Hassan Rahali

20/10/2025

12/10/2025

Par Zin Chai, pour Zinneke tv

Le Maghreb à la conquête du monde: Maroc, Algérie et Tunisie qualifiés pour la Coupe du Monde 2026

C’est un moment historique pour le football maghrébin et, plus largement, pour tout le continent africain.
Pour la première fois dans l’histoire, le Maroc, l’Algérie et la Tunisie seront réunis sur la plus grande scène du football mondial : la Coupe du Monde 2026, organisée aux États-Unis, au Canada et au Mexique.

🌍 Une première maghrébine historique

Jamais le Maghreb n’avait réussi pareille performance. Trois nations, trois peuples unis par une histoire commune, des cultures entremêlées et une passion dévorante pour le ballon rond, représenteront ensemble la région sur la scène mondiale.
Cette triple qualification consacre des années de travail, de formation et d’investissement dans le football nord-africain, aujourd’hui reconnu pour sa qualité, sa technique et sa ferveur.

🇲🇦 Le Maroc, pionnier et modèle

Le Maroc arrive avec le statut de pionnier et de référence africaine. Après sa Coupe du Monde 2022 historique, conclue par une demi-finale inédite et un parcours légendaire, les Lions de l’Atlas ont confirmé leur rang parmi les grandes nations du football.
Leur qualification pour 2026 n’est pas une surprise : elle s’inscrit dans la continuité d’un projet ambitieux et cohérent, soutenu par des infrastructures modernes et une génération dorée.

🇩🇿 L’Algérie, le retour des Fennecs

L’Algérie, grande absente des deux dernières éditions, fait un retour triomphal.
Les Fennecs retrouvent enfin la Coupe du Monde, dix ans après leur épopée de 2014, où ils avaient tenu tête à l’Allemagne, future championne du monde.
Cette qualification marque le renouveau d’un football algérien talentueux et combatif, porté par une diaspora foisonnante et une ferveur populaire incomparable.

🇹🇳 La Tunisie, la constance et la discipline

Discrète mais toujours présente, la Tunisie confirme sa réputation de valeur sûre du football africain.
Les Aigles de Carthage participeront à leur septième Coupe du Monde, symbolisant la stabilité et la rigueur d’un football tunisien qui a su traverser les générations sans jamais trahir son style.

● Maroc–Algérie: la rivalité des frères ennemis

Impossible d’évoquer cette performance sans parler de la rivalité mythique entre le Maroc et l’Algérie, ces frères ennemis du football maghrébin.
Chaque confrontation entre les deux sélections dépasse le cadre sportif : elle réveille des émotions profondes, mélange d’amour fraternel, de fierté nationale et de rivalité historique.
Mais dans cette Coupe du Monde 2026, cette dualité prend une autre dimension. Elle devient symbole d’un Maghreb vivant, multiple, mais uni par la passion et la gloire.
Et si, finalement, cette rivalité était le moteur de leur excellence?

☆ L’Afrique en force

Au-delà du Maghreb, cette triple qualification s’inscrit dans une dynamique africaine forte. Avec des équipes comme le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Nigeria ou encore l’Égypte, l’Afrique s’annonce plus compétitive que jamais pour cette édition 2026 élargie à 48 équipes.

♡ Une fierté partagée

Au nord comme au sud de la Méditerranée, dans les rues de Casablanca, d’Alger ou de Tunis, cette qualification triple résonne comme une victoire collective.
Un message d’unité, de dépassement et d’espoir, dans une région souvent divisée mais profondément liée par le football.

Le Maghreb, plus que jamais, entre dans l’histoire du sport mondial. L’Afrique en force.

Bruxelles, 11.10.2025

29/09/2025

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22/09/2025

Dépêche:

Royaume-Uni, le Canada et l’Australie reconnaissent officiellement l’État de la Palestine

Plus de 150 pays reconnaissent désormais l’État de Palestine: un tournant diplomatique historique

Bruxelles, 22 septembre 2025 - Par Zin Chai

La cause palestinienne vient de franchir un nouveau cap sur la scène internationale. En marge de l’Assemblée générale des Nations unies, quatre pays influents, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et le Portugal ont officiellement reconnu l’État de Palestine, portant à environ 150 le nombre d’États membres de l’ONU ayant franchi ce pas diplomatique.

Une reconnaissance en progression constante

Depuis la déclaration d’indépendance palestinienne en 1988, de nombreux pays, principalement en Afrique, en Asie et en Amérique latine, ont reconnu l’État palestinien. Mais le mouvement a pris une nouvelle ampleur en Europe ces dernières années. L’Espagne, l’Irlande, la Norvège et la Slovénie avaient déjà franchi le pas en 2024. Désormais, des pays jusqu’ici réticents, comme le Royaume-Uni, et plus récemment le Canada et l’Australie, rejoignent cette dynamique.

L’Europe en première ligne

Au sein de l’Union européenne, plus d’un tiers des États membres reconnaissent aujourd’hui officiellement la Palestine. Certains, comme la Belgique, le Luxembourg ou Malte, se préparent à leur tour à formaliser cette reconnaissance. La France, de son côté, a annoncé qu’elle prendrait prochainement cette décision, un geste symbolique fort pour Paris, longtemps prudente sur la question.

Des réactions contrastées

À Ramallah, l’Autorité palestinienne a salué une victoire diplomatique majeure et un « pas décisif vers la paix et la justice ». Israël, en revanche, a dénoncé une décision « irresponsable » et « dangereuse », affirmant qu’aucun État palestinien ne verra le jour.

