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CONTE : đŸ‘ŽđŸŒL’orgueil de l’ñne, la sagesse du bƓufđŸ‘ŽđŸŒDans un coin tranquille de la campagne, vivaient un bƓuf et un Ăąne dan...
02/09/2025

CONTE : đŸ‘ŽđŸŒL’orgueil de l’ñne, la sagesse du bƓufđŸ‘ŽđŸŒ

Dans un coin tranquille de la campagne, vivaient un bƓuf et un Ăąne dans une mĂȘme ferme. Le bƓuf Ă©tait discret, constant, d’une patience silencieuse. L’ñne, lui, dĂ©bordait d’énergie
 et d’orgueil. Il aimait se faire remarquer, convaincu que sa vivacitĂ© et sa voix forte faisaient de lui l’animal le plus utile de la ferme.

Un jour, il lança au bƓuf : « Tu passes tes journĂ©es Ă  mĂącher de l’herbe et Ă  produire du lait. Moi, je suis rapide, bruyant, visible. Je suis indispensable. Toi, tu es lent, effacĂ©, presque inutile. »

Le bƓuf, imperturbable, rĂ©pondit simplement : « Ce n’est pas le bruit qu’on fait qui mesure l’importance de ce qu’on est. »

Peu de temps aprĂšs, le fermier confia Ă  l’ñne une tĂąche difficile : porter un lourd fardeau jusqu’au marchĂ©. Fier, l’ñne accepta sans hĂ©siter. Mais en chemin, le soleil tapait fort, le sac pesait lourd, et les kilomĂštres semblaient s’étirer sans fin.

ÉpuisĂ©, tremblant, l’ñne s’écroula sur le bord du sentier, incapable d’avancer.

Le bƓuf, qui revenait des champs, le trouva lĂ , haletant. Sans un mot de reproche, il appela le fermier : « Confie-moi une partie de sa charge. Il a besoin d’aide. »

GrĂące Ă  lui, le trajet fut accompli. L’ñne, honteux mais sincĂšre, murmura : « FrĂšre bƓuf
 j’ai mĂ©prisĂ© ta douceur, ta constance, ta gĂ©nĂ©rositĂ©. J’ai cru que l’utilitĂ© se mesurait Ă  l’apparence et Ă  la force. Je me suis trompĂ©. »

Le bƓuf rĂ©pondit calmement : « Le vrai poids n’est pas toujours celui qu’on porte sur le dos, mais celui qu’on porte en soi. Et l’orgueil est bien plus lourd que n’importe quel fardeau. »

---

Morale :
L’arrogance Ă©blouit, mais elle aveugle. L’humilitĂ©, elle, Ă©claire. La grandeur vĂ©ritable ne rĂ©side ni dans le bruit, ni dans la vitesse, ni dans l’apparence. Elle vit dans la patience, la force tranquille, et la capacitĂ© d’aider sans attendre d’éloge. Ceux qui marchent dans le silence changent souvent le monde sans faire de bruit.

Ce n’est ni la force, ni le bruit, qui font la vraie grandeur. L’humilitĂ©, la gĂ©nĂ©rositĂ© et la coopĂ©ration sont les plus belles qualitĂ©s chez l’homme comme chez l’animal. Chacun a de la valeur.

Ce n’est pas celui qui brille le plus qui Ă©claire,
mais celui qui, dans le silence, soutient,
s’élĂšve, et fait avancer les autres.

Sources inconnu, proposé par Zoumana Ouattara.

Celui qui veut transformer ses pensĂ©es en richesse je lui conseille d'acheter cette livre.👌
30/08/2025

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đŸ€ŁđŸ€ŁđŸ€Ł
20/08/2025

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Cameroun 🇹đŸ‡Č De ancien aide-chauffeur puis chauffeur Nana Bouba est devenu aujourd'hui un milliardaire Ă  la tĂȘte d'un emp...
09/08/2025

Cameroun 🇹đŸ‡Č De ancien aide-chauffeur puis chauffeur Nana Bouba est devenu aujourd'hui un milliardaire Ă  la tĂȘte d'un empire financier et industriel , employant plus de 2000 personnes.

Orphelin Ă  l'age de 9 ans Nana s'est vite lancĂ© dans les affaires. Il dĂ©buta avec le transport vers 1960 au Gabon oĂč il a rejoint son oncle. Il etait payĂ© Ă  15.000f/ mois. Ensuite il s'est lancĂ© dans le commerce avec un capital de 400.000f qui est une part de son hĂ©ritage.Il faisait le commerce entre le Cameroun, Gabon et le Nigeria vers les annĂ©es 1970.
C'est plus t**d en 1984 qu'il a créé une Ă©choppe Ă  YaoundĂ© puis fonde les Ă©tablissements Nabo en 1985 qui est devenu la Soacam aujourd'hui. Comme tout entrepreneur, Nana n'a pas Ă©tĂ© Ă©pargnĂ© par les difficultĂ©s liĂ©es Ă  l’entrepreneuriat. En effet il a subi d'Ă©norme pertes dans le commerce.

