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J***y Raphaël, l’Intégrité au Service de la Caisse d’Assistance SocialeLa nomination de J***y Raphaël à la direction de ...
22/09/2025

J***y Raphaël, l’Intégrité au Service de la Caisse d’Assistance Sociale

La nomination de J***y Raphaël à la direction de la Caisse d’Assistance Sociale (CAS) marque une étape décisive dans la quête de redressement de cette institution indispensable à la protection des plus vulnérables. Ce choix n’est pas le fruit d’un simple calcul administratif : il s’agit d’un acte réfléchi, une réponse claire à l’exigence de sérieux, de compétence et de moralité qui doit désormais guider l’action publique.

Ancien cadre de la CAS, J***y Raphaël connaît la maison de l’intérieur. Il en a arpenté les couloirs, partagé les luttes du personnel, observé les forces et les faiblesses d’un organisme dont dépend une part essentielle de la solidarité nationale. Ce retour aux commandes n’est donc pas une découverte, mais un retour aux sources. Fort de cette connaissance intime, il arrive avec une longueur d’avance : il sait où se trouvent les obstacles, mais aussi les leviers capables de relancer une institution trop souvent minée par les lenteurs et les incertitudes.

Son parcours témoigne d’une constance rare. Passé par la Direction des Ressources Humaines du Ministère des Affaires Sociales et du Travail, J***y Raphaël a consolidé une expertise précieuse en matière de gouvernance, de gestion du personnel et d’organisation des services sociaux. Ses collègues louent en lui un homme de méthode, capable d’allier la rigueur administrative à un profond respect de l’humain. Sa signature est celle d’un gestionnaire exigeant, mais juste, soucieux d’aligner chaque décision sur l’intérêt collectif.

Plus qu’un technicien, J***y Raphaël est un serviteur de l’État. Sa carrière se distingue par une fidélité inébranlable aux valeurs républicaines : probité, transparence et sens du devoir. Dans un contexte où la tentation du compromis et du clientélisme gangrène trop souvent l’administration publique, il incarne l’exemple d’une éthique solide, d’une discipline intellectuelle qui refuse la médiocrité. Sa réputation d’intégrité n’est pas une posture, mais le fruit d’années de pratique où chaque geste a été pesé à l’aune de la responsabilité.

Sa mission à la CAS est claire : redonner confiance. Redonner confiance aux bénéficiaires, qui attendent des aides fiables et équitables. Redonner confiance aux employés, qui veulent travailler dans un cadre respectueux et motivant. Redonner confiance enfin à l’État lui-même, qui doit prouver qu’il peut protéger les plus fragiles sans faillir à ses devoirs. Pour J***y Raphaël, l’assistance sociale n’est pas une faveur, mais un droit qui exige rigueur, organisation et vision.

En confiant la direction de la CAS à J***y Raphaël, les autorités haïtiennes misent sur un homme qui ne se contente pas de gérer, mais qui entend transformer. Son objectif est de replacer l’institution au cœur d’une véritable politique sociale, capable de toucher efficacement les familles en détresse, de rationaliser la distribution des ressources et de restaurer la crédibilité d’un service public souvent critiqué.

Dans un pays en quête de repères, la présence de J***y Raphaël à ce poste stratégique est plus qu’une nomination : c’est une promesse. La promesse qu’une administration guidée par l’honneur, la compétence et la volonté de servir peut encore faire la différence. La Caisse d’Assistance Sociale, sous sa direction, s’apprête à devenir non seulement un pilier de solidarité, mais aussi un symbole de ce que l’État haïtien peut offrir de meilleur lorsqu’il se confie à des mains sûres et intègres.

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EDITORIAL: La nation en cendres : la violence devient l’événement quotidien22 Septembre 2025Haïti vit une tragédie qui n...
22/09/2025

EDITORIAL: La nation en cendres : la violence devient l’événement quotidien

22 Septembre 2025

Haïti vit une tragédie qui ne se contente plus d’être un fait divers : elle s’impose comme la révélation d’un État en délitement. Cette fin de semaine encore, des villages et des agglomérations ont été frappés par des attaques d’une brutalité méthodique, incendies des bâtiments publics, enlèvements collectifs, meurtres ciblés, qui dessinent une carte de l’impunité et de la peur. Le récent assaut sur Bassin Bleu, avec des échanges meurtriers, des otages et des infrastructures brûlées, illustre la rupture définitive entre le pays et la sécurité minimale que tout citoyen est en droit d’attendre.

