PDCI centrale

PDCI centrale Groupe d’information

25/05/2024

LE PDCI RDA REND SON ULTIME HOMMAGE AU PRESIDENT HENRI KONAN BEDIE AU SIEGE A ABIDJAN COCODY FACE A UNE MOBILISATION EXCEPTIONNELLE.

22/04/2024

🌍🔍 𝐄𝐱𝐩𝐥𝐨𝐢𝐭𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐏𝐨𝐭𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞𝐥 𝐝𝐞 𝐥'𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 : 𝐏𝐞𝐫𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐓𝐢𝐝𝐣𝐚𝐧𝐞 𝐓𝐡𝐢𝐚𝐦 𝐚𝐮𝐱 𝐑𝐞𝐧𝐝𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝐂𝐚𝐬𝐚𝐛𝐥𝐚𝐧𝐜𝐚 𝐝𝐞 𝐥'𝐀𝐬𝐬𝐮𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐚𝐮 𝐌𝐚𝐫𝐨𝐜

🌍🔍 𝐄𝐱𝐩𝐥𝐨𝐢𝐭𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐏𝐨𝐭𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞𝐥 𝐝𝐞 𝐥'𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 : 𝐏𝐞𝐫𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐓𝐢𝐝𝐣𝐚𝐧𝐞 𝐓𝐡𝐢𝐚𝐦 𝐚𝐮𝐱 𝐑𝐞𝐧𝐝𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝐂𝐚𝐬𝐚𝐛𝐥𝐚𝐧𝐜𝐚 𝐝𝐞 𝐥'𝐀𝐬𝐬𝐮𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐚𝐮 𝐌...
20/04/2024

🌍🔍 𝐄𝐱𝐩𝐥𝐨𝐢𝐭𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐏𝐨𝐭𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞𝐥 𝐝𝐞 𝐥'𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 : 𝐏𝐞𝐫𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐓𝐢𝐝𝐣𝐚𝐧𝐞 𝐓𝐡𝐢𝐚𝐦 𝐚𝐮𝐱 𝐑𝐞𝐧𝐝𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝐂𝐚𝐬𝐚𝐛𝐥𝐚𝐧𝐜𝐚 𝐝𝐞 𝐥'𝐀𝐬𝐬𝐮𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐚𝐮 𝐌𝐚𝐫𝐨𝐜

Ce 17 avril 2024, le président du Tidjane Thiam, une figure éminente dans le monde de l’assurance, a partagé ses idées sur les opportunités et les défis du continent africain lors des Rendez-vous de Casablanca de l'Assurance au Maroc. Son discours captivant offre un aperçu essentiel sur l'avenir de l'assurance en Afrique.

Dans ses remarques, le président Thiam a souligné l'importance sociale et l'utilité du secteur de l'assurance. Il a discuté de son rôle crucial dans la gestion des risques et la protection des biens, tout en mettant en lumière sa fonction d'investisseur et de gestionnaire pour compte de tiers. Il a également mis en évidence les opportunités uniques en Afrique, résultant de sa croissance démographique rapide et de la faible pénétration de l'assurance, offrant ainsi un potentiel de croissance à long terme.

Le président Thiam a également abordé la perception erronée de la taille de l'Afrique, soulignant son statut de plus grand continent capable d'accueillir plusieurs des plus grandes économies mondiales. En se concentrant sur le développement économique, il a souligné l'importance des systèmes de retraite par capitalisation pour répondre aux défis démographiques futurs. De plus, il a plaidé en faveur de l'élargissement de l'accès aux assurances santé et vie pour lutter contre la pauvreté.

Une idée clé de son discours était de promouvoir les investissements locaux et de réduire la dépendance à la dette étrangère. Le président Thiam a encouragé l'Afrique à générer ses propres capitaux pour financer son développement, soulignant le rôle crucial des compagnies d'assurance en tant qu'investisseurs institutionnels dans ce processus.

En conclusion, le président Thiam a exhorté l'Afrique et ses dirigeants à adopter une approche proactive pour exploiter pleinement le potentiel économique du continent. Il a plaidé pour une culture d'investissement basée sur l'équité, favorisant ainsi une croissance inclusive. Il a affirmé que le développement de l'Afrique devrait être principalement soutenu par ses propres ressources et initiatives.

