Viens avec moi au pays des rêves

Viens avec moi au pays des rêves Un CD pour bien dormir, développer l'estime de soi et votre créativité. www.nanouhubeau.com

Cette page vous parle d'un CD pour aider les enfants et ceux qui sont resté de grands enfants à s'endormir facilement, à développer leur confiance en eux et leur créativité. Sur cette page vous trouverez comme sur le CD des conseils pour être bien avec soi et avec les autres. Pour écouter un extrait du CD : http://www.youtube.com/watch?v=1FsJVEtgYMM

17/08/2025

Mon fils sortait beaucoup et aimait socialiser dans la rue, jusqu’au jour où il cessa de le faire… et ce même jour, nous avons découvert pourquoi.

J’ai toujours pensé que je faisais bien les choses. Pas parfaitement, bien sûr — personne ne le fait parfaitement — mais dans la mesure de mes moyens, je croyais élever un enfant heureux, fort, avec assez de confiance pour affronter le monde et être lui-même.
Depuis tout petit, il était rieur, vif, curieux. Il se faisait des amis parmi tous les enfants du quartier, et même chez les adultes. Parfois, il saluait le boulanger avec plus d’enthousiasme qu’il ne m’en montrait le matin.

Je l’observais depuis la fenêtre. Le voir courir derrière un ballon, éclater de rire, inventer des jeux avec des bâtons et des bouchons de bouteille, c’était comme regarder l’enfance que je n’avais pas eue. Et cela me comblait. Sa liberté était, en quelque sorte, ma rédemption.

Mais soudain… quelque chose changea.
Un jour, sans raison apparente, il ne sortit pas.
Même pas pour toucher à son ballon.

Je pensai qu’il était fatigué, peut-être un mauvais rêve, ou juste un petit passage à vide. Mais deux jours passèrent. Puis une semaine. Je l’invitais, je l’encourageais, je lui disais que ses amis demandaient après lui. Et lui, il levait à peine les yeux du sol, comme si son regard s’était perdu dans un point invisible que lui seul pouvait voir.

Un soir, alors que je ramassais le linge séché, je le vis assis au bord de son lit, les épaules affaissées vers l’avant, comme s’il portait un poids qui n’appartenait pas à un enfant de son âge. Je m’assis à ses côtés, caressant ses cheveux. Je lui demandai si quelque chose n’allait pas. Il me répondit que non. Que tout allait bien. Qu’il n’avait juste pas envie.

Je n’insistai pas.
Et je le regrette.

Ce même jour, dans l’après-midi, je reçus un appel. Une voisine. Sa voix tremblait, comme si elle ne savait pas si elle devait me parler ou se taire à jamais. Elle me dit qu’il y avait quelque chose que je devais savoir. Qu’elle avait vu quelque chose, il y a quelques semaines, mais qu’elle n’avait pas su comment réagir.
« C’était devant la petite boutique… », commença-t-elle.
Je sentis le sang quitter mon corps.
Je m’agrippai à la table.

Elle me raconta que, alors qu’elle passait par là, elle avait vu trois garçons plus âgés — certains presque adolescents — encercler mon fils. Au début, elle crut qu’ils jouaient. Mais ensuite, elle entendit les insultes. Ils le poussaient. Ils lui criaient des horreurs, de celles qu’aucun enfant ne devrait entendre. Ils le jetèrent au sol. Se moquèrent de ses vêtements, de sa voix, de sa façon de courir. L’un d’eux lui jeta de la terre au visage.
Mon fils… ne fit rien. Il se contenta de se protéger. Il resta au sol. En silence.

Et personne ne fit rien.
Personne.

Je n’eus pas besoin d’en entendre davantage. Je lâchai le téléphone et m***ai en courant dans sa chambre.
Je le serrai dans mes bras comme je ne l’avais plus fait depuis qu’il avait eu de la fièvre à cinq ans.
Lui ne pleura pas.
Moi, oui.
Je pleurai pour lui, pour ce qu’il avait tu, pour ce qu’il avait porté seul.
Pour ne pas m’en être rendu compte plus tôt.

