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La nuit… c’est la nuit.Quand les ombres murmurent et que les esprits veillent.Le jour est là, porteur de lumière et de v...
25/10/2025

La nuit… c’est la nuit.
Quand les ombres murmurent et que les esprits veillent.
Le jour est là, porteur de lumière et de vérité.
N’ayez pas peur…
Car celui qui comprend la nuit, domine le jour.
Bon week-end 💋

🌒 CITÉ DES PALMIERS : LÀ OÙ LE DIABLE PACTISE AVEC LES ÉLÈVESAu cœur de Douala, dans la tranquille Cité des Palmiers, se...
24/10/2025

🌒 CITÉ DES PALMIERS : LÀ OÙ LE DIABLE PACTISE AVEC LES ÉLÈVES

Au cœur de Douala, dans la tranquille Cité des Palmiers, se cache un lieu que le soleil semble éviter, un endroit où le vent chuchote des prières oubliées et où les chiens refusent d’aboyer la nuit.
Derrière le Lycée de la Cité des Palmiers, non loin de l’entrée de l’ancienne BIAO, se dresse encore aujourd’hui une maison sans barrière, d’un seul niveau, usée par le temps et les secrets.
Mais ceux qui connaissent son histoire savent que cette demeure n’a jamais vieilli seule.

Dans les années 80-90, un homme y vivait avec sa femme et ses enfants. Un père comme les autres, disait-on, jusqu’au jour où la cupidité le poussa à chercher la richesse à tout prix.
C’est dans le silence de la nuit, entre le souffle des chauves-souris et les murmures de la forêt voisine, qu’il aurait scellé un pacte avec des forces interdites.

Peu après, tout changea : la fortune, la gloire, la réussite vinrent s’asseoir à sa table.
Mais derrière cette réussite se cachait une clause terrible — il ne devait rien transmettre à sa descendance.
Et pourtant, il osa le faire.

🌑 Les enfants tombèrent malades, jour après jour, sans cause visible.
La mère, désespérée, se rendit chez un tradipraticien de Beedi, non loin de l’entrée Charly.
Là, la vérité lui fut révélée : son mari avait vendu sa lignée en échange de sa fortune.
Le guérisseur lui ordonna de fuir sans se retourner.
Ce qu’elle fit, une nuit, sous la pluie, laissant derrière elle son foyer… et les ombres qui y habitaient.

🕯️Abandonné, l’homme sombra dans la folie.
Sur les murs des maisons voisines, sur les portails et sur le bitume même, il écrivait avec du charbon noir :
“Ils arrivent… la fin est proche… pas mes enfants…”

Chaque nuit, à minuit, il plaçait deux statuettes — un homme et une femme — sur la terrasse.
Il les habillait comme un roi et une reine bamileké, versait de l’huile rouge, du sel, et murmurait des prières dans une langue oubliée, un Rituel qui répétait souvent en plein jour au regard de Tous et sans gêne.
Les voisins l’entendaient chanter seul, puis hurler comme s’il voyait ce que personne d’autre ne pouvait voir.

Les habitants racontent que cette portion de route restait éternellement sombre.
Chaque fois qu’un lampadaire y était installé, il explosait le soir même.
Et si, par malheur, tu passais par là à minuit, une vague de froid polaire t’envahissait, un froid qui traversait les os.
Des cris s’élevaient alors de la maison, les fenêtres claquaient, et les portes tremblaient comme sous la colère d’un esprit prisonnier.

💀 Les maisons voisines frappées par la malédiction.
Les locataires de la maison voisine, un R+1, furent à leur tour pris dans le tourbillon.
Les femmes subissaient des fausses couches répétées, ainsi que des couches de nuit constantes même en pleine sieste.
Les hommes perdaient leurs emplois, leur vigueur, leur désir de vivre.
Les enfants, toujours malades, échouaient à l’école sans raison.
Plus personne n’osait habiter à l’étage, où, la nuit, on disait entendre des pas nus sur le carrelage vide.

Les élèves du lycée de la Cité des Palmiers, dont les classes donnaient sur cette maison, commencèrent à changer : troubles, insolence, crises de nerfs, cauchemars.
Une année, toute une salle de classe fut renvoyée, sans explication.
Les enseignants eux-mêmes parlaient d’un malaise constant, d’une présence invisible qui pesait sur la cour.

⚰️ Après la mort de l’homme, les statuettes furent retirées, brûlées.
Certains ont tenté de rénover la maison, d’y installer des commerces.
Mais rien n’a jamais prospéré.
Les affaires y ferment, les familles y tombent malades, les véhicules garés devant tombent souvent en panne sans cause apparente.

Aujourd’hui encore, les anciens du quartier te diront :
“Ne t’arrête pas devant cette maison, ne la regarde pas trop longtemps.
Car dans cette demeure, les pactes ne sont jamais rompus… seulement endormis.”

