Babacar Diouf l'Officiel

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Hommage aux valeureuses femmes du bois sacré. Ousmane Sonko a sauvé le Sénégal en réussissant  à dégager la bande de com...
01/04/2025

Hommage aux valeureuses femmes du bois sacré.

Ousmane Sonko a sauvé le Sénégal en réussissant à dégager la bande de complotueurs, de menteurs, de voleurs et de tueurs. A chaque découverte d'une monstruosité de plus du défunt régime, on dit " MERCI SONKO ".

Mais le Président du Pastef n'aurait pas pu réussir cet acte sans la détermination et le sacrifice d'une partie des Sénégalais.

Les femmes du bois sacré ont joué leur partition. Elles ont été au devant de la résistance pour la défense de l'enfant du terroir. Leur mobilisation a probablement ragaillardi le Président du Pastef dans le combat qu'il a mené contre le régime du Sall tyran Macky.
C'est peu probable que ces actes hautement guerriers soient officiellement inscrits dans des programmes scolaires, mais tout enseignant aura la liberté de les citer dans ses enseignements.

De la convocation de Ousmane Sonko dans l'affaire Adji Sarr, en février 2021, au jugement sur la requête d'annulation de sa radiation sur les listes électorales au tribunal d'instance de Ziguinchor en octobre 2023, en passant par les barricades de son quartier lors de son procès en mai 2023, elles se sont érigées en bouclier du leader du Pastef.

Comme d'autres Sénégalais, ces femmes n'ont pas de lien avec la politique. Elles ont mené un combat de principe, pour la justice, contre l'arbitraire, le mensonge et la persécution.

Elles ont été traitées de rebelles, certaines arrêtées et emprisonnées, d'autres surveillées comme des présumés terroristes. Mais jamais, elles n'ont cédé. Elles ont incarné toutes les héroïnes de la Casamance, du Sénégal et du monde. A une autre époque, elles auraient pu faire autant voire plus que Aline Sitoe Diatta, les femmes de Nder, Rosa Park, etc.

Comme d'autres, elles auraient pourtant dû choisir d'être du bétail politique, mobilisées à coût de millions, pour défendre le parti au pouvoir et être du côté de la fausse victime, Adji Sarr.

Ces braves femmes ont donné des leçons de vie aux " femmes objet" et aux hommes lâches.

On a véritablement découvert le courage et la bravoure de ces femmes en mai 2023, lors des barricades érigées au quartier Nema de Ziguinchor, contre l'arrestation de Sonko aux fins de comparution au procès contre Adji Sarr.

Elles ont passé des jours sous le Soleil, des nuits à la belle étoile, abandonnant époux et enfants, défilant et défiant les forces de l'ordre et autres forces mobilisées par l'Etat et les responsables politiques au pouvoir.
Habillées dans les formes de la tradition, chantant et dansant, elles ont tenu en haleine toute la population. Elles étaient prêtes à y laisser leurs vies car elles avaient vu d'autres personnes tomber sur le terrain de la résistance, face aux criminels du régime.

Le jeudi 12 octobre 2023, à Ziguinchor, au procès sur la radiation du maire Ousmane Sonko des listes électorales, elles ont encore donné une leçon de courage au monde entier.
Défilant devant des gendarmes lourdement armés et déterminés à leur barrer la route, dans un contexte très particulier où toutes les manifestations sont réprimées et suivies d'arrestations, elles sont restées debout jusqu'au verdict historique donné par le très intégre juge Sabassy Faye, en faveur du Président du Pastef.

Je plaide pour des actes concrets de reconnaissance à l'engagement de ces braves femmes dans la triomphante révolution citoyenne du Sénégal. Sans elles, on n'en serait peut-être pas là.

Babacar Diouf, Professeur d'histoire et de géographie au lycée de Nguekokh

Jakarlo à TFM, DER de continuité !!!A la suite de l'émission Jakarlo du vendredi 21 mars 2025, beaucoup de Sénégalais on...
24/03/2025

Jakarlo à TFM, DER de continuité !!!

