Alternative Espaces Citoyens

Alternative Espaces Citoyens "œuvrer à l’avènement d’une société fondée sur l’égalité des droits humains et des s*x

Niger: Le public est massivement invité à cette importante table ronde qui va mettre l'accent sur "les traditions cultur...
24/09/2025

Niger: Le public est massivement invité à cette importante table ronde qui va mettre l'accent sur "les traditions culturelles...". Ça sera à l'espace Frantz Fanon, Niamey.

Tahoua: Séminaire régional sur le droit à l'alimentationDans le cadre de son programme de plaidoyer pour la mise en œuvr...
23/09/2025

Tahoua: Séminaire régional sur le droit à l'alimentation

Dans le cadre de son programme de plaidoyer pour la mise en œuvre progressive du droit à l'alimentation (DA) et la souveraineté alimentaire, Alternative Espaces Citoyens avec l'appui du SOS Faim a organisé à Tahoua, le 21 septembre 2025, dans la salle de réunion de la Chambre de Commerce, un séminaire régional des leaders paysans et des OSC sur le DA.

Placé sous le thème: "promouvoir et défendre le droit à l'alimentation et la souveraineté alimentaire dans un contexte marqué par des défis enchevêtrés", ce séminaire a eu le mérite de toucher de doigts tous les sujets importants se rapportant à la problématique du droit à l'alimentation en présence de tous les acteurs clés.

21/09/2025

Journée Internationale de la Paix_21 septembre 2025

Ce dimanche 21 septembre 2025, le Niger, aux côtés de la communauté internationale, célèbre la Journée Internationale de la Paix. Cette journée nous rappelle que la paix n’est pas seulement l’absence de guerre, mais aussi la sécurité, la justice et la cohésion sociale, conditions indispensables pour le développement de nos communautés.

Instituée en 1981 par l’Assemblée générale des Nations Unies, à l’initiative du Royaume-Uni et du Costa Rica, cette journée appelle chaque nation, chaque peuple et chaque citoyen à s’engager pour le dialogue et la réconciliation.

Au Niger, marqué par les défis sécuritaires et humanitaires, cette commémoration est une occasion de réaffirmer notre volonté collective de promouvoir la paix, la tolérance et la solidarité entre toutes les communautés. Elle nous invite à soutenir tous les efforts pour consolider la cohésion nationale.

Ensemble, faisons rayonner la paix au Niger et dans le monde.

L'espace Frantz Fanon d'AEC a abrité la 3ème réunion du Panel de Haut Niveau Le vendredi 19 septembre 2025, s'est tenue ...
20/09/2025

L'espace Frantz Fanon d'AEC a abrité la 3ème réunion du Panel de Haut Niveau

Le vendredi 19 septembre 2025, s'est tenue à l'espace Frantz Fanon, sis au siège de l'association Alternative Espaces Citoyens (AEC), la 3ème réunion du Panel de Haut Niveau afin de discuter sur la situation de la paix et de la sécurité au Niger.

Ce panel a été mis en place à l'issue d'un forum tenu à Niamey du 26 au 27 juillet 2025, à l'hôtel Ténéré dans le cadre de la mise en oeuvre des activités du projet: "Promouvoir et valoriser le rôle et le potentiel des femmes dans la prévention et la gestion des conflits au Niger'' porté par AEC-APAISE Niger sous le financement de l'Union Européenne à travers le consortium ROTAB-OXFAM Novid dans le cadre du projet REAGIR PASOC IV-UE.

Pour rappel, la toute première réunion du panel de haut niveau a eu lieu le jeudi 31 juillet 2025 dans la salle de réunion Cheik Anta Diop d'AEC et la seconde rencontre s'est tenue le vendredi 22 août 2025 dans la salle habituelle.

