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🇨🇳🌹🙋🏻 😯Il a été déclaré « le plus bel homme de son village » et aujourd'hui il est une célébrité locale. Zhaoqing Lee, o...
15/11/2025

🇨🇳🌹🙋🏻 😯Il a été déclaré « le plus bel homme de son village » et aujourd'hui il est une célébrité locale.

Zhaoqing Lee, originaire d'une petite communauté en Chine, est passé d'un habitant ordinaire à une sensation sur les réseaux sociaux grâce à ses traits faciaux attrayants, sa peau soignée et son charisme naturel.

Son titre, décerné par les voisins eux-mêmes, l'a poussé à partager son quotidien et ses conseils beauté sur internet, où il accumule déjà plus de 100 000 abonnés.

Sa popularité l'a poussé à recevoir des invitations à des évènements, des collaborations avec des marques et des demandes constantes de photos de fan. ( El Tiempo)

🇨🇳 Dans cette photographie glaçante prise dans la Chine des années 1930, un homme condamné pour meurtre se tient enfermé...
15/11/2025

🇨🇳 Dans cette photographie glaçante prise dans la Chine des années 1930, un homme condamné pour meurtre se tient enfermé non pas dans une cellule, mais dans une cage de bois, en pleine rue.
Sa peine n’est pas une exécution rapide, mais une mort lente, méthodique : la soif, la faim, l’épuisement.
L’instrument qui le retient s’appelle un « CANGE »; un dispositif de châtiment vieux de plusieurs siècles, conçu non seulement pour immobiliser le corps, mais pour briser l’âme.

Debout, incapable de s’asseoir, de se gratter, de se protéger du soleil ou de la pluie, le condamné devient un spectacle vivant. Les passants le regardent. Certains éprouvent de la pitié, d’autres ricanent. Quelques-uns essaient de lui tendre un peu d’eau un geste souvent interdit. C’était la justice comme théâtre, une mise en scène de la souffrance. Un avertissement gravé dans la chair et dans l’esprit.

Si ce châtiment semble appartenir au Moyen Âge, le cangue a pourtant survécu jusqu’au XXᵉ siècle, surtout dans les provinces rurales où l’autorité traditionnelle et les idéaux confucéens d’ordre social restaient puissants. Là-bas, punir ne signifiait pas seulement venger mais montrer, humilier, instruire. La honte faisait partie de la sentence.
Contrairement aux exécutions occidentales, qui cherchaient la finalité, cette méthode prolongeait l’agonie. Le condamné devenait un cadavre vivant, se décomposant sous les yeux du peuple.
Sa mort n’était pas seulement une punition, c’était un message.

Dans les grandes villes, ces pratiques avaient presque disparu à l’époque. Mais dans les campagnes reculées, elles persistaient encore, témoins d’un monde ancien qui refusait de mourir.
Des missionnaires et des photographes étrangers capturèrent ces scènes, les diffusant comme des preuves d’un passé qui peinait à s’éteindre.

Cette image n’est pas qu’un document historique.
C’est un miroir tendu vers une humanité capable de transformer la souffrance en spectacle.
Et un rappel que le silence, face à l’injustice, est toujours une complicité.

💀 “Quand la justice devient spectacle, l’humanité disparaît.”

**(1976) Le clan Harlow : la famille dogmatique la plus troublante d'Amérique découverte****Le pacte du sous-sol : une d...
14/11/2025

**(1976) Le clan Harlow : la famille dogmatique la plus troublante d'Amérique découverte**
**Le pacte du sous-sol : une descente glaçante dans l'horreur générationnelle**

Au cours de l'hiver brutal de 1840, le Dr Samuel Witmore de Richmond, en Virginie, s'est aventuré dans le cœur gelé des Appalaches, non pas à la recherche du prestige, mais à la recherche de son jeune frère disparu, Thomas. Ce qui l'attendait n'était pas une réunion, mais une descente dans un monde grotesque et caché : le clan Harlow. Pendant trois générations, cette famille a rompu les liens avec la civilisation, masquant leur existence dans une doctrine religieuse déformée qui sanctionnait l'inceste et l'isolement comme loi divine.