Cette nuit-là, je ne dormis pas. Je le regardai dormir, le visage encore marqué par cette expression éteinte. Je me demandai combien de fois il était rentré à la maison en feignant un sourire, alors qu’à l’intérieur, son petit monde s’effondrait. Combien de fois il avait voulu dire quelque chose, sans trouver le moment, ou sans avoir suffisamment confiance pour croire que je pouvais comprendre.

Depuis ce jour, notre vie a changé.

J’ai cessé de l’observer depuis la fenêtre. J’ai commencé à m’asseoir à ses côtés. À marcher avec lui. À lui poser de petites questions. À écouter sans interrompre. Je ne voulais pas de réponses parfaites. Juste sa vérité.

Parfois, il s’approche de la porte, ballon à la main, et hésite.
Parfois, il recule.
Mais d’autres fois, il le lance en l’air et le rattrape, comme pour tester le terrain.
Et je suis là.
Pas pour le pousser, mais pour qu’il sache que, s’il décide de rester à l’intérieur, c’est bien.
Et s’il veut sortir… je l’accompagnerai.

Car je sais désormais qu’il ne suffit pas de penser que tout va bien.
Il faut regarder plus profondément.
Écouter ce qui ne se dit pas.
Et aimer, même en silence.

Un jour, alors que nous dînions, il posa sa fourchette, baissa les yeux et, d’une voix presque imperceptible, dit :

— Je ne veux pas que d’autres vivent ce que j’ai vécu.

Je ne sus pas quoi répondre.
Je le regardai simplement et j’acquiesçai.
Il me fixa alors, pour la première fois, avec fermeté. Comme s’il savait enfin qu’il n’était pas seul.

Ce soir-là, il me demanda de l’aider à écrire une lettre. Une lettre pour raconter ce qui lui était arrivé. Pour dire qu’il ne le faisait pas par vengeance, mais pour que les adultes réagissent, pour que quelqu’un se rende compte de ce qui se passait dans cette rue où jouaient tant d’enfants comme lui.

Il ne me demanda pas de l’écrire à sa place. Juste de l’accompagner.
Il fut très clair dans ses mots.
Il écrivait le cœur sur la main, et chaque phrase semblait un petit acte de courage.

La lettre n’était pas longue. Mais puissante.
Elle relatait les faits avec une précision douloureuse.
Sans se poser en victime. Sans exagérer.
Elle disait simplement la vérité.
Et à la fin, il écrivit :
« J’ai le droit de jouer tranquille. Nous avons tous ce droit. »

Avec cette lettre, nous sommes allés ensemble au centre communautaire du quartier. Une femme au visage doux l’accueillit. Elle lut tout en silence. Puis le regarda longuement et lui dit :
— Merci pour ton courage. Tu ne sais pas à quel point cela peut tout changer.

Et cela changea.

La lettre fut transmise au conseil de quartier. Une réunion d’urgence fut convoquée entre voisins, parents, enseignants et quelques responsables de la sécurité publique. Beaucoup ignoraient que de telles choses se produisaient si près. Certains eurent honte. D’autres furent indignés. Mais l’important, c’est qu’on commença à en parler.

La communauté organisa une campagne de respect et de convivialité dans les écoles et les espaces publics. On créa une « cour sécurisée » où des adultes attentifs et formés surveillaient, non seulement pour protéger physiquement, mais aussi pour repérer les signes d’intimidation ou d’exclusion.
On lança également des ateliers sur l’empathie et la résolution de conflits, où les enfants apprenaient à identifier leurs émotions et à demander de l’aide sans crainte.

Un jour, il fut invité à raconter son expérience lors d’un petit forum de quartier.
Il avait peur.
Les mains moites.
J’étais dans le public.
Lorsqu’il m***a sur l’estrade, il inspira profondément et dit :

— Pendant un temps, j’ai cru qu’il y avait quelque chose de mal chez moi… jusqu’à ce que je comprenne que me taire ne faisait qu’encourager d’autres à se sentir mal aussi.
Le dire m’a aidé.
Et peut-être que cela pourra aider d’autres.

On l’applaudit.
Non par pitié.
Mais par admiration.
Car là, devant tous, il n’y avait pas un enfant brisé, mais un enfant reconstruit, avec du courage, du soutien, et de l’amour.

