JoSo Comores

JoSo Comores "Journaliste de solutions, pour des infos inspirantes.

"Les Comores gagnent 4 places au classement FIFA et montent à la 117 ème position suite aux bons résultats obtenus le mo...
07/04/2024

"Les Comores gagnent 4 places au classement FIFA et montent à la 117 ème position suite aux bons résultats obtenus le mois de mars dernier en battant l'Ouganda et le match nul face à l' Angola".

Source AfricaSports269

Promouvoir l'autosuffisance en riz aux Comores L'ingénieur agricole Mmadi Ahamada mène la charge.Dans un archipel où le ...
06/04/2024

Promouvoir l'autosuffisance en riz aux Comores

L'ingénieur agricole Mmadi Ahamada mène la charge.

Dans un archipel où le riz est un aliment de base important mais à 100% importé, Mmadi Ahamada, ingénieur en travaux agricoles originaire de Mbatse Hamahame, se démarque par son engagement envers la promotion d'une production locale durable de riz, a rapporté la plateforme ACMC Mbeni

Son travail novateur vise à réduire la dépendance de son pays à l'importation de riz, renforçant ainsi la sécurité alimentaire et l'économie nationale.

Son objectif principal est clair : autonomiser les Comores dans la production de leur aliment de base. Pour atteindre cet objectif ambitieux, il mène des essais approfondis sur la production de riz, explorant des méthodes innovantes et adaptées à l'écosystème local.

Par cette initiative, Ahamada pourrait contribuer à réduire la dépendance économique des Comores aux importations alimentaires.

🔴  🇳🇬 : De vendeur d'eau dans les rues à la célébrité "J'avais aussi l'habitude de vendre de l'eau en bouteille dans les...
03/02/2024

🔴 🇳🇬 : De vendeur d'eau dans les rues à la célébrité


"J'avais aussi l'habitude de vendre de l'eau en bouteille dans les rues de Lagos, pour aider ma famille à gagner sa vie. Je savais que le football était le seul moyen de les sortir de la pauvreté, alors j'ai vraiment investi mon temps et ma vie dans ce travail. Je suis heureux que cela ait payé. Sortir ma famille de la pauvreté est ma plus grande victoire." Victor Osimhen

Source : 🗞️The Guardian...

Ce qui est bien dans l'agriculture est que quand tu vas au champs, tu es sûre de revenir à la maison avec la nourriture....
29/01/2024

Ce qui est bien dans l'agriculture est que quand tu vas au champs, tu es sûre de revenir à la maison avec la nourriture.
L'agriculture est le meilleur métier au monde.

Action Environnement. Votre conseiller nº1

"Toute est possible si on s'y met"Le producteur et agriculteur Fayçal Bianrif a, comme prévu, donné une conférence débat...
18/10/2023

"Toute est possible si on s'y met"

Le producteur et agriculteur Fayçal Bianrif a, comme prévu, donné une conférence débat sur son parcours et a réussi à partager son expérience avec le public le jeudi 12 octobre 2023 à l'America Corner. Dès le début, il a expliqué qu'il avait été licencié de son emploi par le Directeur général de Comorestelecom en 2019 pour avoir refusé d'obéir à une décision politico-politicienne.

"Le deuxième jour après mon licenciement, je me suis lancé dans l'agriculture sans disposer de beaucoup de moyens", at-il dit. Il a également ajouté qu'il avait loué des terres pour démarrer ses activités. "Quelques années plus t**d, lorsque le propriétaire des terres a constaté que mes affaires prospéreraient, il a demandé à récupérer ses terres. Je n'ai pas voulu perdre de temps à m'engager dans des allers-retours devant la justice, alors je "Je suis parti en laissant tout derrière moi", a déclaré Fayçal, considérant que cet échec faisait partie du jeu de l'entrepreneuriat.

