11/11/2025
Le 11 novembre 1918 à 5h15 en forêt de Compiègne, dans un wagon. Après plus de 18,6 millions de morts...
Ce moment devient l’un des symboles les plus puissants de l’Histoire : celui où, enfin, les armes se taisent. Pourtant, derrière cette signature, le monde ne bascule pas immédiatement dans la paix. Il entre dans un fragile équilibre.
L’Histoire nous montre une réalité brutale : les temps de guerre ont été plus nombreux que les temps de paix. Les frontières se sont dessinées autant dans le sang que dans les accords. Les alliances, les rivalités, les intérêts économiques ou territoriaux… Tous ces éléments ont souvent pesé plus lourd que la volonté de vivre ensemble.
Mais si les conflits semblent répétés, l’humanité n’a jamais cessé, en parallèle, de chercher l’équilibre. L’armistice de 1918 n’est pas seulement la fin d'une guerre, c'est la preuve que, même après le pire, les sociétés peuvent se rassembler, négocier, écouter, reconstruire. C’est la démonstration que le dialogue n’est jamais perdu.
Aujourd’hui encore, alors que le monde est traversé par des tensions géopolitiques, des guerres visibles et d’autres silencieuses.
Gardez bien en tête que la paix n’est pas un état naturel, mais un choix. Elle demande de la mémoire, de la vigilance, et surtout du courage !
Commémorons l’armistice, non comme un souvenir figé, mais comme une responsabilité : celle de protéger la paix lorsque nous l’avons, et de la réclamer lorsqu’elle s’éloigne.