit.

L’Unité Hydrométéorologique appelle la population à la vigilance, particulièrement dans les zones à risque d’inondation ou de glissement de terrain.

14/06/2025

Pourquoi l’avocate Mireille Durocher Bertin, figure de l’opposition au régime Lavalas, a-t-elle été assassinée en plein jour à Port-au-Prince le 28 mars 1995...

[Haïti] : L’Hôpital universitaire de Mirebalais livré au pillage sous les yeux impuissants des autoritésQuelques jours s...
13/06/2025

[Haïti] : L’Hôpital universitaire de Mirebalais livré au pillage sous les yeux impuissants des autorités

Quelques jours seulement après la rencontre entre des représentants de la société civile de Mirebalais et le coordonnateur du Conseil présidentiel de transition, Fritz Alphonse Jean, l’Hôpital universitaire de Mirebalais subit de lourdes pertes. Tandis que l’État a mobilisé des forces pour protéger la centrale hydroélectrique de Péligre, l’établissement hospitalier, lui, a été abandonné à son sort, sans aucune mesure de sécurité pour prévenir les actes de vandalisme et de pillage.

Un autre symbole national de service public s’effondre : l’Hôpital universitaire de Mirebalais (HUM) est en proie à un vaste pillage.

Selon des informations recoupées par plusieurs médias locaux, des hommes lourdement armés affiliés au groupe criminel « Viv Ansanm » saccagent les installations de ce centre hospitalier d’envergure internationale. Le bâtiment, vidé progressivement de ses équipements médicaux sophistiqués, est laissé sans protection malgré sa valeur stratégique et l’investissement de 16 millions de dollars américains qu’il représente.

Depuis le mois d’avril, l’HUM ne fonctionne plus. Les violences à répétition, les tirs nourris autour de Mirebalais, et l’occupation de plusieurs zones par les gangs ont forcé la suspension des services médicaux. Mais aucune mesure n’a été mise en place pour sécuriser les infrastructures hospitalières, ouvrant ainsi la voie au saccage de l’un des plus importants centres de soins du pays.

Inauguré en 2012 grâce à un partenariat entre l’ONG Partners In Health et l’État haïtien, l’HUM s’était imposé comme un modèle de référence, capable d’accueillir plus de 300 patients, avec des salles d’opération modernes, des cliniques spécialisées et des services rares dans le reste du pays, notamment pour les cas de malnutrition et le VIH.

Aujourd’hui, cette structure sanitaire emblématique s’ajoute à une longue liste de centres de santé mis à mal par l’insécurité. D’après des données disponibles, au moins 35 établissements médicaux ont été contraints de fermer leurs portes ces derniers mois, dont l’Hôpital de l’Université d’État d’Haïti (HUEH), également victime de pillages.

La situation est alarmante sur tout le territoire. À Port-au-Prince comme dans les communes de La Gonâve, de Cornillon, de Léogâne ou de Petit-Goâve, de nombreux centres de santé tournent au ralenti, quand ils ne sont pas fermés. Manque de personnel, absence de sécurité, coupures d’électricité, ruptures de stock en médicaments : les obstacles s’accumulent tandis que l’État peine à restaurer un minimum de fonctionnement.

Pendant ce temps, la population, privée de soins, continue de payer le prix fort d’une crise sécuritaire qui ne cesse de s’aggraver.

[Tensions au Moyen-Orient] : l’Iran promet une riposte après des frappes israéliennes meurtrièresLes tensions atteignent...
13/06/2025

[Tensions au Moyen-Orient] : l’Iran promet une riposte après des frappes israéliennes meurtrières

Les tensions atteignent un nouveau sommet au Moyen-Orient après une série de frappes israéliennes menées jeudi soir contre plusieurs cibles stratégiques en Iran. En réaction, les forces armées iraniennes promettent une riposte "forte et inévitable", selon le porte-parole de l'état-major, le général Abolfazl Shekarchi. Celui-ci a averti qu’Israël « paiera un lourd tribut » pour cette offensive qualifiée de "sioniste".

Cette opération militaire israélienne, présentée comme une série de « frappes préventives », visait notamment des installations militaires et nucléaires iraniennes. Israël accuse la République islamique de vouloir se doter de l’arme atomique. Selon des médias d'État iraniens, l’un des principaux chefs militaires iraniens, Hossein Salami, commandant en chef des Gardiens de la Révolution, aurait été tué dans ces frappes.

En réponse immédiate, l’Iran a fermé son espace aérien jusqu’à nouvel ordre. L’Organisation iranienne de l’aviation civile a émis un NOTAM (avis aux navigants aériens), interdisant tout survol du territoire national, selon un communiqué relayé par la télévision d’État.

Sur les marchés internationaux, la réaction ne s’est pas fait attendre. Les cours du pétrole ont flambé de plus de 10 % dans la nuit de jeudi à vendredi, alimentés par les craintes d’une escalade militaire majeure et de possibles perturbations sur les flux d’approvisionnement. Le baril de WTI américain a grimpé à 75,10 dollars, en hausse de 10,41 %, tandis que le Brent de la mer du Nord progressait de 10,15 %, atteignant 76,40 dollars.

Cette nouvelle flambée des tensions entre Téhéran et Tel-Aviv fait craindre une déstabilisation plus large de la région, dans un contexte déjà marqué par plusieurs foyers de conflit au Proche et Moyen-Orient. Les chancelleries occidentales appellent à la retenue tandis que les regards se tournent désormais vers la riposte annoncée par Téhéran.

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