Peu de temps après, deux des garçons qui l’avaient agressé furent également inscrits aux ateliers. L’un d’eux, en particulier, présenta ses excuses. Ce ne fut pas facile. Mais il le fit.
Et mon fils — avec une maturité que je n’avais pas à son âge — lui pardonna.
Non pas parce qu’il avait oublié, mais parce qu’il choisit d’avancer sans ce poids.

Aujourd’hui, quand il retourne dans la rue, il ne le fait plus avec peur.
Il sait que tout le monde n’est pas bon.
Mais il sait aussi qu’il n’est pas seul.
Et que sa voix a du poids.

Ce qui avait commencé dans la douleur s’est terminé par un vrai changement.
Pas seulement pour lui.
Pour beaucoup.

Parce que mon fils a cessé de sortir un jour.
Mais il a aussi été celui qui a ouvert la porte pour que d’autres puissent le faire sans peur.
Et maintenant… il joue.
Il rit.
Et parfois, de loin, il me lance un regard qui dit :
« On a réussi. »

Et oui… on a réussi.

25/07/2025

Certains enfants grandissent entourés de câlins, de rires, d’histoires du soir et de baisers qui soignent même les genoux écorchés.
D’autres, eux, apprennent trop tôt à être forts.
Parce que l’amour qui devait les protéger… n’est jamais venu.

Il y a des enfants qui ont des chambres pleines de jouets.
Et d’autres, juste la tête pleine de rêves.
Certains se sentent au centre du monde.
D’autres essaient juste de ne déranger personne.

🧸 L’enfance ne devrait jamais faire de mal.
Les larmes ne devraient pas couler sur des joues aussi petites.
Les regards tristes ne devraient pas habiter des corps aussi jeunes.

La vérité ?
Les enfants n’ont pas besoin de plus de choses.
Ils ont besoin de plus d’amour.
De bras qui rassurent.
De regards qui comprennent.
De mots qui protègent.

💛 Si tu as la chance d’être présent dans la vie d’un enfant, ne fais pas semblant d’être là. Sois vraiment là. Aime-le fort. Soutiens-le. Protège-le.

Parce que ce que tu déposes dans son cœur aujourd’hui…
C’est le monde qu’il bâtira demain. 🌱

25/07/2025
Pour une super génération 🌻
10/06/2025

Pour une super génération 🌻

Voici comment les Japonais éduquent leurs enfants : le secret d'une génération de génies.
Alors que dans de nombreux pays, l'intelligence est récompensée par des médailles, au Japon, on récompense la discipline, l'humilité et l'effort constant.
Dès leur plus jeune âge, les enfants japonais apprennent une vérité puissante : le talent sans travail ne vaut rien, et le véritable génie naît de la persévérance.
Là-bas, il n'est pas rare de voir un enfant de six ans aller seul à l'école, traverser les rues, prendre le train... parce que dès leur plus jeune âge, on leur apprend à être responsables, courageux et autonomes.

Il ne s'agit pas de les surprotéger, mais de les préparer à la vie. Les parents japonais ne font pas leurs devoirs à la place de leurs enfants, ils ne les excusent pas... ils les guident, mais leur apprennent que le chemin est le leur.
Les élèves japonais nettoient leur classe, balayent les couloirs, lavent les toilettes. Dans de nombreuses écoles primaires, il n'y a pas de personnel de nettoyage.
Pourquoi ?
Parce que l'éducation ne consiste pas seulement à remplir l'esprit d'informations, mais aussi à former le caractère, l'humilité et le respect.
Les enfants ne se considèrent pas comme des rois, mais comme des membres d'une communauté. C'est ce qui leur donne une force unique.
Le génie japonais n'est pas dû à la chance ou à la génétique. C'est une question de culture, de valeurs et de travail bien fait dès Vous voulez un fils brillant ?
Apprenez-lui plus que les mathématiques.
Apprenez-lui à être discipliné, patient, curieux.
Ne le protégez pas de l'échec : laissez-le apprendre.
Car, en fin de compte, il ne s'agit pas seulement d'élever des enfants intelligents... il s'agit de former des êtres humains qui brillent de leur propre lumière.

Nastase Adrian

24/04/2025

Un étudiant de l’Université Columbia s’est endormi pendant un cours de mathématiques. À son réveil, alors que les autres élèves quittaient la salle, il vit deux problèmes inscrits au tableau. Pensant qu’il s’agissait d’un devoir, il les recopia dans son cahier pour les résoudre chez lui.