On ne peut réduire ces événements à l’intermittence de bandes rivales : il s’agit d’un phénomène structurel. Les rapports internationaux et les observateurs décrivent une appropriation progressive du territoire par des coalitions armées qui exportent la terreur hors des quartiers traditionnels de Port au Prince vers des zones rurales jusqu’ici épargnées. Ces violences massives, y compris des massacres signalés dans des localités du nord, révèlent une stratégie de domination territoriale, une volonté de contrôle des populations et des ressources, exacerbée par l’effondrement des capacités de l’État.

Face à ce tableau, les réponses publiques oscillent entre déclarations solennelles et mesures symboliques. Le gouvernement multiplie les communiqués et les conseils des ministres, la communauté internationale évoque renforts et missions, tandis que les populations se réfugient ou fuient. L’inefficacité des réponses questionne la nature même de la souveraineté : un État qui ne protège pas ses citoyens perd la légitimité morale qui fonde tout pacte social.

Mais réduire la crise à un simple problème de sécurité serait une erreur d’analyse. Derrière les armes se cachent des mécanismes politiques, sociaux et économiques, misère, exclusion, fragilité institutionnelle, trafics et impunité, qui nourrissent un cycle de violence. La crise n’est pas uniquement militaire : elle est d’abord politique. Tant que les structures de gouvernance resteront incapables d’offrir justice, services et perspectives, des acteurs non étatiques continueront d’exploiter le vide.

L’urgence exige plus qu’un renfort policier ponctuel ; elle appelle une stratégie intégrée : protection immédiate des civils, rétablissement de l’État de droit, lutte contre l’économie illicite qui finance les gangs et surtout un vrai processus de reconstruction politique qui implique la société civile et les acteurs locaux. Sans cela, les interventions risquent d’être des sparadraps sur des plaies ouvertes.

En définitive, Haïti n’a pas besoin d’un spectacle international de bonnes intentions ; elle a besoin d’un récit national renouvelé, où la sécurité n’est pas l’apanage des armes mais le résultat d’institutions capables de protéger, de juger et de bâtir. Le reste, indignation éphémère, discours officiels et commémorations, restera dérisoire tant que la vie quotidienne des Haïtiens restera suspendue au bon vouloir des bandits.

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*Jean-Jacques Dessalines : le fondateur trahi, l’héritage confisqué* Il est des dates qui ne se contentent pas d’orner u...
21/09/2025

*Jean-Jacques Dessalines : le fondateur trahi, l’héritage confisqué*

Il est des dates qui ne se contentent pas d’orner un calendrier : elles interrogent l’âme d’une nation, rappellent à l’ordre les consciences et imposent un examen de vérité. La fête de Jean-Jacques Dessalines appartient à cette catégorie rare. Elle n’est pas une simple commémoration historique ; elle est une convocation. Chaque 20 septembre ou chaque moment où l’on se souvient de lui, l’Haïti d’aujourd’hui est sommée de se mesurer à l’Haïti qu’il avait rêvée. Et l’écart, tragique, saute aux yeux.

Dessalines ne fut pas un héros au sens folklorique, ni une icône figée dans la pierre des monuments officiels. Il fut un penseur en action, un stratège de l’histoire, un visionnaire qui comprit que la liberté n’est pas une faveur mais un acte de rupture radicale. L’homme qui, de l’anonymat des plantations, sut défier Napoléon et briser l’un des plus puissants empires de son temps, portait en lui une philosophie d’une densité exceptionnelle : la souveraineté comme principe non négociable, l’égalité comme horizon, l’autonomie économique comme condition de la dignité. Sa proclamation de 1804 n’était pas seulement un cri de victoire militaire ; c’était une réécriture du droit des peuples, une déclaration universelle avant l’heure.

Sa conception de l’État n’avait rien du laxisme qui ronge nos institutions actuelles. Pour Dessalines, la liberté conquise devait s’adosser à la discipline collective, à l’organisation rigoureuse, à une économie productive libérée des chaînes coloniales. Il savait, d’une lucidité presque prophétique, que l’indépendance politique est une illusion si elle ne se double pas d’une indépendance économique. C’est pourquoi il prônait l’autosuffisance, la protection du territoire, la valorisation des forces paysannes, et une vigilance permanente face aux manœuvres des puissances étrangères.