Le jeune Entrepreneur a souligné les problèmes qu'il a dû faire face, tels que le manque de matériel agricole et le manque de soutien matériel, financier et humain pour se lancer. Malgré toutes ces difficultés, Fayçal Bianrif a su les surmonter et est devenu aujourd'hui l'un des grands producteurs et agriculteurs comoriens. Pour relever ce défi, il a créé des coopératives et a investi dans des équipements agricoles. Mais, avant tout, sa détermination et sa persévérance étaient ses atouts les plus précieux. "J'ai décidé d'abandonner toutes mes distractions, les loisirs et les fêtes, pour me consacrer à l'agriculture", se félicite-t-il.
Grâce à son engagement, le jeune entrepreneur est devenu aujourd'hui le premier producteur de bananes, de papayes, de pastèques et d'ananas du pays en termes de production à grande échelle.

Fayçal est déterminé à partager son savoir-faire et à nourrir tout le pays. Toutefois, il rencontre d'énormes difficultés pour y parvenir. "Je produis tout à Mohéli, mon île natale, et lorsque je dois approvisionner l'île de Ngazidja en bananes, les autorités de Mohéli me taxent 250 francs comoriens par bananier, alors que ce n'est pas le cas pour le producteur de bananes de Mitsamiouli qui transporte ses produits à Badjini. C'est inadmissible et injuste qu'on impose une taxe à un citoyen qui transporte un produit local d'un endroit à un autre", dénonce-t-il, appelant les autorités de l 'Union à réagir pour mettre fin à cette pratique.

Fayçal a également appelé les autorités du pays à subventionner et à soutenir les agriculteurs sérieux, à construire des infrastructures agricoles telles que des routes et des puits, mais aussi à développer du matériel agricole permettant à ces agriculteurs de révolutionner le secteur pour lutter en faveur de l'autosuffisance alimentaire aux Comores.

Il convient de noter que cette conférence-débat, organisée par la Plateforme JoSo Comores et Yali Comores, s'inscrit dans le cadre de la relation entre l'ambassade des États-Unis aux Comores et ces structures qui luttent pour la promotion de l’entrepreneuriat des jeunes comoriens. Aboudou Mroivili, chargé des relations publiques à l'ambassade des États-Unis, qui était le maître de cérémonie, a remercié Fayçal pour sa brillante présentation et l'engagement de JoSo Comores et Yali Comores.

Fayçal Bianrif en conférence débat le jeudi à l'America corner Dans le cadre de notre engagement à promouvoir l'entrepre...
10/10/2023

Fayçal Bianrif en conférence débat le jeudi à l'America corner

Dans le cadre de notre engagement à promouvoir l'entrepreneuriat des jeunes, Yali Comores et la plateforme JoSo Comores (Journalisme de Solutions) sont heureux de vous inviter à une conférence-débat mettant en lumière le parcours inspirant de Fayçal Bianrif, un jeune entrepreneur et agriculteur.

L'événement se tiendra ce jeudi 12 octobre 2023 à l'America Corner à partir de 15 heures.

Fayçal Bianrif, après avoir perdu son emploi dans une société d'État, a surmonté de nombreux défis pour devenir l'un des principaux producteurs du pays.

Venez découvrir comment il a relevé ce défi et quelles sont ses perspectives d'avenir pour l'autosuffisance alimentaire aux Comores.

Rejoignez-nous jeudi à l'America Corner de Moroni pour cette occasion unique de partager des idées et de s'inspirer du succès entrepreneurial de Fayçal Bianrif.

Nous avons hâte de vous y voir !

Le Joso à TsinimoichongoLa campagne de sensibilisation à la promotion du journalisme de solutions aux Comores se poursui...
23/09/2023

Le Joso à Tsinimoichongo

La campagne de sensibilisation à la promotion du journalisme de solutions aux Comores se poursuit. Après avoir bénéficié d'une formation financée par l'ambassade des États-Unis, plus de 40 journalistes comoriens ont été formés aux techniques de réalisation de reportages conformes aux normes du JoSo (Journalisme de Solutions).

