Abc-Africa Media

Abc-Africa Media Agence panafricaine de marketing d’influence et de conseil en communication digitale 360°, offre des solutions innovantes aux entreprises.
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Elle gère aussi ABC-AFRICA TV & FM, chaîne numérique, et une plateforme de presse en ligne :
www.abc-africanews.com ABC-AFRICA MEDIA GROUP(ABC-AFRICA TV & FM) est un groupe médiatique international panafricain. Nous sommes un complexe de structure médiatique regroupant des professionnels et les passionnés du journalisme et de la communication digitale. ABC-AFRICA MEDIA GROUP, Créons autrement l'h

istoire de l'Afrique grâce à sa Jeunesse. ABC-AFRICA TV & FM... C'est plus qu'une chaîne de télévision.

01/08/2025

Le savez-vous ?
Un opérateur économique dont la coupure arbitraire de l’internet a eu des répercussions négatives sur ses activités, peut porter plainte contre X

01/08/2025

Le savez-vous ?
Coupez arbitrairement la connexion internet dans un pays, est un manquement criard aux droits de L’homme…

01/08/2025

Pourquoi toujours les mêmes accusations de viol des sportifs ou footballeurs de haut niveau ?

🔴 REGARD CITOYEN EN TANZANIE 🔴🇹🇿 Tanzanie : quand la souveraineté économique prend le pas sur l’intégration régionale ?L...
01/08/2025

🔴 REGARD CITOYEN EN TANZANIE 🔴

🇹🇿 Tanzanie : quand la souveraineté économique prend le pas sur l’intégration régionale ?

Le 28 juillet 2025, la Tanzanie a franchi un cap majeur dans la réaffirmation de sa souveraineté économique en publiant un arrêté interdisant désormais aux étrangers l’exercice de 15 secteurs d’activités considérés comme stratégiques pour la population locale.

Parmi les domaines désormais réservés exclusivement aux citoyens tanzaniens, on retrouve des activités de proximité et à faible capital :

• ✂️ Salons de coiffure et d’esthétique

• 📱 Réparation de téléphones portables

• 💸 Services de transfert d’argent mobile

• 🧼 Services de nettoyage et d’entretien

• 🛍 Commerce de détail de rue et dans les marchés

• 🚗 Livraison locale, tourisme domestique, artisanat et autres activités informelles

👉 Officiellement, la motivation affichée par les autorités tanzaniennes est simple : protéger les emplois, soutenir les entrepreneurs locaux, préserver les circuits économiques internes, et limiter la concurrence étrangère dans les secteurs à faible barrière d’entrée.

Mais derrière cette décision à première vue protectionniste se cache une lecture géopolitique et géostratégique plus profonde, révélatrice d’un tournant post-néolibéral assumé de certains États africains, de plus en plus tentés de reprendre le contrôle sur leurs économies locales, trop longtemps laissées ouvertes aux dynamiques du marché globalisé.

🔍 Analyse politique et économique panafricaniste

Ce décret intervient dans un contexte continental marqué par :

• Une montée du chômage des jeunes, souvent exclus des circuits économiques dominés par des ressortissants étrangers mieux capitalisés ;

• Une remise en cause croissante du dogme du libre-échange sans régulation, notamment dans les espaces économiques sous-régionaux comme la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) ou la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) ;

• Une revendication populaire de plus en plus forte pour un “nationalisme économique” africain, inspiré des modèles asiatiques, notamment celui du Rwanda ou de l’Éthiopie.

🌍 Géostratégie régionale et tensions sous-jacentes

Cette décision tanzanienne, si elle répond à une logique intérieure, pourrait entraîner des frictions régionales non négligeables, en particulier avec :

• Le Kenya et l’Ouganda, dont de nombreux ressortissants sont présents dans les secteurs ciblés et qui pourraient voir cette mesure comme une atteinte à la libre circulation dans l’EAC ;

• Les investisseurs étrangers, notamment asiatiques ou moyen-orientaux, qui utilisent parfois des prête-noms pour s’implanter dans ces secteurs informels, menaçant l’effectivité de cette mesure si elle n’est pas rigoureusement encadrée.

⚠️ Conséquences possibles : entre protection légitime et fermeture inquiétante

Si cette politique peut légitimement se justifier dans une optique de décolonisation économique, elle ne doit pas :
• Se transformer en xénophobie économique ;

• Servir de prétexte à des discriminations ciblées ;

• Ou compromettre la dynamique d’intégration régionale, l’un des piliers d’une Afrique forte et souveraine.