A la suite de l'émission Jakarlo du vendredi 21 mars 2025, beaucoup de Sénégalais ont montré leur indignation vis-à-vis du fraudeur Badara Gadiaga, mais aussi de l'animateur de l'émission, Pape Abdoulaye DER. Ils condamnent l'attitude de ce dernier, qui est resté indifférent des insultes de Gadiaga à l'endroit de l'honorable député du Pastef et du Premier ministre Ousmane Sonko. Oui, ils ont raison, DER a failli, quand on invite une personne, quel que soit son statut, on doit la protéger, veiller au respect de son intégrité morale.

Mais, on peut être choqué par son attitude sans en être surpris. Au temps où Birima Ndiaye était chroniqueur à cette émission, presque chaque vendredi, après l'émission, je disais que ce serait sa dernière. Il s'attaquait aux invités ( de l'opposition, de Pastef surtout) avec tellement de virulence que je pensais que le lendemain, la direction allait se réunir et mettre fin à leur collaboration ou au moins, lui donner l'injonction d'arrêter ses agissements.
Malheureusement, c'était toujours la déception en le revoyant à l'émission suivante et faisant les mêmes choses voire pire.

Quand des personnes ont attaqué le groupe Futur média, je disais que la direction devrait s'en prendre à elle-même. En plus de ce que faisait Birima, Aissatou Diop Fall utilisait son temps d'antenne de l'émission matinale pour traiter le Pastef de tous les péchés d'Israël. Ensuite, Mamadou Ndoye Bane faisait la chose dans l'émission "Waref" en début d'après-midi. Enfin, l'observateur jouait sa partition dans la désinformation, le mensonge.

On pouvait se demander si réellement il y avait des professionnels dans les directions des rédactions du groupe. Mais on comprend, GFM n'avait pas choisi de rester professionnel, il était du côté du pouvoir et faisait tout pour decredibiliser l'opposition, le Pastef en particulier.

Birima Ndiaye et Aissatou Diop Fall sont partis, mais le premier est remplacé par Badara Gadiaga. Le faussaire se montre plus " civilisé" mais rien ne les distingue dans le fond. C'est un manipulateur hors catégorie.

Cette personne avait traité, presque de la même manière, le très respectable Boubacar Camara. Là aussi, aucune décision n'a été prise à son encontre et la direction n'avait pas non plus présenté ses excuses.

La sortie de Boubacar Ndour, Directeur des programmes, dans une vidéo publiée dans IGFM, est révélatrice des carences du management de ce groupe. Il a affirmé que ce qui se dit dans l'émission Jakarlo est de la responsabilité individuelle des chroniqueurs. C'est sidérant !!!!

En vérité, ceux qui insultaient et combattaient Ousmane Sonko et le Pastef quand ils étaient dans l'opposition, peuvent juste diluer aujourd'hui leur vin, mais rien n'a changé dans leur intention.

Aussatou Diop Fall a quitté la TFM, mais elle fait pire dans son média. Malheureusement, c'est comme si nos autorités se plaisent dans ce bo**el indescriptible. Certains supports médiatiques comme ceux d'Aissatou Diop Fall ne sont pas en règle, mais jusqu'à présent ils continuent à émettre dans l'illégalité.

L'indignation de l'opinion ou des communiqués du Pastef ne changeront rien dans les actes de ces personnes, c'est aux autorités compétentes d'agir, conformément aux lois et règlements.

Babacar Diouf, professeur d'histoire et de géographie au lycée de Nguékhokh

19/03/2025

Secrétariat Exécutif national de l'APR, des bizarreries de la liste du faux lion de l'Atlas

Dans la décision N°2025-01 du 17 mars 2025, portant composition du Secrétariat Exécutif national, 487 membres sont désignés, répartis en régions.

Cette liste comporte beaucoup de bizarreries et montre l'agonie dans laquelle se trouve l'alliance de la pagaille et les tâtonnements de son chef.

Il y a des responsables qui ne sont même plus en mesure de mobiliser. Mbaye Ndiaye ( ancien maire des Parcelles assainies), pour pour le compte de la région de Dakar, Mbagnick Ndiaye ( ancien ministre des sports et ancien maire des Ngayokheme), Ismaila Madior Fall, le théoricien de l'absurde, auraient mieux fait en se retirant définitivement de la politique. Ils appartiennent carrément au passé.

