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29/11/2025
L'Afrique nous a déjà prouvé que c'était possible. Et pas une fois... mais sept fois.Voici sept exemples exclusivement a...
29/11/2025

L'Afrique nous a déjà prouvé que c'était possible. Et pas une fois... mais sept fois.

Voici sept exemples exclusivement africains où la recherche , notamment dans le domaine des sciences humaines et sociales, s'est avérée être l'arme ultime pour sortir d'une crise considérée comme insurmontable.


1966 : l'un des pays les plus pauvres du monde (70 $ de PIB par habitant).
Des économistes et juristes botswanais négocient avec De Beers la coentreprise Debswana (50/50), transfèrent la taille des diamants à Gaborone et réforment la gouvernance coutumière grâce à leurs propres anthropologues.
Résultat : croissance moyenne de 9 % pendant 35 ans. Le Botswana d'aujourd'hui finance ses universités et ses hôpitaux avec ses diamants, non avec l'aide internationale.


1968 : chômage à 40 %, tensions ethniques explosives, un Prix Nobel d'économie annonce la catastrophe.
Des sociologues et économistes mauriciens conçoivent le modèle "zone franche + État social multi-ethnique". Ils démontrent que l'emploi des femmes dans le secteur textile réduit les conflits communautaires.
Résultat : PIB multiplié par 40, indice de Gini parmi les plus bas d'Afrique.

post-Derg
1991 : famine, guerre civile, économie exsangue.
L'Ethiopian Institute of Agricultural Research développe des variétés résistantes. Des économistes élaborent le "Developmental State" à l'africaine.
Résultat : croissance moyenne de 10,5 % pendant 15 ans, pauvreté réduite de moitié.

post-génocide
1994 : PIB réduit de 50 %, un million de morts.
Des anthropologues et juristes rwandais réinventent les tribunaux Gacaca. Des sociologues élaborent les programmes nationaux de réconciliation.
Résultat : croissance de 7 à 8 % par an pendant 25 ans, Kigali devient la ville la plus propre du continent.

1983
Inflation à 123 %, cacao représentant 70 % des exportations.
Des économistes de Legon restructurent le Cocoa Board et instaurent un système de crédit basé sur la recherche agronomique locale.
Résultat : le Ghana redevient le premier producteur mondial sans tomber dans le piège de la mono-exportation.

– Loi sur la parité 2010
Des sociologues et juristes sénégalaises (Penda Mbow, Fatou Sow...) démontrent que la faible représentation des femmes freine le développement.
Résultat : l'Assemblée passe de 19 % à 43 % de femmes en une seule élection. Record africain et mondial à l'époque.

– Commission Vérité et Réconciliation
Des chercheurs sud-africains (Alex Boraine, Albie Sachs...) conçoivent un processus unique de justice transitionnelle.
Résultat : l'apartheid s'achève sans guerre civile raciale.

La leçon est claire. À chaque fois, ce n'est pas l'argent étranger qui a sauvé ces pays en premier. Ce sont leurs propres chercheurs, placés au cœur des décisions.

Le a déjà tout :
L'
L'Institut d'Économie Rurale
Le Malaria Research and Training Center
Des milliers de docteurs formés ici et ailleurs

Il ne manque qu'une seule chose :
La volonté politique de leur dire :
"Vous n'êtes plus des décorations. Vous êtes la première ligne de la guerre contre la crise."

L'Afrique a déjà réussi sept fois.
La huitième peut être malienne.
Et cette fois, ce sera nous qui écrirons l'exemple que les autres étudieront.

An ka taa !
Un Peuple – Un But – Une Foi... enfin réelle.

École du pouvoir : la transition malienne, une nécessaire reconstruction avant la démocratiePar un analyste anonyme.Exis...
26/11/2025

École du pouvoir : la transition malienne, une nécessaire reconstruction avant la démocratie

Par un analyste anonyme.

Existe-t-il une école pour devenir président de la République ?

La question, provocatrice, trouve une résonance particulière dans un Mali engagé dans un processus de refondation nationale.

