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les faits de société pour détendre vos journées parfois harassantes, amusez vous s'il vous plait

Actuellement en séjour en FRANCE, Ferdinand AYITE, directeur de publication du journal L’ALTERNATIVE, qui se plait bien ...
15/07/2025

Actuellement en séjour en FRANCE, Ferdinand AYITE, directeur de publication du journal L’ALTERNATIVE, qui se plait bien dans sa nouvelle vie mondaine de néo africain français, pense qu’il suffit d’être loin de son pays pour déblatérer contre ses autorités et justifier son nouveau statut de réfugié politique.

Les rencontres arrangées ça et là entre bistrots, cafés et restaurants sont des occasions pour ce journaliste de se vanter auprès de ses vis-à-vis, de sa présumée parfaite connaissance du régime togolais grâce à ses informateurs nichés au sein même de l’appareil de l’État. Il l’a même répété de façon ridicule dans son live du 6 juillet 2025 où il affirmait de manière quelque peu théâtrale qu’il aurait des admirateurs et des informateurs à tous les niveaux du pouvoir togolais.

En effet, certaines révélations échappées d’une rencontre tenue en banlieue parisienne entre Ferdinand AYITE et un homme de media envoyé par un ancien dignitaire du régime togolais, ressortent que des cadres du pays qui se font passer pour des figures influentes du régime de Lomé, alimentent les informations relayées par ce journaliste. Parmi elles, un certain acteur du pouvoir joue un rôle clé. Cet homme, c’est bien Hervé PIZA.

Parrain de Ferdinand AYITE, Hervé Alokisseto PIZA, actuellement conseiller régional du parti UNIR de la région des Plateaux, est bien plus qu’un simple entrepreneur. Avec des intérêts solides dans les secteurs des BTP, de l’électricité, du sport, il sait utiliser Ferdinand AYITE à son avantage.

Sans jamais se montrer en première ligne, Hervé Alokisseto PIZA distille habilement des informations à Ferdinand AYITE et selon ces mêmes révélations, cela répondrait à une stratégie bien rodée. En effet, lorsqu’il perd un marché ou qu’un concurrent lui fait ombrage, Hervé Alokisseto PIZA n’hésite pas à monter des dossiers compromettants qu’il envoie à Ferdinand AYITE, sachant pertinemment que celui-ci, avide de scoops et d’argent, ne prendra pas toujours le temps de vérifier l’exactitude de ces informations avant de les publier.

Qu’il vous souvienne de l’affaire des compteurs de la CEET. Les informations diffusées à ce sujet ne sont pas arrivées au journaliste par hasard. Chaque fois qu’il est déçu par les résultats d’un appel d’offres, Hervé Alokisseto PIZA recourt rapidement à Ferdinand AYITE, son allié par qui il fait relayer des informations, souvent sans vérification. Il en est ainsi des dossiers réalisés par Ferdinand AYITE sur les scandales à la FTF, sur la construction de certaines routes et la réalisation d’ouvrages relevant des BTP.

Lorsqu’il est dans le besoin, Ferdinand AYITE aussi se sert d’Hervé Alokisseto PIZA pour harceler certaines personnes, dont il détiendrait des informations compromettantes, pour exiger d’être payé en espèce ou même en nature contre son silence. C’est ainsi qu’Hervé Alokisseto PIZA est allé chez un cadre de la société CIMTOGO avec un dossier monté par Ferdinand AYITE et a reçu, pour le compte du journaliste, trente (30) tonnes de ciment en échange de son silence.

Les deux hommes se fréquentent discrètement mais leur amitié est un secret de polichinelle pour les proches d’Hervé Alokisseto PIZA et pour les amis et employés de Ferdinand AYITE. Ce dernier a beaucoup bénéficié des largesses de son parrain qui lui a construit sa maison et acheté sa voiture. Les deux amis ont planifié la mise en place d’une imprimerie dans la maison du journaliste Ferdinand AYITE. Ce projet avorté suite au départ précipité de ce dernier du pays devrait être entièrement financé par le conseiller régional UNIR Hervé Alokisseto PIZA.

Le parrain n’hésitait pas à intervenir dans les affaires de foyer du journaliste et à mettre la main dans la poche pour régler des problèmes aussi simples que compliqués. En effet, des transferts monétaires étaient presque quotidiens de la part de l’entrepreneur et cadre UNIR au journaliste pour lui permettre d’assurer la popote. Quand la femme de Ferdinand AYITE avait quitté le domicile conjugal laissant son mari seul dans le chagrin et la dépression, en ce moment ils étaient en location à Djidjolé (Lomé), c’est l’intervention avec des gestes d’une magnanimité hors pair d’Hervé Alokisseto PIZA qui a permis de sauver la situation. En effet, le parrain s’est investi beaucoup et a énormément investi pour parvenir à réconcilier le couple en faisant changer d’avis à la femme de Ferdinand AYITE qui avait décidé de le quitter définitivement. D’après ses propres confidences, Hervé Alokisseto PIZA a dépensé beaucoup de sous (des millions) pour, d’une part, satisfaire la femme qui réclamait à son mari le financement de son commerce et, d’autre part, renforcer la capacité financière de l’homme en lui injectant de la liquidité pour lui permettre d’assumer convenablement son rôle d’époux et de père de famille dont l’incapacité lui était reprochée par son épouse.