🌒 La Maison aux Cris de Nkolbikon 👹Il existe, non loin de Yaoundé, dans un quartier reculé appelé Nkolbikon, une vieille...
24/10/2025

🌒 La Maison aux Cris de Nkolbikon 👹

Il existe, non loin de Yaoundé, dans un quartier reculé appelé Nkolbikon, une vieille bâtisse abandonnée depuis plus de trente ans. On l’appelle “La Maison aux Cris”, car chaque nuit, à partir de minuit, on y entend des voix, des pleurs, et parfois des rires d’enfants... pourtant aucun être humain n’y vit.

Cette maison appartenait à un homme puissant : le vieux Mba’a Onana, un ancien tradipraticien et guérisseur renommé. Il était respecté… mais aussi redouté. On disait qu’il avait fait un pacte mystique avec les esprits de la forêt de Mefou, promettant d’offrir “une âme pure” tous les sept ans, en échange de richesse et de longévité.

Tout allait bien jusqu’à la nuit du 7e sacrifice. Cette fois-là, l’esprit ne voulut plus d’un animal. Il réclama une âme humaine. Pris de peur, Mba’a Onana tenta de rompre le pacte. Mais on ne rompt pas un serment fait avec le monde invisible sans conséquences...

Quelques jours plus t**d, sa fille unique, Nadia, disparut mystérieusement. On retrouva son corps au pied d’un fromager sacré, le front marqué d’un signe rouge. Cette nuit-là, la maison prit feu… mais étrangement, le feu ne consuma ni les murs ni les objets. Il ne brûla que l’air et la lumière autour.

Depuis, nul n’ose y entrer.
Les rares curieux qui ont tenté d’y passer la nuit sont revenus… changés. Certains murmurent des mots en langues anciennes. D’autres ne parlent plus du tout. Et certains, on ne les a jamais revus.

Les chasseurs du coin affirment qu’à la tombée de la nuit, on voit une ombre blanche marcher sur le balcon, tenant une lanterne. D’autres disent qu’elle appelle les passants par leur prénom.

Chaque année, à la saison des pluies, les villageois font une cérémonie pour apaiser les esprits de la maison. Mais personne n’a jamais osé la détruire. Le vieux Mba’a Onana, lui, n’a jamais été enterré — on raconte que son corps a disparu de la morgue, trois jours avant l’enterrement.

Et aujourd’hui encore, si vous passez à Nkolbikon après minuit…
Évitez de répondre quand une voix douce vous appelle depuis une maison sans lumière.
Car ce n’est pas toujours un humain qui parle. 👁️‍🕯️

🕯️ Le Couvent Abandonné de BatchengaDans les années 70, des missionnaires européens ont construit un couvent à la sortie...
24/10/2025

🕯️ Le Couvent Abandonné de Batchenga

Dans les années 70, des missionnaires européens ont construit un couvent à la sortie de Batchenga, pour accueillir des jeunes filles venues apprendre la foi et la discipline.
Un lieu paisible, entouré d’arbres immenses, de chants d’oiseaux, et du parfum des fleurs sauvages.
Mais aujourd’hui, ce même couvent est une ruine maudite, où plus personne n’ose prier.

Sous la direction de Sœur Thérèse-Marie, le couvent comptait plus de vingt novices.
Chaque jour, des chants montaient jusqu’au ciel, et les habitants du village disaient que la lumière y brillait même la nuit.
Mais un soir de 1979, tout bascula.
Une novice, Sœur Imelda, disparut mystérieusement après les vêpres.
Certains disaient qu’elle avait tenté de fuir le couvent, d’autres qu’elle avait été “choisie pour une prière spéciale”.

🌑 Les nuits suivantes…
Les sœurs entendirent des pleurs dans les murs, puis des coups de cloche alors qu’aucune main ne la touchait.
Une odeur de soufre envahit les couloirs, et le grand crucifix suspendu au réfectoire se mit à saigner par les yeux.

Les prêtres envoyés de Yaoundé vinrent exorciser le lieu, mais aucun ne resta plus d’une journée.
L’un d’eux aurait murmuré avant de partir :

“Ce n’est pas un démon. C’est quelque chose d’ancien… bien plus ancien que notre foi.”

Un matin, les habitants de Batchenga virent une épaisse fumée noire s’élever du couvent.
Pourtant, aucune flamme ne brûlait.
Les murs se noircissaient, les vitraux fondaient, et les cloches sonnaient toutes seules…
Les vingt sœurs disparurent cette nuit-là.
Seul un habit de novice fut retrouvé, trempé, posé sur l’autel.