Union Européenne au Niger
OXFAM AU NIGER
ROTAB-Niger
Oxfam Novib

03/09/2025

: Témoignage de Père Mauro Armanino, missionnaire Italien qui a vécu au Niger pendant 14 et qui connait bien l'homme. Ecoutez ce qu'il dit à propos de Moussa Tchangari 👇

Cérémonie de sortie des femmes et filles en couture à N'GuigmiLe vendredi 22 août 2025, sous la conduute et la supervisi...
27/08/2025

Cérémonie de sortie des femmes et filles en couture à N'Guigmi

Le vendredi 22 août 2025, sous la conduute et la supervision des responsables de l'antenne départemental d'AEC de N'Guigmi, le reseau "Hadin Guiwa Nelewa Jam" a organisé une cérémonie de sortie de 10 femmes et filles en couture suivie du lancement de la formation de 10 autres pour une durée de 4 mois.

La rencontre qui s'est déroulée au siège d'AEC a vue la participation de l'administrateur délégué, de plusieurs autres invités de marque venus pour la circonstance et des bénéficiaires et des femmes. Cette activité a eu lieu lieu grâce à l'appui financier de la commune urbaine de N'Guigmi.

20/08/2025

Les autorités nigériennes doivent libérer immédiatement Moussa Tchangari, militant de la société civile et défenseur des droits humains.

05/08/2025

Détention arbitraire de Moussa Tchangari: les experts indépendants de l’ONU demandent l’explication à l’État du Niger

Dans une lettre adressée le 28 mai dernier à l’État du Niger, les experts indépendants de l’ONU, titulaires des mandats en matière de promotion, de défense et de protection des droits humains, ont vivement exprimé leur « profonde préoccupation quant aux allégations de harcèlement judiciaire, de détention arbitraire et d’irrégularités procédurales à l’encontre de M. Moussa Tiangari ». Ils ont aussi souligné l’allégation relative à « sa disparition forcée pendant deux jours, durant laquelle Moussa Tiangari n'a eu aucun contact avec sa famille ou son avocat ».

Cette lettre d’allégation est cosignée par six (6) experts indépendants et titulaires de mandat onusien que sont :
1. Mary Lawlor, Rapporteuse spéciale sur la situation des défenseurs des droits de l'homme ;
2. Matthew Gillett, Vice-président chargé des communications du Groupe de travail sur la détention arbitraire ;
3. Gabriella Citroni, Présidente-Rapporteuse du Groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires ;
4. Irene Khan, Rapporteuse spéciale sur la promotion et la protection du droit à la liberté d'opinion et d'expression ;
5. Gina Romero, Rapporteuse spéciale sur le droit de réunion pacifique et la liberté d'association et
6. Ben Saul, Rapporteur spécial sur la promotion et la protection des droits de l’homme et des libertés fondamentales dans la lutte antiterroriste.

A cette occasion, ces experts onusiens ont vivement indexé « l'utilisation apparemment abusive des accusations liées à la sécurité nationale et au terrorisme, qui ne semblent reposer sur aucune preuve ». Au surplus, soulignent-ils « les infractions terroristes semblent également vagues, trop générales » et sont, de ce fait, susceptibles d'être utilisées de manière incompatible avec les exigences de légalité comme celles relatives à la certitude et la prévisibilité énoncées à l'article 15 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.

Ils se sont spécifiquement inquiétés des cas d’utilisation des accusations de terrorisme à l’encontre des défenseurs des droits humains souvent « sur la base des critères vagues et sans preuve crédible ». A ce sujet, ils ont particulièrement marqué leurs « plus vives préoccupations concernant les lourdes peines encourues pour les infractions auxquelles M. Tiangari fait face, en particulier le risque de peine de mort au cas où il serait reconnu coupable.

Ils ont également tenu à mettre en relief « les allégations d’irrégularités de procédure concernant Moussa Tiangari, à savoir des perquisitions illégales et des arrestations sans mandat » avant de rappeler, à l’intention du Gouvernement, que le droit à un procès équitable est un élément clé de la protection des droits humains et sert de moyen procédural pour sauvegarder l’État de droit.