La proximité de Ferdinand AYITE et Hervé Alokisseto PIZA est évidemment anodine. Ce qui dérange dans cette histoire, ce n’est pas tant l’existence d’une amitié entre deux hommes mais c’est l’attitude à la fois haineuse et hypocrite de ce journaliste, soit disant d’investigation, qui suscite des interrogations.

Comment Ferdinand AYITE peut-il diaboliser avec virulence le régime togolais, accuser tous les membres du parti UNIR de corruption alors qu’il bénéficie lui-même du soutien matériel et financier d’un de leurs responsables ? D’où lui vient l’argent qui a servi à construire sa maison et acheter sa voiture étant donné que sa seule source de revenu est un organe de presse écrite qui au Togo ne rapporte rien à son promoteur selon ce qu’il affirme régulièrement ? Affaire à suivre.

LPC

Lorsqu’un journaliste s’étend trop, il y a de fortes chances que des informations partagées en privé, se retrouvent relayées de bouche à oreille pour finir par atterrir sur la place publique, et ceci, au détriment de la discrétion nécessaire au métier de journaliste. Actuellement en sé...

Le Togo, ce petit pays qui dit "NIET !" à la France impérialistePendant que la France déguerpissait du Sahel en catastro...
02/07/2025

Le Togo, ce petit pays qui dit "NIET !" à la France impérialiste

Pendant que la France déguerpissait du Sahel en catastrophe, repliant son armée dans la précipitude, un pays a tenu tête : le TOGO. Pilier incontesté de l’Alliance des États du Sahel (AES), il est devenu LE seul recours des nouvelles souverainetés du Mali, du Burkina Faso et du Niger, abandonnées à leur sort.

Macron en stratège fantoche, ses ordres étaient clairs : verrouiller les frontières ! Côte d’Ivoire, Ghana, Bénin… Tous ont obtempéré, fermant leurs portes au transit vital.

Tous ? Non. Le Togo, lui, a lancé un "NIET !" retentissant à l'ancien colonisateur.

Faure Gnassingbé a osé défier l’ogre français, ce prédateur impérialiste qui croit encore l’Afrique sienne.

Rappelez-vous les pronostics méprisants : "Ils tiendront pas deux mois !", gloussaient les pseudo-journalistes et influenceurs à la solde.
Trois ans après ? Les pays de l'AES tiennent toujours debout, malgré le fléau terroriste, une hydre nourrie et protégée sur le territoire français, qui héberge tranquillement ses "cerveaux" !

Et la France, vexée dans son orgueil néocolonial, cherche aujourd'hui à punir le Togo. Punir quoi ? Son courage ? Sa dignité retrouvée ?

Le message est cinglant : L’ère de la Françafrique, où Paris dictait sa loi, est révolue. Le Togo l’a enterrée. Et ça, ça fait mal au cœur de l’Elysée.

« À vous, Togolais figurant sur cette liste maudite,
Sachez-le : l'Histoire vous jugera.
Elle retiendra qu'à l'heure décisive,
Vous avez ouvert vos carnets
Pour vomir des mots traîtres,
oeuvré à saper la Nation,
Et frayé la voie aux ennemis de la Patrie. »

Ferdinand AYITE: complicité assumée avec une stratégie étrangère de déstabilisation de son pays. Il y a parfois des fait...
24/06/2025

Ferdinand AYITE: complicité assumée avec une stratégie étrangère de déstabilisation de son pays.

Il y a parfois des faits si évidents qu’ils ne nécessitent plus de longues démonstrations.
Ferdinand AYITE, Zaga BAMABO, ASSOGBAVI et consorts, tout ce beau monde, tous installés confortablement en France, aux USA et ailleurs ont aujourd’hui dépassé le stade de simples activistes critiques. Ils sont devenus, de manière consciente ou non, les relais actifs d’une stratégie de déstabilisation du Togo, depuis l’extérieur.

Ce n’est pas une opinion. C’est un constat.

Depuis leur pays d'accueil particulièrement le territoire français, ces individus orchestrent régulièrement des campagnes de désinformation, d’appel à la haine, de stigmatisation des forces de défense et de campagnes de diabolisation des institutions.