Depuis ce jour…
Le lieu est abandonné.
Mais les chasseurs jurent que certaines nuits, on y entend encore des chants grégoriens au loin, portés par le vent.
Et si tu t’approches trop, une voix douce te murmure :

“Entre… la prière n’est pas terminée.”

💀 ⛓️ Le Cameroun profond cache des lieux où le silence a un visage.

👁️‍🕯️ Le Ministre au Miroir de SangOn l’appelait Monsieur le Ministre Nkoa Ngono, un homme élégant, discret, et respecté...
24/10/2025

👁️‍🕯️ Le Ministre au Miroir de Sang
On l’appelait Monsieur le Ministre Nkoa Ngono, un homme élégant, discret, et respecté dans toutes les hautes sphères du pays.
À la télévision, il prêchait la transparence et la justice.
Mais la nuit, il entrait dans un autre monde.

Ce que le public ignorait, c’est que Nkoa Ngono n’était pas seulement un homme d’État…
C’était un initié d’un ordre occulte ancestral, appelé “Les Gardiens du Serment Rouge”.

🌒 Tout commença bien avant sa carrière politique.
À l’époque, il n’était qu’un simple fonctionnaire frustré par la lenteur de sa réussite.
Une nuit, un vieux marabout du village d’Ambam lui parla d’un rituel interdit :
un pacte de renommée et d’influence, conclu au sommet d’une colline où les ancêtres avaient jadis enterré un roi sans tombe.

Le rituel exigeait un miroir, du sang humain, et un serment murmuré à minuit.
Nkoa Ngono accepta.
Trois jours après, il fut nommé Directeur.
Puis Secrétaire Général.
Puis Ministre.

Mais le miroir, lui, n’était jamais resté silencieux.

🕯️Chaque nuit, dans son immense villa de Bastos, le ministre verrouillait son bureau et tirait les rideaux.
Sur le mur trônait un grand miroir ancien, entouré de symboles sculptés.
À minuit, le verre se couvrait d’une brume rouge, et un visage apparaissait : le sien, mais plus vieux, plus sombre.

Cette entité lui parlait.
Elle lui ordonnait des choses : qui éliminer, qui trahir, qui humilier.
Et chaque fois qu’il obéissait, sa carrière montait d’un cran.
Mais à chaque désobéissance, un de ses proches tombait malade ou mourait.

Les domestiques racontent qu’ils entendaient parfois des murmures venant du bureau,
et que le matin, le ministre sortait couvert de sueur, les yeux vides, comme s’il avait parlé toute la nuit avec quelqu’un qu’eux ne voyaient pas.

🩸Un soir d’orage, alors qu’il devait prêter serment pour un nouveau mandat, le ministre oublia une chose :
le pacte devait être renouvelé tous les sept ans.
Il ne fit pas le rituel cette année-là.

Pendant la cérémonie officielle, les caméras étaient braquées sur lui.
Mais soudain, son regard se vida.
Il se mit à trembler, à parler seul, puis à rire d’une voix qui n’était pas la sienne.
Les micros captèrent distinctement ces mots :
« Le sang ne ment jamais… le miroir t’attend. »

Il s’effondra.
Officiellement, crise cardiaque.
Officieusement… son corps ne fut jamais exposé au public.
Et dans sa maison, le miroir — selon les rumeurs — continue de respirer.

Les nouveaux occupants disent que, certaines nuits, quand on passe devant,
le miroir ne reflète pas votre visage…
mais celui d’un homme en costume,
tenant un verre de vin… rempli de sang.

🩸Après la mort mystérieuse du Ministre Nkoa Ngono, sa somptueuse villa de Bastos fut mise sous scellés.
Pendant des mois, aucun agent, aucun membre de la famille n’osa franchir le portail.
On disait que la nuit, des lumières rouges sortaient par les fenêtres, et qu’un parfum étrange de cire et de fer planait dans le jardin.

Mais quelques années plus t**d, un autre haut fonctionnaire, Monsieur Etoga Nsame, racheta la maison.
Un homme jeune, ambitieux, qu’on disait “béni des ancêtres”…

👁️‍🕯️Lors de la rénovation, les ouvriers trouvèrent une pièce cachée derrière une bibliothèque murée.
Une salle circulaire, peinte en noir, avec des symboles gravés sur les murs.
Et au centre, recouvert d’un drap blanc jauni : le miroir.

L’un des ouvriers raconta plus t**d que, dès qu’ils touchèrent le cadre, le verre vibra tout seul, comme s’il respirait.
Mais le nouveau propriétaire, curieux, fit transporter le miroir dans son bureau privé.
Il le nettoya, l’installa, et déclara fièrement :
“Ce miroir appartenait à un grand homme. Il reflétera, je l’espère, mon propre destin.”

La première nuit, le miroir resta calme.
La deuxième, une brume rouge apparut sur la surface.
La troisième, une main sortit du verre.
Pas une main matérielle, mais une silhouette sombre qui se mouvait à l’intérieur comme dans l’eau.

