CHAMPYlove

CHAMPYlove

12/24/2024

Chapitre 12.

***Carina NGOWET***

La réaction de Séléna m’a vraiment fait plaisir. Comme quoi on peut poser de mauvaises actions, être maladroit, sans cesser d’aimer. Je lui ai laissé un double des clés, elle s’est rendue directement à la maison où je suis en train d’aller la retrouver après une journée improductive au boulot.

Une bonne odeur de nourriture du pays m’accueille dès que j’ouvre la porte.

Séléna : bonsoir. J’ai fait du soukouté, on va bientôt passer à table.

Je vais prendre un long bain moussant pour essayer de me détendre. Séléna respecte mon espace et me laisse la rejoindre pour le dîner quand je me sens prête. On commence à manger et dès la première bouchée, elle lance les hostilités.

Séléna : qu’est-ce qui s’est passé ?

Moi : je ne sais pas. Il m’a sorti une c***erie comme quoi nous ne sommes pas faits l’un pour l’autre, il n’est pas assez pour moi. Comme si je m’étais déjà plainte de quoi que ce soit.

Séléna : fini de manger, on va chez lui.

Moi ahurie : pardon ?!!

Séléna : il te doit des explications et il te les donnera.

Moi : lol ! Et on va aussi rayer sa voiture ?

Séléna : ce n’est pas ce qui est prévu, mais je n’écarte aucune possibilité.

Moi : pff ! Tu délires !

Séléna : je suis dead sérieuse Carina, dépêche-toi ! Tu as besoin de réponses et il va te les donner.

À ce moment, je suis partagée, car oui, ça ne peut pas se terminer ainsi. Aucune explication, rien. Quelque part, j’ai besoin de vider mon sac, mais en même temps, j’ai tellement de colère en moi que j’ai peur que ça finisse mal.

Séléna : tu ne manges plus ?

Moi : je n’ai plus faim.

Séléna : donc on y va. Lève-toi !

Moi : je…

Séléna avec autorité : debout !

Moi : arrête…

D’un bond, elle se retrouve devant moi et m’oblige à me lever. Je la suis comme une môme jusqu’à ma voiture, je prends le volant et me mets en route jusqu’à chez José. Personne ne parle dans la voiture, je réfléchis à tout ce que je veux lui dire. Plus j’y pensais et plus la colère montait. Puis d’un coup, la colère laisse place au doute. Et si les réponses faisaient plus mal ?

Moi : et s’il n’est pas à la maison ?

Séléna : il rentrera forcément tôt ou t**d. C’est chez lui ou non ?

Moi : je ne sais pas si c’est une bonne idée.

Séléna : le GPS dit de tourner à gauche.

Je ne sais pas pourquoi je l’écoute, pourquoi je continue de me rapprocher de chez lui.

Le peu de courage que j’avais me quitta une fois devant son immeuble. Je n’arrive pas à composer le 3212 à l’interphone pour sonner chez lui. Séléna, déterminée, me pousse.

« Sonne »

Et je sonne. On entend la sonnerie, puis le silence. L’angoisse monte de plus belle. Séléna fait sonner une deuxième fois et…

José : c’est qui ?

Séléna : Carina.

José surpris : qui ?

Moi : c’est moi, Carina.

« Vous pouvez entrer ».

On prend les escaliers.

Séléna : pose toutes les questions que tu veux, il n’y a pas de honte à avoir. Tu n’es pas là pour le convaincre de te reprendre, encore moins le supplier, mais pour obtenir des explications. Tu ne mendies rien, c’est ton droit.

Moi : j’ai envie de faire demi-tour.

Elle me pousse encore plus en avant. José nous attend sur le palier, l’air grave. Il parait sincèrement inquiet.

Séléna : bonsoir. La vie t’offre une deuxième chance. Tu as là l’occasion de te comporter en homme bien élevé en lui disant exactement pourquoi elle ne t’intéresse plus du jour au lendemain. Tu lui dois des explications et tu vas les lui donner. Sauf si tu es un porc. Tu es un porc ?

José déboussolé : non.

Elle a enchainé tellement vite que je ne pense pas qu’il ait eu le temps d’assimiler.

Séléna à moi : je suis dans la voiture, prends tout ton temps.

José m’invite à rentrer chez lui après son départ. Je n’ai pas envie de m’assoir, je n’ai pas envie de faire semblant, d’être polie.