Ils ne se contentent plus de critiquer : ils appellent à l’agression directe des militaires, à l’incendie des biens de responsables d’État, et vont jusqu’à menacer des familles entières des FDS, en visant des figures clés de notre système de sécurité.

Pendant ce temps, la France observe et laisse faire. Ce silence n’est pas anodin, il n'est pas neutre. Car il suffit d’imaginer une situation inverse , c'est à dire un activiste étranger vivant au Togo qui appellerait à attaquer la République française depuis Lomé , pour comprendre que ce laxisme français à l’égard d’AYITE et autre ne peut qu’être interprété comme une forme de caution, voire de complicité tacite.

Et lorsque Ferdinand Ayité se défend en affirmant qu’il n’a aucun lien avec les autorités françaises, il feint d’ignorer ce que tout le monde sait : le soutien ne se mesure pas en kalachnikovs et en drones. La DGSE n'a pas besoin de livrer des armes aux terroristes pour les armer.

Le soutien à une action subversive est multiforme et multiniveau . Dans le cas de ce réseau d'activistes, ca commence par la protection juridique, c'est à dire le droit de nuire en toute impunité ensuite une plateforme médiatique offerte sans entraves. Voilà le véritable environnement qui lui est garanti, et c’est largement suffisant pour nuire.

Car Ferdinand Ayité sait que ses actions ne sont pas anodines. Il sait que chaque appel à l’agitation populaire, chaque harcèlement contre l’armée les services de renseignement, chaque campagne contre les responsables sécuritaires, affaiblit le tissu national au moment même où notre pays lutte contre la menace terroriste au nord.

Et c’est là que les faits deviennent accablants.

Depuis plus d’un an, il y a une corrélation troublante qui s’observe entre les grandes campagnes d’agitation menées depuis la diaspora et les attaques terroristes sur le territoire togolais. Cela ne peut plus être qualifié de simple coïncidence. Il s’agit d’un schéma, dans lequel les agitateurs médiatiques créent la diversion pendant que les terroristes frappent. Le chaos orchestré par l’un profite à l’agenda meurtrier de l’autre.

Chose plus troublante : ils organisent des collectes de fonds, mobilisant parfois des millions, pour financer des manifestations, tout en donnant des consignes claires appelant à attaquer les forces de défense et de sécurité.

Et pourtant, malgré ces millions mobilisé en ligne par ces activistes, aucune campagne de soutien aux soldats tombés au front, aucun fonds levé pour les orphelins ou les veuves encore moins pour les déplacés internes. Mais des fonds pour encourager la jeunesse à aller affronter les FDS.

Alors, si ce n’est pas de la complicité avec des entités extérieures pour semer le trouble et affaiblir notre sécurité, qu’est-ce que c’est ?

Au même moment, dans leur live, dans leur sortie, ils ne se cachent pas pour inciter à la violence, ils appellent à financer l'achat et la des distributions de boissons énergisantes et de substances excitant aux jeunes pour les "encourager à sortir" et s’en prendre à ceux qui risquent leur vie pour défendre la République.

Il faut cesser de détourner les yeux. Ces actions ne servent pas le Togo. Elles servent un agenda extérieur.

Par ailleurs, il faudrait qu'ils se rappeler que ceux qui appellent à brûler les maisons des dirigeants oublient qu’eux-mêmes ont des biens, des proches, des enfants au Togo.

Le feu qu’ils appellent sur les autres peut aussi les atteindre. L’instabilité qu’ils veulent importer par vidéos interposées n’épargnera personne. Et ceux qui jouent avec la sécurité nationale doivent savoir qu’ils finiront comptables de leurs actes.

Oui, Ferdinand Ayité est complice. Complice d’un environnement stratégique entretenu depuis la France, qui tolère que son territoire serve de base arrière à la déstabilisation d’un pays africain souverain. Et tant qu’il en bénéficiera, il restera un maillon actif dans ce jeu trouble.

L’histoire retiendra. Et le peuple togolais, lui, a déjà compris.

11/06/2025

Les informations se précisent.

Ferdinand AYITE, le communicant officieux des groupes terroristes qui sévissent  dans le SahelLa récente attaque terrori...
10/06/2025

Ferdinand AYITE, le communicant officieux des groupes terroristes qui sévissent dans le Sahel

La récente attaque terroriste du 8 juin 2025 contre nos Forces de défense et de sécurité à Kpinkankandi n’est malheureusement pas le fruit du hasard. Elle s’inscrit dans une logique bien tracée où la communication et l’activisme politique de certains individus protégés par la FRANCE a ouvert la voie aux attaques jihadistes. Le timing des attaques terroristes est d’une troublante coincidence avec l’agitation de ces activistes.