Suite à cette formation, le journaliste JoSo Ahmed Bacar a été invité par l'association éducative et culturelle nommée Tsinimoichongo Émergent, dans le cadre de ses activités annuelles "Semaine académique et orientation", afin d'échanger avec les étudiants.

Cet événement revêtait une grande importance pour le journaliste, qui est également l'initiateur de ce genre journalistique aux Comores.

Il a eu l'opportunité de discuter des vertus du journalisme de solutions, qui est essentiel pour un journalisme équilibré et crucial pour le développement du pays.

Les étudiants et le public présents ont grandement apprécié la présentation du Joso. Cette initiative contribue à sensibiliser davantage les acteurs de la presse et la jeunesse comorienne notamment les Étudiants, à l'importance du journalisme de solutions dans le contexte actuel.

Agriculture : Kandzile  cesse de dénoncer, il réagit Souvent, le problème des routes menant du village aux terres cultiv...
13/09/2023

Agriculture : Kandzile cesse de dénoncer, il réagit

Souvent, le problème des routes menant du village aux terres cultivables, appelées "Champs", est cité comme l'un des principaux obstacles entravant le développement agricole aux Comores. De nombreuses localités, pourtant dotées d'une jeunesse aguerrie et de terres très fertiles, peinent à progresser dans leur agriculture. Cette situation contribue à la sous-autosuffisance alimentaire aux Comores.

Au lieu de se contenter de dénoncer ce problème, le village de Kandzilé situé dans la région de Badjini, au Sud-Ouest de Moroni, a pris des initiatives courageuses pour trouver des solutions.

Les autorités de cette localité ont décidé d'investir pour construire une route reliant son village à leurs terres cultivables. Depuis la réalisation de cette route, le nombre de producteurs a considérablement augmenté, la production a connu une croissance significative et les agriculteurs peuvent transporter leurs produits en bus, ce qui évite de les porter sur leur dos, nous dit Antoisse Mohamed Ibrahim Président de la Fédération pour le Développement Economique Social et Culturel de Kandzilé Badjini Ouest (FDESCK) dans cette interview qu’il a accordé à JoSo Comores. Suivez

JoSo Comores : Pourquoi une route vers les champs ? Quel a été le problème qui a poussé Kandzilé à initier et à réaliser ce projet ?

Antoisse Mohamed Ibrahim : Ce projet a émergé dans un contexte socio-économique marqué par un faible taux de croissance et une forte incidence de la pauvreté. La construction de la route IMBANDADJOU-PAREDJOU-MSIROUNI était considérée comme une priorité, visant à désenclaver une vaste zone agricole entre le flanc Karthala et le village. Cela soutenait également le Programme de développement intégré de l’agriculture irriguée de Kandzilé Badjini Ouest (PDIAIK), lancé en 2022 pour stimuler la production agricole et lutter contre la pauvreté, particulièrement dans cette région où la pauvreté était plus prégnante que la moyenne nationale.

JoSo Comores : Qu'avez-vous fait pour mobiliser les moyens humains et financiers pour la réalisation de ce projet ?

Antoisse Mohamed Ibrahim : Le projet a été financé par les WANAMNDJI, la Diaspora et le Fonds des festivités, avec l'appui technique de la Fédération pour le Développement Économique Social et Culturel de Kandzilé Badjini Ouest (FDESCK). Les composantes ont été définies après des concertations entre les parties prenantes et en tenant compte des préoccupations des populations locales, tant d'ordre socio-économique qu'environnemental.

JoSo Comores : Quels sont les impacts après la réalisation du projet ?
Antoisse Mohamed Ibrahim : Les impacts sont notables :

Une route de plus de 15 km entre IMBANDADJOU et MSIROUNI a été construite.
Les agriculteurs et éleveurs de la zone peuvent désormais se déplacer aisément, favorisant les échanges depuis l'ouverture en 2023.
Émergence de nouvelles associations communautaires, majoritairement féminines, œuvrant dans divers domaines.
Création de sociétés de transport, engendrant une compétition bénéfique pour les tarifs.
Amélioration des conditions de vie et mobilité des personnes âgées.
La production a connu une croissance considérable

JoSo Comores : Quel message la communauté Kandzilienne souhaite adresser aux autorités et aux partenaires au développement ?