Moi : pourquoi ? La vérité, rien que la vérité.

José après un soupir : Carina regarde où je vis. Je dois jongler avec deux boulots pour m’en sortir. Je travaille comme un malade pour quoi ? Le tiers, la moitié de tes revenus ? Je n’ai ni l’argent, ni le temps pour une fille comme toi.

Moi : une fille comme moi ?

José : tu fréquentes des hommes beaucoup plus riches et disponibles que moi, jusqu’à quand crois-tu que ça aurait duré ? Avant qu’un autre te prouve qu’il peut t’offrir plus, beaucoup plus.

Moi : wow !

José : mais ouvre les yeux bon sang ! On se voit à peine, je ne peux pas t’offrir un repas dans l’un des restaurants où tu as l’habitude d’aller, je suis paumé. Jusqu’à quand penses-tu pouvoir supporter cette situation ? Avec tous ces hommes riches que tu côtoies au quotidien, qui te dévorent du regard, qui sont prêts à tout pour t’avoir. Cette relation n’avait aucun avenir.

« Avait ». Je vois qu’il a fait son deuil.

Moi : ce n’était pas à toi de prendre cette décision. Mais tu l’as fait, soit. J’espère que tu trouveras bien vite la fille moche et pauvre qui saura rassurer tes insécurités. Bonne chance pour la suite.

J’ai tourné mes talons, le laissant scander mon nom. Au moins je sais, je sais que ce n’est pas ma faute. Je retrouve Séléna dans la voiture. Elle est affairée sur son téléphone, assise côté conducteur. C’est elle qui prend le volant pour le retour dans un silence de cimetière que je brise au bout d’une quinzaine de minutes.

Moi avec rage : on aurait dû casser sa voiture.

Séléna morte de rire : on avec qui ? Pour aller en prison ensuite ? Toi encore, tu peux avoir des circonstances atténuantes, mais moi ?

Moi laissant libre cours à ma colère : tu sais ce qu’il m’a dit ? Il est complexé parce que je suis une femme indépendante et désirable. En gros, forcément, j’allais finir par le quitter pour un plus riche. Je suis matérialiste ? Séléna tu m’as déjà vue sortir avec un homme pour son argent ? Oui, j’ai joué de ma plastique pour me faire un carnet d’adresse, mais je suis toujours restée digne, intègre. Je n’ai jamais couché pour du matériel. Tout ce que j’ai, je l’ai eu à la sueur de mon front.

Une fois le robinet ouvert, impossible de m’arrêter. Je n’avais même pas remarqué qu’elle ne roulait plus, que nous étions garées devant chez moi. Elle m’écoutait sans jamais intervenir, simplement des onomatopées pour me rassurer qu’elle écoutait toujours.

Moi : qu’il aille se faire fo**re, je n’ai pas besoin de lui.

Séléna : hum ! On peut descendre ?

Moi en défaisant ma ceinture : tchip !

Je ne l’attends pas, je fonce droit dans la maison. La table est restée telle qu’elle était avant notre départ. Je ne vais pas m’affamer pour lui, je vais manger et bien même. Séléna en fait autant. Mais je n’arrête pas de tchiper.

Séléna amusée : tu vas t’étouffer.

Moi : ce n’est pas drôle.

Séléna : je sais, je suis passée par là. Exactement le même scénario.

Moi : de quoi tu parles ? Irvine a essayé d’arranger les choses.

Séléna : qui te parle d’Irvine ? Mon plus gros goumin à date, c’est mon ancien boulot et tu le sais. Moi aussi, je suis passée par toutes les étapes par lesquelles tu passes actuellement. Et puis quand tu prends le temps d’analyser les choses, tu réalises qu’autant il faut la volonté de deux personnes pour que ça marche, autant il faut la volonté de deux personnes pour que ça foire. J’ai ma part de responsabilité dans cette rupture. Je me suis remise en question et il y a des erreurs que je reproduirai plus dans mon prochain emploi. J’ai tiré des leçons.

Moi : tu délires ! C’est totalement différent. Mais soit, qu’elles étaient ses leçons ?