Or, que voyons-nous aujourd’hui ? Des dirigeants qui marchandent l’honneur national pour des miettes d’aide internationale ; une élite politique qui se complaît dans la dépendance économique et la soumission diplomatique ; des institutions qui confondent pouvoir et prédation. Là où Dessalines exigeait le sacrifice, nos gouvernants cultivent le privilège. Là où il imposait le respect, ils mendient des faveurs. Là où il voyait l’unité comme rempart, ils entretiennent la division comme stratégie. La République qu’il a fondée au prix de son sang ressemble trop souvent à une république d’oubli.

La trahison n’est pas seulement dans les actes de corruption ou les renoncements visibles ; elle réside dans l’abandon d’une exigence. Honorer Dessalines, c’est refuser la banalisation de la misère et du chaos. C’est comprendre que la liberté n’est pas un héritage acquis mais une responsabilité quotidienne. Tant que l’esprit de Vertières ne sera pas redevenu une pratique d’État, tant que l’indépendance se réduira à un mot vide, la fête de Dessalines demeurera une cérémonie hypocrite, un rituel sans âme.

Rendre justice à Dessalines aujourd’hui, ce n’est pas seulement prononcer son nom avec emphase. C’est réactiver son projet, faire de sa philosophie une arme contre le désordre, la corruption et la soumission. C’est rappeler, avec une lucidité implacable, que le premier empereur d’Haïti n’a pas donné sa vie pour que ses héritiers s’agenouillent devant de nouveaux maîtres.

L’histoire ne pardonne pas l’amnésie. En ce jour qui porte son empreinte, il faut oser l’affirmer : Haïti ne redeviendra grande qu’en renouant avec la radicalité dessalinienne cette radicalité qui, un matin de 1804, proclama au monde que les peuples noirs ne sont pas faits pour servir, mais pour régner sur leur destin.

*Nouvelax*

*J***y Raphaël, l’Intégrité au Service de la Caisse d’Assistance Sociale* La nomination de J***y Raphaël à la direction ...
21/09/2025

*J***y Raphaël, l’Intégrité au Service de la Caisse d’Assistance Sociale*

La nomination de J***y Raphaël à la direction de la Caisse d’Assistance Sociale (CAS) marque une étape décisive dans la quête de redressement de cette institution indispensable à la protection des plus vulnérables. Ce choix n’est pas le fruit d’un simple calcul administratif : il s’agit d’un acte réfléchi, une réponse claire à l’exigence de sérieux, de compétence et de moralité qui doit désormais guider l’action publique.

Ancien cadre de la CAS, J***y Raphaël connaît la maison de l’intérieur. Il en a arpenté les couloirs, partagé les luttes du personnel, observé les forces et les faiblesses d’un organisme dont dépend une part essentielle de la solidarité nationale. Ce retour aux commandes n’est donc pas une découverte, mais un retour aux sources. Fort de cette connaissance intime, il arrive avec une longueur d’avance : il sait où se trouvent les obstacles, mais aussi les leviers capables de relancer une institution trop souvent minée par les lenteurs et les incertitudes.

Son parcours témoigne d’une constance rare. Passé par la Direction des Ressources Humaines du Ministère des Affaires Sociales et du Travail, J***y Raphaël a consolidé une expertise précieuse en matière de gouvernance, de gestion du personnel et d’organisation des services sociaux. Ses collègues louent en lui un homme de méthode, capable d’allier la rigueur administrative à un profond respect de l’humain. Sa signature est celle d’un gestionnaire exigeant, mais juste, soucieux d’aligner chaque décision sur l’intérêt collectif.

Plus qu’un technicien, J***y Raphaël est un serviteur de l’État. Sa carrière se distingue par une fidélité inébranlable aux valeurs républicaines : probité, transparence et sens du devoir. Dans un contexte où la tentation du compromis et du clientélisme gangrène trop souvent l’administration publique, il incarne l’exemple d’une éthique solide, d’une discipline intellectuelle qui refuse la médiocrité. Sa réputation d’intégrité n’est pas une posture, mais le fruit d’années de pratique où chaque geste a été pesé à l’aune de la responsabilité.

