C.E,le social

25/02/2024

Un environnement propice à la citoyenneté active des jeunes est synonyme d'application de la liberté civique fondamentale, d'association, de réunion et d'expression pacifique ainsi que le concept de BONNE GOUVERNANCE pour la promotion de la démocratie, la participation politique et la prise en compte des besoins de la population, la primauté du droit, le respect et la protection de tous les droits de l'homme.

Le développement en terme de résultat pour assurer le bien-être individuel et collectif des communautés haïtiennes et particulièrement les jeunes qui agissent à la fois comme cibles et comme acteurs ; pour atteindre cet objectif, il est exigé à sensibiliser les jeunes sur l'importance de leur engagement éco-citoyen et leur capacité d'améliorer la situation socio-économique, politique et les conditions de vie précaire de leur pays.

Si nous ne voulons pas que notre avenir, celui de nos enfants et des générations futures soit semé de catastrophes financières , sociales, écologiques et, par conséquent humaines ; nous devons changer nos manières de vivre , de consommer , de produire. Nous devons changer nos critères de nos organisations sociales, de nos politiques publiques.
Cette révolution ne s'accomplira pleinement que si elle est d'abord une révolution dans les esprits, dans les façons de penser , dans les mentalités, dans les valeurs,...;Ensuite, nous devons changer nos manières de vivre le présent et de voir l'avenir, de produire et de consommer, de planifier et de construire; Enfin, nous devons éduquer et de transformer les citoyens en de véritables acteurs conscients , responsables, engagés et proactifs.

Avec autant d'enfant sans éducation traînant dans les rues, de quoi sera donc fait l'avenir?

C'est un choix de société de s'investir dans l'éducation pour mieux sauter vers l'avant. Il faut en profiter pour repenser Haiti et batir une autre société, sinon le pays va foncer dans un mur.

UNE PRISE DE PHOTO À LA FAC DE DROIT AVEC NOTRE FAMEUX PROFESSEUR DE SOCIOLOGIE; M. LAURENT dit L'homme.

25/02/2024

Chanjman vize a oblije ini nou pou l reyalizab e dirab!!!

25/02/2024

Nou pa oblije zanmi pou n panse AYITI, eritaj nou gen an komen yo sifi.
Sou tab defans enterè pèsonèl lan, an n mande tèt nou kisa n ap kite pou peyi a.
An n mete tèt nou ansanm pou n miltipliye yon fason pou sila san vwa yo rale yon souf e viv lesperans.

25/02/2024

Vous êtes aujourd'hui là où vos pensées vous ont mené; vous serez demain là où vos pensées vous conduiront.

James Allen.

25/02/2024

06/10/2023

LE PEUPLE VEUT SON PASSEPORT...

Quant aux vaillants hommes haitiens, temporairement ils abandonnent le combat national.
De préférence, ils prennent d'assaut les parages de la DGI (la Direction Générale des Impôts) et de la Direction de l'immigration et de l'Émigration pour tirer leur passeport. C'est ce qui est à la mode maintenant. La ruée vers les États-Unis, le Mexique, La République Dominicaine, Chilie, Nicaragua,...

Le peuple veut son passeport, et ceci rapidement sinon il mourra.

Il faut vider Haiti , rendre celle-ci vide de tous ses fils et toutes ses filles pour les remplacer par qui? Nul ne le sait, mais volontiers, tous les habitants du pays s'enfuient: professeurs, étudiants, médecins, policiers,...

De quoi sera donc l'avenir?

06/10/2023

Haiti; une classe politique sans humanité et un peuple conquis. Quel espoir? Quel avenir?

La déficience anthropophagique, qui est la conséquence d'un ensemble d'héritage séculaires d'ordre coloniaux imbibés dans des pratiques égocentriques et encouragés par l'absence de toute culture d'engagement générationnel,... donnent naissance aux hommes haitiens d'aujourd'hui.

Ils s'aventurent tout de même, comme des sinistrés intellectuels , dans ces interminables et décevants rabachages. Ils ne font preuve d'aucune perception innovatrice. Ils répètent passionnément les mêmes bêtises qui ont conduit le pays dans l'infamie extrême.

Cette réalité se manifeste chez tous les acteurs de la vie nationale; que l'individu soit dans les affaires, la politique, la société civile, la masse populaire,... tous opèrent de la même manière comme s'ils évoluaient dans un jungle.

Prenons la classe politique, il est difficile si ce n'est pas impossible, de cerner le comportement de ses animateurs. Ils reviennent toujours avec les mêmes formules : de nouvelles plates-formes politiques, de nouveaux accords, de nouveaux regroupements,... tout en sachant pertinemment que ce sont des actions improductives et mort-nées.

Ainsi, on a une société qui rejette toute initiative de dynamisation de la vie publique ou privée. Elle fonctionne sans esprit de créativité, sans perspective, sans culture du résultat,... Enfin, elle s'appuie sur la gestion calamiteuse du quotidien.

Les élites cessent d'être uniquement des vampires suçant mortellement le sang du peuple, mais ils contribuent aussi à maintenir son existence minimaliste. Une formation sociale archaïque qui ne favorise pas le développement d'une conscience collective. Les élites haïtiennes n'arrivent pas à créer aucune configuration organisationnelle reposant sur des institutions durables qui garantissent et protègent les éléments existentiels de base du pauvre peuple. Sans aucune gêne, elles agissent en dehors de toute conscience sociologique( un élément indispensable au développement cartésien des élites).

Les dirigeants nationaux, à tout niveau, doivent atteindre le niveau de maturité progressiste afin de donner naissance au sens de responsabilité vis-à-vis de la société haïtienne.

Nous reste-il- encore un moyen fiable et viable pour remédier à cette absence d'humanité et le mal collectif que les leaders politiques haitiens se sont tous frappés?