L'histoire d'Harlow n'est pas seulement une histoire de difformité physique ou de secret rural. C'est une exploration obsédante de la façon dont la foi, lorsqu'elle est tordu, peut devenir une arme d'oppression génétique. Il révèle comment l'isolement peut fermenter la folie, et comment la recherche désespérée d'un homme a révélé un pacte de meurtre et d'inceste si horrifiant qu'il restera enterré pendant plus d'un siècle

**La route vers la folie : où le silence crie**

Avec un guide réticent nommé Jacob Stern, le Dr Witmore a retracé le dernier chemin connu de son frère. Le 9 février 1840, au fond du désert chargé de neige, le cheval de Jacob a gelé en place – refusant d'aller de l'avant. Sous la poudre fraîche se cache une anomalie glaçante : des traces de wagons, impossiblement fraîches, dans une région intacte par la colonie.

La piste menait à travers une forêt où le silence n'était pas pacifique, mais oppressif. Aucun oiseau ne chantait. Pas de vent agité. Seul le croustillant des bottes a brisé le calme. Les arbres portaient des sculptures angulaires - symboles d'une langue primitive inconnue de Samuel. Au bout du chemin se tenait une monstrueuse maison en bois, sombre et étendue, comme si elle avait poussé de la terre elle-même pendant des décennies. Ce n'était pas une maison. C'était un monument au secret, à la folie et à l'héritage innommable du clan Harlow.

Il existe un endroit sur Terre si jeune qu’il est interdit à presque toute l’humanité — un véritable laboratoire vivant,...
14/11/2025

Il existe un endroit sur Terre si jeune qu’il est interdit à presque toute l’humanité — un véritable laboratoire vivant, né du feu et de l’eau.

Le 14 novembre 1963, au large de la côte sud de l’Islande, l’équipage d’un chalutier aperçut une épaisse colonne de fumée s’élevant de la mer.
Ce qu’ils prirent d’abord pour un bateau en feu était en réalité quelque chose de bien plus rare : la naissance d’une île.

Une éruption volcanique venait de débuter sur le fond de l’océan, à 130 mètres sous la surface.
Un jour plus t**d, une nouvelle île — baptisée Surtsey — perçait les vagues. 🌋

L’éruption ne fut pas un événement bref. Elle dura plus de trois ans et demi, construisant progressivement la nouvelle terre grâce aux cendres et à la lave.
Lorsqu’elle prit fin en juin 1967, Surtsey était devenue une île stable d’une superficie de plus d’un kilomètre carré, un nouvel élément permanent sur la carte du monde.

Comprenant qu’ils avaient là une occasion inestimable, les scientifiques déclarèrent l’île réserve naturelle.
C’était une chance unique d’observer comment la vie colonise un paysage totalement vierge — une page blanche créée par un volcan.

Depuis, seuls quelques chercheurs autorisés ont eu le droit de poser le pied sur Surtsey.
Ils ont méticuleusement documenté l’arrivée des premières graines, des moisissures, des insectes, apportés par le vent et les vagues. 🌱

Puis les oiseaux ont commencé à nicher, enrichissant encore le sol et permettant à des plantes plus complexes de s’installer.
L’île est devenue une étude unique, en temps réel, de la manière dont un écosystème se construit à partir de rien.

Aujourd’hui, Surtsey est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, protégée de l’intervention humaine afin que nous puissions continuer à observer l’un des processus les plus fondamentaux de la nature se dérouler sous nos yeux.