Selon eux, Moussa Tiangari semble faire l’objet d’un « harcèlement judiciaire ». En plus d’être constitutif d’une restriction directe et injustifiée de la liberté d'expression de Moussa Tchangari, ce harcèlement judiciaire a également des implications négatives plus larges pour les droits humains au Niger. Pour illustrer ce « harcèlement judiciaire », ces rapporteurs spéciaux des Nations Unies ont rappelé les multiples interpellations, arrestations et incarcérations dont Moussa Tchangari a fait l’objet ces dernières années, notamment en 2015, en 2018, en 2020.

De telles procédures, insistent-ils, peuvent avoir des effets dissuasifs particulièrement sur les « journalistes qui souhaitent exercer leur profession sans crainte de représailles et les défenseurs des droits humains qui souhaitent s'exprimer librement, manifester pacifiquement, se réunir et participer à la vie publique et politique au Niger dans l'exercice de leurs droits à la liberté d'expression, de réunion et d'association, entre autres, reconnus par le droit international, ainsi que, plus généralement, sur l'espace civique ».

A cet égard, et après avoir souligné que la majorité des charges retenues contre Mousa Tchangari sont étroitement liées à ses activités professionnelles d’enquête et d’investigation, ces experts indépendants rappellent fort opportunément que « la communication, la documentation et la publication d’informations relatives aux actes terroristes ou aux mesures antiterroristes constituent des éléments fondamentaux de la transparence et de la responsabilité publique. Il est donc essentiel que le Gouvernement s’abstienne de criminaliser de telles activités journalistiques ou de recherche ».

Même si des considérations de sécurité opérationnelle peuvent, dans des cas exceptionnels, justifier un certain degré de confidentialité, il n’en demeure pas moins que le Gouvernement est tenu de garantir le droit du public à l’information, de renforcer la transparence et la confiance des citoyens, et d’assurer l’obligation de rendre des comptes ainsi que l’accès à des voies de recours effectives.

Dans cet esprit, il est vivement rappelé à l’intention du Gouvernement nigérien que « la société civile joue un rôle crucial dans la canalisation des frustrations sociales, la promotion du dialogue et la coopération constructive avec les institutions étatiques. Elle contribue également à affaiblir les facteurs de radicalisation menant au terrorisme et à l’extrémisme violent ».

« La répression » de celle-ci (société civile), sous prétexte de prévention des menaces terroristes ou de protection de la sécurité nationale, « peut avoir des effets contre-productifs majeurs », argumentent-ils.

C’est pourquoi, renchérissent-ils, pour être véritablement efficace, toute stratégie de lutte contre le terrorisme doit viser à renforcer, et non à affaiblir, la société civile ; car la participation civique constitue un pilier essentiel dans la prévention de l’extrémisme, et la jouissance des libertés fondamentales, est indispensable à cet égard. La cohésion sociale représente donc l’un des instruments les plus puissants dans la lutte contre le terrorisme.

Au regard de ce qui précède, et après avoir rappelé, avec insistance, au Gouvernement son obligation internationale de garantir un espace civique ouvert et inclusif, les experts onusiens, demandent à l’État du Niger de s’expliquer, principalement, sur les six (6) principaux points suivants :
1. Fournir toute information ou tout commentaire complémentaire en relation avec les allégations susmentionnées.
2. Fournir des informations détaillées sur les allégations selon lesquelles M. Tiangari aurait été détenu arbitrairement et soumis à une disparition forcée pendant deux jours.
3. Préciser le fondement juridique de l’arrestation de M. Tiangari, en indiquant notamment si un mandat d'arrêt a été présenté au moment de son interpellation, et fournir des informations détaillées sur toute enquête et/ou poursuite engagée et comment les droits à un procès équitable ont été garantis à cet égard.
4. Expliquer en quoi la détention de M. Tiangari et les accusations pénales portées contre lui sont compatibles avec les normes internationales relatives aux droits humains, en particulier les principes de légalité, de nécessité, de proportionnalité et de non-discrimination. Enfin, indiquer dans quelle mesure ces mesures respectent les libertés fondamentales, notamment le droit à la liberté d’expression.
5. Fournir des informations sur les mesures prises et les garanties adoptées par les autorités afin de permettre aux défenseurs de droits humains et aux journalistes d’exercer leurs droits légitimes à la liberté d’expression, de réunion pacifique et d’association, et mener à bien leur travail légitime librement, dans un environnement sûr et favorable, exempt de toute forme de menace, représailles, intimidation ou harcèlement que ce soit à leur encontre ou à l’encontre de leur famille.
6. Fournir des informations sur les mesures juridiques et administratives spécifiques que les autorités comptent prendre pour garantir le respect des droits de M. Tiangari à une procédure régulière et à un procès équitable, et sur la manière dont ces mesures sont conformes aux obligations du Gouvernement en vertu du droit international des droits de l'homme.