Sa mission à la CAS est claire : redonner confiance. Redonner confiance aux bénéficiaires, qui attendent des aides fiables et équitables. Redonner confiance aux employés, qui veulent travailler dans un cadre respectueux et motivant. Redonner confiance enfin à l’État lui-même, qui doit prouver qu’il peut protéger les plus fragiles sans faillir à ses devoirs. Pour J***y Raphaël, l’assistance sociale n’est pas une faveur, mais un droit qui exige rigueur, organisation et vision.

En confiant la direction de la CAS à J***y Raphaël, les autorités haïtiennes misent sur un homme qui ne se contente pas de gérer, mais qui entend transformer. Son objectif est de replacer l’institution au cœur d’une véritable politique sociale, capable de toucher efficacement les familles en détresse, de rationaliser la distribution des ressources et de restaurer la crédibilité d’un service public souvent critiqué.

Dans un pays en quête de repères, la présence de J***y Raphaël à ce poste stratégique est plus qu’une nomination : c’est une promesse. La promesse qu’une administration guidée par l’honneur, la compétence et la volonté de servir peut encore faire la différence. La Caisse d’Assistance Sociale, sous sa direction, s’apprête à devenir non seulement un pilier de solidarité, mais aussi un symbole de ce que l’État haïtien peut offrir de meilleur lorsqu’il se confie à des mains sûres et intègres.

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*Final AHBB25 : Gladyàte vs MTT, un duel qui promet du spectacle* Le grand rendez-vous du basketball haïtien approche à...
18/09/2025

*Final AHBB25 : Gladyàte vs MTT, un duel qui promet du spectacle*

Le grand rendez-vous du basketball haïtien approche à grands pas. Ce dimanche 21 septembre à 3h00 PM, le Gymnasium Ayiti Chéri accueillera la finale du championnat AHBB25, un affrontement explosif entre deux équipes phares : Les Gladiateurs de Port-au-Prince et MTT d’Ayewopò.

L’affiche oppose deux styles de jeu et deux ambitions : d’un côté, les Gladyàte, redoutés pour leur puissance et leur intensité défensive ; de l’autre, MTT, réputé pour sa rapidité et son collectif percutant. Dans une arène où chaque panier comptera, la bataille s’annonce acharnée.

Les organisateurs confirment que l’entrée sera fixée à 300 gourdes, et le public est attendu nombreux pour donner vie à une ambiance électrique. Au-delà du spectacle sportif, l’événement sera également une véritable fête populaire, avec animation, rafraîchissements et retransmission en direct sur les plateformes numériques.

Nouvelax sera sur place pour couvrir chaque instant de ce choc : analyses, réactions des joueurs, ambiance dans les gradins et moments forts du match. Les amateurs de basketball pourront ainsi retrouver toutes les informations et les temps forts de cette finale à travers un suivi journalistique complet.

Une chose est certaine : ce Gladyàte vs MTT marquera un nouveau chapitre de la scène sportive haïtienne. La b***e est lancée, et l’histoire s’écrira ce dimanche au Gymnazyòm Ayiti Chéri.

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*Éditorial* - *Quand l’État protège ses voleurs et trahit son peuple* Mercredi 17 Septembre 2025 L’arrestation de Luma D...
17/09/2025

*Éditorial* - *Quand l’État protège ses voleurs et trahit son peuple*

Mercredi 17 Septembre 2025

L’arrestation de Luma Démétrius, ancien maire de Ouanaminthe, et de Marie Hordelyne Thérésa Alténor St-Vil, directrice départementale du MTPTC dans le Nord-Est, pour corruption présumée, met en lumière une vérité brutale : en Haïti, l’État ne combat pas la corruption, il la protège. Et ce faisant, il trahit son peuple.

Depuis des décennies, les institutions haïtiennes fonctionnent comme des comptoirs d’enrichissement personnel. Être élu ou nommé haut fonctionnaire n’est plus un devoir envers la collectivité, mais un droit tacite de s’approprier les maigres ressources publiques. La mairie devient trésor de guerre, la direction départementale un coffre privé, et l’argent de l’État une prime offerte à ceux qui savent manœuvrer dans les réseaux de clientélisme.

Il est trop commode de présenter ces arrestations comme des signaux d’espérance. En réalité, elles ne sont que la surface d’un océan de prédation. Les vrais responsables, ceux qui orchestrent et profitent du système, demeurent intouchables. L’impunité demeure la règle d’or : les voleurs publics d’hier deviennent les ministres de demain, recyclés dans de nouveaux gouvernements, blanchis par l’oubli et l’habitude.