La célèbre définition d'Abraham Lincoln qui présente la démocratie comme « le pouvoir du peuple, par le peuple, pour le peuple », semble aujourd'hui un objectif lointain mais conscient dans un pays qui doit d'abord recouvrer sa souveraineté et sa sécurité.

Au Mali, la transition actuelle ne rejette pas l'idéal démocratique, mais en postpose la réalisation à la construction préalable des fondations d'un véritable État souverain.

La sécurité : préalable absolu à toute démocratie fonctionnelle

L'objectif premier de la transition militaire lors de son avènement était clair : la lutte contre l'insécurité et la récupération de l'intégralité du territoire national. Cet impératif sécuritaire s'est heurté à une réalité géopolitique complexe.

Le refus malien de se soumettre aux diktats des partenaires traditionnels a déclenché une réaction en chaîne :

👉🏾 Un renforcement soudain des groupes terroristes coïncidant avec la nouvelle orientation diplomatique

👉🏾 Des difficultés accrues pour concentrer les efforts sur le développement économique
👉🏾 La nécessité de faire face simultanément aux défis sécuritaires et aux pressions internationales

Comme le note l'analyste stratégique malien Dr. Mohamed Touré :

"La synchronisation entre le changement d'orientation diplomatique et la recrudescence des attaques terroristes n'est pas une coïncidence, mais relève d'une stratégie de déstabilisation bien orchestrée" (Touré, 2024, p. 67).

Des résultats tangents malgré l'adversité

Dans ce contexte d'hostilité multifrontale, la transition peut pourtant enregistrer des progrès significatifs :

Sur le plan sécuritaire :

👉🏾 Reprise progressive de territoires perdus depuis 2012
👉🏾 Amélioration des capacités opérationnelles de l'armée malienne
👉🏾 Réduction des attaques terroristes dans les centres urbains

Sur le plan du développement :

👉🏾 Lancement de projets d'infrastructures routières et sanitaires dans les régions reculées

👉🏾 Réhabilitation des réseaux énergétiques vieillissants

👉🏾 Initiatives pour l'autosuffisance alimentaire face aux sanctions économiques

Le ministre du Développement industriel souligne :

"Chaque jour, nous célébrons des victoires silencieuses qui préparent le Mali de demain. Les projets que nous lançons aujourd'hui porteront leurs fruits à court, moyen et long terme" (Dembélé, 2025).

La réforme des partis politiques : un nettoyage nécessaire

La dissolution des partis politiques ne représente pas une fin en soi, mais un passage obligé vers un système politique renouvelé et authentiquement au service des populations.

Cette démarche s'inscrit dans une logique de :

👉🏾 Assainissement de la vie politique des pratiques clientélistes et corruptrices
👉🏾 Redéfinition des fondements programmatiques basés sur les véritables enjeux nationaux
👉🏾 Création de nouvelles formations ancrées dans les réalités maliennes contemporaines

Un membre de la Commission de réforme politique explique :

"La suspension des partis n'est pas définitive. Il s'agit de les restructurer pour qu'ils redeviennent des instruments au service du peuple et non des machines à capter des rentes" (Diallo, 2024, p. 89).

Les réformes électorales : construire la crédibilité avant les urnes

La transition travaille activement à la mise en place d'un système électoral crédible et transparent, consciente que sans sécurité, aucune élection ne peut véritablement exprimer la volonté populaire.

Les axes de réforme en cours :

👉🏾 Élaboration d'un fichier électoral biométrique fiable

👉🏾 Mise en place d'une commission électorale véritablement indépendante

👉🏾 Sécurisation du processus de vote dans toutes les régions

👉🏾 Garantie de la transparence du dépouillement et de la proclamation des résultats

Comme le rappelle le Colonel Assimi Goïta :

"Notre engagement pour des élections libres et crédibles reste intact. Mais organiser des élections dans l'insécurité reviendrait à trahir la confiance du peuple malien" (Discours à Koulouba, 2024).

