08/10/2025
DIPLOMATIE HAÏTIENNE : REPAIRE DE CORROMPUS ET DE PRÉDATEURS.
Journalistes haïtiens, cessez de tromper le peuple en offrant vos micros aux corrompus pour qu’ils se refassent une virginité après tout le mal qu’ils ont causé à Haïti.
De René PRÉVAL au Conseil Présidentiel de Transition (CPT), la diplomatie haïtienne s’est transformée en terrain de chasse géant, peuplé de journalistes opportunistes, de proches du pouvoir, de militants politiques véreux, de prédateurs sexuels, de trafiquants et de voleurs de haut vol.
Chaque ambassade est désormais un guichet automatique, l’État une tirelire, et les passeports circulent comme des tickets de loto dorés, distribués aux VIP indélicats avec une régularité diabolique.
Au cœur du chaos : Claude JOSEPH et ses complices — architectes du clientélisme — maniant leurs pions comme des joueurs d’échecs pervers.
Smith AUGUSTIN, ex-ambassadeur recyclé en conseiller-président, tire les ficelles de la gabegie.
Bocchit EDMOND, ancien chancelier et ambassadeur révoqué, symbole vivant de la fraude diplomatique, clame son innocence tout en étant épaulé par sa sœur Betyna EDMOND et le diplomate Gélorme JUSTE, cousin de Claude JOSEPH — véritables artisans des manœuvres illégales.
Sans oublier les conseillers-présidents Louis Gérald GILLES et Emmanuel VERTILAIRE, éclaboussés, aux côtés de Smith AUGUSTIN, dans le dossier de corruption de la BNC. Ces hommes sont les parrains d’une diplomatie désormais gangrenée.
Ici, la corruption est silencieuse, omniprésente et institutionnalisée, rendant le système toxique, irréversible et aveugle à toute sanction, contrairement aux nations qui se respectent.
Autrefois fierté de la première République noire libre du monde, la diplomatie haïtienne est devenue un spectacle de dépravation, où les rares diplomates intègres semblent venus d’un autre siècle, observant impuissants le règne absolu des corrompus et des prédateurs.
2006–2011 : RENÉ PRÉVAL – LES PRÉMICES DU CHAOS
Sous la présidence de René PRÉVAL, l’apparence de sérieux masque déjà une corruption rampante. Les postes diplomatiques deviennent des cadeaux politiques : des « diplômés » fictifs et opportunistes occupent des fonctions sensibles, préparant le terrain aux futurs prédateurs.
Claude JOSEPH et Smith AUGUSTIN explorent ce terrain comme des fauves, analysant les failles pour bâtir plus t**d leur empire clientéliste.
Prudent mais passif, René PRÉVAL installe le domino du chaos, amorçant la privatisation de la diplomatie haïtienne.
2011–2016 : MICHEL MARTELLY – LA DIPLOMATIE KARAOKÉ
Sous le règne de Sweet Micky, corrompu et sans vision, la diplomatie plonge dans l’abîme.
Elle devient un club VIP pour chanteuses recyclées, amis du carnaval et sponsors électoraux.
Les ministres Pierre-Richard CASIMIR, Pierre Duly BRUTUS et Lener RENAUD restent fidèles, mais impuissants à défendre la crédibilité nationale.
Les ambassades se transforment en salons mondains, tandis que des boat-people haïtiens périssent en mer, faute d’assistance.
Chaque nomination devient un cadeau politique emballé, la compétence étant reléguée au second plan.
À l’ONU, les diplomates haïtiens passent plus de temps à chercher des cartes vertes qu’à défendre la souveraineté nationale.
Haïti devient un terrain de jeu pour opportunistes, où la diplomatie se résume à un carnaval permanent.
2016–2017 : JOCELERME PRIVERT – LA DIPLOMATIE FANTÔME
Obsédé par sa transition, Jocelerme PRIVERT traite la diplomatie comme un dossier secondaire.
Sous la direction de Pierrot DÉLIENNE, le ministère des Affaires étrangères devient une coquille vide.
Les ambassades se remplissent de militants incompétents, parachutés par des parlementaires analphabètes et sans vergogne.
Le népotisme atteint son apogée : Ginette Michaud PRIVERT, épouse du président, occupe un poste diplomatique en République dominicaine.
