11/23/2025
Quand le Maître entre en scène : la tempête se tait
Il calme la tempête,
Même lorsque les vents s’élèvent contre moi,
Et que les vagues de la vie menacent de m’engloutir.
J’étais emporté, sans force, sans repère,
Comme un bateau sans gouvernail,
Cherchant une lumière dans l’obscurité.
Je me sentais solitaire,
Comme David criant dans la caverne :
« Du fond de l’abîme, je t’invoque, ô Éternel ! » (Psaume 130:1)
Mon cœur tremblait,
Mes pensées s’agitaient,
Et mes nuits semblaient longues comme l’exil.
Mais au milieu du tumulte,
Une voix douce et puissante a grondé au-dessus des eaux :
« C’est Moi, n’ayez pas peur ! » (Matthieu 14:27)
Alors la mer s'est apaisée dans mon âme,
Car Jésus demeure le Bon Berger,
Celui qui marche sur les vagues que je redoute.
Celui qui connaît mon nom,
Celui qui ne me laisse jamais dériver loin de Sa grâce.
Frère Branham disait :
« Lorsque vous êtes au bout du chemin, Jésus commence le Sien.
Quand vous pensez que tout est perdu, c’est alors qu’Il entre en scène. »
Et je l’ai vu entrer dans ma tempête :
Pas avec le bruit du tonnerre,
Mais avec la délicatesse d’une lumière qui se lève.
Il est mon refuge,
Mon rocher dans la tourmente,
Celui qui a promis :
« Je ne te délaisserai point et je ne t’abandonnerai point. » (Hébreux 13:5)
Frère Branham a encore dit :
« La foi n’est pas de regarder au vent ni aux vagues,
mais de tenir les yeux fixés sur la Parole. »
Alors j’ai relevé mes yeux,
Et j’ai vu que même la mer obéit à Sa voix (Marc 4:39).
Fidèle Ami,
Plus proche qu’un frère,
Plus tendre qu’une mère,
Plus puissant que toutes mes peurs.
Quand tout le monde semblait loin,
Toi, Jésus, tu étais tout près.
Quand mon âme s’enfonçait,
Ta main m’a saisi.
Aujourd’hui je peux dire :
Tu es Celui qui calme ma tempête,
Celui qui restaure ma paix,
Celui qui me conduit dans les verts pâturages.
Et même si une autre vague se lève,
Je n’aurai point peur :
Car le Maître du vent,
Le Prince de la paix,
Le Bon Berger,
Marche encore sur les eaux pour venir vers moi.