Le calendrier de la transition : une question de conditions plutôt que de temps

La transition malienne ne refuse pas l'échéance électorale, mais la conditionne à la réalisation d'objectifs précis :

👉🏾 La restauration de la sécurité sur l'ensemble du territoire national

👉🏾 La mise en place d'institutions fortes et crédibles

👉🏾La création des conditions d'une réelle alternance politique

👉🏾 La garantie que les élections ne ramèneront pas les anciennes pratiques

Le professeur de sciences politiques Aïcha Konaté souligne :

"La démocratie ne se réduit pas à des élections. C'est un écosystème qui nécessite un État fonctionnel, une sécurité assurée et des institutions crédibles. C'est cet écosystème que la transition tente de construire" (Konaté, 2024, p. 112).

Conclusion : la démocratie comme aboutissement plutôt que comme point de départ

Alors, existe-t-il une école pour devenir président de la République ?

Au Mali, c'est peut-être l'école des réalités nationales qui forme aujourd'hui les dirigeants de demain. Une école où l'on apprend que la démocratie véritable ne peut éclore que dans un environnement sécurisé, avec des institutions solides et un peuple conscient de ses intérêts fondamentaux.

La transition malienne ne représente pas un rejet de la démocratie, mais sa réinvention dans un contexte où les modèles importés ont échoué.

En prenant le temps de construire les fondations nécessaires, elle prépare l'avènement d'une démocratie authentiquement malienne, qui reflétera réellement la voix du peuple et servira ses intérêts fondamentaux.

Comme le dit un adage populaire malien : "On ne construit pas sa maison en banco pendant la saison des pluies". Le Mali, en attendant que passe la tempête sécuritaire et géopolitique, prépare les matériaux pour bâtir une démocratie durable et adaptée à ses réalités.

©️ 2025 - Kibaru Buzz - Kibaru Buzz2

Analyste anonyme
__________________________________________

Références

Dembélé, S. (2025). Discours sur les projets de développement national. Archives de la Présidence malienne.

Diallo, M. (2024). La réforme du système partisan malien : nécessité et perspectives. Éditions Jamana.

Konaté, A. (2024). Démocratie et contexte sécuritaire : le cas du Mali. Presses universitaires du Sahel.

Touré, M. (2024). Géopolitique du terrorisme au Sahel : les nouveaux enjeux. Centre d'études stratégiques du Mali.

Goïta, A. (2024). Discours sur la feuille de route de la transition. Archives nationales du Mali.

25/11/2025

Dans cet entretien, le directeur exécutif du Centre des études sécuritaires et stratégiques au Sahel(CE3S) livre son analyse sur la nouvelle posture des groupes radicaux violents qui s’attaquent désormais aux sources de ravitaillement du pays en carburant. Dr Aly Tounkara se prononce aussi su

25/11/2025

NÉOCOLONIALISME

L’indépendance ? Un drapeau.
Le pouvoir réel ? Toujours ailleurs.

Le colonialisme d’hier : « Tu m’appartiens. »

Le néocolonialisme d’aujourd’hui : « Tu es libre… mais tu m’obéis. »

Les mécanismes :
➡️ Dette + FMI
➡️ Franc CFA
➡️ Multinationales qui pompent l’or et le coton
➡️ Bases militaires françaises jusqu’en 2022… et toujours des accords secrets
➡️ Élites formées à Paris
➡️ Aide « généreuse » avec conditions

Les voix qui ont tout dit :

Nkrumah :

« Dernière étape de l’impérialisme. »

Fanon :

« La bourgeoisie nationale trahit son peuple. »

Sankara :

« Celui qui te nourrit te contrôle. »

Galeano :

« On trait encore la vache à lait. »

Rodney :

« Le sous-développement a été fabriqué. »

Preuve brutale en une phrase :

Le Mali est 3ᵉ producteur d’or d’Afrique.
En 2023, l’or représentait 83 % des exportations.Mais il reste l’un des pays les plus pauvres du monde.

L’or sort, la richesse reste à l’extérieur.

Rien n’a changé.