La présence de Moustapha Cissé Lo sur la liste est la meilleure preuve que le faux lion de l'Atlas n'est pas sérieux. L'ancien président du Parlement de la CEDEAO était en marge du parti depuis au moins deux ans. Il a publiquement, plusieurs fois, désapprouvé des décisions du chef du parti. Et depuis la chute du régime, il se montre plus favorable au parti au pouvoir ( le Pastef) qu'à l'APR.

Je suis presque convaincu qu'il n'a plus l'intention d'appartenir à ce parti ou d'y occuper une responsabilité. Il ne serait pas surprenant de le voir, dans un futur proche, dire qu'il n'a pas donné son accord pour être dans le SEN.

La présence de Doura Baldé est aussi ridicule. Une personne ne peut pas appeler à voter pour Pastef aux législatives d'octobre 2024, contre la liste de son parti et continuer est être membre du SEN. C'est une grosse farce !!!!

Mouhamadou Ngom dit Farba, à Matam, Moustapha Diop à Louga, Amadou Mansour Faye à Saint-Louis, ont plus besoin de prières pour leur avenir judiciaire.

Le faux lion de l'Atlas est dans ce groupe. Il ne peut pas échapper à la justice sénégalaise, car étant le chef de gang. Il aurait dû mettre son nom sur la liste de la diaspora au lieu de le mettre sur cette de Fatick. Il faut être un doux rêveur pour espérer voir à nouveau Macky Sall dans un bureau de vote à Fatick.

Les Absents: Matar Ba maire de Fatick et ancien ministre, Doudou Ka ancien DG de l' AIBD, Victorine Ndeye maire de Niaguiss, ancienne ministre, sont bizarrement absents de la liste. Le premier a semblé prendre ses distances vis-à-vis du parti et de Macky. Il avait ouvertement critiqué les responsables sur le " Ndeupp" de Fimla. Doudou Ka s'est exilé pour échapper à la justice. La dernière, fausse héroïne de la Casamance, semble ne pas se remettre de la débâcle électorale de mars 2024. D'après nos informations, elle avait sévèrement critiqué ses partisans à Niaguiss, qui l'aurait trahi.

Tening Sene, la mairesse du Président de la République, fait de la résistance !!! C'est une bonne nouvelle pour le charme de la démocratie.

Ce qui est étonnant, c'est surtout la présence de l'autre Sene du Diegeme, l'ancien conseiller du Président Macky Sall, ancien syndicalisme, Saourou Sene. Il a été nommé par Macky en sa qualité de syndicaliste, pour conseiller sur les affaires de l'école. On lui connaissait un militantisme au parti socialiste, il s'était aussi affiché aux côtés des " gens-seignants " de l' APR, mais on n'imaginait pas qu'il eut pris la carte maron-beige.

Les journalistes Yakham Mbaye, Hamidou Hann, Thierno Amadou Sy sont sur la liste. Le premier ne me semble pas être dans les dispositions d'engager la bataille politique. Il a été grassement payé, pendant des années sans jamais pouvoir mobiliser une dizaine de personnes.

Hamidou Hann de LeQuotidien a servi le gang par sa plume. Il a récemment officialisé son adhésion à l'APR. Sans prouver la possibilité de mobiliser une dizaine de personnes, il est bombardé au SEN.

Le dernier, Thierno Amadou Sy, ancien directeur général de l'APS refait surface. Sa présence sur la liste conforte les positions que j'avais sur son maintien à l'APS et celle que j'ai toujours sur l'ensemble des responsables de l'APR en fonction.

De la chute du régime de Macky Sall à son limogeage de l'APS, TAS ne se s'est jamais rapproché de l'APR, il l'evitait à tout prix, pour être dans les grâces des nouvelles autorités afin de conserver son poste. J'étais convaincu qu'il ne croit au PROJET, c'est son poste qu'il cherchait à préserver. Cela doit servir de leçon aux nouvelles autorités, pour balayer totalement tous les responsables de l'APR qui sont à des postes de nomination.

Babacar Diouf, Professeur d'histoire et de géographie au lycée de Nguekokh

*Direction Générale du Budget, l'incorruptible Massamba Dieng fait déjà peur aux hommes du " SYSTÈME" par Babacar Diouf,...
17/03/2025

*Direction Générale du Budget, l'incorruptible Massamba Dieng fait déjà peur aux hommes du " SYSTÈME" par Babacar Diouf, Professeur d'histoire et de géographie au lycée de Nguékhokh*

Au Conseil des Ministres du mercredi 12 mars 2025, le Président de la République Bassirou Diomaye Faye, a nommé le magistrat de la Cour des Comptes Massamba Dieng, Directeur général du budget, à la suite du décès de Abdou Diouf.

