Dakarsoir.com Media

31/05/2025

Macky SALL candidat au poste de Secrétaire général de l'ONU !

31/05/2025

"La candidature d’Amadou Hott est d’autant plus mal inspirée qu’il ne faut jamais (autant que possible) aller diplomatiquement en compétition voire en rivalité avec un voisin direct. Bismarck a dit : « Un pays fait son histoire mais subit sa géographe ».

Il fallait soutenir ardemment la candidature mauritanienne, afin de capter ultérieurement le soutien de Nouakchott à toute future ambition internationale du Sénégal.

L’Histoire n’est pas une course de vitesse mais une course de fond. Un régime démocratiquement établi en 2024 (fort d’une légitimité flamboyante et séduisante) a du temps et des atouts devant lui. Pourquoi alors cette précipitation qui fait perdre le volant ou le guidon ?", dixit Babacar Justin Ndiaye.

31/05/2025

31/05/2025

SVP DES CŒURS
❤️

06/05/2025

De Pape Malick Ndour

Macky et les “autres” : ouverture assumée contre fermeture obsessionnelle

Ce 6 mai 2025 à Berlin, après que les "autres" eurent fini de compter les poignées de main à Léon Mba (Aéroport de libreville), Macky Sall, lui, parlait au monde. L’ancien président du Sénégal a livré un discours d’une rare clarté au Global Solutions Summit. Thème : « L’Afrique dans le multilatéralisme contemporain ».

Note de lecture d’un discours… et comparaison avec l’action des "autres" :

1. Macky veut rééquilibrer le multilatéralisme, pas le jeter aux orties. Il en dénonce les limites, mais croit en la coopération, la solidarité, l’inclusion. Pendant ce temps, les “autres” préfèrent agiter le drapeau du repli, crier à l’ingérence dès qu’une voix étrangère ose dénoncer leur manipulations, s'aligner paradoxalement sur les positions venant de leurs quelques rares alliés "petits perturbateurs" alter-mondialistes de la trempe du jeune avocat francais et du vieux Mélanchon , et croire que sortir du jeu mondial, c’est gagner la partie

2. Macky prête l’oreille, plaide pour des partenariats justes, une gouvernance internationale réformée, une justice climatique. Pendant ce temps, les “autres” tournent le dos, ferment les oreilles, claquent la porte ; ils voient dans chaque ambassade une menace, dans chaque journaliste étranger un agent double, et dans chaque voyage international où une audience accordée à une personnalité étrangére (cas de Tony Blair) une trahison de la patrie, du projet, et du parti “africain”. À la place de Berlin, ils préfèrent le Grand Théâtre, demandant à Israël “d’arrêter”, alors que le vrai courage aurait été de relayer l’appel constant de Macky Sall pour une réforme du système des Nations unies.

3. Macky dialogue avec le monde et propose des règles équitables, pendant que les autres veulent jouer sans règles. Leur rêve ? Casser la table du système… faute d’avoir appris à y jouer. Ils brandissent une souveraineté abstraite, oubliant qu’aucune nation ne gagne seule, et que l’autarcie n’a jamais fait décoller un pays.

4. Macky, c’est l’Afrique qui discute, qui propose, qui construit. Les “autres”, c’est l’Afrique qui râle, qui boude, qui s’enferme. Une Afrique anxieuse, sur la défensive, en quête perpétuelle d’un ennemi extérieur pour masquer son vide intérieur.

Alors oui, avec Macky, le Sénégal brillait sur la scène internationale. Aujourd’hui, il rase les murs. La voix du pays portait dans les forums mondiaux ; elle s’éteint désormais dans les litanies populistes. Le pays attirait les investisseurs ; il les fait fuir. Il nouait des alliances ; il collectionne les ruptures.

Et pendant qu’on justifie l'immobilisme diplomatique des "autres" par la révocations par le "projet" des “tournées internationales soit disant inutiles”, on se perd en bains de foule survoltés entre Ouaga, Nouakchott, Abidjan, Banjul et Bissau, comme si serrer des mains afro-africaines faisait parler l’Afrique et pouvait compenser l’absence de vision. L’Afrique n’a pas besoin de kermesses régionales. Elle a besoin de leaders qui parlent au monde entier, négocient l'avenir de l'humanité et, influencent les opinions internationales...

La grandeur d’un pays ne se mesure pas à sa capacité à bouder, mais à sa faculté à exister dans le monde sans s’y dissoudre. Macky Sall l’a compris. Les “autres”, pas encore. À ce rythme, il faudra leur envoyer une carte postale… du monde réel....