Depuis le 6 juin, sous prétexte de défendre des libertés, une poignée d’activistes de la diaspora (FERDINAND AYITE) en tête a orchestré une campagne de désinformation et de mobilisation contre les institutions togolaises. Instrumentalisant habilement l’affaire de l’artiste Aamron, ces individus ont sciemment alimenté un climat de tension, détournant l’attention des véritables enjeux sécuritaires.

Il ne s’agit pas d’une coïncidence mais d’une complicité tacite.
L’histoire récente du Togo l’a démontré : chaque poussée de fièvre et de tension politique e venue de l’étranger est suivie, comme par un funeste rendez-vous, d’attaques terroristes ciblant nos positions stratégiques.

Ferdinand AYITE, François Assogba Yaovi, Ferdinand Boko et leurs réseaux multiplient les appels à la révolte au moment même où nos forces sont contraintes de diviser leurs efforts entre maintien de l’ordre et lutte antiterroriste.

Le résultat est sans appel : pendant que Ferdinand AYITE, Zaga Bambo et Assogbavi distillent leur rhétorique incendiaire sur les réseaux sociaux, les terroristes préparaient l’assaut du dimanche 8 juin.
En fragilisant la cohésion nationale et en saturant l’espace médiatique de fake news, ces "militants" ont offert un boulevard aux ennemis de la Nation.

Certains rejettent par réflexe l’idée d’un lien entre cet activisme et le terrorisme qui nous frappe. Pourtant, l’analyse chronologique des 24 derniers mois révèle une séquence troublante, répétée avant chaque attaque contre nos forces de défenses.

et voici le schéma observé :

Phase 1 : Amplification médiatique d’une polémique
Une controverse (judiciaire, sociale ou politique) est exploitée et montée en épingle par des relais médiatiques internationaux (France 24, RFI, Jeune Afrique) et des figures activistes (Ferdinand Ayité, Assogba Yaovi, Zaga Bambo...).

Ce qui a pour effet de créer un climat de crise détournant l’attention des enjeux sécuritaires réels.

Pour cette fois ci c'est l’affaire Aamron ( arrêté le 26 mai 2025), qui est présentée comme une "preuve de dictature". Ils ont utilisé cet argument et saturé l’espace médiatique deuxs semaine avant l’attaque de Kpinkankandi (08 juin 2025)

Phase 2 : Appels à la mobilisation et désordre contrôlé
Les mêmes acteurs lancent des appels à manifester ou à "résister", souvent depuis l’étranger. Effet : Les forces de sécurité sont contraintes de se redéployer pour gérer les troubles civils.

Phase 3 : Exploitation tactique par les groupes armés. Les terroristes profitent de la diversion des ressources militaires (Gendarmes, dispositif sécurité déployés en ville plutôt qu’aux fronts).

Pour l'attaque du 08 juin c'est le shéma classsique qui a été suivi.

Peut-on encore qualifier cela de simple coïncidence ?

Comme vous le constaté les prétendus bloggeurs et activistes ont choisi de servir l’agenda de leur maître, l’agenda de ces impérialistes. Et dans notre cas c’est bien la France.
Sinon en temps normal, un individu normal ne se livrerait pas à de tels comportements.

Le Togo fait face à la menace terroriste et dans ce combat, chaque togolais doit choisir son camp :

Celui des agitateurs, comploteurs dont les mots et les actes servent objectivement l’agenda jihadiste.

Ou celui des patriotes, unis derrière nos forces de sécurité pour préserver la stabilité du pays.

La prochaine fois que Ferdinand AYITE et ses réseaux appelleront à la révolte, demandez-vous : qui en profitera vraiment ?

L’histoire jugera sévèrement ces pyromanes qui jouent avec le feu tandis que des militaires se battent pour que la menace ne s'étendent pas sur tous le pays.

Par ailleurs, les appels à s’en prendre aux familles ou aux biens des dirigeants participent d’une dangereuse escalade. Mais ceux qui alimentent cette rhétorique devraient mesurer les risques : la violence appelle la violence, et personne n’est à l’abri. Ferdinand AYITE, comme d’autres activistes, ont eux aussi des proches et des attaches au Togo. Ils ont aussi de belles maisons. S’il faut casser chacun saura où casser

06/06/2025

Le CACIT et Eustache LAKLÉ : Ce sont les photos qui sont importante, le reste, vous pouvez mourir.

Ce qu'il nous a été donné de voir sur les réseaux sociaux tout simplement est révoltant à plus d’un titre.

Révoltant, d’abord, parce qu’un jeune homme est à terre, visiblement en pleine souffrance.