Sauf le nom.

Mais le chemin est pris pour en sortir : la prise de conscience de nos autorités actuelles pave la voie. Preuve en date de ce 24 novembre 2025 : après un an de conflit acharné, l’État malien a signé un protocole d’accord avec Barrick Gold sur le complexe aurifère de Loulo-Gounkoto.

Résultat ?

Libération des employés détenus, restitution de l’or saisi, retrait de l’arbitrage international par la multinationale, et surtout, acceptation du nouveau code minier qui booste la participation de l’État à 35 %, un pas ferme vers la souveraineté sur nos ressources.

La dignité commence par la vérité. Et se gagne par l’action.

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  « ULPC : Quand l’État et les populations unissent leurs forces »🔥🇲🇱 PROJET ULPC : Une Solution Malienne, Réaliste et F...
19/11/2025

« ULPC : Quand l’État et les populations unissent leurs forces »

🔥🇲🇱 PROJET ULPC : Une Solution Malienne, Réaliste et Faisable pour Sécuriser nos Localités ! 🇲🇱🔥

À l'attention du public et des décideurs, explorons ensemble la viabilité d'un projet visant à renforcer la sécurité locale dans le cadre de l'initiative ULPC (Unité Locale de Protection Communautaire).

Note : Une suggestion émanant d'un citoyen désireux d'apporter sa contribution au défi actuel.

La sécurité N’EST PAS un luxe. C’est un droit.
Et aujourd’hui plus que jamais, le Mali a besoin de solutions pragmatiques, intelligentes et maîtrisées.

🎯 C’est dans ce sens que naît le Projet ULPC — Unités Locales de Protection Communautaire.

👉 Des chasseurs locaux formés, encadrés, équipés avec des moyens modernes.
👉 Des unités agissant sous contrôle strict de l’État.
👉 Un modèle inspiré des expériences réussies dans plusieurs pays du monde, mais adapté au contexte malien.

💡 Pourquoi c’est faisable ? Pourquoi c’est le moment ?

Parce que partout où des forces communautaires ont existé — du Kenya à la Colombie, en passant par l’Éthiopie ou l’Irak — les leçons sont claires :

✖️ Quand il n’y a PAS de contrôle de l’État → débordements.
✖️ Quand il n’y a PAS de formation → abus et inefficacité.
✖️ Quand il n’y a PAS de coordination → conflits internes.

Nous avons appris de ces erreurs.
Nous pouvons faire mieux.

✔️ La proposition ULPC : une démarche propre, structurée et encadrée

Voici les trois piliers du modèle proposé :

1️⃣ Un encadrement total par l’État

Formation militaire et civique obligatoire

Registre officiel, identifiant unique, traçabilité totale

Reddition de comptes stricte

Intégration dans le dispositif national de sécurité

2️⃣ Une doctrine claire : protéger, signaler, sécuriser… PAS punir

Mission centrée sur l’alerte précoce

Protection des populations et des routes

Appui aux FAMa, jamais en substitution

Zéro justice parallèle

3️⃣ Une montée en puissance maîtrisée

Démarrage pilote dans 3 régions

Évaluation scientifique indépendante

Expansion progressive selon les résultats

Participation citoyenne dans la gouvernance locale

🔥 Ce n’est pas une milice.
🔥 Ce n’est pas une force parallèle.
🔥 C’est un outil stratégique, réfléchi, contrôlé, utile.

Les ULPC ne remplacent pas l’État : elles renforcent sa présence là où elle manque.

📢 Nous lançons ce débat aujourd’hui :

Le Mali doit-il adopter cette stratégie structurée de protection communautaire ?

