Bulacom

08/10/2025

Sécurité au Mali : Le peuple attend des actions fortes pour protéger son honneur

Le Mali est en guerre contre le terrorisme. Les terroristes, ceux qui les soutiennent et ceux qui font leurs communications sont tous des Maliens. Une guerre compliquée !

Les terroristes sont des bandits armés. Ils sont dévoués à leurs causes. Ils sont bien payés et bien armés. Ils pensent qu'ils iront au paradis après leur mort.

Il y a plusieurs batailles dans cette guerre, comme celle sur les hydrocarbures. Pour le moment, ils réussissent à rendre difficile l'importation de carburant. Si cela continue, même ceux qui brûlent des citernes ne pourront pas bouger. Cette stratégie est un piège qui se referme sur eux-memes! Ils sont stupides, tant mieux !

Il n'y aura pas de vainqueur dans cette bataille sur les hydrocarbures, c'est sûr. C'est surtout un échec pour les terroristes qui circulent en motos et qui n'ont pas d'autres moyens de conserver leur carburant que des bidons de 20 litres.

Cette fois-ci, les terroristes ont raté leur cible. Il est clair que l'Armée Malienne n'a pas encore déployer les grands moyens pour changer la donne. Faut-il brûler la case pour se débarrasser des cafards?

Par exemple, les autorités peuvent créer des groupes armés pour assurer l’auto-défense de la population civile dans les zones où les forces de l’ordre ne sont pas présent permanemment.

Cela est une des solutions envisageables car au Mali, la population connaît les terroristes et sait où ils se cachent. Elle n'a juste pas les moyens logistiques pour les aneantir afin de cultiver les champs en sécurité.

Les volontaires, les bras valides ne manquent pas au Mali, les hommes attendent que les autorités réagissent à leur faveur.

Le peuple malien veut se libérer de toute forme de domination (culturelle, religieuse, politique, etc.) et ne veut pas de dialogue avec les terroristes. Le terrorisme n'a pas d'avenir au Mali, la seule option pour les assaillants est d'abandonner les armes au risque d'être anéanti.

Djibril Elhassane TRAORE

07/10/2025

Bulacom :
*Dénonciation citoyenne contre les abus des fondateurs d’écoles privées en Guinée*

Je tiens à exprimer ma profonde indignation face aux pratiques injustes et moralement répréhensibles de nombreux fondateurs d’écoles privées en République de Guinée. Chaque année, des milliers de parents d’élèves sont confrontés à des hausses arbitraires et exorbitantes des frais de scolarité, sans justification pédagogique ni amélioration tangible des conditions d’apprentissage.

Ces fondateurs, mus davantage par des intérêts lucratifs que par une vocation éducative, imposent des mensualités inaccessibles à la majorité des familles guinéennes. Pire encore, ils exigent des paiements anticipés sur plusieurs mois, ignorant totalement la réalité économique des ménages dont les revenus sont perçus mensuellement. Cette pression financière est d’autant plus insoutenable pour les familles nombreuses.

Il est inadmissible que l’éducation, pilier du développement national, soit transformée en un marché sauvage où règne l’anarchie tarifaire. Certains établissements vont jusqu’à obliger les parents à acheter tenues, manuels et fournitures à des prix supérieurs à ceux du marché, créant un monopole déguisé et abusif.

Je dénonce également l’inaction des autorités compétentes qui, malgré les plaintes répétées des citoyens et les alertes de l’Union pour la Défense des Consommateurs, t**dent à mettre en place un cadre réglementaire strict pour encadrer les frais scolaires et protéger les droits des familles.

L’éducation ne doit pas être un luxe réservé à une minorité. Elle doit rester un droit accessible à tous, dans le respect de la dignité des parents et de l’avenir des enfants.

J’appelle donc les ministères concernés à intervenir sans délai pour:
- Réguler les frais de scolarité dans les écoles privées
- Interdire les paiements anticipés abusifs
- Sanctionner les établissements qui imposent des achats obligatoires à des tarifs non réglementés
- Mettre en place un mécanisme de contrôle tran

06/10/2025

06/10/2025

04/10/2025

Bulacom : Procès de dissolution des partis politiques : Le Tribunal rejette la requête, les avocats font appel..