Révoltant, surtout, parce que ceux qui l’entourent dont Eustache LAKLÉ, un "responsable" comme on aime à le dire chez nous quand l'individu a un certain âge et une représentante du CACIT

Les deux ont préféré filmer jeune se tordant de douleur sous tous les angles plutôt que lui porter secours.

Regardez bien la vidéo et regardez ce qu'ils fonts devant le jeune souffrant.

Et on ose appeler cela du militantisme ?

Non. C’est de la manipulation pure, du cynisme à l’état brut.

Bon en temps normal, qu'est ce que la moral nous enseigne ? n'est pas de apporter les premiers soins et le le transporter à l’hôpital en attendant.
Pendant que la dame du CACIT le tournait dans tous les sens pour lui faire des photos, s'il trépassait ?

Vraiment Eustache LAKLÉ et le CACIT ont choisi l’option la plus immorale :

Laisser souffrir un être humain pour obtenir des images "spectaculaires".

Transformer la douleur en outil de communication, comme on monnaye une marchandise.

En fai cette scène n’est pas un hasard. Elle s’inscrit dans une stratégie bien rodée :

Des "grands frères" depuis l’Occident (Ferdinand AYITÉ, Togbevikpe...) poussent les jeunes à manifester, voire à provoquer des troubles, pour alimenter leur propagande.

Ils réclament des photos, des vidéos, peu importe si des vies sont mises en danger.

Eustache LAKLÉ et le CACIT jouent leur rôle : ils fournissent le contenu choc, quitte à instrumentaliser un blessé.

Le CACIT comme ne montre que sa vraie face à travers cette vidéo :
Ils sont champion dans le travestissement des faits, la mise en scène de victimes, la surenchère médiatique au mépris de l’éthique

Tout cela pour quoi ?
Pour faire croire à un "soulèvement populaire" au TOGO ?
Pour justifier des appels à la violence ?
Pour tenter, une fois de plus, de déstabiliser le Togo sous prétexte de "faire partir Faure" ?

Eustache LAKLÉ, si c’était ton enfant à terre, est-ce que ton premier réflexe serait de sortir ton téléphone… ou de le sauver ?

La réponse est évidente.
Mais visiblement, pour toi et le CACIT, une photo vaut plus qu’une vie humaine.

Les togolais mérite mieux que ces manigances.
Et les vrais défenseurs des droits humains agissent dans la dignité, pas dans l’exploitation morbide.

Le Gouvernement Togolais est appelé à regarder vraiment ce que font ces organisations

05/06/2025

Reconnaissant publiquement ses erreurs, Aamron a présenté ses excuses au Président du Conseil, Monsieur Faure Essozimna GNASSINGBE. Il a admis avoir eu un comportement déplacé, exprimant ses profonds regrets. Il a également révélé traverser une période difficile marquée par une dépression, et a tenu à préciser qu’il bénéficie désormais d’un suivi médical qui l’aide à retrouver un certain équilibre.

Mais au-delà de son cas personnel, son témoignage est une leçon pour toute la communauté du web togolaise : les réseaux sociaux ne sont pas des zones de non-droit. La liberté d’expression ne doit jamais se confondre avec l’insulte, la diffamation ou l’incitation à la haine.

Amron a rappelé que le Togo est un État de droit, où chacun quelle que soit sa notoriété doit répondre de ses actes. Il a reconnu que la procédure judiciaire à son encontre est légitime, et qu’il en accepte les conséquences.

À travers son expérience, il appelle les jeunes à faire preuve de discernement, à respecter les lois, et surtout à ne pas se laisser emporter par la colère, la frustration ou la recherche de buzz sur les réseaux. Car un moment d’égarement en ligne peut mener à de véritables conséquences dans la vie réelle.

La liberté d’expression est un droit. Mais elle s’exerce avec responsabilité. Soyons vigilants, soyons respectueux, soyons lucides. Préservons notre avenir en utilisant les réseaux sociaux pour construire, et non pour détruire.

Notre artiste a reconnu sa faute. Qu’il soit entendu, qu’il soit pardonné et remis en liberté.

04/06/2025

Affaire AMRON : l’insolence a ses limites.
Quand Amron multipliait les provocations et franchissait les lignes rouges, on n'a vu personne s'indigner. Les artistes se sont tous tus parfois par complaisance.
Aujourd’hui que les choses ont mal tourné, on crie à l’injustice et à la libération.
Je suis pour la liberté d’expression sans équivoque. Et si nous sommes sur les réseaux sociaux, c'est qu'on accepte les critiques.
Mais au même nous savons tous que : la liberté d'expression n’est pas un permis d’insulter ou de mépriser.