14/11/2025
un village en Mauritanie 🇲🇷📸❤️
14/11/2025

un village en Mauritanie 🇲🇷📸❤️

Depuis la plus haute Antiquité, les peuples Melanodermes ont toujours nommé leur Terre selon des principes symboliques e...
14/11/2025

Depuis la plus haute Antiquité, les peuples Melanodermes ont toujours nommé leur Terre selon des principes symboliques en lien Sacré avec la Création, tout comme les Nations etrangères ont toujours désigné leurs Civilisations par des termes exprimant à la fois leur Identité et leur couleur Originelle, tels que:

Kamata / Kmt = Pays des Noirs
Kush = Pays des Noirs (Hébreu)
Sag-Gig-Ga= Pays des Noirs (Sumer)
Cham / Kam = Pays des Noirs (religion)
Éthiopia = Pays des Noirs (Grec)
Mauri-tanit = Pays des Noirs (romains)
Zinjibar = Pays des Noirs (P***e)
Sudan = Pays des Noirs (Arabe)
Siam = Pays des Noirs (Thaïlande)
Kambuja = Héritiers de Kam (Cambodge)
Mélanésie = Pays des Noirs ..
Etc,,,

Que ces Civilisations aient été appelées Kemet, Kush, Sag-Gig-Ga, Aethiopia, Mauritania, Siam, Sudan, Mélanésie etc,,, toutes ces appellations ont toujours traduit des noms de Territoires, non seulement associés à la Noirceur de ses Habitants mais également au symbole de la Terre noire qui engendra les premiers Hommes, les premières Civilisations et les premières lumières du Savoir.

Htp

Le dragon de Komodo ne vit nulle part ailleurs au monde que sur les îles indonésiennes de Komodo, Rinca, Padar et Florès...
13/11/2025

Le dragon de Komodo ne vit nulle part ailleurs au monde que sur les îles indonésiennes de Komodo, Rinca, Padar et Florès. Véritable colosse des reptiles, il peut mesurer plus de 3 mètres et peser près de 100 kg. Malgré sa taille imposante, il est étonnamment rapide : il peut courir jusqu’à 20 km/h, une vitesse suffisante pour rattraper un être humain sur une courte distance.

Ce qui fait du dragon de Komodo l’une des créatures les plus redoutables de la planète, c’est sa morsure à double danger. Sa salive abrite des bactéries pathogènes capables de provoquer de graves infections sanguines. Mais surtout, il sécrète un venin puissant qui entraîne une chute brutale de la pression artérielle, une paralysie musculaire et une hémorragie interne.

Une fois sa proie affaiblie, le dragon n’a plus qu’à attendre avant de la dévorer tout entière.

🔹 L’homme qui a inventé le nettoyage à sec a utilisé son brevet pour racheter des esclaves — et sa fille a défié la ségr...
13/11/2025

🔹 L’homme qui a inventé le nettoyage à sec a utilisé son brevet pour racheter des esclaves — et sa fille a défié la ségrégation 100 ans avant Rosa Parks.

Le 3 mars 1821, Thomas L. Jennings devient le premier Afro-Américain à obtenir un brevet aux États-Unis — un exploit historique, non seulement pour ce qu’il invente, mais parce qu’il parvient à le faire à une époque où la plupart des Noirs n’avaient aucun droit.

Né homme libre en 1791 à New York, Jennings était tailleur. Il travaillait chaque jour avec des tissus délicats — soie, laine, étoffes fines — qu’il devait rendre impeccables. Mais un problème le hantait : comment nettoyer ces vêtements sans les abîmer ?
L’eau et le savon détruisaient les tissus coûteux. Une tache pouvait ruiner une pièce entière.

Alors Jennings invente un procédé révolutionnaire : le « dry scouring », un nettoyage sans eau utilisant des solvants chimiques.
C’était la naissance du nettoyage à sec moderne.

Le 3 mars 1821, il obtient le brevet n°X3306 pour son invention. Il n’a que 30 ans.

Mais ce qui rend cette histoire extraordinaire, c’est le contexte :
En 1821, l’esclavage est encore légal dans une grande partie du pays. Les Noirs sont considérés comme des biens, pas des citoyens.
Les esclaves n’ont aucun droit sur leurs inventions — leurs découvertes appartiennent à leurs maîtres.
Des milliers d’innovations afro-américaines ont ainsi été volées, effacées, oubliées.

