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JNIM et les groupes islamistes militants au Sahel : l'exploitation des enfants et des femmes, un crime odieuxLes terrori...
12/10/2024

JNIM et les groupes islamistes militants au Sahel : l'exploitation des enfants et des femmes, un crime odieux

Les terroristes qui sévissent dans le Sahel et dans le nord de nos pays sous le fallacieux couvert de la religion, se font appeler «jihadistes».
Mais ne nous y trompons pas : il n’y a rien de sacré dans leur démarche. Ils ne sont pas des combattants d'une idéologie noble, mais des criminels sans foi ni loi, des prédateurs qui se nourrissent de l'innocence et de la vulnérabiltiés des enfants. En vérité, les responsables de ces groupes sont des barbares qui exploitent la naïveté des enfants et des femmes, les transformant en machines à tuer, ou chair à canon souvent sous l’emprise de la drogue.

Leur véritable mission n’a rien à voir avec la défense de la foi.
Ce sont des criminels, des gangster qui sont à la conquête d’espaces pour étendre leurs réseaux d'activités illicites. Ils se cachent derrière un voile de religiosité pour camoufler des trafics ignobles, comme la drogue et l’exploitation des ressources minières.

Mais ce qui est encore plus révoltant, c’est l’utilisation jeunes innocents, parfois à peine sortis de l’enfance, à qui l’on met des armes entre les mains pour commettre des atrocités. Ces criminels ont perverti l’innocence même, enlevant à ces jeunes toute trace d’humanité.

Comment peut-on être assez monstrueux pour voler l’âme d’un enfant, pour le plonger dans un monde de haine et de violence où il devient un bourreau, alors qu’il n’en comprend même pas les raisons ?

Quant aux femmes, elles sont elles aussi réduites à des instruments de guerre, contraintes de porter le fardeau des combats d’hommes qui ont perdu toute moralité. Les commanditaires de ces actes ignobles se terrent derrière des discours religieux pour légitimer l’indéfendable. Mais ils paieront cher pour leurs crimes devant Allah le Tout-Puissant, car ôter la vie de façon aussi vile est une offense impardonnable, et encore plus lorsqu’il s’agit de manipuler des âmes innocentes.

Il est urgent que la communauté internationale, ainsi que les États de la région, prennent des mesures radicales contre ces groupes qui continuent d’échapper à toute forme de justice. Leur objectif réel est de semer la terreur pour mieux contrôler des territoires, mais nous devons les dénoncer pour ce qu’ils sont : des ennemis de l’humanité, coupables de transformer les enfants et les femmes en armes vivantes au service du mal.

Il est de notre devoir de ne pas rester silencieux face à ces horreurs. Ces enfants, arrachés à leur innocence, et ces femmes, réduites à des pions de guerre, méritent notre compassion, notre action, et notre détermination à mettre fin à ces crimes contre l’humanité.

Et dire qu’entre-temps, certaines grandes puissances de ce monde ont collaboré avec ces individus. Les Maliens et les Nigériens ont de bonnes raisons de croire que ces puissances ont contribué à fabriquer le terrorisme. 👇👇👇

Une Afrique mieux représentéeWashington appuie la création de deux sièges permanents au Conseil de sécurité des Nations ...
13/09/2024

Une Afrique mieux représentée

Washington appuie la création de deux sièges permanents au Conseil de sécurité des Nations Unies pour les États africains, ainsi qu'un siège à rotation pour les petits États insulaires en développement, a annoncé j Linda Thomas-Greenfield, ambassadrice des États-Unis auprès des Nations Unies.

Cette initiative intervient alors que les États-Unis cherchent à renouer leurs relations avec l’Afrique.

"Depuis des années, les pays réclament un conseil plus inclusif et plus représentatif, un conseil qui reflète la démographie du monde d'aujourd'hui et qui réponde mieux aux défis actuels," a déclaré Thomas-Greenfield lors d'une réunion au Council on Foreign Relations.

La proposition de deux sièges permanents pour l'Afrique et un siège rotatif pour les petits États insulaires s'ajoute au soutien de longue date de Washington à l'octroi de sièges permanents à l'Inde, au Japon et à l'Allemagne au sein du Conseil de sécurité.

Les États-Unis soutiennent également la représentation permanente des pays d'Amérique latine et des Caraïbes au Conseil, bien qu'ils n'aient pas précisé les détails.

Depuis longtemps, les nations en développement demandent des sièges permanents au sein du Conseil de sécurité, l'organe le plus puissant des Nations Unies. Mais des années de discussions sur la réforme sont restées infructueuses, et il est incertain que le soutien américain puisse mener à des actions concrètes.

