Journal Le Mali Emergent

Journal Le Mali Emergent Le Mali Emergent, un hebdomadaire d'informations Economiques, Financières, Boursières et Politiques. Il Paraisse chaque Lundi à Bamako.

En 2023, le Journal changer sa ligne éditoriale, traitant ainsi, l'économie et la Finance du Mali et d'ailleurs.

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06/07/2025

Retrouvez la UNE de votre magazine Croissance Afrique dans vos kiosques à Journaux ce lundi matin.

Au menu: Lithium de Bougouni et son approvisionnement, La 92 session du conseil d'administration de la Banque de développement de la CEDEAO (la BIDC ), Afreximbank : Un nouveau Président prend la direction , le secteur minier ivoirien et RD Congolais, le marché Financier de l'UMOA, le BOA Burkina et les agences de notations, la SOMAGEP et son mobilisation de fonds, et tant d'autres.

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15/06/2025

La une de votre magazine Croissance Afrique dans vos Kiosques a journaux ce Lundi matin.

Au Sommaire : un dossier spécial sur le projet d'hydrogène naturel de Bourkebougou, la chute du PNB de la Bank of Africa au 1er trimestre 2025, les recettes fiscales mobilisées par les Régis au 1er trimestre 2025, le partenariat Coris Bank et Toguna motors, le rebranding de SanlamAmllianz, l'analyse des projets et programmes de l'UEMOA a Bamako, signature de la convention Orange money Mali et Orabank Mali, l'intervention du Mali sur le marché financier de l'Umoa, et tant d'autres : 1000 fca, et la version numérique (PDF a 15000f CFA) via Orange money :+2276822657. Abonnez-vous à Croissance Afrique

Sidi Ould Tah remporte les élections de la Banque Africaine de Développement (BAD) à AbidjanLe 29 mai 2025, lors d’un vo...
29/05/2025

Sidi Ould Tah remporte les élections de la Banque Africaine de Développement (BAD) à Abidjan

Le 29 mai 2025, lors d’un vote décisif à Abidjan, Sidi Ould Tah, originaire de Mauritanie, a été élu 10e président de la Banque africaine de développement ( ). Succédant à Akinwumi Adesina, dont le mandat de dix ans a été marquant pour l’institution, cette élection ouvre une nouvelle ère pour la BAD.

Il a été élu président de la Banque africaine de développement (BAD) à l’issue du troisième tour de scrutin, ce 29 mai 2025 à Abidjan. Au terme du troisième tour, le mauritanien a obtenu 76,18% des voix, contre 20,26% pour Samuel Maimbo et 3,55% pour le sénégalais Amadou Hott. L’ancien président de la BADEA s’impose donc au terme du troisième tour dans l’une des élections les plus courtes de l’histoire de la BAD. Plus que le score c’est le consensus africain qui a frappé les esprits. Sidi Ould Tah a obtenu 72, 37% du vote des non régionaux.

La sélection de Sidi Ould Tah, parmi un panel de candidats hautement qualifiés, témoigne d’un choix à la fois stratégique et symbolique. Son expérience en matière de réforme des institutions financières et sa vision panafricaine inclusive ont renforcé sa candidature, ainsi que sa capacité à établir des liens entre les États, les régions et les partenaires de développement.

Avec plus de 30 ans d’expérience dans l’économie du développement, la finance publique et la coopération internationale, Sidi Ould Tah a dirigé, depuis 2015, la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), qu’il a modernisée pour en faire un acteur central de l’architecture financière du continent. Son élection reflète le désir des actionnaires de rapprocher la BAD des réalités des États, tout en visant efficacité, souveraineté et réactivité. Reconnu tant par les pays francophones qu’anglophones, ainsi que par les institutions continentales et la société civile africaine, il incarne une voix du Sud dotée d’une légitimité régionale.