🧭 Quelle voie panafricaine à suivre ?

ABC-AFRICA MEDIA, en tant que média indépendant panafricaniste, salue la volonté des États africains de restaurer leur souveraineté économique, mais appelle à une approche plus concertée, solidaire et panafricaine :

• Créer des quotas ou des partenariats obligatoires entre étrangers et nationaux dans certains secteurs stratégiques ;

• Investir massivement dans la formation et l’accès au crédit pour les jeunes Africains afin de mieux les positionner face à la concurrence régionale ou internationale ;

• Réformer les cadres de la ZLECAf et des communautés économiques régionales pour concilier protection locale et intégration continentale équilibrée.

La Tanzanie pose un acte fort. Reste à savoir si les autres nations africaines choisiront la fermeture défensive ou la souveraineté coopérative. Le panafricanisme économique ne peut se faire au détriment de l’unité africaine. Il doit au contraire en être l’accélérateur.

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🔴 REGARD CITOYEN SUR LA SITUATION SOCIO-POLITIQUE AU TOGO 🔴Togo : Quand la Dictature Dynastique des GNASSINGBÉ Tente de ...
01/08/2025

🔴 REGARD CITOYEN SUR LA SITUATION SOCIO-POLITIQUE AU TOGO 🔴

Togo : Quand la Dictature Dynastique des GNASSINGBÉ Tente de Bâillonner l’Afrique par la Répression Transnationale

Par : ABC-AFRICA MEDIA / ABC-AFRICA TV & FM
Date : 1er Août 2025

Une fois de plus, le Togo, ce petit pays ouest-africain à la grande histoire de luttes démocratiques, refait surface sur la scène géopolitique africaine non pas pour ses avancées, mais pour la persistance d’un régime autocratique incarné par la dynastie GNASSINGBÉ. Alors que l’Afrique se lève peu à peu, portée par des voix libres, critiques et résolument panafricaines, le pouvoir de Lomé semble déterminé à faire taire toutes les formes de contestation, y compris au-delà de ses frontières. Un acte grave vient d’être franchi : le régime togolais ose désormais instrumentaliser les mandats d’arrêt internationaux contre des influenceurs et activistes légitimes comme Hodako TV et les membres du Mouvement M66.

Une dérive totalitaire camouflée en démocratie

Depuis plus de cinq décennies, le Togo est sous l’emprise d’un régime héréditaire. De feu Gnassingbé Eyadéma à son fils Faure Gnassingbé, le pays n’a jamais connu d’alternance démocratique réelle. Malgré les promesses, les élections, et les dialogues de façade, la mainmise sur les institutions, les médias, l’armée et la justice reste totale. Le système repose sur une stratégie bien rodée : réprimer, diviser, neutraliser.

La voix des sans-voix traquée au-delà des frontières

À l’ère du numérique et de la globalisation de l’information, les voix dissonantes se sont délocalisées en ligne. Des influenceurs, journalistes, blogueurs, activistes et artistes comme Hodako TV, les membres du Mouvement M66 et d’autres figures de la diaspora togolaise et africaine, dénoncent avec courage les dérives du pouvoir. Leurs outils ? Les réseaux sociaux, les podcasts, les vidéos, la musique engagée. Leur arme ? La vérité.

Mais ces dénonciations dérangent. Face à l’incapacité de les faire taire localement, le régime choisit désormais l’intimidation par des mandats d’arrêt internationaux abusifs, une pratique dangereusement politisée qui viole l’esprit même des conventions internationales sur les droits de l’Homme et l’asile politique.

De la traque judiciaire à l’élimination physique

Plus inquiétant encore, plusieurs militants ont été liquidés, enlevés ou persécutés malgré leur statut de réfugiés dans des pays tiers. Ces pratiques rappellent tristement les méthodes des pires dictatures. Elles traduisent une volonté manifeste d’exporter la terreur d’État en toute impunité, défiant les normes du droit international, les conventions de Genève, et les mécanismes de protection de la liberté d’expression.

Une mobilisation africaine urgente et légitime

Face à cette situation gravissime, ABC-AFRICA MEDIA appelle à une mobilisation panafricaine urgente :

1. À l’Union Africaine et à la CEDEAO, qui se targuent de défendre la démocratie, de condamner fermement ces violations transnationales de la liberté d’expression.