Les États-Unis ne soutiennent pas l'expansion du droit de veto au-delà des cinq pays qui en disposent actuellement, a précisé Thomas-Greenfield. "Aucun des membres permanents ne veut abandonner son droit de veto, y compris nous," a-t-elle dit. "...Nous pensons que si nous élargissons ce droit de veto à tous, cela rendra le conseil plus dysfonctionnel."

Cette position américaine est soutenue par le Togo, où le président Faure Gnassingbé plaide activement pour une plus grande représentation des nations africaines au sein des organisations internationales comme les Nations Unies.

Sous sa direction, le Togo a régulièrement poussé pour des réformes visant à renforcer la voix de l'Afrique sur la scène mondiale, reconnaissant l'influence croissante du continent et la nécessité de processus de décision plus inclusifs.

Les initiatives du chef de l’Etat s'alignent avec l'appel en faveur de sièges permanents pour les États africains au sein du Conseil de sécurité, reflétant son engagement à renforcer le rôle de l'Afrique dans la gouvernance mondiale.

Le Conseil de sécurité a pour mission de maintenir la paix et la sécurité internationales et dispose du pouvoir d'imposer des sanctions, des embargos sur les armes et d'autoriser l'usage de la force.

Lors de la fondation de l'ONU en 1945, le Conseil de sécurité comptait 11 membres. Ce nombre est passé à 15 en 1965, avec 10 États élus pour des mandats de deux ans et cinq nations permanentes disposant du droit de veto : la Russie, la Chine, la France, les États-Unis et le Royaume-Uni.

Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, soutient la réforme du Conseil de sécurité. "Vous avez un Conseil de sécurité qui correspond exactement à la situation après la Seconde Guerre mondiale... Cela pose un problème de légitimité et d'efficacité, et il doit être réformé," a déclaré Guterres.

Toute modification de la composition du Conseil nécessite un amendement à la Charte fondatrice de l'ONU, qui doit être approuvé et ratifié par les deux tiers de l'Assemblée générale, y compris les cinq membres permanents actuels disposant d'un droit de veto.

L'Assemblée générale des Nations Unies, composée de 193 membres, discute chaque année depuis plus de dix ans de la réforme. Mais l'élan s'est accru ces dernières années, alors que les rivalités géopolitiques ont paralysé le Conseil sur plusieurs questions, en particulier après l'invasion de l'Ukraine par la Russie, membre permanent avec droit de veto.

Chaque année, l'Assemblée générale élit cinq nouveaux membres de différents groupes géographiques pour des mandats de deux ans au Conseil de sécurité.

Washington appuie la création de deux sièges permanents au Conseil de sécurité des Nations Unies pour les États africains, ainsi qu'un siège à rotation pour les petits États insulaires en développement, a annoncé j Linda Thomas-Greenfield, ambassadrice des États-Unis auprès des Nations U...

Le HCCRUN Restitue l’Immeuble de Feu Colonel Koffi Afenyo à sa Famille
29/08/2024

Le HCCRUN Restitue l’Immeuble de Feu Colonel Koffi Afenyo à sa Famille

Le jeudi 29 août, à Lomé, une cérémonie significative a eu lieu sous l’égide du

Donc dans l'amusement Jean Pierre FABRE a mordu la poussière à Kodjoviakopé, Nyekonakpoè, Bè?Chronique d’une disparition...
06/05/2024

Donc dans l'amusement Jean Pierre FABRE a mordu la poussière à Kodjoviakopé, Nyekonakpoè, Bè?

Chronique d’une disparition programmée
Scores de l’ANC
Présidentielle 2020 = 4%
Législatives 2024 = 01 député

Le lundi 29 avril 2024, les Togolais ont été appelés aux urnes pour renouveler le parlement. À l'issue de ces élections, le parti au pouvoir, l'UNIR, a remporté la majorité des sièges, soit 108 sur les 113 en jeu. L'opposition n'a gagné que 5 sièges, des résultats somme toute logiques au regard des différentes péripéties politiques et du passé. En effet, en 2015, l'ANC était la deuxième force politique du pays et Jean-Pierre FABRE en était le chef de file de l'opposition, avec plus de 20 députés au parlement. En 2018, suite aux boycotts des élections conseillés par un aventurier politique, j'ai nommé TIKPI ATCHADAM, l'ANC de Jean-Pierre FABRE a amorcé une descente aux enfers. En 2020, à l'issue des élections, elle s'est retrouvée avec seulement 4 % des voix, se classant troisième derrière AGBEYOME et Faure GNASSINGBE, élu président. Au lieu d'analyser objectivement sa défaite et son recul politique, Jean-Pierre FABRE n'a rien fait. Il s'est contenté de la vieille méthode consistant à insulter le parti au pouvoir et à l'accuser de tous les maux sans se remettre en cause. En avril 2024, les résultats des élections confirment la dégringolade de l'ANC qui n'a qu'un seul député sur 113 possibles.