Le choix porté sur Massamba Dieng à la tête de cette direction très stratégique est un signe d'espoir pour le Sénégal. Dans la dynamique du JUB JUBBAL JUBANTI, le Président de la République a trouvé un profil idéal pour occuper ce poste.
L'intégrité, la rigueur et la compétence de Massamba Dieng ne se discutent pas. Tous ceux qui connaissent la personne sont unanimes sur ses qualités. Partout où il est passé, il a laissé son empreinte, c'est un homme incorruptible.
Ce témoignage de Cheikh Kassé, maire de Nguelou de 2009 à 2022 est révélateur. " Je pense en mon âme et conscience que Mr Massamba Dieng inspecteur du trésor ayant servi au Trésor Régional de Kaolack avant d'être nommé magistrat à la Cour des comptes préférerait manger des cailloux que de jouer trahir son serment. Je ne témoigne que de ce que je connais de lui : on a travaillé durant son séjour au trésor de Kaolack, étant maire d'une commune et lui, adjoint au Trésorier Payeur Régional chargé de certaines communes dont la nôtre. Un homme compétent, rigoureux et très regardant pour le respect des textes. Je n'ai jamais décelé un comportement de sa part qui pourrait ternir son image. "

Il est alors évident que sa nomination dérange tous les adeptes de la corruption et des moultes malversations. Cela expliquerait les accusations portées contre lui par certains hommes politiques et leurs complices des médias.

*"Afrique Confidentielle du 13 mars 2025" (un autre torchon de Macky Sall)* est allé dans cette logique par des grossièretés, qualifiant sa nomination de scandaleuse.
Mais tout, dans cet article, relève de diffamation, d'un agencement de faussetés sans aucune cohérence.

L'implication du nouveau Directeur général du budget dans la rédaction du rapport de la Cour des Comptes sur les finances publiques ( 2019-2024) est considérée par le journal comme une " récompense".
" Pour falsifier ce rapport rendu public, certains membres de la Cour auraient accepté de jouer le jeu en échange de promesses de promotions. Ces derniers ont d’abord été nommés à la Cour des comptes, où ils ont participé à la rédaction d’un rapport incriminant des institutions dont la Direction Générale du Budget (DGB) sous l’ancien régime. Une fois le « sale boulot » accompli, les récompenses ont commencé à tomber. Le premier à bénéficier de ces promotions est Massamba Dieng." écrit Afrique Confidentielle.

Il aurait fallu à l'auteur de l'article de vérifier " Quand et Comment" Massamba Dieng est arrivé à la Cour des Comptes, pour éviter d'écrire de telles inepties. C'est totalement faux de dire qu'il a été nommé à cette Cour. L'entrée dans cette institution se fait par deux voies : le concours et le tour extérieur ( nomination). Massamba est entré par la première et sous le régime du Président Macky Sall. Il n'est donc pas redevable à l'actuel régime.

De Secrétaire d'administration à Inspecteur du Trésor, puis magistrat à la Cour des Comptes, ce sont des concours sélectifs auxquels il a réussi.
Par ailleurs, Massamba Dieng est un économiste, est titulaire d'une maîtrise en Sciences Économiques et Gestion, et d’un diplôme des Hautes études en Gestion de la Politique économique de l’Université de Cocody ( Abidjan). Son cursus universitaire et professionnel plaident en sa faveur.

C'est encore plus ridicule quand des personnes disent connaître ce que le Directeur général, qui n'a pas encore pris fonction, compte faire. Dans le passage suivant, l'auteur de l'article se lance dans une calomnie ridicule. " (...) Dieng aurait été choisi pour « terminer le travail ». Son rôle serait de « nettoyer » les dossiers sensibles et de s’assurer que les conclusions du rapport de la Cour des comptes ne puissent pas être contestées. Cette manœuvre soulève des inquiétudes quant à une possible falsification des documents ou à une destruction d’éléments compromettants pour le nouveau régime. "

C'est abject de se réfugier derrière le conditionnel pour faire des accusations aussi graves contre un homme digne et responsable, qui a bénéficié de la confiance du Président de la République.
M. Dieng n'est ni chef de mission, ni rapporteur dans ce rapport de la Cour des Comptes. Son nom y figure parce qu'il a participé à la délibération. Mieux, ceux qui connaissent les règles qui régissent cette institution et le fonctionnement de l'administration de façon générale, savent que les décisions sont collégiales. Personne, même le Président de la Cour, ne peut imposer quelque chose.