Thomas Jennings, lui, a pu déposer son brevet parce qu’il était né libre à New York, un des rares endroits où cela était possible.
Et il a choisi de transformer cette liberté en arme contre l’injustice.

Au lieu de se contenter de sa réussite, Jennings a utilisé l’argent de son invention pour racheter des esclaves et financer le mouvement abolitionniste à New York.

Son engagement a traversé les générations.
Sa fille, Elizabeth Jennings Graham, a marqué l’histoire en 1854 lorsqu’elle refusa de quitter un tramway réservé aux Blancs, à New York — un siècle avant Rosa Parks.
Son combat mènera à la déségrégation des transports publics new-yorkais.

Thomas L. Jennings est mort en 1856, mais son héritage vit encore :
celui d’un homme qui a prouvé que l’innovation peut libérer,
que la réussite n’a de sens que lorsqu’elle sert les autres,
et que la liberté, quand on la possède, doit être partagée.

✨ Un inventeur. Un abolitionniste. Un visionnaire.
Thomas L. Jennings (1791–1856) —
L’homme qui a nettoyé plus que des vêtements : il a lavé les chaînes de l’injustice.

🔴UNE ESCLAVE UTILISÉE COMME OREILLER HUMAIN PAR SA MAÎTRESSE BLANCHE CHAQUE NUIT, JUSQU'À…En 1852, le cœur du Mississipp...
13/11/2025

🔴UNE ESCLAVE UTILISÉE COMME OREILLER HUMAIN PAR SA MAÎTRESSE BLANCHE CHAQUE NUIT, JUSQU'À…

En 1852, le cœur du Mississippi suffocait sous un soleil de plomb. De vastes plantations de coton s'étendaient à perte de vue, un monde rigide où la richesse de quelques-uns surpassait la misère du plus grand nombre. L'esclavage, dans sa forme la plus sombre, déshumanisait ceux qui en souffraient jour après jour.

Sur la somptueuse plantation Dubois, Eleonora Dubois, âgée de 45 ans, était au centre d'un pouvoir cruel. Épouse du riche planteur Arthur Dubois, Eleonora était d'une beauté incontestable, mais derrière cette beauté se cachait une âme narcissique et sadique. Son rang social lui conférait une autorité absolue sur les esclaves de la maison, un pouvoir qu'elle exerçait avec une froideur calculée, trouvant un plaisir pervers à humilier ceux qu'elle considérait comme inférieurs.

La manifestation la plus intime et la plus troublante de sa tyrannie s'abattit sur Amara, un esclave domestique de 22 ans. Amara se déplaçait dans la plantation avec la discrétion d'une ombre, mais aucune humiliation n'était comparable à celle de la nuit. Chaque nuit, sans faute, Maîtresse Eleonora forçait Amara à s'allonger sur le sol froid de sa chambre, près du lit principal, pour lui servir de serpillière humaine. Le poids des pieds d'Eleonora sur son dos ou le bras tendu au-dessus de sa tête étaient des tortures silencieuses destinées à briser son être tout entier.

Eleonora, toujours à l'affût du moindre signe de résistance, décida que l'esprit d'Amara n'était pas encore assez brisé. Elle commença à lui imposer des tâches supplémentaires, les plus sales et les plus épuisantes, et les nuits s'allongeaient. Elle ne se contentait plus de simplement poser ses pieds sur lui ; parfois, elle ordonnait à Amara d'adopter des positions inconfortables ou laissait tomber de petits objets chauds sur son dos, prétextant un accident. Un jour, lors d'une réunion avec d'autres planteurs, elle força Amara à nettoyer la boue de ses bottes avec le tissu de sa propre chemise, agenouillée dans la grande salle. C'était une démonstration publique de son pouvoir absolu.