Arrivé à la maison, il se rendit compte que les problèmes étaient extrêmement difficiles. Mais il ne se découragea pas. Il travailla sans relâche, fit des recherches, consulta des livres à la bibliothèque… jusqu’à réussir à résoudre l’un des deux problèmes en quatre longues pages de calculs.

Lors du cours suivant, il fut surpris que le professeur ne parle pas de ce supposé devoir. Il leva donc la main et demanda :

— Docteur, pourquoi n’avez-vous rien dit au sujet du devoir donné à la dernière séance ?

Le professeur, étonné, répondit :

— Devoir ? Ce n’était pas un devoir… Ce sont des exemples de problèmes mathématiques que personne n’a jamais réussi à résoudre jusqu’à aujourd’hui !

L’étudiant, abasourdi, déclara :
— Mais… j’ai réussi à résoudre l’un des deux !

Sa solution fut étudiée, validée et enregistrée à l’Université Columbia, portant désormais son nom. Et cette histoire est toujours racontée dans les couloirs de l’université.

Ce qui a fait la différence ?
Il n’avait pas entendu le professeur dire que ces problèmes étaient “impossibles”. Il s’était simplement dit qu’ils devaient être résolus. Il ne s’est pas laissé abattre par la difficulté.
Il a agi avec volonté, détermination et courage.

Morale :
N’écoute pas ceux qui te disent que tu ne peux pas.
Ce message n'encourage pas à dormir en classe, mais à croire en ton potentiel, peu importe les circonstances.
Être présent physiquement ne suffit pas. C’est ta détermination qui fera la différence.

À toi la réussite.

30/11/2024

"Un vieil homme était assis sur un banc, une jeune personne vînt vers lui et lui demanda :
- Vous souvenez-vous de moi, professeur ?
Le vieil homme répond : NON !
Le jeune homme lui dit qu'il était son ancien élève.
- Le vieux enseignant : Ah ! Qu’es-tu devenu? Que fais-tu dans la vie maintenant ?
Le jeune homme répondit : Eh bien, je suis devenu professeur, moi aussi.
- Ah, comme c'est bon de le savoir, donc comme moi, dit le vieil homme.
- Oui, comme vous !
En fait, je suis devenu professeur, grâce à vous, vous m'avez inspiré à être comme vous.
Le vieil homme, curieux, demande au jeune professeur, à quel moment il avait décidé de devenir enseignant.
Le jeune homme lui raconte l'histoire suivante :
- Un jour, un de mes amis, également lycéen, est arrivé en classe avec une belle montre toute neuve, cette montre, je la voulais et j’avais décidé de la voler.
Peu de temps après, mon ami a remarqué que sa montre avait disparue et s'est immédiatement plaint auprès de vous.
Vous nous avez lancé :
- Une montre a été volée pendant mon cours, aujourd'hui. Celui qui l'a volée, doit la rendre.
Je ne l'ai pas rendue parce que cette montre je la voulais ... tellement ! Ensuite, vous avez fermé la porte et vous nous avez demandé de nous lever et que vous alliez nous fouiller tous, jusqu'à ce que la montre soit trouvée.
Mais, vous avez exigé de nous, de fermer les yeux.
Nous l'avions fait, quand vous avez fouillé mes poches, vous avez trouvé la montre et l'avez prise.
Vous avez continué à fouiller les poches de tout le monde. Quand vous avez fini vous avez dit :
- Ouvrez les yeux. J’ai trouvé la montre.
Vous ne m'avez rien dit et vous n'avez jamais reparler de cette histoire. Vous n'avez jamais dit non plus qui avait volé la montre.
Ce jour-là, vous avez sauvé ma dignité.
Ce fut aussi, le jour le plus honteux de ma vie.
Vous ne m'avez jamais rien dit, vous ne m'avez pas grondé ou attiré mon attention pour me faire une leçon de morale, mais vous avez réussi à m’éclairer.
Grâce à vous, j'ai compris ce qu'est un éducateur et la valeur d’un enseignant.
Vous souvenez-vous de cet ép*sode, professeur ?
Le vieux professeur répond :
- Je me souviens de cette montre volée, je cherchais dans les poches de tout le monde, mais je ne me souviens pas de toi, j’avais moi aussi, fermé les yeux en cherchant.
C'est l'essence même d’un éducateur.
Si pour corriger vous devez humilier, vous ne savez pas enseigner, ni être un éducateur."
Auteur inconnu

26/10/2024

*Tous les ans, les parents du petit Martin l'emmenaient chez sa grand-mère pour les vacances , et ils rentraient chez eux par le même train le lendemain.
*Puis un jour le garçon dit à ses parents :
_"Je suis assez grand maintenant..
Et si j’allais chez grand-mère tout seul cette année ?".

