
19/07/2025
Au 13ᵉ étage du bâtiment Renganaden Seeneevassen : l’installation de parquet 'Made in Germany' suscite des interrogations!
Une série d’observations récentes soulève de profondes interrogations sur la gestion interne d’un ministère stratégique, situé au 13ᵉ étage du bâtiment Renganaden Seeneevassen. Dirigé par un ancien syndicaliste récemment promu ministre, ce ministère, assisté par son "junior", suscite des inquiétudes quant à la transparence de ses décisions et dépenses.
La Réduit d’Évaluation Administrative (REA), structure apparue récemment, semble opérer en vase clos, échappant aux circuits de gouvernance habituels. Comment se fait-il que REA agisse comme un lien direct entre le ministre et son protégé, concentrant ainsi un pouvoir d'évaluation et de décision qui, auparavant, était réparti de manière institutionnelle ? Les décisions prises dans ce cadre sont-elles véritablement justifiées, ou s’agit-il d’une centralisation délibérée du pouvoir ?
Les rénovations onéreuses des bureaux du "junior", sans communication officielle sur les montants et les fournisseurs, posent également question. Les procédures d’attribution respectent-elles les normes établies par les Finances publiques ? Quelles garanties avons-nous que ces travaux ont été attribués avec rigueur et transparence ?
Parallèlement, la transformation du bureau du ministre lui-même, marquée par le remplacement de la moquette par un parquet allemand après un voyage à Berlin financé par un généreux perdiem, soulève une autre interrogation : ce déplacement était-il réellement nécessaire pour le service public, ou n’était-ce qu’un prétexte pour justifier des choix de confort personnel aux frais des contribuables ?
La substitution discrète de Qalif par REA dans des processus de reconnaissance de compétences interroge également. Ce changement s'inscrit-il dans une volonté de recentraliser le pouvoir autour du tandem ministre-junior ?
Ces éléments soulèvent des questions cruciales sur les mécanismes d’audit, les critères de dépenses, l’opacité actuelle et les véritables intérêts en jeu derrière ces décisions. Où est la transparence dans la gestion de ces fonds publics ?