Puis, à minuit, une voix chuchota :
“Tu as repris là où il est tombé… Es-tu prêt à payer le prix du pouvoir ?”

Dès le lendemain, tout s’accéléra.
Etoga Nsame fut promu, son nom circulait dans les journaux, et les portes du pouvoir s’ouvraient toutes seules.
Mais ses yeux changèrent.
Ils devinrent plus noirs, comme s’ils reflétaient le verre du miroir

🩸 Le Sept ans plus t**d, le même cycle recommence.
Les domestiques racontent qu’il s’enfermait seul dans le bureau à la même heure chaque nuit.
On entendait des voix, parfois des rires, parfois des cris étouffés.
Puis le silence.
Et au matin, il sortait toujours plus froid, plus puissant, plus vide.

Mais un jour, une erreur fut commise :
son fils, âgé de 12 ans, entra par curiosité dans le bureau.
On le retrouva endormi devant le miroir, les yeux ouverts, figés.
Il respirait encore, mais son regard ne voyait plus rien.
Comme si quelqu’un d’autre regardait à travers lui.

Après cet incident, la villa fut de nouveau abandonnée.
Les voisins affirment qu’à minuit pile, les lumières du bureau s’allument seules.
Certains disent avoir vu, depuis la rue, un homme en costume se pencher sur le miroir, même si la maison est vide.
Les gardiens de nuit refusent de travailler là-bas.

Et selon une rumeur persistante, le miroir a été déplacé…
Un collectionneur de Yaoundé, passionné d’objets occultes, l’aurait acheté aux enchères.
Son nom n’a jamais été rendu public.
Mais depuis, trois de ses employés sont morts mystérieusement, et chaque reflet dans le verre montre une silhouette de plus, derrière l’observateur.

🕯️ Le Couvent de la Rivière NoireDans la périphérie de Bafia, non loin de la rivière Noire qu’on appelle là-bas “Mbin Mi...
24/10/2025

🕯️ Le Couvent de la Rivière Noire
Dans la périphérie de Bafia, non loin de la rivière Noire qu’on appelle là-bas “Mbin Minkon”, se dresse encore aujourd’hui un bâtiment à moitié englouti par la végétation.
C’était autrefois un couvent spirituel dirigé par une femme que l’on surnommait Maman Essindi, prêtresse du culte des eaux et gardienne des secrets des ancêtres.

Pendant des années, ce lieu était un centre de retraite mystique : on y venait pour guérir, pour se purifier, ou pour recevoir des visions.
Mais un jour, quelque chose a basculé.

On raconte qu’une nuit, alors qu’elle méditait au bord de la rivière, Maman Essindi reçut la visite d’un serpent immense, à la peau dorée et aux yeux rouges.
L’esprit du serpent lui promit le pouvoir de guérir toute maladie, d’attirer la richesse et la gloire.
Mais en échange… elle devait lui livrer sept jeunes filles pures, une par an, au moment de la pleine lune.

La prêtresse, envoûtée par la promesse, accepta le pacte.
Pendant six ans, tout semblait miraculeux : les malades étaient guéris, le village prospérait, et le nom de Maman Essindi résonnait jusqu’à Yaoundé.
Mais à la septième année, la dernière offrande devait être faite.

Cette nuit-là, le ciel devint noir.
Les tambours du couvent se mirent à battre seuls, sans main humaine.
Les disciples racontent avoir vu des silhouettes danser sur l’eau, et des voix chanter dans une langue qu’aucun mortel ne connaissait.

Au lever du jour, tout était silencieux.
La prêtresse, les initiés, les filles — tous avaient disparu.
Ne restait que le bâtiment, et la rivière devenue d’un noir profond, comme de l’encre.

Depuis ce jour, aucun pêcheur n’ose jeter ses filets dans cette partie du fleuve.
Chaque fois qu’un homme s’y aventure, il entend une voix de femme l’appeler doucement :
« Approche… viens te purifier… »

Et s’il répond, la rivière s’ouvre et l’engloutit sans retour.

Dans la nuit du 21 juin, quand la lune est pleine, on voit le couvent s’illuminer.
Des femmes vêtues de blanc y chantent autour d’un feu bleu.
Et au centre, Maman Essindi se tient droite, avec le serpent d’eau enroulé autour de son corps…
Elle attend toujours la septième fille.

24/10/2025

Félicitations à ces personnes qui ont compris qu'on règle les problèmes en parlant et non en arrêtant de se parler🫰🏻

24/10/2025

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24/10/2025

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24/10/2025

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Sachez déjà celà oooh

24/10/2025

Ne jamais ignorer une femme excitée.
Si Elle veut il faut donner même si vous avez les problèmes🤦🏻

24/10/2025

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