Dites-nous ce que vous en pensez 👇
Partagez pour faire circuler l’idée.
🇲🇱 Pour un Mali fort, organisé et résilient. 🇲🇱

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Kibaru Buzz |     Kibaru Buzz2       Situation au Mali : Réponse aux affirmations de M. Étienne Fakaba Sissoko Chers abo...
18/11/2025

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Situation au Mali : Réponse aux affirmations de M. Étienne Fakaba Sissoko

Chers abonnés de Kibaru Buzz, aujourd'hui, nous répondons aux déclarations de M. Étienne Fakaba Sissoko, opposant malien exilé, qui a affirmé lors d'une interview sur TV5MONDE que "Bamako, à l'image du Mali entier, est entre les mains du JNIM" et que "l'État est impuissant, incapable de contrôler le territoire, laissant les populations à elles-mêmes."

Il décrit un "calvaire quotidien" avec des files d'attente interminables pour le carburant et appelle à un dialogue avec le JNIM, estimant que "la junte n'est pas crédible pour mener de telles discussions."Cependant, les faits contredisent cette vision pessimiste.

Les Forces Armées Maliennes (FAMa), en collaboration avec l'Alliance des États du Sahel (AES), la Russie via Africa Corps, ont mené des opérations militaires significatives contre le JNIM.
En mai 2025, une opération conjointe AES dans la région de Hombori a détruit plusieurs caches d'armes et neutralisé des combattants jihadistes, selon des rapports de l'Institut pour l'Étude de la Guerre (ISW).

La Russie a fourni des drones et des conseillers militaires, permettant des frappes précises contre des cibles logistiques du JNIM en juin 2025 (source : Nordic Monitor, juillet 2025).

La Turquie a également facilité des livraisons alternatives via des routes sécurisées et fourni des drones Bayraktar TB2, utilisés dans des opérations près de Nioro du Sahel en septembre 2025 (source : African Security Analysis, octobre 2025).

Concernant le blocus économique, "les files d'attente interminables" décrites par M. Sissoko ne reflètent pas l'ensemble des efforts.

En octobre 2025, des convois protégés, escortés par des forces conjointes AES et la Russie, ont été organisés pour assurer l'approvisionnement en carburant, malgré les attaques jihadistes (source : Africa File, ISW, septembre 2025).
Des partenariats stratégiques et purement libéral avec des pays voisins ont permis d'augmenter temporairement l'entrée de citernes, et des générateurs d'urgence ont été déployés dans les hôpitaux et les centres vitaux (source : African Security Analysis, octobre 2025).

M. Sissoko affirme que "dialoguer avec le JNIM est nécessaire," mais les autorités maliennes, via l'AES, ont adopté une stratégie régionale de stabilisation militaire avant toute négociation.

En 2025, des sommets AES à Bamako et Niamey ont renforcé la coopération militaire et économique, visant à contenir la menace djihadiste (source : ISW, novembre 2025).

Sur la gestion des ressources, M. Sissoko sous-entend que les autorités se préoccupent plus de préserver leur pouvoir que de défendre les citoyens.

Pourtant, en 2024, des contrats avec des entreprises chinoises pour exploiter le lithium à Goulamina ont été signés, avec des clauses favorisant la souveraineté nationale (35 % de parts locales) et des revenus réinvestis dans la sécurité (source : Reuters, décembre 2024).

La nationalisation des mines d'or en 2023 a réaffirmé le contrôle sur des revenus cruciaux, alloués à l'achat d'équipements militaires russes (source : Bloomberg, janvier 2024).

Enfin, malgré les défis, des initiatives locales soutenues par l'État et des partenaires internationaux diversifiés ont été mises en place.

Des programmes d'assistance humanitaire ont été lancés en 2025 (source : OCHA, octobre 2025).

Des efforts de décentralisation ont permis à des gouverneurs, maires et chefs de village de gérer des crises locales (source : African Security Analysis, novembre 2025).

Les efforts des FAMa et des autorités maliennes, bien que confrontés à des défis immenses, sont soutenus par des partenariats stratégiques avec l'AES, la Russie, et la Turquie, démontrant une réponse multidimensionnelle à la crise.

Contrairement à l'affirmation de M. Étienne sur l'impuissance de l'État, les actions concrètes montrent une détermination à maintenir la souveraineté et à protéger les citoyens.

Loin d'être passives, les autorités agissent de manière proactive, avec des résultats tangibles, même si moins visibles pour le grand public.