Oui, qu’on lui rende sa liberté. Oui je demande qu'on libère Amron Mais qu’il apprenne, cette fois de ses erreurs. Qu'il saisisse cette occasion pour sensibiliser à son tour.
https://www.tiktok.com//video/7511776113350331670

L'ÉGLISE TOGOLAISE A-T-ELLE DÉCIDÉ DE DEVENIR UN PARTI POLITIQUE ?La Conférence des évêques du Togo (CET) vient encore d...
27/05/2025

L'ÉGLISE TOGOLAISE A-T-ELLE DÉCIDÉ DE DEVENIR UN PARTI POLITIQUE ?

La Conférence des évêques du Togo (CET) vient encore de sortir de son rôle avec sa dernière déclaration !

Au lieu de s'occuper des âmes, ces prélats jouent maintenant aux experts en droit constitutionnel et en gouvernance politique. Mais qui les a élus pour ça ? Personne !

C'est quoi ce cirque ? Depuis des année, la CET s'est transforme en machine à critiques politiques.
S'ils n'osent pas attaquer Faure Gnassingbé frontalement, ils s'acharnent lâchement sur les réformes légales portées par nos institutions. Dernière cible en date : la réforme constitutionnelle, qu'ils démolissent à coup de déclarations incendiaires, comme si la Conférence épiscopale s'était autoproclamée opposition officielle du régime .

Sauf qu'eux, personne ne les a mis là par les urnes. Au moins les politiques, aussi critiquables soient-ils, doivent se présenter devant le peuple. Les évêques, eux, sont nommés comme des préfets coloniaux et après osent donner des leçons de démocratie ?

Leur dernière déclaration est un chef-d'œuvre d'hypocrisie : ils parlent de "danger" pour la Nation, de "mépris du peuple"... mais en vrai, c'est juste leur agenda politique déguisé en sermon.

Quand on voit comment l'Église choisit ses propres chefs (des conclaves à la fumée blanche), on se demande quelle légitimité ils ont pour juger des institutions républicaines !

Parlons franchement : la CET veut jouer les sauveurs de la nation, mais elle ferait mieux de balayer devant sa porte.

Combien de quêtes chaque dimanche pour soutenir leur train de vie ? Combien de fidèles exploités sous prétexte de charité ?
Combien de femmes désabusée et de filles violées par des prêtres devenus des gourous.

Ces évêques qui brandissent la menace d'une "explosion sociale" comme un gourdin, c'est du pur terrorisme spirituel. On croirait entendre des militants politiques en colère, pas des hommes de Dieu. Leur langage codé - "frustrations populaires", "risques de division" - c'est du vocabulaire de meeting électoral, pas d'homélie dominicale.

Le Togo a besoin de pasteurs, pas de tribuns.
L'Église devrait être un refuge, pas une arène politique. Son rôle ? Soutenir les veuves, éduquer les orphelins, consoler les affligés - pas jouer les Cassandre institutionnelles.

Quand les fidèles viennent chercher du pain spirituel, on leur sert des pamphlets politiques ?

Cette dérive est dangereuse. À force de jouer les opposants en soutane, la CET se transforme en parti religieux, la Conférence Nationale de Transition peut -être, dans leur rêve.

A force d'agir ainsi, on se retrouve avec des paroissiens pris en otage entre leur foi et leurs convictions civiques.

Et le jour où le peuple aura vraiment besoin d'un arbitre neutre, qui croira encore en ces évêques devenus militants ?

Assez de cette schizophrénie ecclésiale ! Les autels ne sont pas des tribunes, les chapelets ne sont pas des armes. Si l'Église veut garder sa crédibilité, qu'elle retourne à l'essentiel : prier, servir, unir. La politique ? Qu'elle laisse ça à ceux qui sont prêts à affronter les urnes et le verdict du peuple.

L'heure est grave : choisissez votre camp, Messeigneurs. La chaire ou la tribune politique, mais pas les deux !

Ferdinand AYITÉ : Expert en "ON M'A DIT QUE"Encore lui ! plus deux heures de cris, deux heures de bruit... et pas une se...
26/05/2025

Ferdinand AYITÉ : Expert en "ON M'A DIT QUE"

Encore lui ! plus deux heures de cris, deux heures de bruit... et pas une seule preuve.

Il balance des accusations graves comme si c'était du pain, mais aucun papier, aucun chiffre, aucune preuve, rien !

Juste sa bouche.

Chaque semaine, il s’acharne sur DAMmIPI comme s’il avait un compte personnel à régler avec ce ministre (la jalousie peut-être).

Il parle de champagne payé par la CEET, de boîte de nuit construite avec l'argent de Contour Global ou de CEET...

Mais où sont les preuves ?

Un journaliste digne de ce nom ne se contente pas de raconter, il démontre !