Ce discours visionnaire du président Tidjane Thiam offre des perspectives précieuses pour l'avenir économique de l'Afrique.

11/03/2024

LE PORTE PAROLE DU PDCI-RDA L'HONORABLE BREDOUMY SOUMAILA SUR NCI DANS L'EMISSION 360.

21/12/2023

LE CONGRÈS DU PDCI-RDA EST MAINTENU POUR CE VENDREDI 22 DÉCEMBRE À 10H

22/05/2023
BRÉDOUMY SOUMAÏLA, PORTE-PAROLE DU PDCI-RDA ALL.UME BASILE GOUALI DEPUIS LIFE TV: « Je peux vous dire qu’il y’a déjà 3 A...
02/03/2023

BRÉDOUMY SOUMAÏLA, PORTE-PAROLE DU PDCI-RDA ALL.UME BASILE GOUALI DEPUIS LIFE TV:

« Je peux vous dire qu’il y’a déjà 3 ANCIENS CADRES qui étaient PARTIR du PDCI qui sont EN TRAIN de REVENIR

Et si M. BASILE GOUALI depuis qu’il est ARRIVÉ au RHDP pense que GROSSIR est un INDICATEUR de BONHEUR c’est tant MIEUX🤣...»

TU ES D'ACCORD VIENS POINTER...............

LE BILAN SUCCINCT DE L'ACTION GOUVERNEMENTALE DE 1993 À 1999 SOUS LE PRÉSIDENT BÉDIÉ Conformément au cadre défini par le...
01/03/2023

