Deglu - Podcast & Webradio

Deglu - Podcast & Webradio Bienvenue sur Deglu (Écoute), votre nouvelle source de podcast et de webradio 100% culture urbaine. Degg li xew (🔊 « Écoute ce qui se passe » en wolof)!

La parole aux jeunes, aux artistes, à la culture urbaine et La Société
🎧 Interviews | đŸŽ€ Freestyles | 📰 Reportages | 🎬 DĂ©couvertes Deglu (Écouter) est une plateforme digitale de podcast & webradio créée par Xela Xel pour donner la parole aux jeunes, aux artistes, et Ă  la culture urbaine.

interview
13/05/2025

interview

Deglu est une plateforme 100% urbaine qui donne la parole aux artistes, aux jeunes crĂ©ateurs, et aux passionnĂ©s de culture, de sociĂ©tĂ© et de dĂ©couvertes. đŸŽ€đŸŒ HĂ©bergĂ© par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

FORMATION EN PILOTAGE DE DRONE & EXPOSITION DE MATÉRIELS AUDIOVISUELSOrganisĂ©e par Xela Xel EntertainmentEn collaboratio...
09/05/2025

FORMATION EN PILOTAGE DE DRONE & EXPOSITION DE MATÉRIELS AUDIOVISUELS
Organisée par Xela Xel Entertainment
En collaboration avec la Cellule NumĂ©rique de l’UniversitĂ© NumĂ©rique Cheikh Hamidou Kane (UNCHK)

Dates : du 19 au 21 mai 2025
Lieu : Espace Numérique Ouvert (ENO) de Kaolack

Au programme :

Formation pratique au pilotage de drones professionnels

PrĂ©sentation des fonctions et usages du drone dans les mĂ©tiers de l’audiovisuel

Exposition de matériels audiovisuels de derniÚre génération

Échanges et dĂ©monstrations avec des professionnels du secteur

Public ciblé : étudiants, passionnés de technologie, vidéastes, photographes, entrepreneurs créatifs

Objectif : renforcer les compétences locales en audiovisuel et faire découvrir les innovations du numérique au service de la création visuelle.


/ Cellule Numérique UNCHK

Le prĂ©sident Diomaye menacĂ© publiquement : « Si tu veux faire tomber Wally Seck, c’est toi qui tomberas »Le chanteur sĂ©n...
08/05/2025

Le prĂ©sident Diomaye menacĂ© publiquement : « Si tu veux faire tomber Wally Seck, c’est toi qui tomberas »

Le chanteur sĂ©nĂ©galais Wally Seck se retrouve au cƓur d’une affaire judiciaire d’une ampleur inĂ©dite, rĂ©vĂ©lĂ©e ce mercredi par Walf Quotidien.

D’aprĂšs le journal, l’artiste est soupçonnĂ© de blanchiment de capitaux et d’association de malfaiteurs en bande organisĂ©e, dans le cadre d’une enquĂȘte menĂ©e par le parquet financier. Le procureur adjoint aurait mĂȘme saisi le juge d’instruction pour demander son inculpation et son placement sous mandat de dĂ©pĂŽt, sur la base d’un rapport transmis par la CENTIF en mars dernier.

Les investigations pointent du doigt des transferts financiers suspects dont aurait bĂ©nĂ©ficiĂ© l’artiste. Ces flux, jugĂ©s non justifiĂ©s, seraient liĂ©s Ă  un vaste rĂ©seau impliquant des personnalitĂ©s influentes, des sociĂ©tĂ©s-Ă©crans et des comptes personnels. Le nom de Wally Seck apparaĂźtrait Ă  plusieurs reprises dans les piĂšces transmises au magistrat instructeur, aux cĂŽtĂ©s de figures dĂ©jĂ  incarcĂ©rĂ©es comme Farba Ngom et Tahirou Sarr.

Face Ă  l’ampleur de ces rĂ©vĂ©lations, la journaliste AĂŻssatou Diop Fall a vivement rĂ©agi lors d’un direct diffusĂ© sur les rĂ©seaux sociaux. « Si tu veux faire tomber Wally Seck, c’est toi qui tomberas. Il a fĂȘtĂ© ses 40 ans il y a quelques jours. Bass [ndlr : le prĂ©sident Bassirou Diomaye Faye], toi t’en as 46 mais il est devenu riche bien avant vous. Il vous a longtemps fait danser, vous et vos femmes et vos fils. C’est un patrimoine international », a-t-elle lancĂ©, dans un ton Ă  la fois vĂ©hĂ©ment et controversĂ©. Une sortie qui, si elle souligne la popularitĂ© de l’artiste, a Ă©galement suscitĂ© des critiques, notamment parmi les partisans du nouveau rĂ©gime.