Et pour discréditer davantage le nouveau Directeur général du budget, le journal lui colle une étiquette politique. (...) Le sieur Dieng a été tête de liste d’opposition avec le mouvement And Takhawou Nguekhokh aux municipales de 2014. C’est un politicien encagoulé, qui confirme avec cette nomination ce que l’APR a toujours dit : ce rapport de la Cour n’a aucune valeur " peut-on lire dans le journal.

C'est totalement faux voire puéril !!!!
En 2014, Massamba Dieng était Inspecteur du Trésor, une profession qui ne lui empêchait pas d'être candidat à une élection. Mais, il n'était même pas tête de liste comme l'a écrit le journal. D'après nos sources, Massamba a commencé à mener des combats contre le bradage du foncier à Nguékhokh en 2002 alors qu’il était étudiant. En 2012, il a permis de récupérer des terres qui ont finalement servi à la construction d'équipements sociaux pour la commune. C'est dans ce contexte que Pape Diouf ( actuel maire et encore vivant) lui a demandé de faire partie de sa liste, pour pouvoir gérer le foncier de façon transparente. Il a répondu favorablement à sa demande et leur liste a remporté les élections municipales de 2014.

Les témoignages recueillis auprès de conseillers municipaux sont très positifs: " Massamba était intransigeant sur le respect des textes et de l'intérêt général de la communauté. Pendant toute la période qu'il a été conseiller municipal, il n'a bénéficié d'aucun avantage, ni un terrain ou autre avantage. Il n'était dans aucun camp politique, son seul objectif était de contribuer au développement de sa localité où il a réussi à faire annuler des lotissements irréguliers, crachant toujours sur le pain qu'on lui proposait."
Il n'a jamais milité dans un parti politique, encore moins caressé ce rêve.

Une autre source nous révèle qu'il a été contacté par des jeunes et des hommes politiques pour diriger une liste aux élections municipales qui devraient se tenir en 2019. Il a poliment décliné l'offre et dit à ces personnes qu'il n'a pas l'ambition d'être maire puisqu'il a un projet de carrière professionnelle incompatible avec un militantisme politique.

Un de ses proches nous révèle : " En 2002, alors qu'il était au cycle B de l'ENA, il a découvert la Cour des Comptes lors d'un cours sur le contrôle de l'administration. C'est en ce moment que le virus l'a pénétré et il a juré intégrer un jour cette institution."
C'est alors ce rêve de jeune cadre qu'il a réalisé en réussissant au concours en 2020.

En vérité, le choix porté par le Président Bassirou Diomaye Faye sur Massamba Dieng est un excellent casting pour cette station.

Recrutement spécial, le MEN s'est égaré !!!C'est avec une grande peine que nous observons les tâtonnements inacceptables...
15/03/2025

Recrutement spécial, le MEN s'est égaré !!!

C'est avec une grande peine que nous observons les tâtonnements inacceptables du Ministère de l'éducation nationale (MEN). Un recrutement spécial était lancé et on avait annoncé que tout serait fait pour que ceux sélectionnés soient opérationnels au cours du mois de février. Nous sommes en mi-mars et la liste n'est pas encore publiée.

Ce re**rd de la publication de la liste ne doit pas surprendre. Le nombre très important de candidats est une évidence, les diplômés sans emplois sont des milliers dans le pays. Il fallait soit faire comme sous l'ancien régime, c'est-à-dire choisir la clientèle politique sur la base de listes des responsables politiques, pour aller vite, soit sélectionner objectivement sur la base de critères. Le régime aurait opté pour cette dernière, ce qui expliquerait les lenteurs.