LE BILAN SUCCINCT DE L'ACTION GOUVERNEMENTALE DE 1993 À 1999 SOUS LE PRÉSIDENT BÉDIÉ

Conformément au cadre défini par le discours-programme du 26 août 1995 du Président HENRI KONAN BÉDIÉ, le Gouvernement à l'époque avait élaboré un vaste programme de travail pour mettre en application les orientations exprimées par cet important projet de société. Le bilan des actions conduites montre qu`un effort soutenu avait été entrepris dans tous les domaines ; pas seulement dans les secteurs économiques, mais aussi et surtout dans les secteurs sociaux de base tels que la santé, l`éducation, le logement, l`hydraulique villageoise et l`électrification rurale. Le souci du Gouvernement était d`améliorer le bien-être des populations par la combinaison d`actions ayant un impact certain sur la réduction des poches de pauvreté.
Au plan social
La population de la Côte d`Ivoire qui était évaluée à 6,7 millions d`habitants en 1975 est passée en 1996 à 14,7 millions d`habitants soit une croissance moyenne annuelle de 3,8% et un doublement en 20 ans. Face à une telle augmentation de la population, le Gouvernement a mis en place différentes politiques axées sur la satisfaction de la demande en infrastructures et l`amélioration des services dispensés pour répondre aux besoins croissants en matière notamment de santé, d`éducation, d`emploi et de logement. Il convient de rappeler cette pensée du Président Félix Houphouët Boigny qui disait : " La Côte d`Ivoire n`est pas un pays socialiste, mais elle pratique un social des plus hardis "
1/Secteur santé
La relance de l`économie nationale, et la mise en œuvre du Plan National de Développement Sanitaire (PNDS 1996-2005), ont permis alors d`inverser la tendance au sous-équipement et à la désaffection des services de santé, observée sur la période de crise économique.
Au total, ce sont près de 100 milliards de FCFA au titre des budgets de fonctionnement et d`investissement que l`Etat a dépensés pour l`amélioration des infrastructures sanitaires, le renforcement des ressources naturelles dans le domaine de la santé et de la lutte contre les grandes endémies. Ce sont 29 hôpitaux et plus de 300 formations sanitaires rurales qui ont été réhabilités et équipés. Le nombre de dispensaires ruraux est passé de 523 en 1994 à 750 en 1997, soit une augmentation de 227 unités. Le nombre de maternités rurales avait atteint 384 en 1997, contre 190 en l994, soit 194 unités supplémentaires ou un doublement du parc.
C`est ce qu`on appelle accroître et développer l`héritage qu`on vous a laissé !
22 dispensaires et maternités ont été effectivement réalisés à Abidjan sur le programme triennal de 70 unités prévues dans les 10 communes d`Abidjan.
Certaines de ces réalisations ci-dessus, comme d`autres mentionnées ci-après, vous le savez, ont été inaugurées par le FPI au pouvoir vue que le pouvoir c'est une continuité.
Au plan de la densité médicale
Il faut noter que l'espérance de vie sous la gestion du avec pour président de la république S.E.M HENRI Konan BEDIE était de +60ans actuellement on est à 56ans.
on avait progressé de 1 médecin pour 12.000 habitants en 1993 à 1 médecin pour 9.000 habitants en 1997. L`amélioration sensible de l`espérance de vie l`a portée de 56 ans en 1994 à 58 ans en 1997. Les différents CHU, TREICHVILLE, YOPOUGON, et surtout COCODY , de même que les différents CHR de l`intérieur du pays, ont été réhabilités et modernisés.
La gestion, l`équipement en matériels ainsi que l`approvisionnement en kits médicaux et en médicaments de ces différentes formations sanitaires ont été substantiellement améliorés.
Grâce aux nombreux efforts , un certain nombre de formations sanitaires ont été dotées d`ambulances, un grand centre ophtalmologique a été créé à BOUAKÉ. L`Institut de Cardiologie d`Abidjan dont l`ouverture était prévue en l`an 2000, a été modernisé et rééquipé.
2/ Secteur éducation
Le taux brut de scolarisation se situait à 74% en 1998 contre 67% en 1994.Le taux d`analphabétisme, en baisse notable est passé de 61% en 1994 à 56% en 1994.
L`Etat consacrait à l`éducation 40% du Budget général de Fonctionnement (BGF), et 8,5% du Budget spécial d`Investissement et d`Equipement (BSIE).
De 1993 à 1997,968 nouvelles classes avaient été construites sur toute l`étendue du pays et 168 écoles réhabilitées. De 1994 à 2001, il était prévu la construction de 5.000 nouvelles classes et la réhabilitation de 6.000 classes pour un montant de 70 milliards de F CFA.
Au niveau secondaire, dix (10) collèges neufs avaient été construits, 26 établissements sur 31 et 4 internats de jeunes filles avaient été réhabilités"
Au niveau de l`enseignement supérieur, le projet de décentralisation de l`Université pour un montant de plus de 22 milliards de F CFA était en cours d`achèvement.
Au total, les différentes actions menées dans le domaine de l`éducation se sont traduites par une augmentation significative du nombre d`élèves avec un chiffre voisin de 2 millions et demi, tous secteurs confondus, dont environ 1.911.000 dans l`enseignement primaire.
3/ En matière de logement
Grâce au concours de l`Etat qui avait instauré certains avantages fiscaux, les opérateurs privés ont pu produire de 1994 à 1998, 24.000 logements en milieu urbain. L`Etat a initié en 1998 un vaste programme de 12.000 logements à réaliser par le secteur privé.
En milieu rural, de 1994 à 1997, ce sont 1520 logements qui ont été construits grâce au Fonds de Soutien à l`Habitat (FSH) pour un montant de 6,3 milliards de F CFA, tandis que pour l`année 1998, ce sont 1.600 logements qui ont été réalisés dans 76 localités, pour un investissement de 6,5 milliards de F CFA.
4/ En matière d`hydraulique rurale.
1.394 forages ont été réalisés pour un coût total de 10,3 milliards de F CFA de 1995 à 1997, fournissant ainsi de l`eau potable à 1.460.000 Ivoiriens. A ces forages, s`ajoutent 14.000 points d`eau équipés de pompes manuelles.
5/En matière d`électrification.
L`électrification fait partie du grand secteur des mines et de l`énergie qui a connu un développement important sous le Président Henri Konan Bédié .