Du cĂŽtĂ© de l’entourage de Wally Seck, c’est le silence radio, tandis que ses avocats s’activent pour prĂ©parer une dĂ©fense fondĂ©e sur la prĂ©somption d’innocence. En attendant une Ă©ventuelle mise en examen, l’affaire continue de secouer le paysage mĂ©diatique et politique sĂ©nĂ©galais.

🚹 🚹 Affaire des 10 milliards F CFA : Amadou Sall ne rĂ©pondra probablement pas Ă  la convocation du PJFAmadou Sall, fils d...
08/05/2025

🚹 🚹 Affaire des 10 milliards F CFA : Amadou Sall ne rĂ©pondra probablement pas Ă  la convocation du PJF

Amadou Sall, fils de l’ancien prĂ©sident Macky Sall, est attendu ce mercredi 7 mai par le Pool judiciaire financier (PJF) dans le cadre d’une enquĂȘte sur une transaction de 10 milliards F CFA jugĂ©e suspecte par la Centif. Mais selon des informations du journal Source A, il est peu probable qu’il se prĂ©sente devant la justice.

D’aprĂšs les sources du quotidien, Amadou Sall ne serait pas enclin Ă  coopĂ©rer avec les autoritĂ©s judiciaires sĂ©nĂ©galaises. Il aurait rĂ©cemment sĂ©journĂ© aux États-Unis et resterait trĂšs mobile. Toujours selon le journal, il aurait mĂȘme conseillĂ© Ă  Abdou Karim MbackĂ©, Ă©galement mis en cause dans ce dossier, de quitter le pays — ce que ce dernier n’aurait pas fait.

La situation complique les dĂ©marches judiciaires. Amadou Sall dĂ©tiendrait la nationalitĂ© amĂ©ricaine, ce qui rendrait difficile, voire impossible, toute procĂ©dure d’extradition, les États-Unis ne livrant pas leurs citoyens.

08/05/2025

Compte rendu du conseil des ministres du 7 mai 2025

Mesdames, Messieurs,Chers amis,Je voudrais d’abord remercier notre ami Christian Kastrop pour son aimable invitation et ...
08/05/2025

Mesdames, Messieurs,

Chers amis,

Je voudrais d’abord remercier notre ami Christian Kastrop pour son aimable invitation et pour l’accueil convivial qui m’a Ă©tĂ© rĂ©servĂ©.

Je fĂ©licite Global Solutions pour l’organisation de ce Sommet. Dans un monde en proie aux tensions et aux incertitudes, il est Ă  la fois opportun et salutaire de crĂ©er des espaces de dialogue pour penser ensemble les chemins possibles de sortie de crise.

Face aux urgences, le cours de l’histoire est Ă  nouveau trouble. Le systĂšme multilatĂ©ral, nĂ© dans les dĂ©combres de la guerre pour promouvoir la paix, le progrĂšs partagĂ© et la solidaritĂ© entre les nations, montre aujourd’hui ses limites. Il peine Ă  offrir des rĂ©ponses concertĂ©es aux dĂ©fis contemporains.

En effet, les instances multilatĂ©rales semblent figĂ©es alors que les conflits, anciens et nouveaux, persistent, les uns plus dĂ©sastreux que les autres ; les menaces terroristes restent entiĂšres ; le rĂ©chauffement climatique s’accentue malgrĂ© les COP qui se succĂšdent ; et une guerre commerciale majeure vient s’ajouter Ă  une crise Ă©conomique et financiĂšre dont le monde peinait dĂ©jĂ  Ă  se relever.

Dans ce contexte de crises et de mutations profondes, l’Afrique continue de faire face Ă  plusieurs challenges. Je me limiterai ici Ă  quatre dĂ©fis majeurs.

Premier défi : la paix, la sécurité et la stabilité.

En plus des situations conflictuelles persistantes, le terrorisme tend à devenir endémique sur le continent, en particulier au Sahel.

