Sonko vision 2050

30/05/2025

Un Jubo sincère ne peut pas se faire sans au préalable rendre justice aux victimes des événements de Mars 2021 à Mars 2024 et leurs familles. Des jeunes sont morts, d’autres ont été torturés et emprisonnés injustement. La douleur, l’humiliation, la perte d’un être cher, ils l’ont vécu dans leurs chairs. Il est aujourd’hui très incorrect, voire effronté de voir un responsable du parti oser parler de Jubo ou de jubbelanté en usurpant la place des vraies victimes. Les cœurs ne peuvent pas s’apaiser tant que justice ne sera pas rendue. Respectons la douleur de ces victimes et elles sont les seules habilitées à pardonner ou de ne pas pardonner.
Une réconciliation nationale reste la finalité mais ne brûlons pas les étapes et respectons la mémoire des 80 victimes qui n’ont pas aujourd’hui cette chance d’être là et de voir le tandem Diomaye-Sonko aux destinées du Sénégal.
Que l’on se respecte et que chacun reste à sa place. OUSMANE Sonko et Diomaye peuvent pardonner, mais est ce que un Pape Abdoulaye Touré torturé et emprisonné sans raison ou un Siir Tige, Maty Sarr Niang incarcérés injustement ou une mère qui a vu son fils se faire tuer froidement peuvent pardonner et oublier encore mieux parler de Jubo?
Sachons raison gardée et faisons les choses normalement.

Thioro Mbengue ❤️

29/05/2025

: Le Premier ministre, Ousmane SONKO, est arrivé ce jeudi 29 mai en Côte d’Ivoire pour une visite de travail et d’amitié de trois jours.
A son arrivée à l’aéroport international Houphouët-Boigny d’Abidjan, il a été accueilli par son homologue ivoirien, le Premier ministre Robert Beugré MAMBÉ accompagné de plusieurs autorités.
Au programme de cette visite : des séances de travail, une série de rencontres bilatérales et des visites de terrain.

22/11/2024

22/11/2024

La “Tribune” de Bougane : manipulation et désinformation en continu

Comme à son habitude, le quotidien La Tribune, dirigé par Bougane, persiste dans son jeu favori : la manipulation. Aujourd’hui, à travers sa une, ce journal tente subtilement de suggérer une prétendue perte de 400 000 voix par le PASTEF par rapport aux résultats des dernières élections présidentielles. Cette désinformation a d’ailleurs été reprise par un naufragé des élections législatives, Abdoul Mbaye, pour ne pas le nommer, dans une vaine tentative de ternir la victoire éclatante du PASTEF.

D’entrée, il est essentiel de préciser que les types d’élections et les taux de participation ne sont pas comparables. Malgré ces différences, les résultats révèlent une progression notable par rapport aux élections législatives précédentes.

En effet, au Sénégal, les élections législatives enregistrent un taux de participation moyen de 46 %. Cette année, il a grimpé à 49,72 %, témoignant d’un regain d’intérêt. De plus, une analyse détaillée des résultats montre que le PASTEF a remporté 40 des 46 départements du pays. Même dans les six départements où il n’a pas gagné, les résultats affichent une progression significative.

Prenons le cas du département de Podor : lors des élections présidentielles, le PASTEF avait obtenu 10 941 voix contre 117 001 pour BBY. Cette fois-ci, le score est monté à 21 641 voix pour le PASTEF contre 41 349 pour Amadou Ba. À Ranérou Ferlo, BBY avait 12 576 voix contre seulement 1 239 pour le PASTEF. Huit mois plus t**d, le PASTEF a réalisé une percée avec 5 550 voix contre 8 239 pour Takku Walu.

Dans le département de Linguère, où BBY avait obtenu 42 782 voix contre 22 449 pour le PASTEF, ce dernier a réussi une remontée exceptionnelle, obtenant 29 096 voix contre 21 991 pour BBY.

De plus, plusieurs départements stratégiques ont basculé en faveur du PASTEF, notamment Fatick, Bakel, Foundiougne, Médina Yoro Foulah, Salémata, Kédougou, et Dagana, pour ne citer que ceux-là. Ces succ

22/11/2024

Baltasar acquité par la Cour Suprême...
Des examens médicaux ont également confirmé que Baltazar...👉🏼

Guinée Equatoriale : Baltasar acquité par la Cour Suprême; Premier site d'informations de l'Afrique de l'ouest | seneweb.com

22/11/2024

Dans un mouvement historique de souveraineté bancaire, le Sénégal se prépare à racheter la filiale locale de la Société Générale pour 268 millions d'euros. Cette révélation majeure du quotidien Les Échos intervient dans un contexte de retrait massif des banques françaises du continent africain.

L'opération, suivie personnellement par le président Bassirou Diomaye Faye, vise à doter l'État sénégalais d'un "bras armé financier" pour stimuler l'économie nationale. Selon le journal français, ce rachat du deuxième acteur bancaire du pays a un double objectif : soutenir les investissements publics et développer les PME locales, qui ne captent actuellement que 10% des crédits accordés aux entreprises.

Cette acquisition s'inscrit dans une tendance continentale plus large. "Le retrait des banques françaises, qui étaient frileuses sur les crédits et visaient une clientèle plus aisée, va bénéficier au marché africain", analyse dans Les Échos Jamal El Mellali, expert de l'agence Fitch.

La Société Générale opère un repli général sur le continent. L'enquête du journal économique révèle qu'après avoir quitté le Congo, le Tchad, le Bénin, le Burkina Faso, le Mozambique et la Mauritanie, la banque vient d'annoncer son retrait de Guinée. La cession de ses filiales ivoiriennes est également programmée pour 2025.

Les chiffres expliquent ce désengagement : "Il est plus périlleux de prêter à des États, des entreprises ou des PME en Afrique qu'en Europe : le risque d'impayé est plus élevé", explique aux Échos Estelle Brack, experte des systèmes bancaires africains. L'Afrique ne représente que 7% du produit net bancaire de la Société Générale.

D'autres acteurs africains ont déjà pris le relais ailleurs sur le continent. La Coris Bank, fondée par le banquier Idrissa Nassa, a repris les filiales de la Société Générale au Tchad et en Mauritanie. En Côte d'Ivoire, elle a acquis la britannique Standard Chartered. De son côté, Vista Bank, dirigée par Simon Tiemtoré, promet dans Les Échos :