Bon Mardi Visca Barça....

03/05/2025

🔴La Santé 🇸🇳 : un PIVOT CENTRAL mais ignorée comme Priorité première des politiques publiques et aussi gangrénée par une mauvaise gestion et des méthodes et pratiques hors normes.

Un secteur malade qui soigne des malades. Quel paradoxe !! Ça cloche discordant !

Ce récit poignant et cri d’alarme de cette brave docteur Aminata Diop ainsi que l’annonce inquiétante du ministre de la Santé et de l’action sociale Ibrahima Sy, qui fait cas d’un pic des décès nocturnes dans les hôpitaux publics, sont en réalité des aveux de taille sur la crise sanitaire et les véritables problèmes que rencontrent les professionnels de la santé ainsi que les patients eux-mêmes.

À qui la faute ???
À l’Etat ? À l’Administration des hôpitaux y compris des cliniques privées ? Aux patients et leurs accompagnants ?
La PlumeCitoyenne n’indexerait personne.

Mais SI CHACUN FAIT SA PART en toute responsabilité, les choses se mettront EN ORDRE, comme une belle symphonie musicale. Car en ce moment, chaque acteur jouera la note qui lui sied pour la bonne marche des hôpitaux.

Il n’y a pas de secret pour atteindre l’émergence et le développement tant souhaités. Il faut juste une bonne dose de patriotisme et de citoyenneté pour pouvoir atteindre les objectifs de croissance et de prospérité partagée.

Ce SENEGAL 🇸🇳 - qui NOUS APPARTIENT à nous tous, doit être considéré comme la prunelle de nos yeux. 👀

Nous devons LE SERVIR à la hauteur de nos qualifications professionnelles respectives, de notre intelligence et niveau intellectuel, de nos moyens matériels et financiers individuels et collectifs face à tous les enjeux et défis ; ET CE, en toute honnêteté, humilité et loyauté. Car chacun de NOUS est un maillon qui fait Le Sénégal 🇸🇳. Donc ce qui compte, c’est la prise de conscience et l’engagement afin que chaque secteur d’activité puisse servir les besoins des citoyens.

One love
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PlumeCitoyenne
MaremKANTE
Samedi 3 mai 2025.
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VOICI LE RÉCIT QUI A INTERPELLÉ LA PLUMECITOYENNE.

* nocturne dans les hôpitaux : Dr. Aminata Diop livre sa part de vérité au ministre de la santé.

👉Alors que le ministre de la Santé et de l’action sociale Ibrahima Sy pointe un pic des décès nocturnes dans les hôpitaux publics, la réponse du docteur Aminata Diop résonne comme un cri d’alarme. Dans un témoignage poignant, elle dévoile l’envers du décor : urgences démunies, personnel épuisé, et vies perdues faute de moyens élémentaires. À travers une expérience vécue, elle interpelle l’État sur l’urgence de réformes concrètes pour sauver un système à bout de souffle.