Séléna : la vérité est que j’aurais été un piètre manager. Oui, je faisais bien mon taff, sur ce point, on est tous d’accord, mais manager une équipe de treize personnes… Je n’aurais pas pu. Ou plutôt, je n’aurais pas su. Et c’est donc normal qu’on ait pris quelqu’un d’autre que moi. Si j’avais eu le recul de demander pourquoi ? D’essayer de comprendre au lieu de crier au sexisme ou au racisme, j’aurais pu rester et me préparer à une autre promotion. Mais en vrai, Carina, aujourd’hui, je postule pour des postes beaucoup plus intéressants, plus stimulants. Me remettre sur le terrain me fait réapprendre et je suis sûre que je serai plus épanouie dans mon prochain emploi.

Moi : amen ! Donc, tu veux me dire que j’ai quelque part quelque chose à me reprocher dans cette rupture. Je dois savoir ce que c’est, travailler dessus pour soit retourner avec José, soit ne pas reproduire cette même erreur pour le prochain qui sera mieux que José.

Séléna : tu comprends vite.

Moi : sauf que moi, je n’ai rien fait.

Séléna : ce n’est pas ce soir que tu comprendras. Laisse d’abord sortir toute ta colère, respecte les étapes. Nous sommes à l’étape « c’est un chien, tous les hommes sont des chiens. Sauf mon père. »

Moi pouffant de rire : tu es trop c***e toi aussi.

On débarrasse la table, range la vaisselle dans le lave-vaisselle et nettoie avant de nous poser devant une télé qu’on ne regarde pas.

Séléna : je ne sors pas avec Fabrice, il ne m’intéresse même pas.

Moi : Séléna comme je te l’ai dit, c’est le fait de faire les choses dans mon dos qui m’a dérangée.

Séléna : ok. De toute façon, j’ai décidé d’arrêter de lui parler.

Elle me raconte leur conversation et les propos qu’il a tenus. Quand je dis que ce mec est infect.

***Charlotte MAROUNDOU***

Irvine et moi avons discuté, énormément, longuement. Quand tu as en face un homme aussi patient, qui sait communiquer, non pas pour se faire entendre, mais pour faire évoluer la situation. Quand tu as en face un homme comme ça, ça ne peut que te motiver, te donner envie de faire des efforts. On va avoir un enfant, il ne s’agit plus que de moi et de mes insécurités. Si Irvine peut faire des efforts, pourquoi pas moi ?

On a décidé de se dire les choses. Que ça soit douloureux ou non ? Facile à entendre, comprendre, accepter ou pas. On se dit les choses. La vérité, rien que la vérité. Et la première vérité crue que j’ai dû encaisser était qu’il avait encore des sentiments pour son ex. Il m’a rassurée qu’il voulait avancer, avancer avec moi. On n’efface pas sept années de relation en un claquement de doigt, mais à un moment les sentiments ne suffisent plus. Il a décidé d’avancer avec moi et c’est le plus important.

C’était difficile, douloureux à entendre. Mais c’est moi qui ai voulu la vérité.

12/24/2024

MON AMOUR POUR ELLE ♥️

Dans le tumulte de la vie, au détour d'une rencontre fortuite, mon regard s'est posé sur elle, et mon cœur a commencé à battre à un rythme inconnu. Elle, une énigme insaisissable, une muse dont l'âme m'appelait inlassablement, mais qui semblait résister à mes avances.
♥️
Chaque sourire qu'elle lançait, chaque rire cristallin résonnait en moi comme une mélodie envoûtante. Son charme était magnétique, sa présence, irrésistible. Pour moi, elle était l'étoile dans ma nuit, la lueur d'espoir qui guidait mes jours sombres.
♥️
J'ai essayé de gagner son cœur, de lui montrer la profondeur de mes sentiments, mais elle, telle une énigme insaisissable, restait imperméable à mes avances. Ses mots étaient doux, mais elle gardait ses distances, sauf pour me rappeler que notre amour ne pouvait pas être, que nos chemins étaient destinés à diverger.
♥️
Pourtant, malgré les vents contraires, je n'ai jamais cessé d'espérer. Mon amour pour elle n'était pas une simple flamme, c'était un incendie dévorant, brûlant à chaque pensée, à chaque regard, à chaque instant passé loin d'elle.
♥️
Je savais que je devais respecter son choix, même s'il me déchirait l'âme. Car, parfois, l'amour vrai consiste à aimer quelqu'un au-delà de ses propres désirs, à laisser libre celui que l'on chérit, même si cela signifie se briser en mille morceaux. Mon amour pour elle restera à jamais, gravé dans le livre de ma vie, une histoire d'amour impossible, mais éternelle, que seul mon cœur comprendra vraiment.