2. Aux gouvernements africains, notamment ceux qui accueillent des réfugiés togolais, d’assurer leur protection effective face aux tentatives d’extradition ou d’agression.

3. Aux médias africains indépendants, de sortir du silence complice et de couvrir avec rigueur cette répression numérique et physique.

4. Aux artistes, créateurs de contenu et influenceurs, de faire bloc avec leurs pairs persécutés pour que le continent ne devienne pas une prison à ciel ouvert pour les esprits libres.

5. Aux institutions internationales, d’ouvrir une enquête sur les abus du pouvoir togolais et de renforcer les mécanismes de protection pour les réfugiés politiques et activistes en exil.

Le devoir de mémoire, le devoir de courage

L’histoire retiendra que des jeunes Africains, souvent sans autre arme que leur smartphone, leur plume ou leur voix, ont osé dénoncer la dictature au péril de leur vie. L’histoire retiendra aussi ceux qui sont restés silencieux. Car le combat pour la liberté d’expression au Togo est aussi celui pour la souveraineté, la justice et la dignité de tout un continent.

Ce n’est pas une affaire togolaise. C’est une affaire africaine. Une affaire humaine.

ABC-AFRICA MEDIA, fidèle à sa ligne panafricaniste et à sa mission de défense des voix africaines libres, condamne avec fermeté toute tentative de criminalisation de la pensée critique. Nous appelons à la protection immédiate et inconditionnelle de tous les dénonciateurs légitimes du régime GNASSINGBÉ. Le Togo mérite mieux. L’Afrique mérite mieux.

Rédigé par :
ABC-AFRICA MEDIA / ABC-AFRICA TV & FM
Panafricanisme, Vérité, Résistance.
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🔴 FLASH INFO AU BURKINA-FASO 🔴Le Procureur du Faso se rapprochera de son homologue de la République de Côte d’Ivoire, da...
01/08/2025

🔴 FLASH INFO AU BURKINA-FASO 🔴

Le Procureur du Faso se rapprochera de son homologue de la République de Côte d’Ivoire, dans le cadre de la coopération judiciaire, afin de faire toute la lumière sur cette affaire.

Par ailleurs, toute personne détenant des informations utiles relatives aux conditions de détention et au traitement ayant conduit au décès de notre compatriote Alino Faso est priée de se rapprocher sans délai du Parquet compétent.

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ABC-AFRICA MEDIA | Tribune d’Analyse Politico-ÉconomiqueFMI, Banque Mondiale : les "aides" au développement, un piège do...
31/07/2025

ABC-AFRICA MEDIA | Tribune d’Analyse Politico-Économique

FMI, Banque Mondiale : les "aides" au développement, un piège doré pour l’Afrique ?

Par la Rédaction Panafricaniste | ABC-AFRICA MEDIA
www.abc-africanews.com – ABC-AFRICA TV & FM

Depuis plus de six décennies, l’Afrique est la cible d’un flot incessant de financements et de programmes estampillés “aide au développement” de la part d’institutions internationales telles que le Fonds Monétaire International (FMI) et la Banque Mondiale. Mais à qui profitent réellement ces aides ? Et à quel prix pour les peuples africains ? Loin d’être neutres, ces financements sont aujourd’hui de plus en plus dénoncés comme des instruments de domination économique et politique, intégrés dans une stratégie globale de maintien de l’Afrique dans une posture de dépendance systémique.

Des aides sous haute surveillance néolibérale

Les prêts et aides dites “structurelles” du FMI ou de la Banque Mondiale ne sont jamais sans contrepartie. Elles s’accompagnent systématiquement de conditions drastiques, souvent destructrices pour les économies nationales :

Privatisations accélérées des entreprises publiques stratégiques ;

Suppression des subventions aux produits de première nécessité ;

Réduction drastique des dépenses sociales (éducation, santé, emploi) ;

Libéralisation sauvage des marchés au profit des intérêts étrangers.

Ces “ajustements structurels”, présentés comme des solutions techniques, relèvent en réalité d’un agenda idéologique néolibéral, imposé sans débat démocratique par des institutions dominées par les grandes puissances économiques.

Le cycle infernal de la dette

Entre prêts, refinancements, intérêts cumulés et conditionnalités, la dette publique africaine explose sans jamais offrir de réelles perspectives de transformation structurelle :

Des États s’endettent pour rembourser d’anciens prêts, piégés dans un cercle vicieux ;

Les montants versés retournent souvent vers les pays donateurs à travers les entreprises sous-traitantes occidentales ou les experts rémunérés à prix d’or ;

Les dettes contractées sont remboursées au prix de l’austérité imposée aux peuples africains, toujours plus paupérisés.