Monsieur le Ministre, Ibrahima Sy
Saviez-vous que lors de ma dernière garde, il y a 10 jours, une femme de 40 ans est arrivée aux urgences à 3h du matin, accompagnée de son fils de 18 ans, en ayant un pneumothorax compressif et une acidocétose diabétique ? Deux urgences vitales. Deux diagnostics qui exigent une intervention IMMÉDIATE : insuline, sérum salé, drainage thoracique. Des minutes comptent.
Saviez-vous M. le ministre que rien de tout cela n’était disponible aux urgences dans un hôpital de NIVEAU 3 ?
Saviez-vous que son fils, paniqué, a dû courir pour acheter les médicaments lui-même ? Et pire, il avait l’argent sur son téléphone, mais la pharmacie de l’hôpital ne prenait pas Wave ? Moi le médecin de garde n’avais de l’argent que dans mon wave également.
À 3h du matin, où vouliez-vous qu’il retire de l’argent, Monsieur le Ministre ? Dans la rue ? Dans un distributeur fantôme ?
J’étais seule. Seule face à cette femme qui suffoquait. Seule face à ce fils qui regardait sa mère mourir. Seule, alors que je savais exactement quoi faire, mais que le système, NOTRE SYSTÈME m’en empêchait.
Je me suis battue car il était hors de question que cette femme meure devant son fils pour des médicaments qui étaient sensés être disponibles à tout moment dans un service d’urgence.
J’ai couru, supplié, cherché désespérément une solution. Et savez-vous qui nous a sauvés ce soir-là M. le Ministre ? Le caissier de la Brioche Dorée de l’UCAD (Mille mercis encore à lui).
Oui, un homme dont le métier est de vendre des croissants a fait ce que NOTRE HÔPITAL, VOTRE, HÔPITAL n’a pas pu faire : il nous a dépannés.
Est-ce cela, notre système de santé ?
Un médecin seul, de 17h à 8h, qui doit :
– Surveiller 45 patients, dont 4 en réanimation.
– Gérer les urgences, les hospitalisations, les avis.
– Et en plus, jouer au banquier, au logisticien, au mendiant de médicaments à 3h du matin.
Nous, médecins, nous nous tuons à la tâche. Nous inventons des solutions miracles dans un système en RUINE. Nous supplions des caissiers de boulangerie pour sauver des vies. Jusqu’à quand ?
Assez de discours. Assez de promesses. Assez de vies sacrifiées pour des économies de misère.
Je vous le demande, au nom de cette femme, de ce fils, de tous ceux qui meurent dans l’ombre comme vous le dites sans des études aux préalables :
– recrutez les médecins qui chôment avant de les perdre
– Approvisionnez les urgences en médicaments.
– ARRÊTEZ DE FAIRE DES HÔPITAUX DES MOUROIRS A BUDGET SERRÉ
La santé n’a pas de prix. Mais son absence, elle, coûte des vies.
Agissez. Il est temps de faire de ce secteur UNE PRIORITÉ
Tout en espérant que d’ici la prochaine « fête du Travail » les choses vont réellement changer.
Dr Aminata Diop.

* #🇸🇳*TEMOIN FM 107.0

02/05/2025

RÉPONSE À ALIOUNE TINE.

De Ndeye Sow Leila

Rien d'extraordinaire sous le soleil ! Tu parles comme si c'est la première qu'un Président prend les airs.
Naturellement et légalement le Président de la République a le devoir et l'obligation de représenter, défendre les intérêts du pays : oui. Mais sans flatterie excessive ni storytelling biaisé. Car ce que les Sénégalais attendent, ce n’est pas une opération de séduction dans les enceintes internationales, mais des résultats concrets, une justice impartiale, un redressement économique tangible, et un respect strict des institutions.

Enfin, s’opposer, ce n’est pas rejeter systématiquement le positif. C’est veiller, questionner, exiger que l’action publique reste conforme aux exigences de l’État de droit. Refuser la complaisance ne fait pas de nous des « nullistes ». Cela s’appelle de la lucidité citoyenne.
Ndeye Sow Leila

02/05/2025

L’homme politique sénégalais : grandeur en fonction, arrogance en action ?

Si demain, j’étais appelée à devenir conseillère en communication politique auprès d’un leader, ma première mission ne serait ni l’élaboration d’un plan média, ni la rédaction de discours bien ficelés. Ma priorité, avant toute stratégie, serait de lui faire comprendre l’importance de l’humilité — cette qualité précieuse qui distingue les grands des puissants, et que le pouvoir balaie trop facilement d’un revers d’ego.

Car le constat est douloureux, mais persistant : trop de nos dirigeants, une fois élevés à de hautes fonctions, se déconnectent de la réalité qui les a forgés. Ce sont souvent des hommes et des femmes issus du peuple, avec qui nous avons partagé des bancs d’école, des rêves, des frustrations, des espoirs. Puis un jour, la République leur ouvre ses portes. Dieu leur accorde une chance de servir, et au lieu de grandir dans la responsabilité, ils s’enferment dans la suffisance.

Ils changent brusquement. Les appels ne trouvent plus de réponse, les messages restent sans suite. Les visages familiers deviennent gênants, les amitiés d’hier sont effacées sans remords. Ils prennent de la hauteur, mais perdent de la profondeur. Leur posture devient arrogance, leur silence mépris, leur pouvoir un mur au lieu d’un pont.

Ils oublient. Ils oublient que le pouvoir n’est pas un refuge, mais un test. Ils oublient que les regards qui les acclamaient hier peuvent, demain, se détourner dans l’indifférence. Et souvent, ce n’est qu’une fois les projecteurs éteints, les privilèges envolés, qu’ils réalisent le vide qu’ils ont creusé autour d’eux. Le plus grand drame, ce n’est pas la chute — c’est de n’avoir laissé derrière soi que l’écho amer d’un comportement indigne.

