
22/09/2025
J***y Raphaël, l’Intégrité au Service de la Caisse d’Assistance Sociale
La nomination de J***y Raphaël à la direction de la Caisse d’Assistance Sociale (CAS) marque une étape décisive dans la quête de redressement de cette institution indispensable à la protection des plus vulnérables. Ce choix n’est pas le fruit d’un simple calcul administratif : il s’agit d’un acte réfléchi, une réponse claire à l’exigence de sérieux, de compétence et de moralité qui doit désormais guider l’action publique.
Ancien cadre de la CAS, J***y Raphaël connaît la maison de l’intérieur. Il en a arpenté les couloirs, partagé les luttes du personnel, observé les forces et les faiblesses d’un organisme dont dépend une part essentielle de la solidarité nationale. Ce retour aux commandes n’est donc pas une découverte, mais un retour aux sources. Fort de cette connaissance intime, il arrive avec une longueur d’avance : il sait où se trouvent les obstacles, mais aussi les leviers capables de relancer une institution trop souvent minée par les lenteurs et les incertitudes.
Son parcours témoigne d’une constance rare. Passé par la Direction des Ressources Humaines du Ministère des Affaires Sociales et du Travail, J***y Raphaël a consolidé une expertise précieuse en matière de gouvernance, de gestion du personnel et d’organisation des services sociaux. Ses collègues louent en lui un homme de méthode, capable d’allier la rigueur administrative à un profond respect de l’humain. Sa signature est celle d’un gestionnaire exigeant, mais juste, soucieux d’aligner chaque décision sur l’intérêt collectif.
Plus qu’un technicien, J***y Raphaël est un serviteur de l’État. Sa carrière se distingue par une fidélité inébranlable aux valeurs républicaines : probité, transparence et sens du devoir. Dans un contexte où la tentation du compromis et du clientélisme gangrène trop souvent l’administration publique, il incarne l’exemple d’une éthique solide, d’une discipline intellectuelle qui refuse la médiocrité. Sa réputation d’intégrité n’est pas une posture, mais le fruit d’années de pratique où chaque geste a été pesé à l’aune de la responsabilité.
Sa mission à la CAS est claire : redonner confiance. Redonner confiance aux bénéficiaires, qui attendent des aides fiables et équitables. Redonner confiance aux employés, qui veulent travailler dans un cadre respectueux et motivant. Redonner confiance enfin à l’État lui-même, qui doit prouver qu’il peut protéger les plus fragiles sans faillir à ses devoirs. Pour J***y Raphaël, l’assistance sociale n’est pas une faveur, mais un droit qui exige rigueur, organisation et vision.
En confiant la direction de la CAS à J***y Raphaël, les autorités haïtiennes misent sur un homme qui ne se contente pas de gérer, mais qui entend transformer. Son objectif est de replacer l’institution au cœur d’une véritable politique sociale, capable de toucher efficacement les familles en détresse, de rationaliser la distribution des ressources et de restaurer la crédibilité d’un service public souvent critiqué.
Dans un pays en quête de repères, la présence de J***y Raphaël à ce poste stratégique est plus qu’une nomination : c’est une promesse. La promesse qu’une administration guidée par l’honneur, la compétence et la volonté de servir peut encore faire la différence. La Caisse d’Assistance Sociale, sous sa direction, s’apprête à devenir non seulement un pilier de solidarité, mais aussi un symbole de ce que l’État haïtien peut offrir de meilleur lorsqu’il se confie à des mains sûres et intègres.
Nouvelax