Cette logique d’État protecteur des voleurs est le véritable cancer d’Haïti. La corruption n’est pas qu’une faute morale ; elle est une arme de destruction massive. Elle vole les écoles aux enfants, les hôpitaux aux malades, les routes aux paysans, la sécurité à toute une nation. Chaque pot-de-vin accepté, chaque marché public truqué est une b***e tirée contre le peuple.

L’arrestation de responsables secondaires dans le Nord-Est n’aura de sens que si elle inaugure un processus sans complaisance, où les boucliers politiques et institutionnels tombent enfin. Car un État qui protège ses voleurs n’est pas un État : c’est une entreprise de trahison nationale.

Le peuple haïtien a droit à une gouvernance qui protège ses biens, pas à une oligarchie qui s’enrichit sur ses cadavres et ses ruines. Tant que la corruption sera tolérée, légitimée et recyclée, Haïti restera prisonnière de ses élites corrompues. Et l’histoire retiendra que l’État, au lieu d’être le gardien de la République, aura été son bourreau.

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*L’OEA appelle à l’unité après le massacre de Labodrie* À la suite de l’attaque meurtrière de Labodrie, qui a coûté la v...
16/09/2025

*L’OEA appelle à l’unité après le massacre de Labodrie*

À la suite de l’attaque meurtrière de Labodrie, qui a coûté la vie à plus de 40 personnes, l’Organisation des États Américains (OEA) a lancé un appel pressant à l’unité nationale. Son Secrétaire général, Albert R. Ramdin, a rappelé que la tragédie illustre l’urgence de restaurer la sécurité et l’État de droit. Il a exhorté les acteurs politiques, économiques, religieux et communautaires à dépasser leurs divisions pour bâtir une réponse commune à la violence. L’OEA réaffirme son engagement à soutenir Haïti dans la lutte contre le crime organisé et dans la recherche de solutions durables, avec l’appui de la communauté internationale.

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*Modernisation en marche au MAST* Le Ministre des Affaires Sociales a lancé deux projets clés : PARCICFPRO, pour renforc...
16/09/2025

*Modernisation en marche au MAST*

Le Ministre des Affaires Sociales a lancé deux projets clés : PARCICFPRO, pour renforcer la formation professionnelle et faciliter l’insertion des jeunes, et RECEDEMAST, pour réformer et déconcentrer l’administration du ministère. Entièrement financées par le Trésor Public, ces initiatives visent à améliorer les services et les conditions de vie des plus vulnérables.

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*91 élus démocrates défendent le TPS haïtien* Le 15 septembre 2025, 91 membres démocrates du Congrès, dirigés par le sén...
16/09/2025

*91 élus démocrates défendent le TPS haïtien*

Le 15 septembre 2025, 91 membres démocrates du Congrès, dirigés par le sénateur Edward J. Markey et la représentante Sheila Cherfilus-McCormick, ont demandé à un tribunal de maintenir le statut de protection temporaire (TPS) pour les Haïtiens.

Ils soulignent que ces immigrants contribuent activement à l’économie et à la vie communautaire américaine, et que les renvoyer dans un Haïti en crise serait dangereux pour les familles et pour les communautés locales.

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*Editoria - Haïti au bord de l’asphyxie : quand l’inflation dévore la dignité*Mardi 16 Septembre 2025L’inflation en Haït...
16/09/2025

*Editoria - Haïti au bord de l’asphyxie : quand l’inflation dévore la dignité*

Mardi 16 Septembre 2025

L’inflation en Haïti, aujourd’hui proche de 30 %, n’est plus une donnée abstraite réservée aux économistes. Elle est devenue une tragédie intime, vécue dans chaque foyer, chaque marché, chaque assiette. Le coût de la vie s’emb***e, mais les revenus demeurent figés dans une immobilité indécente. Ce n’est plus seulement une crise économique, c’est un naufrage collectif qui interroge la fonction même de l’État : à quoi sert-il, sinon à protéger ses citoyens de la faim, de l’insécurité et de l’humiliation sociale ?