Malheureusement, Jean-Pierre FABRE ne semble pas comprendre que sa fin politique est imminente. Sur les ondes des médias, il continue de tenir un discours passéiste qui a fatigué les électeurs. Il affirme que le parti UNIR au pouvoir a bo**ré les urnes, volé et fait usage de violence. Mais curieusement, rien de tel ne s'est passé le jour des élections. Au lieu de faire face à la réalité, il cherche à justifier sa défaite en rejetant la faute sur son adversaire. Dans le bureau de vote où Jean-Pierre FABRE a lui-même voté, c'est-à-dire dans son fief, il a été battu par le parti UNIR. Cela prouve que Jean-Pierre FABRE est au bord du précipice. Sinon, comment expliquer qu'UNIR ait raflé les voix dans le bureau de vote de Jean-Pierre FABRE, situé juste à côté de sa maison ? Supposons qu'il y ait eu un bourrage d'urne, cela signifie-t-il que le bureau de vote de Jean-Pierre FABRE ait été victime de bourrage ? Non. Il est nécessaire de prendre objectivement les résultats, de s'interroger, de faire une analyse rétrospective et de chercher les erreurs pour les corriger. Mais si l'ANC de Jean-Pierre FABRE reste dans cette posture de victime, sa mort politique est programmée.

Jean-Pierre FABRE et compagnie face à un nouveau dilemmeLe chien a encore aboyé, mais la caravane est passée pendant que...
22/04/2024

Jean-Pierre FABRE et compagnie face à un nouveau dilemme

Le chien a encore aboyé, mais la caravane est passée pendant que le chien la regardait même jusqu’à baver. La mer a encore laissé s’agiter ses vagues qui ne sont finalement retenues que le sable sur la plage. Contrairement aux promesses de certains opposants de faire échouer le processus de révision constitutionnelle, le texte en relecture a été adopté vendredi par les députés.

C’est par un vote de 87 favorables que l’Assemblée nationale a une fois encore réaffirmé sa volonté, au nom du peuple, à faire passer le Togo du régime semi-présidentiel au régime parlementaire avec un Chef de l’Etat et un Président du Conseil des ministres. Le texte adopté prend en compte les diverses préoccupations des forces vives du pays qui ont été consultées il y a quelques jours plus tôt sur l’ensemble du territoire national.

De l’ancien texte adopté le 25 mars dernier à celui de ce soir, l’on retient plusieurs améliorations dont le mandat de 6 ans du Président de la République qui est dorénavant de 4 ans renouvelable une seule fois contrairement à un mandat unique de 6 ans. Pour ce qui est du mandat du Président du Conseil, aucune modification n’y a été apportée par la relecture. En conséquence, le mandat reste un mandat de 6 ans. Puisqu’il sera issu de sa majorité parlementaire, le Président du Conseil restera en fonction conformément à la volonté de sa majorité.

Les constituants sont même allés loin en conférant un peu plus de notoriété aux groupes parlementaires en les rendant seuls capables de pouvoir proposer des candidats pour le Président du Conseil des Ministres.

Que devraient désormais faire les pourfendeurs ?

Jusque-là, le problème ne se pose pas, étant donné que tout a suivi le processus prescrit par la Constitution concernant sa révision. Et l’Assemblée nationale qui l’a fait dispose de toutes les compétences constitutionnelles pour le faire. Bon vent aux débatteurs, sachant que pour les esprits éclairés, cette adoption n’est qu’une expression totale et rassurante de la voix du peuple togolais. Les brouhaha sur les réseaux sociaux n’étaient que du feu de paille.

Mais, là où l’opinion a commencé aussitôt par s’interroger est la réaction de ces opposants qui ont pourfendu jusqu’ici cette démarche sans jamais avoir eu le courage de faire un débat de fond. Pour eux, ils ne peuvent se permettre de commenter le fond du texte qu’ils rejettent sur la forme.

« J’espère qu’ils ne passeront pas outre l’indignation du peuple pour aller vers ce système. Sinon, nous allons appeler les populations à défendre leur Constitution votée en 1992. Faure Gnassingbé ferait œuvre utile de faire l’économie d’une crise qui peut embraser le Togo et la sous-région », déclarait Jean-Pierre Fabre.