Selon plusieurs études indépendantes, l’Afrique rembourse chaque année plus d’argent qu’elle n’en reçoit.

Une stratégie géopolitique de contrôle

Il serait naïf de croire que ces aides sont dénuées de visée politique. En réalité, elles permettent aux institutions financières de :

Orienter les politiques nationales selon les intérêts des pays créanciers ;

Affaiblir les souverainetés économiques africaines ;

Bloquer l’émergence d’alternatives régionales ou panafricaines (monnaies locales, coopérations Sud-Sud, banques de développement africaines).

Le FMI et la Banque Mondiale deviennent ainsi des agents d’influence stratégique, qui contrôlent sans gouverner, qui dirigent sans mandat populaire.

Des alternatives africaines bâillonnées

L’Afrique dispose pourtant de ressources, de compétences et de visions alternatives :

Des institutions régionales existent (BAD, BOAD, BDEAC…) ;

Des initiatives Sud-Sud avec des pays comme la Chine, l’Inde ou le Brésil offrent des modèles coopératifs différents ;

Des propositions de fonds panafricains de solidarité, de monnaies régionales ou de banques centrales souveraines émergent çà et là.

Mais ces initiatives manquent souvent de soutien politique, sont étouffées par la pression des bailleurs traditionnels, ou victimes du manque d’unité stratégique entre États africains.

Se libérer ou subir

Les aides financières des institutions comme le FMI ou la Banque Mondiale ne sont pas de simples soutiens au développement : elles sont, dans leur essence, des leviers géoéconomiques de domination, parfaitement intégrés à l’ordre mondial néocolonial. L’Afrique doit sortir de cette logique d’assistanat permanent et oser inventer sa propre voie de développement, fondée sur :

L’unité politique continentale,

La réappropriation de ses richesses,

Une gouvernance économique endogène et populaire.

L’Afrique n’a pas besoin d’aides conditionnées, mais d’un réveil stratégique. Le développement africain se fera par les Africains, pour les Africains, et avec les Africains.

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31/07/2025

Les pays de l’AES ont redoré le blason des peuples africains en matière de dignité humaine, de sécurité, développement, souveraineté nationale…

31/07/2025

Aucune armée en Afrique de l’Ouest ne peut rivaliser avec les pays de l’AES en matière d’armement…

29/07/2025

Alassane Dramane Ouattara, annonce sa énième candidature pour les présidentielles du 25/10/2025 en Côte d’Ivoire. Un 4ème mandat en téléchargement

🔴 🇧🇫🕯️ Affaire Alino Faso : Un assassinat d’État camouflé ?🇨🇮💥 Une tragédie qui expose les fissures d’un système répress...
28/07/2025

🔴 🇧🇫🕯️ Affaire Alino Faso : Un assassinat d’État camouflé ?

🇨🇮💥 Une tragédie qui expose les fissures d’un système répressif et opaque

L’Afrique pleure. Le Burkina Faso se dresse. L’indignation est totale. L’assassinat d’Alain Christophe TRAORÉ, plus connu sous le nom d’Alino Faso, au cœur même d’un lieu censé symboliser la loi, l’ordre et la sécurité une école de gendarmerie ivoirienne est une macabre illustration de la violence institutionnelle qui ronge nos États modernes sous des habits de démocratie.

Ce que l’on présente comme un su***de résonne comme une insulte à l’intelligence collective, à la mémoire des martyrs de la liberté et à l’humanité même. Comment comprendre qu’un homme soit gardé plus de six mois sans procès, dans une détention militaire opaque, pour ensuite mourir « mystérieusement » sans qu’aucune autorité compétente ni sa famille, ni son avocat, ni son ambassade n’en soit formellement avisée ?
Le silence administratif devient ici complice. Le mutisme, coupable.

⚖️ Une affaire politique, un symbole abattu

Alino Faso n’était pas un criminel. Il était une voix. Une voix qui portait celle des sans-voix, une voix qui dénonçait l’injustice, la dictature rampante, les inégalités sociales et l’ingérence néocoloniale. Sa disparition tragique est tout sauf anodine : elle est politique.

En l’enfermant sans procès, en le brisant dans l’ombre, en étouffant toute communication officielle jusqu’à l’annonce funèbre par un communiqué aux contours douteux, le pouvoir ivoirien s’est dévoilé dans sa plus grande nudité autoritaire.

