24/04/2025
La décision rendue par le Conseil Constitutionnel le 23 avril 2025 ne représente ni une défaite politique, ni une victoire partisane. Elle marque un moment de vérité, que nous, au sein de PASTEF, avons toujours assumé avec cohérence et loyauté envers le peuple.
Depuis le début, nous avons affirmé avec clarté que :
Les crimes imprescriptibles (assassinats, tortures, traitements inhumains) ne sauraient être couverts par aucune loi d’amnistie.
Les centaines de jeunes arrêtés, violentés, incarcérés pour avoir simplement manifesté, doivent être réhabilités et protégés.
La justice ne peut être à géométrie variable.
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Ce que confirme le Conseil Constitutionnel aujourd’hui, c’est précisément ce que PASTEF a défendu hier.
La loi d’amnistie a été votée par l’ancien régime.
PASTEF a voulu l’interpréter pour éviter les manipulations et protéger les victimes de la répression.
Et malgré les déformations médiatiques, la vérité nous donne raison :
> Amnistie pour les innocents.
Justice pour les victimes.
Procès pour les bourreaux.
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Je lance ici un appel solennel :
À toutes les familles de victimes,
Aux jeunes injustement ciblés,
À tous les patriotes épris de paix et de justice,
Restons vigilants, mais dignes. Restons mobilisés, mais lucides.
Ce combat n’est pas celui d’un parti. C’est celui de la Nation.
Le Sénégal a rendez-vous avec une justice équitable.
Et nous y serons, debout, fiers et du bon côté de l’Histoire.
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Modou Thiane
Coordinateur JPS – Commune de Taïf
Patriote engagé. Fils du peuple. Serviteur de la vérité.
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