Antoisse Mohamed Ibrahim : La communauté Kandzilienne dans son ensemble a un message clair à adresser aussi bien aux autorités compétentes que les partenaires au développement : On ne peut lutter contre la pauvreté, on ne peut parler de l’émergence sans qu’il y ait des voies praticables permettant aux habitants de se déplacer aisément avec leurs biens. Il s’agit notamment de nous aider à aménager cette route (bitumée, goudronnée…) et canaliser en suite les eaux de ruissellement afin de rendre ces zones plus facilement accessibles, pour les services étatiques, les organisations nationales ou internationales de développement et encourager les populations originaires de cette zone à regagner la confiance de bien s’y installer.

JoSo Comores : Quelles sont les limites de cette route nouvellement construite ?

Antoisse Mohamed Ibrahim : La principale menace qui pèse sur la route nouvellement construite est l’insuffisance des ressources affectées à l’entretien du réseau routier local qui affecte la durabilité des investissements. Ce problème sera aplani avec la mise en place d’un Fonds routier comme préconisé à l’évaluation en coordination avec la FDESCK. On peut encore noter la recrudescence des vols et des escalades dans les champs de certaines personnes, bien que plusieurs dispositions soient prises pour lutter contre ce fléau qui pourrait dans l’avenir causer des conséquences très néfastes.

Propos recueillis par Ahmed Bacar

Un Quartier Exemplaire : Tourneni mène la voie pour le Développement de TsinimoichongoAvant, le développement du village...
04/09/2023

Un Quartier Exemplaire : Tourneni mène la voie pour le Développement de Tsinimoichongo

Avant, le développement du village de Tsinimoichongo, la responsabilité principale incombait aux associations de développement et coutumières du village. Cela signifiait que les efforts de développement étaient principalement centrés sur les espaces publics et les quartiers qui étaient semblables aux « centres » du village.

Cependant, cette approche a négligé de nombreux quartiers du village, laissant de nombreuses communautés sans les améliorations nécessaires. C'est alors que le quartier de Tourneni a décidé de prendre les choses en main en créant une association de développement. Ils ont élu un bureau et ont mis en place des mesures de collecte de fonds obligatoires pour chaque résident et chaque famille vivante dans le quartier. Ils ont également lancé des initiatives impliquant activement les enfants, qui devaient participer aux financements des projets du quartier en organisation des votes des enfants afin de collecter des fonds.

Les activités telles que les mariages sont désormais organisées par le quartier lui-même, au lieu des associations villageoises comme c'était le cas auparavant. Les fonds collectés grâce à ces activités sont entièrement dédiés au développement du quartier, en particulier à l'amélioration des routes secondaires pour désenclaver le village.

L'exemple du quartier de Tourneni a été largement salué et a rapidement été suivi par tous les quartiers de Tsinimoichongo. Aujourd'hui, tous ces quartiers prennent en main leur propre développement, et de nombreuses améliorations ont été apportées, notamment l'aménagement d'axes routiers dans l'ensemble de la localité.

Pour aller encore plus loin dans le développement des quartiers de Tsinimoichongo, une association regroupant tous les quartiers du village, l'Union des Quartiers de Tsinimoichongo, a vu le jour. Son objectif est d'accompagner et de financer les projets de développement de tous les quartiers du village. Cette initiative a reçu l'approbation des autorités et des habitants de Tsinimoichongo, à tel point que la diaspora de Tsinimoichongo en France a signé une convention de partenariat avec cette nouvelle association de développement villageois, dont l'unique objectif est le développement de Tsinimoichongo.