Amara se sentait vide, son âme rongée. L'étincelle dans ses yeux s'était presque éteinte. « Tu es à moi, Amara », lui murmura Eleonora une nuit. « Et tu le resteras jusqu'à ce que j'en décide autrement. »

Mais dans le cœur d'Amara, la douleur lancinante s'était transformée. Ce n'était plus seulement une blessure ; c'était un feu sourd qui endurcissait sa volonté. Chaque humiliation devenait une leçon. Ses yeux, autrefois résignés, brillaient désormais d'une ruse dissimulée.

Durant ces interminables nuits passées à même le sol, Amara était devenue plus qu'un oreiller humain ; elle était devenue une ombre qui écoutait, feignant un sommeil profond. Ses oreilles captaient des murmures et des plans qu'Eleonora croyait réservés à son seul secret. Une nuit, Amara remarqua un petit sachet de coton caché sous le matelas. Il exhalait un léger parfum sucré. Avec la furtivité d'un fantôme, elle glissa sa main à l'intérieur et sentit une substance granuleuse. Ce n'était pas un ornement ; c'était un secret. Elle comprit que la femme tramait quelque chose de sombre, de mortel. L'idée de s'échapper s'évanouit, remplacée par une détermination glaciale. L'information était son arme, et le poison, la preuve de la malveillance d'Eleonora.

Dans la famille Mendoza, chaque fils épousa son jumeau, jusqu'à ce que l'un d'eux révèle la vérité.Bienvenue. L'histoire...
13/11/2025

Dans la famille Mendoza, chaque fils épousa son jumeau, jusqu'à ce que l'un d'eux révèle la vérité.

Bienvenue. L'histoire que vous allez entendre n'est pas une légende urbaine, mais la véritable chronique de la famille Mendoza, un récit né dans les montagnes les plus escarpées du Mexique, où l'obsession de la pureté familiale a pris une tournure perverse, jetant une ombre qui a hanté plusieurs générations.

Tout commença en 1880 avec l'arrivée de José Mendoza, venu d'Espagne. Il n'était pas un immigrant ordinaire ; il fuyait les persécutions politiques, emportant avec lui un trésor dangereux : un manuscrit ancestral. Ce document imposait la préservation absolue de la lignée. En quête d'un isolement total, la famille acquit des terres colossales dans la Sierra Madre et y fit construire une demeure de pierre, une forteresse imprenable contre le monde extérieur.

Pour les villages voisins, les Mendoza étaient une énigme : riches, puissants, et pourtant secrets. Ils rejetaient toute interaction sociale, la messe et les festivités. Personne n'imaginait la nature du pacte qui se forgeait entre ces murs.

Le manuscrit n'était pas qu'un document historique ; c'était un ordre. En 1890, lorsque Rodrigo, l'aîné, atteignit l'âge nubile, José Mendoza ne chercha pas d'épouse ailleurs. Lors d'une cérémonie privée, qu'il officia lui-même, manuscrit en main, il maria Rodrigo à sa sœur jumelle, Mariana. Ce que le monde considérait comme tabou, les Mendoza le redéfinirent comme l'acte de pureté ultime.

Cette union instaura une loi immuable : chaque premier-né de chaque génération serait destiné à épouser sa sœur jumelle.

Tandis que la fortune des Mendoza croissait de façon exponentielle, accumulant terres, banques et industries, leur biologie amorça un déclin inexorable. Les conséquences de la consanguinité répétée devinrent bientôt évidentes. Dans les années 1920 et 1930, des enfants Mendoza commencèrent à naître avec ce que la famille, dans son illusion, appelait des « marques de pureté ».

L'un d'eux naquit muet, mais doté d'une intelligence vive. Une autre fille possédait une souplesse articulaire si extrême que ses mains semblaient avoir été conçues par une autre nature. D'autres souffraient d'une photosensibilité extrême ou de crises les clouant au lit. La famille réinterprétait chaque anomalie génétique non comme une maladie, mais comme un don, le prix noble de leur singularité.

L'année 1955 vit naître ce qui allait être les derniers jumeaux de la lignée principale : Felipe et Gabriela. Leur destin était scellé dès le berceau, élevés dans la sainteté de leur sang et préparés à leur future union.