Dans son discours d’acceptation, le nouveau président a affirmé sa volonté de réinscrire la Banque dans les priorités concrètes des Africains, mettant l’accent sur des enjeux tels que l’industrialisation du continent, l’investissement dans les infrastructures de base, la transformation agricole, et l’autonomisation des femmes et des jeunes. Sa feuille de route s’articule autour de trois axes : rapprocher la BAD des États pour mieux répondre à leurs besoins, renforcer son agilité pour accélérer les décaissements et réduire les délais de mise en œuvre des projets, et promouvoir une BAD souveraine en augmentant les investissements dans le capital africain, qu’il soit fiscal, naturel, humain, commercial ou financier.

Dans un continent où 587 milliards de dollars sont perdus chaque année à cause de fuites de capitaux, alors que le potentiel mobilisable est évalué à 1 430 milliards de ressources internes, Sidi Ould Tah plaide pour une Banque qui accompagne les États dans la reconquête de leur souveraineté budgétaire. En tant qu’architecte d’un renouveau de la coopération arabe-africaine au sein de la BADEA, il défend une approche pragmatique du partenariat, respectueuse de la souveraineté, favorisant la complémentarité des financements et la logique de co-développement. Son élection est perçue comme un rééquilibrage géopolitique en faveur des institutions africaines et de la coopération interrégionale Sud-Sud.

Notons que la BAD, avec un portefeuille de 318 milliards de dollars et une présence dans plus de 50 pays, se trouve à un tournant. Dans un contexte marqué par des tensions budgétaires, des mutations climatiques et des attentes sociales croissantes, elle doit se réinventer. La stratégie décennale 2024–2033, qui appelle à une transformation systémique de l’économie africaine, attend maintenant un leader capable de réaliser ces ambitions.

Sidi Ould Tah devra donc allier impact et proximité, discipline financière et flexibilité stratégique. En ce 29 mai 2025, la BAD change de visage, mais son objectif demeure clair : accélérer le développement d’une Afrique forte, intégrée, prospère et souveraine.

Daouda Bakary KONE

Source: Croissance Afrique

Retrouvez la Une de votre magazine Croissance Afrique dans vos Kiosques aux journaux demain matin...Un dossier spécial a...
11/05/2025

Retrouvez la Une de votre magazine Croissance Afrique dans vos Kiosques aux journaux demain matin...

Un dossier spécial axé sur le secteur agricole : le financement du coton, les réformes du coton, du Mali, au Burkina Faso, au Bénin, et au Tchad, l seul représentant performant de l'Afrique centrale.

Il y a aussi, la question Africaine du financement des industries créatives et culturelles, la question de la baisse des objectifs du secteur minier malien en 2025, le rôle des banques agricoles dans le financement du coton, la grande performance de la Banque Malienne de la solidarité (BMS-SA), les mines Burkinabé, la sortie du Burkina sur le marché financier de l'Umoa, la hausse des réserves d'or du Ghana, le conseil supérieur de l'agriculture à Bamako et les ambitions du président GOÏTA pour l'agriculture en 2025, le retour du président de la BGFIBank au ministère des finances au Gabon, le barrage de manantali et sa pression axée sur l'EDM-sa, autant de dossiers ont été évoqués dans ce magazine.

Nous le vendons à 1000 FCFA, et la version numérique 15000 FCFA, payable par Orange money au numéro :+22376822657

Passez vos commandes : ceux dans la zone de Bacco Djicoroni ACI et environs, vous pouvez nous appeler pour vous livrer vos exemplaires.

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04/05/2025

Retrouvez la UNE de votre Magazine financier Croissance Afrique dans vos Kiosques à journaux. Les articles phares sont strictement axés sur le secteur financier et petro-gazier.

Pour ceux qui ont besoin du PDF, c'est à 1 500fcfa par Orange money: 76 82 26 57 et la copie dure est vendable à 1000 FCFA.