Tourneni a démontré que lorsque la communauté s'unit pour le bien commun, des progrès significatifs peuvent être accomplis. Ce modèle inspirant montre que le développement local peut être dirigé par les résidents eux-mêmes, donnant à chaque quartier l'opportunité de prospérer.

Faisons donc attention.
11/08/2023

Faisons donc attention.

Cet homme est devenu milliardaire grâce à l'agriculture, selon Entrepreneuriat par Excellence de Mali.Il est Malien. Not...
27/06/2023

Cet homme est devenu milliardaire grâce à l'agriculture, selon Entrepreneuriat par Excellence de Mali.

Il est Malien. Notre espérance est d'avoir beaucoup d'Africains qui feront fortune dans ce domaine promoteur.

Nos encouragements aux Jeunes Comoriens comme Faical Bianrif et autres qui s'investissent pleinement dans l'agriculture. Nous leur souhaitons bonne chance et beaucoup de succès.

"Des bananes plantain made in Mali 🇲🇱 chez Bakary Togola l'homme qui a fêté son premier milliard en 1998 grâce à l'agriculture.
!!!Oui la terre ne ment pas. Bravo Togola

Entrepreneuriat par excellence Mali" 🇲🇱

Qui peut l’imiter, qui peut le soutenir ? Adamo, un pionnier qui récolte les fruits de sa persévérance.De retour de Mada...
26/06/2023

Qui peut l’imiter, qui peut le soutenir ?

Adamo, un pionnier qui récolte les fruits de sa persévérance.
De retour de Madagascar avec son diplôme en Informatique, Adamo Haldini a rapporté des semences de raisins secs, son fruit préféré.

Face aux doutes concernant la compatibilité de ces graines avec le sol comorien, Adamo décide de relever le défi et de les cultiver. Aujourd'hui, après trois années de travail acharné, ses arbres fructueux lui offrent une récolte abondante, témoignant du succès de sa quête.

Pour Adamo, ce projet n'a pas été sans difficultés. Il a dû faire face à l'opinion arrêtée selon laquelle certains arbres ne peuvent pas prospérer sur le sol comorien. Cependant, sa détermination l'a conduit à prouver que la croyance en soi et une approche tenace peut surmonter tous les obstacles.

Chaque matin, il est arrivé méticuleusement ses deux arbres avec de l'eau, donnant à ses plantes l'attention qu'elles ont suscitée. C'est grâce à un agriculteur local qui lui a conseillé d'utiliser du fumier que les arbres d'Adamo ont pu bénéficier d'un apport nutritif supplémentaire.

« J’ai suivi ces conseils à la lettre, et les résultats ont été spectaculaires » se réjouit le premier Producteur du raisin aux Comores.

Adamo se souvient que la première année, ses deux arbres ont produit moins de 20 kg de raisins secs et la deuxième année a vu la récolte dépasser les 20 kg, et cette année a été encore plus prolifique.
« Chaque mois de mars, depuis trois ans maintenant, je me délecte de mes fruits préférés » se félicite-t-il.

Fier de sa réussite personnelle, Adamo souhaite désormais promouvoir la culture du raisin dans son pays. « J’ai décidé de multiplier les semences dans l'espoir d'avoir au moins 400 plants fructueux cette année » se bat Adamo.

Cependant, il reconnaît qu'il aura besoin d'une aide technique pour mener à bien son combat. Adamo appelle à l'aide de la communauté, des experts en agriculture et des passionnés du jardinage pour soutenir son projet.

La démarche d'Adamo est une véritable histoire de réussite qui devrait inspirer la population comorienne. Son parcours démontre que la persévérance et la volonté de défier les idées préconçues peuvent ouvrir de nouvelles perspectives et transformer des rêves en réalité. Avec l'aide technique et l'engagement de tous, il est fort probable que la culture du raisin devienne une réalité florissante aux Comores.

Ahmed Bacar
Journaliste JoSo

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