Ainsi, ces futurs enseignants ne devraient prendre service au plus tôt en avril. Au cas échéant, ils feraient juste 2 mois de cours dans l'année scolaire 2024-2025. Ce serait au cours du troisième et dernier trimestre dans l'élémentaire ( deux trimestres se sont déjà écoulés) et du deuxième et dernier semestre dans les collèges et lycées.
Les compositions du troisième trimestre dans l'élémentaire et du second semestre dans le moyen secondaire se tiennent en fin mai début juin.

Aucun acteur sérieux de l'école ne doit souhaiter à un élève un changement d'enseignant en ces moments d'une année scolaire. Le nouveau prendra du temps pour être carrément dans la peau d'un titulaire de la classe et les élèves seront désorientés. Et s'il s'agit de quelqu'un qui n'a jamais enseigné, ces deux mois seront une période d'apprentissage, ses performances seront très limitées.

Ces futurs enseignants seront affectés dans les zones éloignées où il y a un déficit, ils auront besoin d'un temps d'adaptation et de socialisation. Cela va forcément impacter leurs performances.

C'est le déficit d'enseignants qui était avancé pour justifier le recrutement spécial. La cause est réelle mais la résolution est impertinente.

Le MEN a fait l'état des lieux depuis le mois de septembre. C'est alors aberrant d'attendre le mois janvier pour lancer un recrutement spécial. Si cela était réellement nécessaire, il fallait le faire très tôt.
Et d'ailleurs, c'est impertinent de procéder à un recrutement spécial dans ces conditions.

Un MEN qui connaît le système, qui est bien entouré et qui est courageux, aurait dû dire au Premier ministre qu'il n'y a pas réellement un déficit d'enseignants, il y a plutôt une mauvaise utilisation de ceux-ci. Il y a un sureffectif dans beaucoup d'écoles élémentaires des grandes villes.
Dans beaucoup de collèges et de lycées, il y a un sureffectif de surveillants, certains y sont affectés par clientelisme.
Dans les Inspections de l'Education et de la Formation ( IEF) et les Inspections d'académie ( IA) il y a des enseignants en sureffectif, qui y sont par clientelisme.
Le MEN est bondé d'enseignants en errance, qui y sont par clientelisme.
D'autres ministères disposent d'un stock d'enseignants sans utilité pour le service. Le Ministre de l'urbanisme, Moussa Balla Fofana a montré la voie en mettant à la disposition du ministère de la fonction publique, des dizaines d'enseignants qui étaient casés dans son ministère par son prédécesseur.

On aurait dû faire la même chose partout, le gap ne serait pas comblé mais cela aurait permis de gérer l'année et attendre ceux formés dans les CRFPE pour l'élémentaire et à la FASTEF pour le moyen secondaire. Et au préalable, le quota annoncé pour le recrutement spécial serait ajouté aux listes des admis au CREM et à la FASTEF. Le problème serait réglé sans débourser un centime de FCFA, les enseignants en service dans ces structures sont déjà payés par l'Etat.

Ce qui se dessine ne comporte aucun avantage.

D'abord, les titulaires de diplôme professionnel qui sont dans le privé et qui seront recrutés vont créer beaucoup de problèmes dans ces structures où il faudra chercher de nouveaux enseignants, sans formation et leur confier des classes à deux mois de la fin de l'année. Ce serait la catastrophe !!!! Les enfants qui sont dans ces écoles sont des Sénégalais, sous la tutelle du MEN, ils ont droit à une éducation de qualité.
Ensuite, ces enseignants recrutés et affectés à deux mois de la fin de l'année scolaire vont causer des réaménagements trop tardifs d'emplois du temps et ne pourront pas apporter une plus-value
aux apprenants.
Enfin, on aurait encore dans le système, des enseignants sans formation. De nombreux enseignants du privé titulaires de diplôme professionnel sont frappés par la limite d'âge ils n'ont pas pu déposer, le MEN serait obligé de recruter des titulaires de diplômes académiques, sans formation ou expérience professionnelle.

Babacar Diouf, professeur d'histoire et de géographie au lycée de Nguekokh

SARRE soulève les feuilles mortes de l'APRLa sortie du Ministre Moustapha Sarre, sur les poursuites envisagées contre l'...
03/03/2025

SARRE soulève les feuilles mortes de l'APR

La sortie du Ministre Moustapha Sarre, sur les poursuites envisagées contre l'ancien président, Macky Sall, a agité la racaille aperiste. La dernière est celle de l'ancien ministe, le maire de Thiadiaye, Me Oumar Youm. Le dernier Ministre des forces armées du Sall régime de Macky est sorti de ses gongs pour s'attaquer au Ministre porte-parole du gouvernement et à tout le régime.