Il faut dire que depuis des annĂ©es, l’Afrique n’a de cesse d’alerter sur le fait que les opĂ©rations de maintien de la paix classiques ne sont pas adaptĂ©es Ă  la lutte antiterroriste, faute de mandats et de moyens adĂ©quats. En tĂ©moigne la fin prĂ©cipitĂ©e de certaines opĂ©rations dans la colĂšre et l’incomprĂ©hension.

C’est pourquoi nous avons toujours plaidĂ© pour des mandats plus robustes et des moyens mieux calibrĂ©s, pour combattre le terrorisme dans le cadre de l’Architecture africaine de paix et de sĂ©curitĂ©, avec le soutien logistique et financier des Nations Unies et des pays partenaires.

C’est Ă  ce prix que nous pourrons vaincre le terrorisme, ou tout au moins rĂ©duire de façon significative ses moyens d’action.

Il y va de notre intĂ©rĂȘt commun, car la persistance du terrorisme en Afrique constitue une menace globale qui relĂšve de la responsabilitĂ© du Conseil de sĂ©curitĂ©, garant du systĂšme de sĂ©curitĂ© collective. DeuxiĂšme dĂ©fi : le dĂ©veloppement Ă©conomique.

Avec ses 30 millions de kmÂČ, son poids dĂ©mographique et ses ressources miniĂšres, hydriques, Ă©nergĂ©tiques et fonciĂšres (60% des terres arables non exploitĂ©es de la planĂšte), l’Afrique dispose du potentiel nĂ©cessaire pour soutenir ses efforts de dĂ©veloppement et contribuer Ă  la croissance mondiale.

Cela requiert certes des politiques publiques avisées, mais aussi un ordre économique mondial plus juste et plus équitable.

La dynamique du dĂ©veloppement est freinĂ©e quand l’impĂŽt n’est pas payĂ© lĂ  oĂč la richesse est créée, Ă  cause de congĂ©s fiscaux abusifs ; et quand les notations des agences d’évaluation sont biaisĂ©es par leurs critĂšres et leurs mĂ©thodologies de plus en plus contestĂ©es. En Afrique, la perception du risque d’investissement est souvent supĂ©rieure au risque rĂ©el, ce qui renchĂ©rit le coĂ»t du crĂ©dit, Ă  cause de primes d’assurances particuliĂšrement Ă©levĂ©es.

Mon point de vue est qu’il est temps de refonder la coopĂ©ration internationale sur des paradigmes rĂ©inventĂ©s, notamment :

Ø la rĂ©forme de la fiscalitĂ© internationale et des mĂ©thodes de notation des agences d’évaluation ;

Ø et l’assouplissement des rĂšgles de l’OCDE afin de faciliter l’accĂšs des pays en dĂ©veloppement au crĂ©dit export, Ă  des conditions de maturitĂ© plus longues et des taux d’intĂ©rĂȘt soutenables.

A mon sens, l’Afrique d’aujourd’hui a besoin plus de rĂšgles justes et de partenariats Ă©quitables que d’une aide publique au dĂ©veloppement aux ressources limitĂ©es et aux mĂ©canismes peu efficaces.

À titre d’exemple, rien que pour les infrastructures, la Banque africaine de DĂ©veloppement estime les besoins de l’Afrique entre 130 et 170 milliards de dollars par an.

Certes, il faut saluer et reconnaitre à leur juste valeur les efforts et les acquis réalisés dans le cadre des partenariats traditionnels.

En mĂȘme temps, l’Afrique continuera de s’ouvrir Ă  de nouveaux partenariats, sans exclusivitĂ© ni exclusion, pour diversifier ses perspectives de croissance et de dĂ©veloppement Ă©conomique et social.

C’est tout cela, ajoutĂ© Ă  la mise en place progressive de la Zone de libre-Ă©change continentale africaine, qui contribuera Ă  instaurer une nouvelle doctrine de coopĂ©ration fondĂ©e sur une Ă©thique de valeurs partagĂ©es, de solutions concertĂ©es, et d’intĂ©rĂȘts mutuellement bĂ©nĂ©fiques, sans conditionnalitĂ©s idĂ©ologiques ou socio culturelles.

TroisiÚme défi : la transition énergétique dans le contexte du réchauffement climatique.