Ambitieux et visionnaire , Nana n'a pas abandonnĂ© malgrĂ© les difficultĂ©s. Du commerce il passe Ă  l'industrie vers les annĂ©es fin 1990. Un pari rĂ©ussi. Il s'impose vite dans l'industrie Ă  la grande surprise de tous. Aujourd'hui il a sa propre marque de savon , huile , riz 🍚 , tomate concentrĂ© 🍅 et autres. Il est aussi prĂ©sent dans le BTP, l'immobilier, la grande distribution avec des super marchĂ©s et enfin l'Ă©levage avec plus de 15.000 tĂȘtes de bƓuf 🐂.
Nana bouba est un poids lourd de l’économie Camerounaise. Il reste un repĂšre pour la jeunesse africaine.

Maximum de partage pour sauvĂ© la vie de cette fille.😱đŸ˜Ș
24/07/2025

Maximum de partage pour sauvĂ© la vie de cette fille.😱đŸ˜Ș

🚹🚹Est ce que vous voyez la diffĂ©rence entre le maĂźtre et les esclaves ? l'Afrique rĂ©veillez vous. Vous ĂȘtes le berceau d...
12/07/2025

🚹🚹Est ce que vous voyez la diffĂ©rence entre le maĂźtre et les esclaves ? l'Afrique rĂ©veillez vous. Vous ĂȘtes le berceau de la civilisation humaine âœŠđŸŸâœŠđŸŸâœŠđŸŸ.

La photo traduit tout simplement le type de coopération qu'on vous proposera...

La légende rentrant chez elle à 18 heures aprÚs avoir été envoyée acheter du pain à 7 heures du matin.Le voilà sans pain...
23/06/2025

La légende rentrant chez elle à 18 heures aprÚs avoir été envoyée acheter du pain à 7 heures du matin.

Le voilĂ  sans pain, on doit maintenant lui rappeler qu'il Ă©tait allĂ© acheter du pain. Puis il va se demander oĂč il a dĂ©posĂ© l'argent.

Quand vous le voiyez là, il a joué 13 matchs de football et 6 marathons en une journée.

Sa culotte n'avait pas de poche, il a pris le risque de mettre l'argent enrÎulé dans l'élastique (déjà fatigué) de la ceinture de sa culotte avant de commencer le premier match de football.

Malgré ça, c'est toujours lui le premier à faire les mouvements risqués comme se coucher sur le ballon.

Heureusement qu'il a encore ses babouches. Une lĂ©gende dans une autre dimension pouvait mĂȘme perdre les habits et rentrer en slip.

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Un jour, au cƓur de l’automne, un vent puissant traversa la forĂȘt. Le ciel se couvrit de nuages sombres, et les feuilles...
23/05/2025

Un jour, au cƓur de l’automne, un vent puissant traversa la forĂȘt. Le ciel se couvrit de nuages sombres, et les feuilles s’élancĂšrent dans une danse f***e, emportĂ©es dans un tourbillon indomptĂ©. Au milieu de cette tempĂȘte, un corbeau, survolant les champs, heurta violemment la branche noueuse d’un vieux chĂȘne. Dans un croassement Ă©touffĂ©, il s’écrasa au sol, l’une de ses ailes pendante, brisĂ©e.

Le corbeau tenta de se relever, d’ouvrir ses plumes, mais une douleur aiguĂ« lui transperça le corps. Il comprit qu’il n’y arriverait pas seul. Alors, il leva les yeux vers le ciel, lĂ  oĂč les oiseaux tournaient encore en cercles, et lança un appel empreint d’espoir :

— À l’aide
 je ne peux plus voler


Une pie, qui passait par lĂ , le vit et ricana :

— Toi, l’orgueilleux, qui volais si haut et nous regardais de haut
 Et maintenant, tu demandes de l’aide ?

Un merle, un chardonneret, mĂȘme un geai volaient derriĂšre elle. Aucun ne s’arrĂȘta. Leurs regards fuyants portaient l’ombre du mĂ©pris ou l’indiffĂ©rence.

Le corbeau baissa la tĂȘte. Seul, affamĂ©, blessĂ©, il sentit la foi l’abandonner peu Ă  peu.

Mais soudain, d’un buisson proche, une voix douce, tĂ©nue, s’éleva :

— Je t’aiderai
 si tu n’as pas peur de ma petite force.

C’était un moineau. Petit, discret, gris comme l’écorce d’un arbre. Il sautilla jusqu’à lui, tenant dans son bec une miette de pain dur. Puis il revint, portant une goutte d’eau, un abri de feuilles sĂšches, et construisit un nid au pied de l’arbre.

— Pourquoi fais-tu cela ? murmura le corbeau, surpris.

— Parce que tu es vivant. Et que si j’étais tombĂ©, moi aussi, j’aimerais que quelqu’un ne dĂ©tourne pas les yeux.

