08/09/2025
ððð-ðð§ððšð¬ - ððšð®ð§ðð¢ðð§ : ð¥ð ðŠð²ð¬ðÚð«ð ðð® ðððð ðð ð¥ð ðŠðð¥Ã©ðð¢ððð¢ðšð§ ððð¬ ððð«ðŠð¢ððð¬.
ð°ðð : ðð ðð¡ð®ðð ðð® ðððð.
Le ðððð de ððšð®ð§ðð¢ðð§, bastion imposant construit par ðð¥ ðððð£ ððŠðð« ððð¥ð¥, semblait inébranlable. Ses murs massifs, dressés avec force et foi, protégeaient ses fidÚles et incarnaient la puissance dâune vision spirituelle et militaire. ððð¢ð¬ ð¥âð¡ð¢ð¬ððšð¢ð«ð ð«ðÌð¬ðð«ð¯ð ððšð®ð£ðšð®ð«ð¬ ð¬ðð¬ ðÌð©ð«ðð®ð¯ðð¬.
Lorsque les colons décidÚrent dâétendre leur domination, le ðððð ððð¯ð¢ð§ð lâune de ð¥ðð®ð«ð¬ ðð¢ðð¥ðð¬ ðŠðð£ðð®ð«ðð¬. Armés de nouvelles stratégies et de technologies de guerre inconnues des habitants, ils lancÚrent lâassaut. ðð ð«ðÌð¬ð¢ð¬ððð§ðð ðð®ð ððð«ðšð®ðð¡ð : hommes et femmes se battirent avec courage, mais la disproportion des forces fit pencher la balance.
Le ðððð finit par tomber, ses ðŠð®ð«ðð¢ð¥ð¥ðð¬ ðð«ð¢ð¬ðÌðð¬, ses fidÚles capturés ou dispersés. Pourtant, malgré les siÚcles et les pluies, certains ð¯ðð¬ðð¢ð ðð¬ ðððŠðð®ð«ðð§ð ðð§ððšð«ð ðð®ð£ðšð®ð«ðâð¡ð®ð¢. Ces morceaux de mur dépassant parfois la taille dâð®ð§ ð¡ðšðŠðŠð rappellent à tous quâici sâéleva autrefois une forteresse de ððšð¢ et de ððšð®ð«ðð ð.
Le ðððð de ððšð®ð§ðð¢ðð§ nâest donc pas seulement une ruine. Il est un témoignage vivant, une cicatrice de pierre qui raconte la résistance, la douleur et la ð ð«ðð§ððð®ð« ðâð®ð§ ð©ðð®ð©ð¥ð.
ð ððð§ð¬ ð¥ð ð°ðð : ðâðšð« ððšð§ðð¢Ã© ðð ð¥ð ðð«ðð¡ð¢ð¬ðšð§, ð§ðšð®ð¬ ðéððšð®ð¯ð«ð¢ð«ðšð§ð¬ ð®ð§ éð©ð¢ð¬ðšðð ðŠð²ð¬ðéð«ð¢ðð®ð± ðð ðð«ððŠððð¢ðªð®ð : ððšðŠðŠðð§ð ð¥âðšð« ððšð§ðð¢Ã© ðð®ð± ððšð®ð¬ð¢ð§ð¬ ðð¢ð¬ð¬ðšð€ðš ð©ðð« ðð¥ ðððð£ ððŠðð« ððð¯ð¢ð§ð ð¥ð ð¬ðšð®ð«ðð ðâð®ð§ð ðð«ðð¡ð¢ð¬ðšð§ ðªð®ð¢ ðŠðð«ðªð®ð ð©ð«ðšððšð§ðéðŠðð§ð ð¥âð¡ð¢ð¬ððšð¢ð«ð ðð ððšð®ð§ðð¢ðð§.
Moussa B. Sidibé ðð¯ðð ððšð®ððððð« ð. ðð¢ð¬ð¬ðšð€ðš, ðð±-ðŠðð¢ð«ð ðð ððšð®ð§ðð¢ðð§.