Ce que Ferdinand fait là, c’est du commérage de quartier, pas du journalisme.
Au moins quand on achète quelque chose, il y a un reçu, à défaut, un bon de livraison.... Le crieur n'a RIEN de TOUT CA.

Il se permet même de diffamer le Président du Conseil sur cette affaire des missions de l'ONU.
Où sont les preuves monsieur Ferdinand.

Ce n’est plus de la critique, c’est juste de la calomnie maladie. Il raconte tout et n’importe quoi, pensant qu’il est intouchable parce qu’il est planqué quelque part en exil.

Mais qu’il sache que même en exil, on peut être poursuivi.

Et s’il n’est pas poursuivi aujourd’hui, ce n’est pas parce qu’il a raison, c’est parce que ceux qu’il attaque le considèrent insignifiant.

Faure Gnassingbé a la possibilité de le poursuivre s’il voulait, mais il est trop sage pour ça.

Il respecte la liberté d’expression, même quand elle est utilisée par des gens malhonnêtes.

Mais attention : tolérance ne veut pas dire faiblesse.

Et ce monsieur ose encore donner des leçons de moralité, lui qui adore chaque fois nous rappeler que AGBA Bertin, un arnaqueur notoire, est son ami.
Il parle de corruption, mais il a mangé avec ceux qui ont sont reconnus pour avoir passé tout le temps de leur vie à escroquer.

Quelle crédibilité peut-il avoir lui Ferdinand ?

Il veut jouer au héros, mais il ne peut séduire que ceux qui ne creusent pas.

Dès qu’il y a débat sérieux ou dès qu'il y a procès au tribunal, il détale comme un rat.
Ce sont ces genres de mensonges qui lui ont déjà causé des ennuis judiciaires. Et au lieu d’assumer, il a fui le pays.

On se souvient que lors de ses précédentes convocations, ce sont des confrères qui ont dû supplier pour lui, avant qu’il ne sorte et ne prenne la fuite comme un voleur.

En vérité, Ferdinand AYITÉ est un agitateur, pas un journaliste encore moins un combattant.

Propager des mensonges ne fait pas de lui un résistant. Cela fait de lui un manipulateur. Il joue avec les émotions du peuple, séduit les esprits faibles, mais dans un tribunal, il ne tiendrait pas cinq minutes.

Il ferait mieux de soigner ce qu’il a dans le cœur, cette rancœur qui le pousse à répandre autant de haine et de mensonges en plein jour. Dans un combat politique, ni la haine ni le mensonge n’ont jamais permis de gagner durablement. Si cela suffisait, notre pays ne serait pas là où il est aujourd’hui.

Et ironie du sort, lui-même a prié Dieu dans son live…

Preuve qu’il sait, au fond, que seule la vérité triomphe. Or Dieu n’est pas du côté du mensonge ni de la manipulation. Que chacun médite ceci : si Faure est encore au pouvoir, ce n’est pas un hasard. Dieu seul sait pourquoi.

La conspiration ratée contre la 5ème République au Togo :  Mme AKA Jacqueline, véritable monstre froid ou victime d’une ...
13/05/2025

La conspiration ratée contre la 5ème République au Togo : Mme AKA Jacqueline, véritable monstre froid ou victime d’une cabale montée par François BOKO et Ferdinand AYITE ❓

À la veille de l’investiture historique du Président du Conseil, le Togo est passé à côté d’un événement que les auteurs promettaient être un coup fatal et qui devait faire de la 5ᵉ République, un mort-né.

En effet, quelques jours avant la préparation du Togo pour entrer dans cette ère nouvelle, des aigris organisés sous la bannière de François BOKO depuis Paris, ont échafaudé un plan destiné à mettre à mal le climat intérieur et susciter une contestation générale contre l’avènement de la 5ᵉ République.

Il était question pour François BOKO de ternir l’image de Faure GNASSINGBÉ au moment où le pays s’apprêtait à franchir ce cap décisif.

Et comme toujours, pour la mise en œuvre de ce type de plan macabre, François BOKO fait recours à son scénariste privilégié. Celui-ci, c’est bien Ferdinand AYITE, le fameux désœuvré "crieur du dimanche", qui s’est juré de pactiser avec les forces du mal pour couler son pays d’origine et l’envoyer aux enfers.

Dans une publication théâtrale passée quelques heures avant l’investiture historique de M. Faure GNASSINGBÉ en tant que Président du Conseil, Ferdinand AYITE annonce que "l’une des femmes de Faure" s’apprête à rompre le silence et à demander le départ du Président, avec à la clé une tribune incendiaire.