Ce secteur des mines et de l`énergie avait enregistré une croissance de 6,5% entre 1996 et 1997, passant de 244,5 milliards en 1996 à 260,3 milliards en 1997.
Il faut noter que des investissements privés de l`ordre de 85 milliards de F CFA avaient permis de démarrer la production de pétrole et de gaz, notamment sur les gisements Lion et Panthère en 1995. Depuis lors, d`autres nouveaux gisements allaient entrer en production (Bélier-Outpost, Espoir, Fox Trot), pour accroître la production. En effet, le développement de ces importants gisements de pétrole et de gaz, associés aux ressources hydroélectriques du pays devait contribuer à réduire de façon substantielle le coût de l`énergie. A cet égard, la réalisation de la centrale thermique d`AZITO, opérationnelle début 1999, devait permettre de consolider à terme, la baisse du coût de l`énergie ,entamée avec la centrale CIPREL. Ces différentes actions avaient permis de porter la capacité totale de production électrique de 2.200 gigawatts en 1993 à 4.000 gigawatts en 1997. L`objectif visé était 6.600 gigawatts en l`an 2.000.
Au total, 734 localités ont été électrifiées entre 1994 et 1999 grâce au programme d`électrification rurale qui prévoyait ensuite un rythme de 200 à 250 villages à électrifier par an.
Par ailleurs, la poursuite et l`accélération de la politique de promotion de l`utilisation du gaz butane en tant que source d`énergie domestique par une politique de prix appropriés, devaient contribuer à lutter contre la dégradation du couvert forestier. Dans ce cadre, l`inauguration le 5 décembre 1998 de l`usine de production de gaz de pétrole liquéfié (GPL), extrait du champ LION devait permettre une production plus importante de gaz butane.
La production de la future usine de bouteilles de gaz devait permettre de couvrir les besoins nationaux ainsi que ceux de la sous région.
6 : Fonds sociaux et emploi
6.1 Fonds sectoriels
Avant la mise en place des nouveaux fonds sociaux, des fonds sectoriels existaient déjà.
De 1987 à 1996, la dotation cumulée de ces fonds sectoriels d`un montant de 120 milliards de F CFA a permis de programmer 18.230 projets au titre des fonds d`aide au développement : [(Fonds Régionaux d`Aménagement Rural (FRAR), Fonds d`Investissement et d`Aménagement Urbain (FIAU), Plateformes villageoises], tandis que 3.890 projets étaient financés au titre des fonds de prêt et de soutien : [Fonds de soutien à l`Habitat (FSH), le Compte de Mobilisation de l`Habitat (CMDH), le Fonds de Prêt aux Collectivités Locales (FPCL)].
6.2 Fonds sociaux nouveaux
Dix (10) nouveaux fonds, ont été créés dont :
- quatre (4) au titre de l`agriculture,
- un fonds (1) pour la jeunesse,
- un fonds (1) pour les activités des femmes,
- un fonds (1) pour l`action culturelle,
- deux fonds (2) pour la promotion de l`emploi,
- le programme " plantations clés en mains "
De 1994 à 1997, il a été octroyé 25 milliards de F CFA pour 8.023 prêts dans le cadre de ces fonds sociaux nouveaux. Les programmes et projets financés avaient pour objectifs majeurs de permettre à la jeunesse de se prendre en charge, et de trouver le plein épanouissement à travers un certain nombre d`activités dans les différents secteurs de la vie économique.
Le Gouvernement s`était également efforcé de promouvoir l`épanouissement personnel des femmes à travers plusieurs programmes conçus spécifiquement en leur faveur.
6.3 Emploi
L`emploi a progressé de 7% en moyenne entre 1994 et 1997 contre une baisse de 1% en 1993.
Respectivement en 1996 et 1997, 5.702 et 7.336 nouveaux emplois ont été créés.
Il convient de souligner que de février 1994 à décembre 1999, 4 augmentations successives des salaires ont été réalisées:
- dans le secteur public, 43% de hausse pour les salaires les plus bas par rapport à 15,5% d`augmentation pour les salaires les plus élevés.
- Dans le secteur privé, 54% d`augmentation pour les salaires les plus bas et 10,2% pour les salaires les plus élevés.
En matière de promotion économique