C’est pourquoi nous peinons aujourd’hui à citer des modèles, des figures de référence, des leaders dont le souvenir nous inspire encore par leur dignité, leur proximité, leur simplicité.

À vous qui exercez ou aspirez au pouvoir : n’oubliez jamais d’où vous venez. Ne vous laissez pas griser par les apparats, car c’est dans la constance, la bienveillance et l’humilité que se mesure la grandeur. Vous ne serez pas jugés sur vos titres, mais sur vos actes. Pas sur votre statut, mais sur ce que vous avez fait de votre humanité.

Et si un jour tout cela devait s’arrêter — car tout pouvoir est éphémère —, que l’on se souvienne de vous non pour votre arrogance, mais pour votre capacité à rester fidèle à ceux qui ont cru en vous.
Bon Jumma Mubarak ❤️
Rama Seck

02/05/2025

*La revanche des rats-thé !!!*

J’ai écouté le Garde des sceaux ministre de la Justice Ousmane DIAGNE sur le parloir de l’Assemblee nationale lors de la séance de la levée de l’immunité parlementaire de l’honorable député Salimata Diop dans le cadre du contrôle de la gestion du fonds de riposte et de Solidarité contre les effets de la Covid-19 (Force Covid) Gestions 2020 et 2021.
J’avoue que je suis resté sur ma faim.
Ousmane DIAGNE ne m’a pas du tout convaincu.
Mme le Ministre Ndèye Saly Diop Dieng est une femme droite, pieuse, respectueuse de sa culture.
Au nom d’une démocratie à géométrie variable, des moins que rien ternissent son image en la jetant à la vindicte populaire.
En regardant Mme le Ministre Ndèye Saly Diop s’exprimait au micro des journalistes, on sent nettement qu’elle a mal dans sa chair pour quelqu’une qui a servi 40 bonnes années l’Etat du Sénégal 🇸🇳, vraiment c’est écœurant.
Où sont les voix discordantes promptes à réagir à chaque instant sous le régime du Président Macky Sall, elles se sont tues. Je veux parler des droits de l’hommiste et assimilés.
Pourquoi la reddition des comptes se s’applique jamais à la Société civile et droits de l’hommiste ?
On ne peut pas œuvrer dans l’humanitaire et les droits humains et construire ou habiter dans des châteaux 🏰 !
Pastef est venu pour détruire des gens et non développer le Sénégal 🇸🇳 à travers un développement endogène, un développement équilibré où la croissance sera partagée par l’ensemble des Sénégalais.
Le changement systématique prôné par ce régime fasciste n’est rien d’autre que de s’acharner sur des honnêtes citoyens qui ont réussi dans la vie.
Au lieu de dire à leurs propres ancêtres pourquoi ils ont été feignants devant les ancêtres d’autres faisant d’eux des natifs pauvres mais par la grâce de Dieu et l’école, ils puissent parvenir à des stations de responsabilité afin de venir prendre leur revanche sur d’autres personnes complètement innocentes.

*Matar GUEYE, Militant de l’Alliance Pour la République*

02/05/2025

Est-ce que Cheikh Oumar Diagne a plus de dignité que Badara ?

Vous nommez Cheikh Omar Diagne Dage, d'un décret du Président de la République qui restera dans les archives nationales comme Dr en Economie alors que faux ne pouvait être plus grave. C'est limite une arnaque auprès du Président de la République consignée dans un décret.

Vous en faites un personnage influent auprès de notre Président avec Bureau au Palais de la République, le traitez avec des avantages qu'il ne mérite pas.

P*s, le MESRI sort un document administratif interdisant aux universités Privées de décerner le titre de PHD mais Cheikh n'en a cure et soutient un faux Doctorat de fait..Rien n'y fit fait pour le lui retirer ou dénoncer .

C'est sur le faux BFEM d'un Chroniqueur que la République veut s'arrêter. Soyez plus selectifs dans vos priorités et combat. Ce DG de la Foire à du boulot qui est de faite revenir les investisseurs au lieu d'organiser des événements où se vendent plus feer, bine bine et Dial diali..

Notre démocratie, la démocratie en elle même se nourrit de tension et l'art d'accepter les critiques objectives, mêmes celles négatives participeront à vous améliorer.

Soutien inconditionnel à Badara Gadiaga .

Bayileen Jambour bi

Cheikh
@à la une

02/05/2025

Levée De Son Immunité Parlementaire , Moustapha Diop Parle D’acharnement contre sa personne…«Pourquoi ils n’ont pas convoqués ceux qui ont reçu plus 500millards?? Etc..»