🔍 Un assassinat d’État ? Les faits sont accablants

10 janvier 2025 : Arrestation musclée de l’activiste Alino Faso, sans procès public.

Pendant plus de 6 mois : Silence, absence d’informations fiables, détention arbitraire.

24 juillet 2025 : Décès annoncé rétrospectivement par un communiqué douteux.

72 heures plus t**d : Le communiqué est relayé, sans notification officielle préalable à la famille ou à l’État burkinabè.

Détention dans une école de gendarmerie : Lieu inapproprié pour une simple garde à vue prolongée.

Aucune transparence judiciaire : Aucune autopsie indépendante connue, aucune preuve publique.

Ce scénario sordide est une honte pour la diplomatie régionale, une menace pour la liberté d’expression et une gifle à la souveraineté du peuple burkinabè. Il témoigne d’un retour inquiétant aux pratiques d’exécutions silencieuses, à la criminalisation de la pensée libre et à l’utilisation de l’appareil d’État pour écraser la dissidence.

😡 Consternation, Répulsion et Exigence de Vérité

Le Gouvernement burkinabè a raison de parler d’assassinat crapuleux. Ce crime d’État présumé s’inscrit dans une longue tradition de liquidation extrajudiciaire des opposants, activistes et lanceurs d’alerte, pratique que l’on croyait révolue avec les luttes démocratiques du continent.

Alino Faso rejoint une longue liste de martyrs africains que les puissances locales ou étrangères ont tenté de faire taire : Thomas Sankara, Norbert Zongo, et tant d’autres. Sa disparition n’est pas seulement une perte individuelle, c’est un avertissement à tous ceux qui, en Afrique, osent penser, critiquer, rêver.

🌍 Une onde de choc dans la jeunesse panafricaine

Partout sur le continent, la jeunesse observe, se révolte, s’organise. Car Alino Faso n’est pas qu’un militant burkinabè. Il est devenu un symbole transfrontalier du droit de dire non, du courage de dénoncer et du devoir de résister.

ABC-AFRICA MEDIA et ABC-AFRICA TV & FM, en tant que média panafricain indépendant et libre, appellent à une mobilisation générale pour la vérité et la justice :

🔴 Une enquête internationale indépendante et rapide.

🔴 Une autopsie contradictoire avec la présence de médecins légistes burkinabè.

🔴 La traduction en justice de tous les responsables civils et militaires.

🔴 La fin de la répression contre les voix discordantes en Côte d’Ivoire comme ailleurs.

📢 Et maintenant ?

Si l’Afrique laisse mourir Alino Faso dans l’oubli, alors elle accepte l’effacement de toutes les libertés futures.

Le devoir de mémoire, le devoir de justice, le devoir de souveraineté nous obligent. Son sang appelle une réponse. Sa mort appelle une révolution morale.

Ce n’est pas un su***de.
Ce n’est pas une erreur.
C’est un crime. Un acte politique. Un message d’intimidation.

Mais nous disons non.





🔻 Par la Rédaction d’ABC-AFRICA MEDIA / ABC-AFRICA TV & FM
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Wend Yam Minoungou entre les mains du régime D'ABIDJAN.Il faut agir avec urgence pour sauver notre compatriote avant que...
28/07/2025

Wend Yam Minoungou entre les mains du régime D'ABIDJAN.

Il faut agir avec urgence pour sauver notre compatriote avant que le pire ne se produise avec le régime démoniaque du RDR.

C'est une urgence ULTIME!
IL EST ENCORE TEMPS DE LA SAUVER!

AGIR MAINTENANT POUR NE PAS AVOIR À REGRETTER PLUS T**D!

Elle a été arrêtée au même moment que Alino Faso.
Le crime ultime des deux, est d'être sur le territoire ivoirien et de porter leur patrie et son héros le camarade capitaine IBRAHIM TRAORÉ dans leur cœur.

L'homme De Tampouy

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L’organisation internationale panafricaine ABC-AFRICA(Les Ambassadeurs de la Bonne Cause) a initié un vaste projet international de télécommunication digitale(Radio-Télé & Presse en ligne) ABCAFRICA TV & ABCAFRICA FM ayant pour objectif principal de former, d’informer, d’accompagner des initiatives à dimension humaine, à l’échelle d’un individu, d’une famille, susceptibles d’impacter positivement sur la société et aussi créer des emplois autour du digital et les industries culturelles.

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