Bruscope

Nouveau revue bruxelloise 🇧🇪
Démocratise l'accès aux connaissances sur les enjeux urbains 📣
linktr.ee/bruscope accessible à tou·te·s.

Éclairons les enjeux de notre ville pour une société plus juste et durable ! Bruscope est un nouveau média en ligne qui démocratise l’accès aux connaissances socio-économiques pour la construction d’une ville pensée pour et par ses habitant.e.s. Notre mission est de découvrir et promouvoir les solutions existantes aux défis bruxellois, tout en explorant de nouvelles opportunités favorisant la tran

sition économique, sociale et environnementale de la Région. Cette année, nous nous concentrerons sur trois enjeux majeurs de Bruxelles. Dossiers thématiques, conférences, podcasts et autres contenus variés vous seront proposés pour approfondir vos connaissances. Composée de bénévoles bruxellois·e·s spécialisé·e·s en économie appliquée, science des données, communication et gestion d’ASBL, l’ASBL Bruscope est 100 % indépendante. Nous avons créé cette plateforme en ligne, véritable boîte à outils, pour rendre les problématiques complexes de notre ville (logement, emploi, transport, environnement, etc.) Chez Bruscope, nous voulons relayer la parole des expert·e·s car nous croyons en la puissance de la connaissance pour construire une vision partagée du futur de la ville. Rejoignez-nous pour découvrir les réalités de notre ville cosmopolite, encourager la participation citoyenne et promouvoir des solutions adaptées aux besoins de chacun·e. Bruscope est ouvert à tou·te·s les citoyen·ne·s bruxellois·e·s, sans distinction d'âge, de genre, d'origine, de parcours ou de formation. Les contenus sont accessibles gratuitement et nous ambitionnons de devenir multilingues (FR-DE-EN) à l'avenir. Le projet est en phase test jusque septembre 2024. En soutenant notre initiative, vous contribuez à pérenniser le projet et à garantir un accès gratuit et équitable à l'information pour tou·te·s. Nous sommes convaincu·e·s que, grâce à vos dons et abonnements, nous pourrons continuer à innover et développer notre plateforme pour offrir une expérience toujours meilleure.

Nous sommes impatients de vous accompagner dans votre quête de connaissances :)

14/08/2025

Les biais (sexistes) sont des automatismes cognitifs auxquels nous sommes toutes et tous soumis·es. Cela ne signifie pas que nous y adhérons consciemment, mais qu’ils découlent du fonctionnement de notre mémoire, en interaction avec les représentations véhiculées par notre environnement.

Heureusement, il est possible de les déconstruire et de les contrôler !

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11/08/2025

❌ À Bruxelles, seul 1 enfant sur 2 a une place en crèche.

Pourtant, investir dans les crèches est l’un des meilleurs paris pour notre société !

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15/07/2025

Lorsque les entreprises encouragent l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée, tout le monde y gagne ! Alors, qu'est-ce qu'on attend pour la semaine de 4 jours ?

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08/07/2025

Comment garantir une protection sociale efficace à l’heure où les formes de travail se diversifient ?

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04/07/2025

💥 Le statut de cohabitant·e pénalise la solidarité et renforce la dépendance économique des femmes : il est temps de l’abolir.

Davantage conçus pour corriger des inégalités existantes que pour les prévenir, certains dispositifs sociaux (comme le congé de maternité et le statut de cohabitante) ont des impacts genrés qui perpétuent les inégalités.

Cette représentation des femmes comme des individus nécessitant une « protection » via des dispositifs particuliers perpétue les stéréotypes de genre sur le marché du travail.

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02/07/2025

Davantage conçus pour corriger des inégalités existantes que pour les prévenir, certains dispositifs sociaux (comme le congé de maternité) ont des impacts genrés qui perpétuent les inégalités.

Cette représentation des femmes comme des individus nécessitant une « protection » via des dispositifs particuliers perpétue les stéréotypes de genre sur le marché du travail.

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05/06/2025

🔍 Pourquoi les femmes déclarent-elles souvent une plus grande satisfaction au travail, malgré des conditions moins favorables ?

Leur rapport au travail, centré sur le sens, l’utilité sociale et l’équilibre de vie, révèle le potentiel subversif du rapport des femmes au travail.

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16/05/2025

Pourquoi de nombreux essentiels, majoritairement occupés par des femmes, restent-ils si faiblement rémunérés ?

La question des ne porte pas tant sur les choix professionnels des femmes, mais sur la manière dont certains sont structurellement sous-évalués lorsqu’ils sont associés à des « féminines ».

Il ne s’agit pas d’encourager à tout prix l’orientation des femmes vers des secteurs dits « masculins », mais bien de reconnaître la valeur économique et sociale des féminisés, souvent liés au soin, à l’entretien, à l’éducation ou à l’aide à la personne.

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Illustration : Julianne Lusson - .luss

03/05/2025

Selon le poste, les recruteurs·euses valorisent tantôt les compétences techniques, tantôt les aptitudes relationnelles. Ce choix, en apparence neutre, reproduit des biais de genre et limite l’accès équitable à l’emploi.

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Illustration : Juliane Lusson - .luss

01/05/2025

💭 Les stéréotypes de genre influencent nos propres choix profesionnels et nos performances… parfois sans qu’on s’en rende compte.

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Illustration : Juliane Lusson - .luss

28/02/2025

Les hommes sont surreprésentés dans les postes à responsabilité, tandis que les femmes occupent plus souvent les rôles associés à moins de pouvoir décisionnel et à des salaires plus bas. C’est ce qu’on appelle la ségrégation verticale.

À Bruxelles, les femmes occupent 59 % des professions dites « élémentaires » (c’est-à-dire celles nécessitant un niveau de compétence de base ou minimal), et ne représentent que 36% des fonctions dirigeantes. En outre, les hommes cadres perçoivent en moyenne une rémunération supérieure de 12% par rapport à leurs homologues féminins.

Cette situation ne découle pas d’un plus faible niveau de qualification de la part des travailleuses étant donné que 69 % des femmes en emploi détiennent un diplôme de l’enseignement supérieur, contre 60% des hommes (SPF Emploi, Travail et Concertation sociale, 2022).

En réalité, les femmes se retrouvent concentrées dans les fonctions considérées comme moins valorisées ou prestigieuses, quel que soit le secteur étudié, y compris dans ceux où elles sont majoritaires. Elles sont plus fréquemment assignées à des postes de soutien et de moindre responsabilité ou visibilité, et ce, malgré des niveaux de diplôme équivalents à ceux de leurs collègues masculins.

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21/02/2025

Une récente étude a révélé les écarts salariaux considérables en Belgique entre les travailleur·euse·s originaires de « pays développés » et celles·ceux provenant de « pays en développement ». L’écart salarial atteint ainsi en moyenne 30 % entre les femmes issues de l’immigration de première génération et les hommes des pays développés (Pineda-Hernández et al., 2022).

De fortes inégalités persistent même lorsque l’on compare des profils avec un niveau et domaine d’éducation équivalents, indiquant que l’enseignement supérieur offre des retours financiers plus modestes pour les personnes issues de l’immigration. De plus, une disparité salariale quasi systématique s’observe en faveur des hommes par rapport aux femmes de même origine. Ainsi, les femmes et les hommes issu·e·s de l’immigration subissent des formes de discrimination spécifiques à l’intersection de leur genre et de leur origine.

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