« Tout ce qu’ils ont écrit est du verbiage, cela n’intéresse personne. Pour nous, il s’agit purement et simplement de retirer le texte, c’est de ça qu’il s’agit », ajoutait le président de l’Anc il y a quelques jours.

Une nouvelle occasion ratée pour être cohérent et constant

Avec tout ce bavardage de nos « zopozan », comme le disent les gens dans la rue, l’on est en droit de se demander ce qu’ils pensent faire dorénavant des élections législatives en vue.

La moindre cohérence et lucidité dans les propos et actes auraient voulu à ce que, face à cette situation, les pourfendeurs se retirent du processus, à défaut d’avoir vu le texte être retiré. Mais hélas !

Doivent-ils suspendre la campagne électorale et annoncer leur retrait pur et simple du processus ? Sinon, sur la base de quelle Constitution se réclameront-ils être députés, lorsque les populations leur feront la faveur de les élire ? Si notamment un parti comme Anc arrive à avoir la majorité parlementaire, soit seul ou avec un autre parti, bomberont-ils le torse pour faire dégager dans leur rang le Président du Conseil des Ministres ?

Autant de questions que se posent actuellement le Togolais lambda de plus en plus fatigué par ces leaders politiques de l’opposition qui sont visiblement en manque d’arguments.

Ce ne serait malheureusement pas évident avec ces leaders toujours incohérents et non constants dans leurs propos. Pour les hommes avisés de l’actualité politique au Togo, la mise en scène de Jean-Pierre Fabre et compagnie va encore passer bientôt.

Les preuves sont multiples et ne cesseront d’interpeller. Jean-Pierre Fabre qui s’est proclamé Président élu en 2010 et 2015, déniant toute autorité à Faure Gnassingbé a fini par ravaler ses salives.

Fabre et ses lieutenants de l’Anc avaient traité la Cedeao de tous les noms d’oiseaux après leur boycott de 2018. Mais, c’est les mêmes qui en ont encore fait appel à la Cedeao dans ce débat de révision constitutionnelle. Ils ont même eu la chance, avec d’autres leaders de l’opposition d’être reçus par les premiers responsables de la Cedeao sur le sujet.

La liste est longue mais souffrons de nous en arrêter là et prenons un autre leader comme les responsables de la dynamique pour la majorité du peuple (DMP). Ceux-là qui avaient juré que Feu Agbéyomé Kodjo est leur Président et ne reconnaissaient aucune légitimité ni légalité au régime de Faure Gnassingbé, les voilà tourner dos à ce qu’ils disaient pour courir désormais derrière une processus organisé par un régime qu’ils n’avaient pas reconnu. Ah, peut-être que le Saint-Esprit leur a encore parlé, qui sait ?

En passant, nous notons que Jean-Pierre est suivi dans sa démagogie avec d’autres de ses collègues. Ne dit-on pas qui s’assemble se ressemble ? « Nous allons protester, nous continuerons de protester jusqu’à ce que ce texte ne tombe », criait récemment Jean Kissi, ancien secrétaire général du Comité d’action pour le renouveau (CAR) qui cherche lui-aussi à se repositionner sur la scène car en manque de visibilité.

Une opposition défaitiste au départ

Bref, malgré tout ce tintamarre, Jean-Pierre Fabre et toute sa compagnie vont encore poursuivre leur campagne ; mieux, ils vont recevoir avec les deux mains le financement public annoncé par l’Etat.

Bon nombre de Togolais se demandent même le score auquel s’attend tout ce monde qui part déjà avec un esprit défaitiste. Du moins, Jean-Pierre Fabre a indiqué lors d’une de ses interventions sur RFI : « Ils se sont mis en situation de remporter les élections et ils ont fait les choses pour que les élections ne soient plus une compétition au Togo mais une formalité ». Sur cette base, certains spécialistes craignent que l’Anc enregistre une débâcle plus grave que celle de 2020 à l’élection présidentielle.

Donc, il apparaît que tous ces opposants et leurs partis politiques se sont engagés dans ce processus non pas parce qu’ils ont une raison politiqué donnée. Mais, essentiellement pour faire une moindre santé financière, étant donné qu’ils ont reconnu plusieurs fois être frappés par les conséquences du boycott de 2018.

https://lerefletdafrique.tg/singlepost-jean-pierre-fabre-et-compagnie-face-a-un-nouveau-dilemme-1-2312

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