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07/11/2025

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PRET : Une mobilisation exemplaire des jeunes militants autour de leur présidentEtena, 25 octobre 2025 — Une mobilisatio...
25/10/2025

PRET : Une mobilisation exemplaire des jeunes militants autour de leur président

Etena, 25 octobre 2025 — Une mobilisation forte en symbole a marqué la journée de ce samedi, alors que les jeunes militants des quartiers Walia, Toukra et Gassi du Parti pour le Rassemblement et l’Équité au Tchad (PRET) se sont rendus, à l’insu du président du parti, Me Bongoro Théophile, dans son champ situé à Etena pour récolter plus de 4 hectares de maïs.

L’initiative, coordonnée par Yapara Destin, se veut un acte de solidarité et de reconnaissance envers un leader qui a toujours fait de l’agriculture un pilier essentiel de son projet politique. Me Bongoro ne cesse de rappeler que « le Tchad ne pourra se développer sans atteindre l’autosuffisance alimentaire ».

Surpris mais ému, le président du PRET s’est joint aux militants pour un moment de convivialité. Dans une atmosphère fraternelle, il a partagé avec eux le “Bilbil”, boisson traditionnelle locale, signe fort de proximité et d’humilité entre le leader et sa base.

Cet élan de solidarité met en lumière la cohésion et l’engagement de la jeunesse au sein du PRET. Il confirme également l’ancrage du parti dans une vision de développement centrée sur le monde rural et l’autopromotion agricole.

Une jeunesse mobilisée, un président proche de sa base et une vision agricole assumée : le PRET affiche sa force sur le terrain.

25/10/2025
Torock : les jeunes militants du PRET surprennent leur Président National dans son champLes jeunes militants du Parti po...
20/09/2025

Torock : les jeunes militants du PRET surprennent leur Président National dans son champ

Les jeunes militants du Parti pour le Rassemblement et l’Équité au Tchad (PRET), ressortissants de la sous-préfecture de Torock, ont rendu ce week-end une visite inattendue à leur Président National, Me Bebzoune Bongoro Théophile, à Etena.

Alors qu’ils avaient prévu de le rencontrer à son domicile, les militants l’ont finalement retrouvé dans son champ, où il passe régulièrement ses journées. Pour ne pas laisser filer l’occasion, ils ont choisi de le surprendre sur place. Une initiative qui a touché le président, lequel les a accueillis avec chaleur et simplicité.

Au programme de cette rencontre : visite du champ de maïs, des élevages de moutons et de volailles, suivie d’échanges nourris autour de projets de développement pour la sous-préfecture de Torock.

Me Bongoro a profité de l’occasion pour rappeler que l’autosuffisance alimentaire figure parmi les priorités stratégiques du PRET, un levier essentiel pour l’équité et le développement du pays.

Le président a salué ce geste spontané des jeunes militants, qu’il considère comme une marque de confiance et d’engagement envers les idéaux du parti.

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11/09/2025

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11/09/2025
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10/09/2025

Lisez et partagez pour que ça touche ceux qui veulent nous imposer ce fameux Code pastoral 👇👇

Gestion des conflits « fratricides » entre agriculteurs et éleveurs au Tchad : question de volonté politique ou simple affaire de textes ? D’où viendra la solution ?

Le Tchad, pays riche en textes législatifs modernes, demeure pourtant l’un des plus mauvais élèves en matière d’application concrète de ces lois, notamment dans la gestion des conflits. Avant de rêver à un nouvel arsenal juridique, qu’il soit pastoral, agricole ou agro-pastoral, l’État doit avant tout poser un diagnostic lucide sur les réalités agro-pastorales actuelles. Le système hérité du Moyen Âge, toujours en vigueur, ne constitue-t-il pas en soi une source majeure des conflits violents et récurrents entre agriculteurs et éleveurs ? Deux secteurs pourtant interdépendants, aujourd’hui en rupture.

Aux origines du conflit

Les affrontements sanglants entre agriculteurs et éleveurs traduisent un déséquilibre profond et l’absence de volonté réelle dans la gestion des ressources naturelles. La pression démographique réduit les terres disponibles, entraînant l’empiètement des pâturages sur les terres agricoles et vice-versa. Cette situation est aggravée par :

l’absence de délimitation claire entre espaces agricoles et pâturages,

l’instabilité climatique,

l’archaïsme des pratiques agro-pastorales,

la fragilité des institutions étatiques,

l’impunité,

et les jeux de favoritisme qui minent la paix et la justice sociale.

Autant de causes qui alimentent ces conflits meurtriers.

Quelles solutions réalistes ?

Il ne suffit pas d’avoir de « beaux textes » si la volonté politique fait défaut. Voici des pistes de solutions concrètes, à engager avec détermination :

1. Sensibilisation et gouvernance locale partagée

La mise en place de comités locaux associant chefs traditionnels, sages, représentants des agriculteurs et éleveurs et des coopératives agro-pastorales est indispensable. Ce partenariat favorisera une gestion transparente et équitable des terres agricoles et des pâturages. Grâce à une délimitation claire des zones et à des systèmes de rotation agriculture-élevage, il est possible de valoriser les déchets animaux comme engrais naturel, augmentant ainsi la productivité agricole tout en apaisant les tensions.