Dans le secteur agricole, les actions de relance de l`économie, appuyées par une action vigoureuse de notre pays dans les instances internationales et par une politique de revalorisation des prix aux producteurs, ont permis aux productions agricoles de connaître une évolution positive au cours de la période 1995/1997. Ainsi le prix d`achat bord champ du cacao est passé de 315 F en 1995/1996 à 320 F au début de la campagne 1996/1997, tandis que celui du café vert passait de 530 F en 1995 à 730 F en 1996. Pour donner plus de vigueur aux entreprises du secteur privé, des axes prioritaires ont été dégagés par le Gouvernement parmi lesquels plusieurs connaissaient un début de mise en œuvre. Il s`agit, entre autres, de la création de l`Institut Ivoirien des Entreprises, de la Bourse de Sous Traitance et de Partenariat, du Fonds de Garantie des Prêts aux P.M.E, et surtout du CEPICI. En outre, face à la mondialisation des économies, la promotion du secteur privé se présentait comme l`un des éléments essentiels de notre politique de développement économique.
Dans ce cadre, le secteur privé jouait un rôle croissant notamment à travers le programme de privatisation, et le programme de grands travaux ( les 12 travaux de L`Eléphant d`Afrique), à cet effet, on peut interroger le ministre en charge d'alors Thidiam Thiam à savoir :
1 l`extension de l`aéroport Félix Houphouët-Boigny,
2/ l`extension du port d`Abidjan à Locodjoro
3/ le pont Riviéra-Marcory ;
4/ l`autoroute Abidjan-Yamoussoukro;
5/ l`autoroute Abidjan-Bassam ;
6/ le pont de Jacqueville ;
7/l'abattoir d`Anyama ;
8/ la gare routière d'Adjamé ;
9/ le parc des expositions ;
10/ le train urbain ;
11/ le centre d'enfouissement technique ;
12/ le stade olympique.
Le succès de ce premier programme avait conduit à la définition d`un deuxième programme de 20 nouveaux travaux.
A cette époque, la part du secteur privé dans les investissements totaux se situait à 70%. Il faut rappeler que la Côte d`Ivoire était sur la voie de régler définitivement le problème de sa dette extérieure. Ainsi, notre pays, avec son éligibilité au Programme de réduction de la dette des pays pauvres, devait voir en mars 2001, une réduction de 80% de sa dette multilatérale. D`ores et déjà, grâce aux efforts soutenus fournis, et avec l`appui de ses partenaires au développement, notre pays avait obtenu une restructuration de ses dettes commerciale et bilatérale dans le cadre des Clubs de Londres et de Paris.
A mi-parcours du mandat présidentiel du Président HENRI KONAN BÉDIÉ, la conclusion d`un nouveau pacte avec la réussite économique était une réalité.
En effet, pour la période 1995/1997, l`économie ivoirienne avait progressé au taux moyen de 7% du PIB. Cette croissance, qui trouvait sa source dans la forte hausse observée des exportations et des investissements, s`appuyait sur la consolidation des finances publiques, marquée par un accroissement des recettes de l`Etat et par une meilleure maîtrise des dépenses publiques. Pour consolider la réussite économique engagée, un nouveau programme économique et financier ambitieux avait été arrêté et mis en route pour la période 1998-2000. Il visait à assurer la viabilité financière, maintenir une croissance économique soutenue et durable et lutter plus résolument contre la pauvreté.
IL s`agissait de bâtir en l`espace d`une génération un nouveau pays industrialisé, " l'Eléphant d`Afrique ".

En conclusion de ce bref survol, comme vous pouvez le noter avec moi, le bilan du Président HENRI KONAN BÉDIÉ et du PDCI-RDA à la tête de l`Etat de 1994 à 1999 est largement positif.
En effet, les clignotants économiques étaient au vert ! Ce qui est très loin d`être le cas depuis le funeste coup d`Etat de 1999.
En matière de bilan, et comme disent les Ivoiriens, il n'y a pas match si on doit comparer les six (06) ans de gestion de chaque présidents post gestion du Président Félix Houphouet Boigny.

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