*Après une brève discussion les parents sont d’accord.
*Les voici debout sur le quai de la gare, le saluant, lui donnant un dernier conseil par la fenêtre, tandis que Martin continue à répéter:
_"Je sais, vous me l’avez déjà dit cent fois...!

*Le train est sur le point de partir et le père chuchote :
~Mon fils, si tu te sens soudainement mal ou effrayé, c’est pour toi! - et lui glisse quelque chose dans sa poche.

*Maintenant, le garçon est seul, assis dans le train, sans ses parents, pour la première fois...
*Il regarde le paysage par la fenêtre qui défile..
*Autour de lui des inconnus se bousculent, font du bruit, entrent et sortent du compartiment, , le contrôleur lui fait des commentaires sur le fait qu'il soit seul.. Une personne lui jette même un regard triste ..
*Du coup le garçon se sent de plus en plus mal à l'aise ..
*Et maintenant il a peur.
*Il baisse la tête, il se blottit dans un coin du siège, les larmes lui montent aux yeux.
*À ce moment-là, il se souvient que son père lui a mis quelque chose dans la poche.
*D'une main tremblante il cherche à tâtons ce morceau de papier, il l’ouvre :
_" Mon fils, je suis dans le dernier wagon"..

*C’est ainsi dans la vie ...on ne doit pas s'éloigner.Nous devons laisser partir nos enfants, en leur faisant confiance..
*Mais nous devons toujours être dans le dernier wagon afin qu’ils n’aient pas peur...
*Restons proche d'eux tant que nous sommes en vie..
Auteur inconnu

07/10/2024

🟢Un père avait pour habitude de dire à ses enfants, alors qu'ils étaient encore jeunes : "Lorsque vous atteindrez l'âge de 12 ans, je vous révélerai le secret de la vie." Le jour où l'aîné de la famille atteignit cet âge, il demanda avec une certaine anxiété à son père de lui dévoiler ce secret tant attendu. Le père accepta de le faire, tout en lui imposant une condition : il ne devait en aucun cas le partager avec ses frères.

"Le secret de la vie est le suivant : la vache ne donne pas de lait."

Interloqué par cette réponse, l'enfant s'enquit des explications.

"Tu as bien compris, mon fils : la vache ne donne pas de lait d'elle-même ; il faut la traire. Pour ce faire, il est nécessaire de se lever à 4 heures du matin, d'aller au champ, de traverser le fumier de l'enclos, d'attacher la queue de l'animal, d'esquiver les coups de pattes, de s'asseoir sur un tabouret, de placer un seau sous les p*s et de réaliser soi-même tout le travail… C'est cela, le véritable secret de la vie. Si tu ne trais pas la vache, tu n'obtiendras pas de lait."

"Il existe aujourd'hui une génération qui croit que les vaches 'donnent' du lait, c'est-à-dire que les choses leur sont acquises automatiquement et sans effort. Leur mentalité se résume à 'je souhaite, je demande, j'obtiens'. Ils sont habitués à recevoir tout ce qu'ils désirent sans effort. Mais la réalité est bien différente : la vie ne se limite pas à formuler un souhait pour l'exaucer. Ce que l'on obtient résulte du travail fourni. Le bonheur est la conséquence directe de l'effort, tandis que l'absence d'effort conduit à la frustration."

"Il est donc crucial d'inculquer ce secret à vos enfants dès leur plus jeune âge, afin qu'ils ne grandissent pas avec l'idée que le gouvernement, leurs parents ou leur charme leur apporteront tout ce dont ils ont besoin dans la vie. Les vaches ne donnent pas de lait ; il faut travailler pour l'obtenir."

➨ la responsabilité

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Rue De Bruxelles, 60
Genappe
1470

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