Au  , le peuple apporte son  soutien au capitaine Ibrahim Traore:  retour en images sur la forte mobilisation à
30/04/2025

Au , le peuple apporte son soutien au capitaine Ibrahim Traore: retour en images sur la forte mobilisation à

Retrouvez la Une du Magazine Croissance Afrique dans vos Kiosques à journaux ce lundi matin..Au sommaire : Interview de ...
27/04/2025

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Au sommaire : Interview de Moussa Mara sur les secteurs vitaux de l'économie Malienne...la Croissance économique pour l'Afrique Subsaharienne, la BCEAO, B2GOLD, Barrick Gold, télécoms, et plein d'autres secteurs y sont dedans. Le prix est fixé 1000 FCFA.

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23/03/2025

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16/03/2025

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Bonne fête de 8 mars aux femmes du Mali d'Afrique
08/03/2025

Bonne fête de 8 mars aux femmes du Mali d'Afrique

Rassemblement régional tenu par la   avec les Hautes Juridictions des États membres de l' Le jeudi 30 janvier 2025, la B...
02/02/2025

Rassemblement régional tenu par la avec les Hautes Juridictions des États membres de l'

Le jeudi 30 janvier 2025, la Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest ( ) a tenu une Concertation régionale réunissant les Hautes juridictions des États membres de l’Union Monétaire Ouest Africaine ( ). Cet événement, dirigé par Monsieur Jean-Claude Kassi BROU, Gouverneur de la BCEAO, a rassemblé les Présidents des Cours Suprêmes et de Cassation, ainsi que les dirigeants des Cours d’Appel des huit pays membres de l’UMOA. Cette rencontre a offert un cadre privilégié pour des échanges enrichissants et une réflexion approfondie sur les défis cruciaux relatifs à la régulation bancaire et financière au sein de l’"UMOA.

La journée a été marquée par des discussions constructives, structurellement organisées autour de cinq thématiques clés :

Les enjeux de la réglementation bancaire et financière dans l’UMOA
Les participants ont mis en avant l’importance d’établir un cadre réglementaire solide pour garantir la stabilité financière et économique de la région. Les débats ont souligné la nécessité d’adapter les normes en réponse aux évolutions technologiques, en particulier avec l’essor de la finance numérique, tout en améliorant la protection des consommateurs.

Réglementation des compétences des Organes de l’Union et de la BCEAO

Les discussions ont mis en avant la nécessité de définir clairement la répartition des compétences entre les institutions de l'UMOA et la BCEAO. Les participants ont souligné l'importance de cette clarification pour prévenir les chevauchements de responsabilités et assurer une application cohérente des normes au sein de tous les États membres.

Importance des privilèges et immunités de la Banque Centrale

Cette session a été l'occasion de réaffirmer le rôle crucial des privilèges et immunités dans le maintien de l'indépendance de la BCEAO. Les échanges ont également mis en lumière les problèmes d'interprétation et d'application de ces dispositions, particulièrement dans le contexte des litiges impliquant la Banque Centrale.

Source: Journal

Le Trésor public du   mobilise 55 milliards de FCFA sur le marché Financier de l' Au  , le trésor public a réussi à leve...
02/02/2025

Le Trésor public du mobilise 55 milliards de FCFA sur le marché Financier de l'

Au , le trésor public a réussi à lever la somme impressionnante de 55 milliards de FCFA sur le marché financier de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA) afin de soutenir sa stratégie de financement budgétaire.

Cette opération, orchestrée avec soin par le biais du Trésor Public, s’est déroulée le vendredi 31 janvier 2025, suite à une adjudication ciblée de bons assimilables du trésor (BAT) d’une durée de 364 jours, ainsi que d’obligations assimilables du trésor (OAT) de 3 et 5 ans.

Dans un contexte économique mondial incertain, cette initiative témoigne de la confiance des investisseurs dans la solidité des finances publiques sénégalaises et de l’engagement du gouvernement à gérer efficacement ses ressources financières.

Lors de cette adjudication, l’émetteur avait initialement prévu de lever 50 milliards de FCFA, mais a été agréablement surpris par la réponse des investisseurs, qui ont soumis des offres totalisant 92,441 milliards de FCFA. Ce chiffre remarquable représente un taux de couverture impressionnant de 184,88 %, témoignant de l’appétit fort pour les titres de la dette sénégalaise.

Source: Journal

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