Suivant le principe de responsabilitĂ© commune mais diffĂ©renciĂ©e, l’Afrique est pleinement engagĂ©e dans la lutte contre le rĂ©chauffement climatique.

Partout sur le continent, des projets sobres en carbone et résilients au réchauffement climatique voient le jour.

Mais le continent qui pollue le moins ne peut ĂȘtre contraint de choisir entre dĂ©veloppement et protection de l’environnement, ou de s’endetter pour financer seul les coĂ»ts de l’adaptation.

Il est donc urgent de mobiliser les ressources financiĂšres nĂ©cessaires Ă  l’action climatique, notamment dans le cadre des Partenariats pour une transition Ă©nergĂ©tique juste.

En outre, pour l’équitĂ© et la justice, il faut Ă©viter des dĂ©cisions unilatĂ©rales comme celle de la COP 26 Ă  Glasgow interdisant le financement Ă  l’étranger de sources d’énergie fossiles, mĂȘme peu polluantes comme le gaz, alors que certains pays industrialisĂ©s continuent d’utiliser des Ă©nergies bien plus polluantes comme le charbon.

Je rappelle que l’Union africaine, la Banque africaine de dĂ©veloppement et le Centre mondial pour l’adaptation ont lancĂ© en 2021 le Programme d’accĂ©lĂ©ration de l’adaptation en Afrique (AAAP).

Cette ambitieuse initiative vise Ă  mobiliser 25 milliards de dollars pour renforcer la rĂ©silience climatique de l’Afrique dans domaines clĂ©s, notamment : l’agriculture, les infrastructures, la jeunesse et l’entrepreneuriat, ainsi que la finance et la gouvernance.

En ma qualitĂ© de PrĂ©sident du Conseil de surveillance du Centre mondial pour l’adaptation, je lance un appel aux partenaires bilatĂ©raux et multilatĂ©raux pour soutenir la deuxiĂšme phase de l’initiative AAAP sur la pĂ©riode 2026-2030.

QuatriÚme défi, enfin, la réforme de la gouvernance mondiale.

L’idĂ©al Ă  la base du multilatĂ©ralisme, c’est de promouvoir entre des pays aux forces inĂ©gales des relations de collaboration confiante, solidaire et inclusive.

Dans cet esprit, il est juste de reconnaitre les services que le systĂšme des Nations Unies et celui de Bretton Woods ont rendus aux Etats membres.

Mais 80 ans aprĂšs sa crĂ©ation, le multilatĂ©ralisme de l’aprĂšs-guerre est en passe de devenir obsolĂšte, car il ne rĂ©pond pas aux rĂ©alitĂ©s et aux besoins de son temps.

Pour plus des trois quarts des pays membres, il y a lĂ  une source d’inĂ©galitĂ©s qui alimente des frustrations et la contestation du systĂšme.

L’élargissement progressif des BRICS en Sud global apparait comme un symptĂŽme illustrant le malaise d’un systĂšme qui court le risque de sa fragmentation s’il n’est pas rĂ©formĂ©.

Il n’est pas souhaitable d’en arriver lĂ . Alors, la sagesse commande de refonder la gouvernance politique, Ă©conomique et financiĂšre mondiale, pour la rendre plus reprĂ©sentative de la diversitĂ© du monde d’aujourd’hui.

Le G20 a montrĂ© la voie en admettant l’Union africaine comme membre de plein droit, Ă  l’initiative du SĂ©nĂ©gal durant sa prĂ©sidence de l’Union africaine.

L’octroi d’un troisiĂšme siĂšge Ă  l’Afrique au Conseil d’administration du FMI va Ă©galement dans le bon sens de l’histoire.

Il est important que d’autres instances, comme le Conseil de sĂ©curitĂ© et la Banque mondiale suivent ces exemples, afin d’aider Ă  l’avĂšnement d’un multilatĂ©ralisme plus inclusif, plus lĂ©gitime et plus efficace.

Mesdames, Messieurs, chers amis,

Dans un monde secouĂ© par tant de turbulences, nous ne devons pas renoncer Ă  l’espĂ©rance. Non pas une espĂ©rance incantatoire, mais une espĂ©rance travaillĂ©e ; une espĂ©rance agissante, nourrie par le courage du dialogue, la force de la coopĂ©ration et la foi dans notre humanitĂ© commune.