La presse dénonce, le peuple gronde — mais aucune sanction.
2017–2021 : JOVENEL MOÏSE – BAZAR ET CASH
Sous Jovenel MOÏSE, la diplomatie devient un bazar électoral où postes et passeports s’échangent contre fidélité politique.
Claude JOSEPH et Antonio RODRIGUE multiplient les nominations clientélistes, plaçant cousins, maîtresses, épouses et amis dans des postes stratégiques.
Des diplomates incapables de lire trois phrases en anglais ou en espagnol représentent Haïti à Washington et à l’ONU.
Les passeports diplomatiques deviennent un commerce lucratif.
Une directrice intègre des Ressources humaines est rétrogradée pour avoir refusé de favoriser une maîtresse analphabète d’un parlementaire.
2021–2024 : ARIEL HENRY – LA DIPLOMATIE CIMETIÈRE
Sous Ariel HENRY et Jean Victor GÉNÉUS, la diplomatie tombe en coma artificiel.
Les ambassades sont livrées à des épouses, maîtresses, cousins, journalistes opportunistes et ministres recyclés.
Haïti brille par son absence sur la scène internationale.
Scandales notoires :
Bocchit EDMOND (Washington) : 14 passeports imprimés illégalement, 50 000 USD interceptés, épaulé par Betyna EDMOND et Gélorme JUSTE.
Wedlyne François PIERRE (Paris) : logement de luxe à 14 083 €/mois payé par l’État.
Panel LINDOR : scandale sexuel et usage abusif des fonds publics à Paris.
Partout — au Canada, à Cuba, à Santo Domingo, à New York — règnent la corruption et l’impunité.
La diplomatie devient un cimetière d’incompétents, plus obsédés par leur enrichissement que par la représentation nationale.
2024–2025 : LES 9 CONSEILLERS-PRÉSIDENTS – CARNAVAL DIPLOMATIQUE
Neuf têtes, neuf réseaux, neuf opportunistes.
Le ministère des Affaires étrangères devient un carnaval permanent.
Dominique DUPUY, ministre éphémère, est remplacée par Harvel JEAN-BAPTISTE.
Smith AUGUSTIN, malgré ses scandales, parachute cousins, maîtresses et protégées dans les ambassades.
L’ex-sénateur Andris RICHÉ obtient lui aussi un poste diplomatique.
Cas emblématiques :
Josué PIERRE-LOUIS : persona non grata en Belgique pour viol (2015), promu sous Ariel Henry.
Monesty Junior FANFIL : rappelé du Chili pour scandale sexuel, réintégré ensuite.
Régine LAMUR (Cuba) : sommée de rembourser 100 000 USD pour détournements.
Louis Gérald GILLES, Smith AUGUSTIN, Emmanuel VERTILAIRE : éclaboussés dans le dossier BNC.
Le cocktail explosif continue, sans la moindre sanction.
THÉÂTRE DE L’ABSURDE – FRITZ ALPHONSE JEAN
Ironie du sort : Fritz Alphonse JEAN, membre du CPT, dénonce lui-même un ministère devenu réseau mafieux et caisse noire des clans politiques.
Les ambassades sont des coquilles vides, dirigées par des proches du pouvoir sans qualification.
Haïti ne manque pas de ressources : elle est simplement asphyxiée par des voleurs et des prédateurs de haut niveau, pendant que la population paie le prix fort.
UNE RÉPUBLIQUE SANS BOUSSOLE
De Jean-Jacques DESSALINES, défiant Napoléon, à Bocchit EDMOND, vendant des passeports à Washington, la diplomatie haïtienne est devenue un marché noir institutionnalisé.
Chaque ambassade ressemble à un bo**el de luxe financé par l’État.
Un État sans voix, sans visage, sans représentation.
Verdict : mort clinique.
Postes vendus, passeports détournés, État pillé, peuple humilié.
Seuls les diplomates intègres et patriotes pourront encore sauver l’honneur d’une diplomatie devenue la risée du monde.
Rédigé par :
Marc-Hebert DIEUJUSTE
Président-directeur général (PDG)
Journaliste d’investigation et de recherche
Rédacteur en chef || Radio Télé Mohamed.
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