2. Promotion de l’agriculture intensive et de l’élevage moderne

Il est urgent de sortir des méthodes archaïques, peu productives et génératrices de tensions. L’État doit investir massivement dans la formation, le financement, et la structuration des agriculteurs et éleveurs en coopératives modernes.
Multiplier les rendements sur une même superficie et développer l’élevage semi-intensif permettent d’augmenter les revenus sans empiéter sur les terres voisines. L’État doit aussi instaurer des marchés attractifs pour garantir la commercialisation efficace des produits et sous-produits agro-pastoraux.

3. Contrôle rigoureux des transhumants transfrontaliers

Les troupeaux venus de l’extérieur doivent être strictement encadrés par des comités de vigilance locaux, en appui à l’administration. Il est nécessaire de contraindre ces éleveurs à se sédentariser dans des zones désignées ou à respecter des conditions strictes de passage pour éviter les conflits.

4. Adoption d’un code rural intégré et global

Plutôt qu’un code pastoral sectoriel, c’est un code rural global qui doit voir le jour, intégrant agriculture, élevage, pêche, chasse, forêts et espaces rituels. Ce cadre légal devra garantir des règles claires concernant la propriété, la divagation animale, la gestion des conflits fonciers et les coopératives, dans un esprit de complémentarité des activités rurales.

5. Réaffirmation de l’autorité de l’État et justice impartiale

L’administration locale doit se rapprocher des populations, faire preuve de fermeté et sanctionner sans faiblesse les débordements : destruction de plantations, empiètements sur les pâturages, etc.
La justice doit garantir une réparation adéquate pour apaiser les tensions et restaurer la confiance.

Une question de courage politique

Le Tchad a-t-il le courage politique nécessaire pour affronter cette réalité et tourner définitivement la page des conflits fratricides entre agriculteurs et éleveurs ?
Agriculture et élevage doivent redevenir les piliers durables du développement de notre pays. Les solutions existent. Elles sont là. Il ne manque que la volonté politique.

Nous appelons les organes de presse et les journalistes, ce « 4e pouvoir », à traiter ce sujet en profondeur et de manière continue, afin de contribuer à une solution durable.

Me TIZI Joël
Engagé pour le développement intégral

Libérez  Gamo le maréchal
09/09/2025

Libérez Gamo le maréchal

21/07/2025

Un peuple qui s’exprime, une voix qui résonne, une culture qui vit. Le 10 septembre, retrouve N2A Teguil au New Morning à Paris pour un concert vibrant, au cœur des racines et de l’expression artistique africaine.

🛑COMMUNIQUÉ DE PRESSE 🛑N'Djamena, le 14 juillet 2025Après examen des récents arrêtés portant nomination des responsables...
14/07/2025

🛑COMMUNIQUÉ DE PRESSE 🛑

N'Djamena, le 14 juillet 2025

Après examen des récents arrêtés portant nomination des responsables administratifs des unités territoriales, le Parti SONOR constate avec satisfaction une volonté affirmée des plus hautes autorités d’engager le pays sur la voie d’une gouvernance locale plus inclusive et plus représentative.

Ces nouvelles nominations ne relèvent pas seulement d’une réorganisation administrative. Elles traduisent une orientation politique claire : celle de favoriser la proximité entre les citoyens et l’administration publique, en confiant les responsabilités locales à des Tchadiennes et des Tchadiens enracinés dans leurs territoires et porteurs de la confiance des populations.

Dans un pays caractérisé par sa diversité culturelle, sociale et géographique, l’enjeu de la gouvernance territoriale ne peut être dissocié de la représentativité. En choisissant de nommer des personnes qui connaissent les réalités locales et sont à l’écoute des communautés, le Gouvernement pose les jalons d’une administration plus efficace, plus proche et plus humaine.

Le Parti SONOR salue cette dynamique, qui constitue une rupture progressive avec une centralisation historiquement rigide. Cette approche renforce la légitimité des représentants de l’État sur le terrain et ouvre la voie à une coopération plus constructive entre les autorités administratives et les citoyens. Elle peut également permettre à l’administration d’être un levier concret de développement local, en s’appuyant sur les compétences existantes et en valorisant les ressources humaines locales.

Toutefois, pour que cette dynamique porte pleinement ses fruits, elle doit être accompagnée de mesures structurantes : mécanismes de suivi, transparence, redevabilité, et renforcement des capacités des gestionnaires locaux.

Fidèle à ses principes d’écoute, de proximité et de participation citoyenne, le Parti SONOR réaffirme son soutien à cette orientation. Elle s’inscrit pleinement dans sa vision d’un Tchad plus juste, plus équitable et plus uni.