Les États-Unis, un obstacle majeur

Malgré cette dynamique internationale, un blocage persistant demeure : les États-Unis continuent de refuser la reconnaissance de l’État de Palestine. Principal allié d’Israël, Washington use régulièrement de son droit de veto au Conseil de sécurité pour bloquer toute avancée en ce sens. Cette position est dénoncée par de nombreux pays comme le principal obstacle à une paix durable et à la fin du génocide en cours à Gaza, où la population civile subit depuis des mois bombardements, famine et déplacements forcés.

Pourquoi cela compte

La reconnaissance internationale ne change pas, à court terme, la réalité sur le terrain: Gaza reste meurtrie par la guerre, la Cisjordanie continue de voir l’expansion des colonies israéliennes, et Jérusalem-Est demeure un point de tension majeur. Mais ce mouvement diplomatique massif accentue la pression sur Israël et ses alliés, et relance le débat autour de la solution à deux États, longtemps jugée moribonde.

Un mouvement irréversible ?

Avec environ 150 pays sur 193 désormais favorables à l’État palestinien, la dynamique semble difficile à inverser. Reste une question: combien de temps faudra-t-il pour que les grandes puissances encore réticentes, à commencer par les États-Unis, finissent par céder à la pression de l’opinion internationale ?

En attendant, la reconnaissance croissante de la Palestine apparaît comme l’une des évolutions géopolitiques majeures de cette décennie, redessinant les équilibres diplomatiques au Moyen-Orient et au-delà.

Zinneke tv - Belgium

16/09/2025

Bruxelles, 16 septembre 2025

Ensemble pour un Molenbeek plus propre

À l’initiative de la commune, une grande action de nettoyage se tiendra le 17 septembre dans les rues de Molenbeek.

Cette journée, intitulée , rassemblera citoyens, associations et représentants politiques, majorité et opposition confondues, autour d’un objectif commun: améliorer la propreté et renforcer le cadre de vie dans la commune.

📍 Point de rendez-vous : Rue Comte de Flandre 29
🧹 Le matériel nécessaire sera mis à disposition sur place.

Au-delà du ramassage des déchets, l’action vise à promouvoir la coopération et la convivialité. Car la propreté est l’affaire de toutes et de tous.

Chaque participation compte pour construire ensemble un Molenbeek plus propre vers Molenbeek 2030.

Nl

Brussel 16 september 2025

Samen voor een properder Molenbeek

Op initiatief van de gemeente vindt op 17 oktober een grote opruimactie plaats in de straten van Molenbeek.

De dag, onder de noemer , brengt burgers, verenigingen en politieke vertegenwoordigers, zowel meerderheid als oppositie, samen rond één gemeenschappelijk doel: de netheid verbeteren en de leefomgeving aangenamer maken.

📍 Afspraakpunt: Graaf van Vlaanderenstraat 29
🧹 Het nodige materiaal wordt ter plaatse voorzien.

Meer dan enkel afval opruimen, wil de actie ook samenwerking en verbondenheid stimuleren. Netheid is immers de verantwoordelijkheid van iedereen.

Iedereen is welkom om deel te nemen en samen te bouwen aan een properder Molenbeek naar Molenbeek 2030.

Par/door

Zin Chai

11/09/2025

Israël bombarde le Qatar: la paix sous attaque avec l’aval des États-Unis

Bruxelles: En frappant des installations qataries liées aux négociations de cessez-le-feu, Israël ne se contente plus de mener une guerre militaire: il sabote délibérément toute perspective de paix. Et ce, avec la complicité silencieuse des États-Unis, qui ferment les yeux sur cette offensive contre un allié stratégique.

La paix prise pour cible

Le Qatar, acteur central des médiations régionales, se retrouve directement menacé. Hébergeant et facilitant les pourparlers entre Israël et le Hamas, il représentait jusqu’ici le dernier canal crédible pour un cessez-le-feu. Ces frappes envoient un message clair: quiconque cherche à mettre fin aux massacres devient une cible.

« Frapper un médiateur, c’est frapper la paix elle-même », dénonce un diplomate européen. « Et quand cette attaque bénéficie de l’aval des États-Unis, c’est une trahison ouverte envers le Qatar, un partenaire historique. »

Une stratégie assumée

Pour de nombreux analystes, il ne s’agit pas d’un incident isolé mais d’une tactique délibérée. Israël montre qu’il redoute moins les roquettes ou le chaos que les solutions politiques. Chaque médiateur neutralisé réduit l’espace pour un règlement pacifique et prolonge le conflit. Avec l’ombre de Washington derrière ces frappes, le signal envoyé au monde est encore plus inquiétant : la diplomatie devient un obstacle à éliminer.

La complicité américaine

Les États-Unis, longtemps présentés comme un garant de stabilité dans la région, se retrouvent accusés de complicité. En approuvant ou en tolérant cette offensive, ils trahissent le Qatar et affaiblissent la diplomatie internationale. Ce double jeu risque de compromettre durablement leur crédibilité et de polariser davantage la région.

La paix en sursis

En frappant le Qatar avec le feu vert implicite des États-Unis, Israël ne se contente pas de combattre le Hamas : il combat la paix elle-même. Chaque médiateur touché, chaque canal de dialogue fermé, est un avertissement pour le monde : la diplomatie est criminalisée, et la responsabilité de cette stratégie repose sur ceux qui choisissent le chaos plutôt que la vie.

Bruxelles, 11 septembre 2025
Par Zin Chai

09/09/2025