RICHY PLUME RAM ♥️

GOD’S INSPIRATION ♥️

12/24/2024

y a ceux(celles) qui parviennent à te serrer
dans leurs bras avec de belles phrases d'amour ,
et qui sont proches même s'ils ne se touchent pas ..
C'est ainsi que se mesure la distance ....

12/24/2024

ANONYME

Bonsoir à vous, je suis dans un dilemme si on peut appeler ça comme ça. Je suis une femme et je suis dans ma 26 ème année. J'ai une petite fille et je suis célibataire. J'ai rencontré x il y a quelques mois, on s'entend bien et tout mais il y a un problème. Il est trop exigeant, il exige que j'aille faire le ménage chez sa maman tous les matins avant d'aller au travail. Il veut que tous les weekends je pars chez ces sœurs pour leur apporter mon aide, il a deux jeunes sœurs qui vivent en internat à l'université. Et il veut aussi que j'aille chez sa grand mère au village l'aider et cultiver la terre avec elle chaque dimanche. je lui ai dis que je ne peux pas, je dois m'occuper de ma fille et il me dit que c'est à prendre où à laisser, qu'il ne peut pas épouser une femme qui ne peut pas aider sa famille. Il me-na-ce de rompre. Qu'est ce que je dois faire ? Aidez moi, je l'aime trop
Les anonymes de Sisco

12/24/2024

☣️ ☣️
🍁Ép*sode: 11🍁


Inspecteur 1 : faite la maline rachelle mais croyez moi vous serez emprisonné

Christian: vous avez une preuve ?

Inspecteur 2: non pas encore mais des gens on l’on dis

Christian : que des on dis, tant que vous n’avez pas de papier qui prouve qu’elle a commandé un cercueil ne l’enmerder plus

Il me fais lever et nous sortons . Il roule avec une vitesse qui pourrait nous tuer . Je ne dis rien, il a garé dans une rue

Lui: tu sais, je n’aime pas les menteuses. Si tu ne me dis pas la vérité...

Moi: sinon quoi? Je ressemble à une tueuse?

Lui: bah oui, tu es belle, tu as séduite john , il t’a épousé et tu l’as tué pour sa fortune

Moi: oui au début c’était mon plan mais je ne voulais pas le tué , juste le rendre fou mais..

Lui: ne m’appelle plus jamais pour prendre ta défense

Moi: j’ai abandonné cette idée parce que nous avons eu un enfant et je l’aimais.Je ne l’ai pas tué cet abruti

Lui: pourquoi ce cercueil ? L’assurance

Moi: bon avant de disparaître john avait laissé des taches que je devais faire pour lui. Le cercueil et l’assurance sont pour sa cousine je crois

Lui: hmm

Moi: crois moi, je ne l’ai pas tué , epuis pourquoi le faire? J’ai déjà un compte en banque plein. Je n’ai rien à fo**re avec celui de john

Lui: ok je te crois

Je ne sais pas mais le fait de savoir qu’il me crois me soulage

Moi: ok

Nous reprenons la route pour la maison , je le vois me regarder secrètement. De temps en temps il jeté un coup d’œil vers moi mais je ne dis rien . Il me dépose devant chez moi et il continue aussitôt.

Je rentre je vois la voiture de rama garé dans la cour. Je vais au salon et je la trouve

Elle: TU L’AS TUÉ OU PAS?

Moi: tu es malade de crier dans ma maison ? Qu’est qui te prends

Elle: d’après la police tu as pris un cercueil

Moi: ah bon tu me crois capable de tuer quelqu’un ? Et puis en quoi ça te regarde rama ? C’est mon mari je fais ce que je veux de lui

Elle : excuse moi rachelle, j’ai un peu peur pour toi. On raconte trop de choses sur Facebook

Moi: tu doute de moi?

Elle: je te crois ma chérie

Elle me prends dans ses bras . Heureusement que mael est à l’école , il ne vois pas toute les crises de la maison. John a disparu , ça me fais rire et cette police incapable me crois coupable.

Je sors pour aller chercher mon enfant , il y’a un feu je m’arrête et je vois la fameuse Maitresse de mon mari , ah ça alors. Elle est pâle . Je lui fais signe de monter mais elle est pressé de traverser

Moi: si tu ne viens pas je vais te poursuivre et tu ne vas pas croire, demande à john et il te dira

Elle s’est dépêché de monter dans ma voiture , les gens me regardais mais je m’en foutais quoi

Elle: ne me faites pas de mal svp

Moi: je ne ferais rien

Elle: ok

Je conduis et je la regarde, quelque chose cloche avec elle mais je vais le découvrir

Moi: tu es malade?