KOSMADJI Merci
Président du Parti SONOR

COMMUNIQUÉ DE PRESSEN’Djamena, 29 juin 2025COLLECTIF DES ASSOCIATIONS ET GROUPEMENTS DES DÉPARTEMENTS DE MAYO-BINDER, LA...
29/06/2025

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

N’Djamena, 29 juin 2025

COLLECTIF DES ASSOCIATIONS ET GROUPEMENTS DES DÉPARTEMENTS DE MAYO-BINDER, LAC-LÉRÉ, EL-OUYA ET MAYO-DALLAH POUR LA DÉFENSE DES DROITS DES VICTIMES DE L’EXTENSION ET DE LA MAUVAISE GESTION DU PARC NATIONAL ZAH-SOO.

Nous, ressortissants des départements de Mayo-Binder, Lac-Léré, El-Ouya et Mayo-Dallah, réunis au sein du Collectif des Associations et Groupements pour la Défense des Droits des Victimes de l’Extension et de la Mauvaise Gestion du Parc National Zah-Soo, portons à la connaissance de l’opinion publique nationale et internationale les graves conséquences liées à l’extension de ce parc, réalisée sans mesures d’accompagnement ni indemnisation, ainsi que les effets néfastes de sa mauvaise gestion par l’ONG NOÉ et les autorités locales.
Ces dernieres, agissant au nom d’une convention locale manifestement illégale, soumettent les populations concernées à des exactions, les séquestrent dans des camps créés à cet effet, et leur infligent des amendes arbitraires.

Rappels importants :

Le Parc National Zah-Soo a été créé le 15 mars 2022, au sein de la réserve de faune dite Binder-Léré, par la Loi N°003/PCMT/2022, portant sa superficie à 81 000 hectares, sans accord explicite des populations, ni indemnisation ou dédommagement.

Pour mémoire, la réserve de faune dite Binder-Léré, créée par le Décret N°169/PR/EFPC/PHR du 24 mai 1974, ne couvrait que 13 000 hectares. À l’époque, ses limites se situaient à plus de 15 km des villages ; aujourd’hui, ces derniers se retrouvent pratiquement engloutis dans le parc.

La mauvaise gestion du parc par le Complexe d’Aires Protégées de Binder-Léré (CAPBL) et l’ONG NOÉ n’a entraîné que désolation et souffrances pour les populations locales.

Le rapport de mission du Collectif, ainsi que les procès-verbaux établis par un huissier de justice en octobre 2023 et mai 2025, attestent de la spoliation des terres agricoles et zones de pâturage, ainsi que des nombreuses exactions subies. Des villes comme Binder, ainsi que plusieurs villages, se trouvent à moins de 200 mètres du parc, voire intégralement inclus dans ses limites, avec des menaces de déguerpissement.

En seulement deux ans, des milliers de champs ont été détruits par les éléphants, qui pénètrent jour et nuit dans les zones habitées, causant dégâts et attaques sur les populations.

Cette situation a engendré :

- L’absence de terres cultivables,
- La disparition des zones de pâturage,
- La destruction continue des moyens de subsistance,
- Une montée alarmante de la pauvreté, de l’insécurité et des conflits agriculteurs-éleveurs.

Pire encore, l’ONG NOÉ, le CAPBL et les autorités locales ont signé une convention locale illégale, dont le seul objectif est la spoliation des populations et l’enrichissement illicite de certains individus, par le biais d’amendes arbitraires réparties ainsi :

- Sous-préfets : 20 %
- Chefs de canton concernés : 15 %
- Sarkissanou concerné : 5 %
- CAPBL : 15 %
- Magistrats, OPJ et autres agents : 5 %
- Trésor public : 40 %

Sur cette base, les populations, notamment les éleveurs et agriculteurs, subissent exactions, arrestations et séquestrations avec leur bétail, dans des camps transformés en pseudo-tribunaux. Des millions de F CFA sont extorqués chaque année. Or s’il y avait lieu de signer une convention locale quelconque, elle devrait porter sur les limites concertées avec l’ensemble des populations, les accords d’indemnisation et l’affectation d’une partie de revenus legaux du parc au profit des populations affectées.
Depuis 2023, le collectif a entrepris plusieurs démarches auprès des autorités, sans solution appropriée à ce jour.

Nous, ressortissants des départements concernés, exigeons :

1. L’annulation immédiate de cette convention illégale, outil de spoliation et d’extorsion des populations locales ;

2. La réduction de la superficie actuelle du parc (81 000 ha) à moins que celle de la réserve de 1974 (13 000 ha), ou le retour au statut initial de réserve de faune

3. La délimitation et fixer une zone tampon du parc pour éviter toute confusion et limiter la divagation des animaux sauvages ;

4. L’indemnisation et le dédommagement des victimes dont les terres ont été arrachées ou détruites ;

5. La mise en œuvre de projets de développement local dans les zones affectées.

En cas de non-satisfaction, les populations des départements de Mayo-Binder, Lac-Léré, El-Ouya et Mayo-Dallah se réservent le droit de mener des actions d’envergure.

Pour le Collectif,
Le Secrétaire Exécutif,
Me TIZI Joël

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