En réalité, dans cette communication visée, le Ministre Sarre a porté la voix du peuple et pas seulement celle du Gouvernement. Les populations ont décidé, le 24 mars 2024, de jeter à la poubelle le candidat du régime et d'élire celui du Pastef pour redresser le Sénégal et faire la lumière sur les dérives de Macky Sall et son gang. Le 17 novembre 2024, en donnant une majorité écrasante de députés au Pastef, les Sénégalais lui ont donné les moyens institutionnels de mettre en place une Haute Cour de justice et de faire une mise en accusation de l'ancien Président.

Les Sénégalais avaient déjà constaté la haute trahison à travers les crimes de sang ( 83 assassinats), les crimes économiques encouragés par Macky Sall acteur et complice, et le coup d'Etat institutionnel perpétré par l'annulation illégale et scandaleuse de l'élection présidentielle de février 2024.

A la suite de cela, après le départ de Macky Sall, les Sénégalais ont découvert l'ampleur des dégâts qu'il a commis. Des décrets signés en fin de mandat pour mettre son successeur en difficulté, des détournements d'une ampleur jamais imaginée, un mensonge sur les chiffres de la dette et du déficit public, la vente du patrimoine de l'Etat, etc.
Si cela n'est pas suffisant pour poursuivre Macky Sall pour haute trahison, on devrait certainement déchirer la Constitution et poursuivre ceux qui l'ont écrit.
Le doute n'est pas permis, Macky Sall doit être poursuivi, jugé et condamné. C'est un impératif auquel le régime du Président Bassirou Diomaye Faye ne peut pas se soustraire.

Me Youm est très mal placé pour donner des leçons à ce régime. Quand on a été ministre dans les derniers mois du SALL régime de Macky, on doit faire profil bas. Mieux vaut la fermer que de l'ouvrir !!! C'est ridicule qu'il ose rappeler au régime certains principes de l'Etat de droit. Il est pathétique quand il dit: (...) ce langage ne peut pas être celui d’un gouvernement responsable, respectant la séparation des pouvoirs, la présomption d’innocence et la soumission de l’Etat au Droit. "
Ces trois principes avaient totalement disparu durant le dernier mandat du Sall despote. Si le nouveau régime n'y était pas attaché, Macky Sall et sa famille n'auraient pas la possibilité de quitter le pays, et tous les anciens ministres et certaines autorités de premier plan de l'ancien régime seraient déjà en prison. C'est en raison du respect des principes de l'Etat de droit et de la séparation des pouvoirs qu'ils sont toujours en liberté et ont même la possibilité de communiquer. Plus que la prison, les auteurs de certains actes mériteraient la pendaison !!!!

Quand YOUM dit que Macky Sall est " (... ) un homme d’État émérite, qui a servi avec vaillance, à plusieurs niveaux, pendant deux décennies, dans l’honneur, la dignité et la perspicacité, notre cher pays. " , il insulte notre histoire. Un sale despote, un crimel qui a fait tuer 83 personnes, uniquement pour conserver le pouvoir, qui a volé et encouragé le vol, qui a menti aux Sénégalais et aux partenaires économiques, ne peut être être cité en modèle dans ce pays.

Un croyant, un musulman, ne saurait dire des contre-vérités en ce mois béni de ramadan. Seulement, on peut bien s'interroger sur la foi de tous ceux qui ont défendu le mensonge sous l'ancien régime. Ils avaient mis entre parenthèse leurs croyances religieuses et toute éthique.

"Sachez, cher Monsieur, qu’avec toute votre « énergie du désespoir », empreinte d’une rare perversité pour nuire à son image et à sa réputation, votre lâche entreprise est déjà vouée à l’échec. " a aussi dit l'avocat égaré.
En réalité, ces propos correspondent plus à ceux qu'on utilisait contre Macky Sall et son gang, à propos de tout ce qu'ils ont tenté contre Ousmane Sonko. Leurs complots et niaiseries sans précédent, ne leur ont pas permis de détruire l'ancien maire de Ziguinchor. Les Sénégalais les ont jetés hors du pouvoir comme des malpropres et ont élu leurs victimes.