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🇲🇱 Le Mali, Modèle de Résistance et d’EspoirDepuis Soundiata Keïta, la résistance contre la domination injuste est ancré...
14/11/2025

🇲🇱 Le Mali, Modèle de Résistance et d’Espoir

Depuis Soundiata Keïta, la résistance contre la domination injuste est ancrée dans l’âme du Mali. Des royaumes du passé aux luttes modernes, notre pays a toujours su se dresser, uni, face aux forces extérieures cherchant à imposer leur volonté.

Aujourd’hui encore, alors que le monde traverse des turbulences politiques et sécuritaires, le Mali démontre une vérité simple :
👉 Aucune force négative ne peut dominer un peuple déterminé, conscient et rassemblé.

🔶 Notre diversité : un atout stratégique, pas un obstacle

Ethnies, langues, cultures, traditions : notre diversité est une richesse stratégique.
C’est elle qui nous permet d’être plus résilients, plus créatifs, plus solidaires.

Lorsque nous avançons ensemble — du Nord au Sud, de Kayes à Kidal, de Sikasso à Mopti — nous devenons ce que l’hymne national proclame : un Peuple, un But, une Foi.

🔶 Une prise de conscience nationale sans précédent

Les tentatives externes d’ingérence, les manipulations informationnelles et les pressions politiques ont déclenché l’inverse de ce qui était recherché :
➡️ une consolidation de notre souveraineté,
➡️ un renforcement du patriotisme,
➡️ une solidarité accrue entre les Maliens,
➡️ une vigilance face aux alliés internes de la déstabilisation.

Les faits sont clairs : malgré les épreuves, le Mali avance, se relève et impose sa voie.

🔶 L’avenir : un chemin tracé vers la dignité et la stabilité

Le Mali n’est pas seulement un territoire :
c’est une histoire de résistances victorieuses,
une volonté de vivre libre,
un peuple debout.

Notre résilience actuelle n’est pas un hasard.
Elle s’inscrit dans une longue tradition où le Mali refuse la domination, protège sa dignité, et ouvre la voie à un avenir meilleur — pour lui-même et pour l’Afrique entière.

✨ « Pour l'Afrique et pour toi, Mali, notre combat sera unité. »
(Hymne national du Mali)

🇲🇱 Ensemble, continuons de bâtir un Mali fort, souverain et solidaire.

Face aux défis extérieurs et à leurs relais internes, notre meilleure réponse restera :
l’unité, la lucidité et la résilience.

Très belle initiative pour le développement et l'accent aux services sociaux de base sur l'ensemble du territoire. Bravo...
10/11/2025

Très belle initiative pour le développement et l'accent aux services sociaux de base sur l'ensemble du territoire.

Bravo à la transition




10/11/2025

Tout le Mali est fier de toi. 🇲🇱 😅

10/11/2025

Mali 🇲🇱 2025 |

Un événement de grande envergure, incontournable, se déroulera à Bamako, la vibrante capitale du Mali, du 11 au 14 novembre 2025, sous le prestigieux patronage de Son Excellence Assimi GOITA, président de la transition et chef de l'État.

  Mali 🇲🇱: Voici l'usine de fer en béton, une réalisation impressionnante et stratégique, fabriquée sur le sol malien. C...
10/11/2025

Mali 🇲🇱: Voici l'usine de fer en béton, une réalisation impressionnante et stratégique, fabriquée sur le sol malien.

Ce projet ambitieux a vu un investissement colossal de plus de 15 milliards de FCFA, montrant clairement l'engagement et la détermination à développer l'économie nationale.

Grâce à cette initiative, l'usine est non seulement un symbole de croissance industrielle, mais elle a également permis de créer plus de 1000 emplois, tant directs qu'indirects, apportant ainsi des opportunités considérables à la population locale.

Félicitations sont de rigueur pour le groupe Sodouf et le gouvernement malien pour leur vision d'avenir et leur contribution significative au développement économique du pays.

Source :



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