Ce qui se joue aujourd’hui est un effondrement silencieux mais implacable. L’inflation, on le sait, n’est pas qu’un indicateur comptable : elle est la faim qui s’installe dans les ventres, l’école que l’on abandonne faute de moyens, le médicament que l’on ne peut plus acheter. Dans un pays déjà meurtri par les violences des gangs, voir le prix du riz, du gaz ou même de l’eau potable grimper hors de portée n’est pas une simple contrainte budgétaire : c’est une atteinte à la dignité humaine, une négation de la citoyenneté.

Les causes de cette spirale sont à la fois structurelles et politiques. Structurelles, parce que l’économie haïtienne reste prisonnière d’une dépendance excessive aux importations, sans vision de souveraineté alimentaire ni de relance industrielle. Politiques, parce qu’aucune stratégie claire n’est proposée pour contenir la spéculation, réguler les marchés, ou stimuler une production locale étouffée par l’insécurité et l’absence d’investissements. À cela s’ajoute l’érosion de la monnaie nationale, reflet d’un pays dont la confiance intérieure comme extérieure se désagrège.

Mais le drame le plus criant n’est pas l’inflation elle-même : c’est l’absence de réponses de l’État. Là où l’urgence commanderait une politique sociale ambitieuse, on ne trouve que des annonces sporadiques. Là où la révision salariale s’impose avec évidence, on se heurte à un mutisme coupable. Là où il faudrait une boussole économique nationale, on se contente de tendre la main vers l’aide internationale, en oubliant que la dépendance n’a jamais nourri un peuple.

Il faut le dire avec force : l’inflation n’est pas seulement une crise économique, elle est une crise politique et morale. Elle ronge le lien social, détruit la confiance dans les institutions et installe une résignation dangereuse. Car quand un peuple n’attend plus rien de l’État, il devient vulnérable aux tentations de la violence, de l’exode ou du cynisme.

Haïti peut-elle briser ce cercle ? Oui, à condition de reconnaître que la lutte contre l’inflation n’est pas une équation technique, mais une bataille de civilisation. Relancer la production agricole, réguler les circuits commerciaux, renforcer la fiscalité de l’État, investir dans l’éducation et la santé : autant de leviers qui demandent une volonté politique ferme, un sursaut de responsabilité nationale.

Tant que cette volonté manquera, l’inflation continuera de dévorer non seulement le revenu des Haïtiens, mais aussi leur espérance. Et un pays qui perd son espérance se condamne à n’être plus qu’un territoire en survie.

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*L’art du geste simple : une politique du quotidien* La deuxième édition du concours SOLID-LA a couronné le court-métrag...
16/09/2025

*L’art du geste simple : une politique du quotidien*

La deuxième édition du concours SOLID-LA a couronné le court-métrage Le pouvoir du leadership authentique de Maivains Film et B-Wis Haïti. Plus qu’une victoire artistique, ce prix met en lumière une idée décisive : dans un pays où l’État vacille, c’est par des gestes élémentaires que peut renaître la politique.

Le film suit trois jeunes de Delmas qui décident de mobiliser leurs voisins pour nettoyer leur rue. Derrière ce geste ordinaire se déploie une véritable leçon de leadership : la citoyenneté n’est pas une abstraction, mais une responsabilité concrète qui commence au seuil de sa maison et qui, par contagion, peut transformer une communauté entière.

Le jury et le public ont salué cette démarche non seulement comme un acte cinématographique, mais comme une vision : l’exemple d’une jeunesse qui oppose au vacarme des armes et aux promesses dévoyées des élites une autre puissance, fondée sur l’action et la cohérence.

Ce triomphe dépasse le cadre d’un concours. Il rappelle que l’avenir d’Haïti ne se joue pas uniquement dans les stratégies électorales ou diplomatiques, mais aussi dans la capacité de ses citoyens à réhabiliter l’espace commun. Ainsi, à travers un court-métrage, l’art rejoint l’engagement civique et esquisse une politique nouvelle : celle du quotidien, où chaque geste compte.

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*République dominicaine : 12 mineurs haïtiens interceptés* Douze enfants haïtiens en situation irrégulière ont été inter...
16/09/2025

*République dominicaine : 12 mineurs haïtiens interceptés*

Douze enfants haïtiens en situation irrégulière ont été interceptés par les autorités dominicaines. Officiellement soupçonnés d’activités criminelles, ils ont été transférés dans un centre sécurisé sous la supervision des institutions chargées de la protection de l’enfance. Ce nouvel épisode illustre la fragilité des mineurs migrants face aux contrôles migratoires et aux accusations qui les entourent.

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