Elle: non ... euh bon oui je suis enceinte

J’ai freiné tout d’un coup et sa tête a tapé le dvd de la voiture. Elle avait du sang sur les lèvres et son front était blessé

Moi: oh non désolé , je t’emmène à l’hôpital

Elle: NON , VOUS VOULEZ ME TUER

MOI: Mais....

Elle est descendu de ma voiture et a commencer a courir . Bon temps p*s pour elle je voulais l’aider mais elle est parti. J’arrive à l’école je prends mon fils et je retourne à la maison.

Maël: maman ou est papa?

Moi : ton papa est en voyage mon ange

Maël : il a duré, il revient quand

Moi: bientôt chéri

Il est couché sur moi , je lui caresse les cheveux il s’endort. Il est mignon mon petit chou .

Je me c***ecte sur Facebook et je vois des post sur moi, des gens racontent ce qu’ils veulent, d’autres même disent que j’ai un amant. Hee ivoirien ils n’auront jamais finis de me surprendre . Je lis les commentaires

1er commentaire: celle là elle est trop Djandjou (prostitue), ses péchés ne suffisent plus hun maintenant elle tue pour augmenter

2ème: yapa kelkun (quelqu’un )pour la mettre en prison? Les pkoclés (prostitué) là pensent que quoi? Ça là tu va voir elle s’est vendu c’est pour ça depuis on la mets pas
en prison

3ème: pays là est mélangé deh, Djandjou se mari au fils de notre ex président et le tue

J’ai lu assez je crois, les gens sont cruelles dans leurs commentaires. Je n’ai pas tué ce imbecile et on me dis que je l’ai fais .

La servante viens m’interrompre dans mes pensées

Elle: madame il y’a des policiers et des journalistes dehors

Moi: ok dis leurs que je viens

Je porte une culotte et un tee-shirts puis je descends . Ils sont assis sur mon canapé et les journalistes sont dehors

Inspecteur 1: mademoiselle rachelle, vous êtes en état d’arrestation pour le meurtre de votre mari et l’accident de mademoiselle Sarah

Moi: Quoi?

Inspecteur 2: eh bin oui chère rachelle, nous avons les preuves du meurtre que vous avez commis

Il me passe les menottes , mais ils sont fou

Moi: Aya stp appelle rama pour surveiller mon fils et tu pourra rentrer chez toi

Ils m’ont fait sortir avec les menottes en main sous le regards des gens, on ne prenait en photo . Je sais que je suis foutu sur Facebook, mon braisage est clair

À suivre .......

12/24/2024

☣️ ☣️
🍁Ép*sode: 15🍁


Moi: tu raconte quoi john? Tu délire

Lui: tu es idiote ou quoi? Tu pense que tu as une amie? Rachelle arrivé à un moment je voulais laisser tout pour qu’on parte loin toi et mon petit mael

Moi: mais il est encore temps john, arrête tout et barrons nous

J’ai aimé john, mais actuellement je ne suis plus sûr de mes sentiments. Tout est flou dans ma tête

Lui: non rachelle, je ne t’ai rien fais et tu as voulu me rendre fou. Je ne tolère pas ça . Je vais te le faire payer. Malheureusement je ne t’aime plus

Moi: pfff

Lui: tu te rappelles de la fois où tu es venu à mon bureau pour faire ce scandale ?

Moi: euh oui

Lui: bah j’ai fais exprès de te pousser à bout pour que tu me menace. Tu es tellement idiote

Moi: eh bin merci

Lui: je t’ai même dis que je te connaissais, je me sentais mal. Je voulais voir où ton intelligence te mènera mais que dalle, tu as cru à l’homme qui regrette ses actes

Moi: ...

Lui: tu ne dis rien? Je peux te dire que tout ce qui s’est passé dans ta vie , n’est que organisé par moi. Il n’y avais aucune coïncidence

Moi: john, tout ça ne rime à rien . Tu veux que je pourrisse en prison pourquoi? Qu’est ce que je t’ai fais? C’est toi m’as blessé mais j’ai oublié

Lui: je te le répète, je ne voulais pas te faire du mal, je voulais juste te surveiller et je t’aimais mais tu as voulu te jouer aux filles sans cœur en voulant me rendre fou. Je n’aime pas ça rachelle. Tu dois bien le payer ça

Moi: je....