Si sur la toile cette publication a suscité une certaine agitation, le commun des mortels habitué aux publications fantaisistes et sensationnelles que s’autorise souvent ce journaliste pour attirer l’attention, y voyait une manière pour Ferdinand AYITE de prendre part à la visibilité que conférait cet événement de taille que représentait l’investiture du Président du Conseil qui devait ouvrir l’entrée effective du Togo dans la 5ᵉ République.

Après cette publication, on s’attendait à prendre connaissance de la tribune incendiaire tant annoncée mais… rien. Les heures passent. Aucun texte n’apparaît.

Puis, contre toute attente, Ferdinand publie une tribune signée par dame GNAKADE. Stupeur ❗

Madame GNAKADE bien qu’ayant été nommée à des postes de responsabilité dans le pays, n’a jamais été "femme de Faure", encore moins une intime du point de vue politique. Il est connu de tout le monde au Togo sauf peut-être de Ferdinand AYITE et de son mandant François BOKO, que Madame Essossimna Marguerite GNAKADE a été l’épouse de feu Ernest GNASSINGBE, frère aîné de M. Faure GNASSINGBÉ, l’actuel Président du Conseil au Togo.

Alors, à qui appartenait réellement cette tribune ❓

Ces micmacs de Ferdinand AYITE et de son mentor François BOKO en bombardant Madame Essossimna Marguerite GNAKADE au devant de cette tribune, n’étaient que des subterfuges pour cacher la vraie auteure de la tribune qui n’est que Mme AMIVI AKA Jacqueline.

En effet, la tribune devait initialement être signée par Mme AKA Jacqueline, une intime de François BOKO connue pour son recours au trafic d’influence pour s’imposer dans les milieux d’affaires.

Cette femme a pendant des années opéré dans l’ombre, en montant des business sujets à caution, abusant de son statut supposé, se faisant passer pour une femme de Faure, menaçant des chefs d’entreprise, et corrompant à tout va.

Ferdinand Ayité qui se fait aujourd’hui le laudateur d’un journalisme d’investigation sans tache ni reproche, a été entretenu et continue d’être entretenu gracieusement par cette dame, et ce ne sont pas ses confrères bien connus dans la corporation des journalistes togolais, qui jouaient aux intermédiaires en lui faisant parvenir régulièrement des enveloppes bien garnies de la part de cette AKA Jacqueline, qui diront le contraire. Le moment vient où tout sera révélé au grand public.

Mais il est évident que Ferdinand Ayité qui joue à la sainte nitouche, est en permanence dans la jouissance grâce à l’argent de la corruption et des détournements qui lui parviennent par les réseaux de Mme AKA Jacqueline.

C’est d’ailleurs celle-ci qui utilisait Ferdinand comme un instrument pour régler ses comptes dans les médias, salir ses adversaires et concurrents, camoufler et positiver ses manœuvres louches. Les biens acquis par Ferdinand Ayité notamment sa maison à Ségbé bardée de caméras de surveillance, ne sont pas le fruit du hasard : ils ont été rendus possibles par sa collaboration avec cette femme.

Mme AKA Jacqueline, naïve ou trop ambitieuse, a été embarquée dans cette conspiration contre Faure GNASSINGBÉ, par François BOKO, l’exilé aux illusions françaises, qui lui aurait fait croire à un "changement politique" offert sur une platine d’or depuis Paris.

Convaincue de pouvoir jouer un rôle dans la perspective de faire prospérer ses affaires au cas où, elle s’exile temporairement en France, pensant frapper un grand coup en publiant une tribune fracassante contre Faure à la veille de son investiture.

Disposant de Ferdinand AYITE, de Mme AKA Jacqueline et de Mme Marguerite GNAKADE comme des pions à ses mains, François BOKO a préféré que le «brûlot» sorte sous la signature de sa SOEUR Marguerite GNAKADE déjà tombée en disgrâce auprès du Pouvoir, pour éviter d’exposer Mme AKA Jacqueline, et permettre à celle-ci, au pire des scénarii, de revenir prendre sa place au sein du sérail pour continuer de fournir du grain qui permettra à Ferdinand AYITE de faire tourner son moulin sur les réseaux sociaux contre le Pouvoir togolais.

Ainsi, ce que Ferdinand présente comme une "voix de l’intérieur" n’est en réalité qu’un masque destiné à dissimuler la trahison d’une proche du Pouvoir.

Heureusement pour le Togo et malheureusement pour les conspirateurs, l’ouragan tant attendu n’aura jamais lieu, et un soleil plus clément fait briller un air de renouveau sur le Togo.

Aujourd’hui, Mme Aka Jacqueline est toujours absente du pays et hésite entre revenir et ne pas revenir au Togo.

Ce qui est sûr, François BOKO passé maître dans l’art d’embrocher les épouses de ses chefs hiérarchiques, recyclera une vieille place chaude dans son cœur pour elle.

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