Mais Felipe était différent. En grandissant, les regards suspicieux des villageois et les maux manifestes de ses proches semèrent le doute en lui. À l'adolescence, il entreprit des recherches clandestines dans la vaste bibliothèque du manoir. Parmi les ouvrages de philosophie, il trouva ce qu'il cherchait : de vieilles encyclopédies médicales.

Il y découvrit les mots « consanguinité », « gènes récessifs » et « maladies héréditaires ». Les « marques de pureté » de sa famille correspondaient de façon alarmante aux descriptions cliniques d'une consanguinité sévère. La vérité le frappa de plein fouet : sa lignée n'était pas pure, elle était biologiquement maudite et empoisonnée par sa propre tradition.

À suivre…👇

Nous félicitons la bravoure de cet écrivain. Voilà des hommes qu'il nous faut pour libérer l'Afrique. Lisez seulement.L'...
13/11/2025

Nous félicitons la bravoure de cet écrivain. Voilà des hommes qu'il nous faut pour libérer l'Afrique. Lisez seulement.

L'OCCIDENT ET NOUS ! :

1. Quand ils font la guerre, elle devient mondiale

2. Quand ils ont une opinion, elle est internationale

3. Quand ils s'expriment, ils le font au nom de la communauté
internationale

4. Quant à leurs valeurs, elles sont universelles

5. Quand ils ont une crise, elle est mondiale

6. Quand ils parlent d'eux c'est une langue. Quand ce sont les autres c'est forcément des dialectes.

7. Leurs fruits ont des noms du genre pommes, abricots, pèches. Ceux de l'Afrique sont exotiques, sauvages.

8. Ils se sont installés de force en Amérique, au Canada, en Australie, en Afrique du sud, Amérique du sud et ils nous traitent d'immigrés. Lamentable !

9. Quand ils viennent chez nous ils disent qu'ils sont expatriés et quand c'est nous qui allons chez eux ils nous traitent d'immigrés. Mesquinerie quand tu nous tiens !

10. Ils disent d'eux qu'ils sont en situation irrégulière dans un autre pays. Et quand il s'agit de nous, ils disent que nous sommes des sans-papiers des clandestins.

11. Quand ils s'attaquent à l'occupant, ce sont des résistants. Et quand ailleurs, on s'attaque à l'occupant, ce sont des terroristes.

12. Ils sont les seuls à pouvoir se doter de l'arme atomique et bizarrement, ce sont les autres qui fabriquent et utilisent des "armes de destruction massive".

13. Quand ils les combattaient il y a à peine un demi siècle, on les appelait homosexuels, pédés, tapettes. Et maintenant qu'ils les acceptent, on les
appelle g**s.

14. Quand ils croyaient en un Dieu, le monde entier devait croire en ce Dieu.
Et maintenant qu'ils n'y croient plus, le monde entier devrait accepter le mariage entre deux personnes de même sexe.
(Croire en ce Dieu est devenu ringard)

15. Quand on se met tout nu avec un cache-sexe, nous sommes des sauvages. Et quand c'est eux, ils font du naturisme

16. Quand nos femmes se voilent, nous les opprimons. Quand les leurs se voilent, ce sont des saintes (soeurs).

17. Quand ils y régnaient, on parlait de noble art. Depuis que nous les terrassons, on parle de boxe tout court.

18. Quand ils nous prêtent de l'argent, ils parlent d'aide.

19. Quand ils viennent nous piller, ils nous parlent de partenariat ou d'accord de partenariat.

20. Quand ce sont eux qui le font, c'est du lobbying. Quand c'est nous, c'est de la corruption, du clientélisme, du népotisme.

21. Ils traitent nos scarifications (marques de reconnaissance ethnique) de sauvages. Aujourd'hui ils pratiquent le tatouage à outrance.

22. Ils disent chez eux que la femme est plus libre, mais ils oublient que le corps de la femme se vend en vitrine à Amsterdam. Aujourd'hui pour une pub de yaourt, on a droit à un sein nu.

Quel culot !

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