09/05/2025
Une œuvre de professionnels à la hauteur de leurs expériences
Les textes de « À Haïti, au cœur de l’enfer » sont signés par Milo Milfort, un journaliste haïtien. Il est actuellement rédacteur en chef de Enquet’Action et détient un master en management des médias de l’École Supérieure de Journalisme de Lille (ESJ Lille, en France). Il termine également cette année un master en éducation à l’Université d’État d’Haïti (UEH).Milo a déjà remporté plus d’une douzaine de prix nationaux et internationaux, dont le prix Philippe Chaffanjon du journalisme multimédia et le Prix francophone de l’innovation dans les médias.
Johnson Sabin et Gaël Turine se sont chargés de décrire la réalité en images. Johnson, basé entre Haïti et la France, est expert en développement local. Il a étudié à l’Université Catholique de Lyon, en France. Photojournaliste et photographe documentaire, il a fait des réalités politiques et sociales haïtiennes son cheval de bataille. En 2021, il a publié Peyi Lòk, un ouvrage illustrant le mouvement social qui a marqué Haïti entre 2019 et 2021. Il collabore régulièrement avec des agences de presse internationales, dont EFE, la première agence de presse en langue espagnole au monde.
Le photojournaliste belge Gaël Turine, quant à lui, réalise depuis 2020 des reportages télévisés pour la chaîne franco-allemande ARTE. Il est l’auteur de plusieurs monographies et a reçu des prix prestigieux ainsi que des bourses en Europe et aux États-Unis. En 2024 notamment, il a remporté le Prix pour la liberté de la presse, dans la catégorie photo, décerné par Reporters sans frontières (RSF). Il a photographié en Haïti, en Afrique de l’Ouest et aux États-Unis. Gaël est également enseignant en photojournalisme à l’Université libre de Bruxelles (ULB).
Le webdoc publié en ligne par La Libre Belgique est à découvrir ici -> https://dossiers.lalibre.be/haiti/
« Nous remercions également le soutien du Fonds pour le Journalisme, sans lequel nous n’aurions pas réussi à mener ce projet qui sort, ne fut ce qu'un tout petit peu, Haïti de l’invisibilité ».