Rama a fais son entrée , elle souriait et s’est avancé vers john. Elle l’a embrassé et lui aussi mais j’ai vu du dégoût dans ses yeux. Oh la pauvre

Moi: rama p...

Rama: ta gu**le rachelle, ta gu**le

Moi: pourquoi tu fais tout ça ? Je suis ton amie depuis l’enfance

Rama: oui tu l’es mais j’en avais marre d’être sous tes pieds

Moi: comment? Je t’ai considéré comme ma sœur

Rama: oui nous avons grandi ensemble mais c’est toi tu as tout eu, c’est toi on draguait, c’est à toi on donnais de l’argent et moi je me faisais draguer par des vauriens sans sous

Moi: vraiment tu es pathétique rama, c’est ma faute si je suis si belle que toi ?

John: rire ah ça tu es belle qu’elle mon amour

Rama la regardé d’un regard noir

Rama: tu es belle que moi cette mais c’est toi qui partira en prison.

Moi: vous êtes tarré vous 2, dis moi ce que je t’ai fais au juste pour que tu puisse t’allier avec john

Rama: eh bin , d’abord j’ai toujours été jalouse de toi, tu as toujours été la première, tu voyageais que moi, tu as même eu un bon mari, tu me donnais toujours tes vieux vêtement ...

Ses larmes coulaient

Moi: mais mais...

Rama: oui, tu as toujours eu tout ce que je voulais , même sur les réseaux sociaux on me traite de ropero (suiveuse) , souvent je veux des articles chère mais je n’ai pas un bon mec qui peut me l’acheter

Moi: attend tu crois que c’est une vie ? Moi je n’ai jamais rien demandé à un homme. Tout ce que tu voyais était envoyé sans mon avis

Rama: oui c’est ça , dis plutôt que tu couchais avec des hommes pour avoir ce que tu veux alors que moi j’ai beau couché avec 10 hommes en même temps je n’ai pas ce que je veux

Moi: oh la pauvre , tu veux me ressembler mais tu copie de la mauvaise manière . Je n’ai jamais couché avec un autre homme à part ce abruti qui est attaché là contrairement à toi. J’ai de la dignité

Rama: menteuse

John: ah là ma femme a raison , j’ai été le seul et je serais le seul

John c’est un micheur, je ne savais pas si je devais rire ou crier

Moi: n’importe quoi , tu es perdu ma chère

Rama: c’est pour ça j’ai eu le plaisir de te voler ton mari

Moi: voler le mari de qui ? John? Tu le dégoûte

John: ne l’écoute pas

Rama: je ne vais pas le faire chéri

Moi: ah bon , il te fais l’amour comment? Il te sodomise n’est ce pas?

Elle se gratte à tête

Rama : euh non

Moi: si tu ne sais pas, Sarah sa maîtresse est enceinte d’un mois et il compte s’en aller avec elle. Il t’a juste utilisé. Tu fais tout ça cadeau

Elle s’est jette sur le p*stolet que j’ai laissé tombé , elle l’a braqué sur john

Rama: donc tu m’as utilisé ? John tu n’es qu’un salop

John: tu croyais que quoi? Moi john aimé une femme comme toi? J’aime pas les femmes qui draguent et qui me colle

Il se lève avec le sang plein le visage , il s’approche de rama . Il l’a gifle

Rama: quoi? Qu’est que tu fais ?

Lui: je t’ai assez supporté et que fais tu ici? Qui t’a invité ? Tu ne vois pas que je suis avec ma femme?

Vraiment john est un enfoire , je n’ai pas pu m’empêcher de rire . Ils m’ont regardé et j’ai arrêté sur le champ

Rama: John, je vais te tuer , tu as perdu mon temps

Il voulais lui arraché l’arme en les mains mais elle l’a vu venir et la soulever . Elle a tiré en l’air . John s’est éloigné , il a sauté sur elle pour lui arracher l’arme . Ils ont commencé à bagarrer.

Je les regardais sans dire un mot, qu’ils se tuent , ça ne me dis rien . Je sortais de la pièce et là j’ai entendu un coup de feu . Je regarde derrière pour voir qui a été blessé.

Je me retourne et je vois ... Oh non ....

À suivre .....

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12/24/2024

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