L'avocat qui devrait défendre le droit et les libertés, avait échangé ces principes contre des intérêts personnels. Il a défendu le troisième mandat de Macky Sall, les assassinats, les emprisonnements. C'est cela la lâcheté !!!
Il est bien possible d'être politique et rester attaché à ses principes. Me Youm avait choisi de renoncer de violer son serment en échange des petits avantages du pouvoir. Son dernier acte a été d'infecter le ministère des forces armées de la clientèle politique comme chargées de mission payés sans ne rien faire. Il devait plutôt s'expliquer sur ces pratiques honteuses.

Babacar Diouf, professeur d'histoire et de géographie au lycée de Nguekokh

20/02/2025

Aissata Tall Sall, chef de l'opposition ?

" Ancienne ministre de Macky Sall, aux Affaires étrangères puis à la Justice, cette avocate (....) est aujourd’hui de facto la cheffe de l’opposition à Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko." Jeune Afrique. com, du jeudi 20 février 2024

Ce titre du journal français illustre " la crise de l'opposition sénégalaise". Jeune Afrique n'a pas tort de désigner Me Aissa Tall Sall comme cheffe de l'opposition sénégalaise.

Amadou Ba qui est arrivé deuxième à l'élection présidentielle du 24 mars 2024 ne donne pas l'impression d'être un homme politique pour être un opposant. Il s'est embougeoisé au point de ne pas pouvoir s'opposer. Il est un homme du système qui a toujours choisi le camp du pouvoir ( sous Diouf, Wade et Sall). Celui qui est peint comme un milliardaire qui vit dans l'opulence, a du mal à enlever son " beau costume ". Il s'est d'ailleurs démarqué du front de l'opposition créé récemment et dirigé par Khalifa Sall. Là, je considère qu'il a très bien fait de ne pas s'associer aux traîtres du gang de Macky Sall qui ont saboté sa candidature à la présidentielle.

L' APR, arrivé deuxième aux élections législatives du 17 novembre dernier est comme une armée mexicaine. Le " général " s'est exilé dans l' Atlas et a annoncé observer un retrait momentané du parti. Ceux qui étaient considérés comme de potentiels successeurs sont soit aphones, soit sans griffes. Abdoulaye Daouda Diallo qui se considérait comme le successeur naturel et légitime s'emmure dans un silence de cimetière.

Abdoulaye Diouf Sarr a pris ses distances, en attendant de répondre devant la Haute Cour de justice.

Le beau-frère, Mansour Faye s'oppose sur sa page Facebook, en attendant la Haute Cour de justice.

Cheikh Kante est assis sur les " berges du Sine", observant le bras de mer de Mame Mindiss.

Farba Ngom, le " tout puissant " cogite sur la configuration de sa future cellule.

Le gang des aboyeurs dirigé par le déshonorable, tente de se maintenir, mais sans griffes pour rougir de façon audible.

C'est alors Me Aissa Tall Sall, portée à la tête du groupe parlementaire, qui mène l'opposition à l'Assemblee nationale et dehors, en usant de son éloquence. Mais quand on a été ministre de la justice durant les derniers mois du régime satanique de Macky Sall, on peut aboyer, mais sans jamais réussir à faire peur. En attendant l'abrogation de la loi d'amnistie, elle peut continuer " ses plaidoiries " politiques.

Le faux lion de Sacré cœur Mermoz est totalement désarmé. Il a perdu son poste de député, son poste de maire, ses gardes du corps, il est devenu le plus grand chômeur du Sénégal.

Son " maître, Khalifa, tente de se relever de son "ko" du 24 mars en dirigeant un front de l'opposition qui est un amas de pourritures politiques.

Le patron de Rewmi, l'homme politique le plus "intelligent " de l'histoire du Sénégal est sur quatre appuis depuis belle lurette. Il s'occupe de ses champs, assistant de façon impuissante au départ de ce qui restait de son parti. Il semble qu'il annonce une sortie, mais son avenir politique est derrière lui.

Pour s'opposer au teigneux chef du Pastef et à son " armée " de Patriotes jeunes et endurants, il faut faire beaucoup d'efforts et ne pas traîner des casseroles.

Babacar Diouf, professeur d'histoire et de géographie au lycée de Nguekokh

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