À l’heure des dĂ©fis globaux, seul un nouveau sursaut lucide et humaniste nous permettra de ressouder les fractures, apaiser les colĂšres et les tensions, et favoriser une collaboration solidaire, fondĂ©e sur nos valeurs communes et le respect de nos diffĂ©rences.

Je vous remercie.

❗Le chanteur Waly Seck est dans de beaux draps. Le procureur de la RĂ©publique financier adjoint a demandĂ© son inculpati...
07/05/2025

❗Le chanteur Waly Seck est dans de beaux draps. Le procureur de la RĂ©publique financier adjoint a demandĂ© son inculpation et son placement sous mandat de dĂ©pĂŽt au mĂȘme titre que Ibrahima BĂą, fils de l’ancien Premier ministre Amadou BĂą, Cheikh Tidiane Seck, chauffeur de ce dernier, l’ancien ministre Samuel Sarr, en prison pour l’affaire West african energy (WAE), Mamadou Sy, Saliou Sylla et Babacar Niang

Wal fadjri Quotidien, qui lance la bombe dans son édition de ce mercredi 7 mai, précise que le parquet poursuit ces derniers pour association de malfaiteurs en groupe criminel organisé, blanchiment de capitaux commis par un groupe criminel organisé

En saisissant un juge d’instruction en ce sens, souligne le journal, le procureur cherche Ă  coincer «toutes les personnes morales liĂ©es Ă  Amadou Macky Sall dans ses transactions suspectes» tracĂ©es par un rapport de la Centif pointant des opĂ©rations douteuses de plus de 125 milliards de francs CFA

En ordonnant ces nouvelles arrestations Ă  travers un rĂ©quisitoire supplĂ©tif, renseigne Walf, le parquet financier s’appuie sur un «rapport complĂ©mentaire de la Centif reçu Ă  la fin du mois de mars dernier au Pool judiciaire financier (PJF)». Celui-ci «avait valu le mandat de dĂ©pĂŽt Ă  Farba Ngom, Tahirou Sarr et Cie pour blanchiment de capitaux et dĂ©lits assimilĂ©s».
Fils de l’ancien PrĂ©sident Macky Sall et prĂ©sentĂ© comme le maillon central de cette affaire, Amadou Sall Ă©tait convoquĂ© ce mercredi au PJF. LocalisĂ© aux États-Unis par le journal Source A, il ne devrait pas honorer le rendez-vous.

Walf renseigne que le procureur croit savoir que le chanteur Waly Seck et Mamadou Sy ont bĂ©nĂ©ficiĂ© desdits transferts de fonds douteux. L’ancien ministre Samuel Sarr est, lui, soupçonnĂ© d’ĂȘtre mĂȘlĂ© Ă  des transactions suspectes dont une portant sur un chĂšque de 200 millions de francs CFA.

Le fils de l’ancien Premier ministre Amadou BĂą serait quant Ă  lui «impliquĂ© via des sociĂ©tĂ©s de façade et des prĂȘte-noms parmi lesquelles la ‘SCI-CTS’ gĂ©rĂ©e par Cheikh Tidiane Seck, chauffeur [de son pĂšre]. [Il] aurait dĂ©tenu 30% des parts de cette sociĂ©tĂ© constituĂ©e avec Amadou Sall, parts financĂ©es grĂące Ă  la vente en 2012 d’un terrain situĂ© Ă  Ouakam Ă  un certain Francisco Dlmir Nhaga Ă  400 millions de francs CFA».
La mĂȘme source informe que Saliou Sylla, «crĂ©ateur de l’entreprise ‘Ets Saliou Sylla’, acteur clĂ© dans les transactions suspectes, est soupçonnĂ© d’avoir effectuĂ© des retraits de chĂšques estimĂ©s Ă  5 milliards 597 millions de francs CFA sans justification Ă©conomique».

En plus de leur inculpation et de leur placement sous mandat de dépÎt, le parquet financier demande dans son réquisitoire supplétif une saisie conservatoire des biens identifiés des mis en cause, complÚte Walf Quotidien
Il a toujours sa prĂ©somption d’innocence.

08/10/2024

Adresse

Coeur De Ville
Kaolack
24000

Téléphone

+221339412889

Site Web

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Deglu - Podcast & Webradio publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter L'entreprise

Envoyer un message Ă  Deglu - Podcast & Webradio:

Partager