Les jours passĂšrent. Le corbeau, d’abord incapable du moindre mouvement, fut veillĂ©, nourri, rĂ©chauffĂ© par le petit oiseau. Le moineau partageait ses miettes, lui racontait la vie de la forĂȘt, veillait sur lui les nuits glacĂ©es. Et quand, enfin, le corbeau put Ă  nouveau dĂ©ployer ses ailes, sa premiĂšre pensĂ©e ne fut pas pour lui-mĂȘme, mais pour son petit compagnon devenu plus cher que tous les autres.

Le printemps arriva dans un jaillissement de lumiĂšre et de chants. Mais un matin, alors que le moineau picorait des graines dans la clairiĂšre, un faucon surgit des buissons. Tout alla trĂšs vite — le moineau n’eut mĂȘme pas le temps de piailler.

Mais soudain, une ombre noire fendit le ciel. Le corbeau, puissant et superbe, fondit sur le prĂ©dateur. Ses ailes claquĂšrent avec une telle force que l’air siffla. Il heurta le faucon de plein fouet et le fit fuir.

— Tu m’as sauvé  souffla le moineau.

— Non, c’est toi qui m’as sauvĂ© le premier, rĂ©pondit le corbeau. Et aujourd’hui je sais que la bontĂ© ne se mesure pas Ă  l’envergure d’une aile. Et qu’un cƓur immense peut battre dans la plus petite des poitrines.

Morale :
Ne mĂ©prise jamais ceux qui semblent plus faibles que toi. Parfois, ceux que l’on croit insignifiants deviennent nos piliers. Et la bontĂ© offerte sans rien attendre en retour revient toujours — au moment oĂč l’on s’y attend le moins, mais oĂč l’on en a le plus besoin.

CONTE : L’orgueil de l’ñne, la sagesse du bƓufDans un coin tranquille de la campagne, vivaient un bƓuf et un ñne dans un...
18/05/2025

CONTE : L’orgueil de l’ñne, la sagesse du bƓuf

Dans un coin tranquille de la campagne, vivaient un bƓuf et un Ăąne dans une mĂȘme ferme. Le bƓuf Ă©tait discret, constant, d’une patience silencieuse. L’ñne, lui, dĂ©bordait d’énergie
 et d’orgueil. Il aimait se faire remarquer, convaincu que sa vivacitĂ© et sa voix forte faisaient de lui l’animal le plus utile de la ferme.

Un jour, il lança au bƓuf : « Tu passes tes journĂ©es Ă  mĂącher de l’herbe et Ă  produire du lait. Moi, je suis rapide, bruyant, visible. Je suis indispensable. Toi, tu es lent, effacĂ©, presque inutile. »

Le bƓuf, imperturbable, rĂ©pondit simplement : « Ce n’est pas le bruit qu’on fait qui mesure l’importance de ce qu’on est. »

Peu de temps aprĂšs, le fermier confia Ă  l’ñne une tĂąche difficile : porter un lourd fardeau jusqu’au marchĂ©. Fier, l’ñne accepta sans hĂ©siter. Mais en chemin, le soleil tapait fort, le sac pesait lourd, et les kilomĂštres semblaient s’étirer sans fin.

ÉpuisĂ©, tremblant, l’ñne s’écroula sur le bord du sentier, incapable d’avancer.

Le bƓuf, qui revenait des champs, le trouva lĂ , haletant. Sans un mot de reproche, il appela le fermier : « Confie-moi une partie de sa charge. Il a besoin d’aide. »

GrĂące Ă  lui, le trajet fut accompli. L’ñne, honteux mais sincĂšre, murmura : « FrĂšre bƓuf
 j’ai mĂ©prisĂ© ta douceur, ta constance, ta gĂ©nĂ©rositĂ©. J’ai cru que l’utilitĂ© se mesurait Ă  l’apparence et Ă  la force. Je me suis trompĂ©. »

Le bƓuf rĂ©pondit calmement : « Le vrai poids n’est pas toujours celui qu’on porte sur le dos, mais celui qu’on porte en soi. Et l’orgueil est bien plus lourd que n’importe quel fardeau. »

Morale :
L’arrogance Ă©blouit, mais elle aveugle. L’humilitĂ©, elle, Ă©claire. La grandeur vĂ©ritable ne rĂ©side ni dans le bruit, ni dans la vitesse, ni dans l’apparence. Elle vit dans la patience, la force tranquille, et la capacitĂ© d’aider sans attendre d’éloge. Ceux qui marchent dans le silence changent souvent le monde sans faire de bruit.

🚹BOOM| Himra sur CKO ce dimanche avec Baloo, çava peter đŸ„¶đŸ”„â€ŠâœđŸŸ #𝙇𝙊𝙏𝙊
15/05/2025

🚹BOOM| Himra sur CKO ce dimanche avec Baloo, çava peter đŸ„¶đŸ”„

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