Dans une décision très attendue, le Tribunal de grande instance de la Commune VI s’est prononcé ce mercredi matin sur la requête visant à contester la dissolution des partis politiques.

Le juge a estimé qu’il n’y avait pas lieu de statuer, rejetant ainsi la requête comme "mal fondée". Une décision qui suscite déjà de vives réactions parmi les partisans des formations concernées.

L’audience, ouverte à 9h dans une salle archicomble, a réuni les représentants des partis dissous, leurs avocats, des observateurs, ainsi que de nombreux citoyens venus témoigner leur soutien.

La requête déposée par les avocats contestait la légalité de la dissolution prononcée par les autorités de la Transition, invoquant des atteintes aux droits fondamentaux et au pluralisme politique.

Mais dès les premières minutes, le juge a tranché. Il estime que les éléments présentés et les plaidoiries des conseils de la défense ne justifiaient pas une remise en cause de la mesure. Le rejet, qualifié de "mal fondé", a été prononcé par tribunal.

À peine le verdict tombé, les avocats des partis concernés ont annoncé leur décision d’interjeter appel. Dans la salle, la consternation était palpable. "Nous ne pouvons accepter que la justice refuse de se prononcer sur une question aussi grave que la dissolution arbitraire de formations politiques", a dit un ex responsable.

Alors certains s’attendaient à une suite favorable dans ce dossier, pour de nombreux observateurs, la décision du tribunal soulève des interrogations sur l’indépendance de la justice et la vitalité démocratique du pays.

L’appel interjeté ouvre une nouvelle phase judiciaire. La Cour d’appel de Bamako sera prochainement appelée à se prononcer sur la recevabilité et le fond de l’affaire.

Les avocats espèrent que cette instance prendra le temps d’examiner les arguments constitutionnels et les implications politiques de la dissolution.

Ousmane Mahamane

02/10/2025

Bulacom : Les impérialistes veulent interdire au Niger de vendre son propre uranium sur le marché international. La France déchue, décide de poursuivre judiciairement tout pays qui achète cet uranium. Il faut rappeler que la France achetait l'uranium nigerien à 0,8€/kg soit 524fcfa. Pourtant, sur le marché international le prix se discute à 300€/kg environ 200.000fcfa. Une ampoule 💡 sur trois en France fonctionne grâce à l'uranium nigerien.

Pour le moment, les pays prêts à achéter sont là Chine, la Russie et la Türkiye. La France refuse toujours de reconnaître la souveraineté du Niger, mais trop t**d car elle n'aura que des yeux pour pleurer. Bientôt la France sera dans l'obscurité totale. Pendant ce temps, l'AES avance avec sérénité.

Au lendemain du 26 Juillet 2023, le Niger a saisi plusieurs tonnes exploitées par Orano, l'entreprise neocoloniale de la France qui pillait l'uranium nigerien depuis les indépendances. La France crie au scandale.

Amadou Maiga

02/10/2025

C’est avec une profonde tristesse que Bulacom TV a appris l’assassinat tragique de l’honorable Abdoul Djalil Haïdara, ancien député et promoteur de Ségou TV, survenu ce jeudi 2 octobre 2025 aux environs de 16h entre Tigui et konobougou, sur la route de Ségou.

En ces moments douloureux, nous adressons nos condoléances les plus attristées à sa famille, à ses proches ainsi qu’à l’ensemble de la communauté de Ségou. L’honorable Haïdara restera dans les mémoires comme un homme d’engagement et de vision, qui a marqué la vie politique et médiatique de notre pays.

Que son âme repose en paix et que Dieu Tout-Puissant l’accueille dans son infinie miséricorde.

Bulacom TV

01/10/2025

Dors en paix SIDNEY.

01/10/2025

01/10/2025

Bulacom : SUR L'ÉCOLE !
Une production de Bulacom, réalisée et animée par Rodrigue YAOU
Invité : M. Alassane TOURÉ chargé aux revendications du Syndicat Libre des Enseignants des Écoles Privées du Mali.
Thèmes: Au seuil de la rentrée scolaire 2025-2026 quelles sont les préparations au niveau des enseignants, des élèves et les parents face à la situation actuelle ?
Moyens techniques : Bulacom
Programmation : Mamadou Sanogo
Téléphone : (00223) 20 80 34 82 - 70 91 61 50 Bko Rep. Mali