Après soixante (60) jours de vaine attente de la réponse du Gouvernement Nigérien, et conformément à la procédure applicable en la matière, les titulaires de mandat ont décidé de publier la présente « lettre d’allégation » via internet : https://spcommreports.ohchr.org/TMResultsBase/DownLoadPublicCommunicationFile?gId=29988.

Ce mutisme déplorable du Gouvernement doublé de l’absence de toute audition au fond de l’intéressé après huit (8) longs mois de privation de liberté, confirme, si besoin en est, les propos des avocats de Moussa Tchangari selon lesquels « les raisons justifiant sa détention sont assurément ailleurs et laissent plus transparaître la volonté de contraindre au silence un esprit libre et critique ».

C’est le lieu de rappeler que Moussa Tchangari a été enlevé par quatre hommes armés et non identifiés, le 3 décembre 2024, aux environs de 20h, puis conduit cagoulé et séquestré dans un endroit tenu secret pendant près de 48 h, avant d’être remis, le 5 décembre 2024, au Service Central de Lutte contre le Terrorisme et la Criminalité Transnationale Organisée (SCLCT/CTO).
Après un mois de garde à vue dans les locaux du SCLCT/CTO, sans aucun droit de visite à l’exception de celle de ses avocats, Moussa Tchangari est ensuite déféré à la justice le 03 janvier 2025, avant d’être, enfin, inculpé et placé sous mandat de dépôt à la prison civile de Filingué.
Il est poursuivi pour cinq (5) chefs d’inculpation:
1- « Apologie du terrorisme »;
2- « Atteinte à la sûreté de l’État » ;
3- « Association des malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste »;
4- « Atteinte à la défense nationale »;
5- « Complot contre l’autorité de l’État en intelligence avec des puissances ennemies ».

Jusqu’à cette date, Moussa Tchangari est toujours en détention dans la prison civile de Filingué, située à plus de 180km de Niamey. Selon ses avocats, «il n’a ni été entendu, ni interrogé » par le juge d’instruction en charge de son dossier.

Ibrahim DIORI

03/08/2025

Témoignage du Pr Djibril Ibrahim, politologue et chercheur en solidarité à Moussa Tchangari, privé de sa liberté depuis 8 mois. Le Pr parle de l'homme dans cet element à suivre👇

Le panel de haut niveau sur l'agenda "Femmes-Paix et Sécurité" en images
29/07/2025

Le panel de haut niveau sur l'agenda "Femmes-Paix et Sécurité" en images

27/07/2025

Déclaration du panel de haut niveau sur l'agenda "Femmes-Paix et Sécurité" à Niamey

A l'issue des deux jours des travaux du forum pour la mise en place d'un panel de haut niveau sur l'agenda femme, paix et sécurité, une déclaration finale a sanctionné la rencontre.

Pour rappel, c'est une initiative conjointe d'AEC et d'APAISE Niger avec l'appui financier de l'Union Européenne à travers le consortium OXFAM Novib et ROTAB dans le cadre du projet R.E.A.G.I.R.

Adresse

Niamey
10948

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