Le Persévérant

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DORI.Du Centre Universitaire de Dori à l’Université……...........de Dori ?Le vendredi 26 septembre 2025, j’ai suggéré, su...
07/10/2025

DORI.

Du Centre Universitaire de Dori à l’Université……...........de Dori ?

Le vendredi 26 septembre 2025, j’ai suggéré, sur cette même page, aux autorités municipales de Dori, de baptiser des rues au nom de Albert Kobié ; de Hannafi Amirou Dicko ; de Dr Boubacar Sadou Ly ; de feu Sita Hountondji ; de feu Tongoga Youssifi Dicko ; de feu Sawadogo dit Nicko ; de feu Boureima Yéro Carrière Dicko et de feu Zakariaou Diallo. Et bien d’autres noms à identifier et à retenir. Ils sont nombreux et il y’a assez de rues à Dori.

Dans le même écrit, j’ai également proposé de baptiser le Centre Multimédias de Dori au nom de Hama Bouraïma Dicko, l’actuel Directeur de la Radio Municipale de Dori.

Cette fois-ci, je m’adresse aux autorités administratives en charge des universités du Burkina Faso.

Pour le moment, Dori a un Centre Universitaire rattaché à l’Université Thomas Sankara de Ouagadougou. Mais ce Centre Universitaire est appelé à devenir une Université pleine et autonome à laquelle il faudra accorder un nom. Et c’est là l’objet de mon présent post qui va puiser uniquement dans le monde universitaire.

Le Pr Alkassoum Maïga : Enseignant-Chercheur à l’Université Joseph Ki-Zerbo au département de Sociologie, le Pr Alkassoum Maïga est un ancien Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation. C’est d’ailleurs sous son magistère que le Centre Universitaire de Dori qui est rattaché à l’Université Thomas Sankara a été ouvert
Le Professeur Idrissa Ousmane Dicko : Cet Entomologiste a marqué l’Institut du Développement Rural à l’Université de Ouagadougou avant de rejoindre le Centre Universitaire Polytechnique de Bobo-Dioulasso qui deviendra plus t**d l’Université N**i Boni de Bobo-Dioulasso. De là, le Pr Idrissa Ousmane Dicko rejoindra The Hunger Project International où il occupera le poste de Vice-Président pour l’Afrique jusqu’à son décès le jeudi 06 juillet 2017 aux Etats-Unis d'Amérique.Il a été inhumé à Dori.

Le Pr Laya Sawadogo : Professeur titulaire en Physiologie Végétales, le Pr Laya Sawadogo a dirigé le Ministère des Enseignements Secondaire, Supérieur et de la Recherche Scientifique.

Dr Boubacar Sadou Ly : Docteur vétérinaire, Dr Boubacar Sadou Ly n’est plus à présenter. Si Dr Boubacar Sadou Ly n’est pas connu comme Enseignant-Chercheur, c’est parce qu’il avait décliné, dans les années 70-80, une chaire au MIT, entendez par là, le Massachussetts Institut of Tehnologies,aux Etats Unis d’Amérique.

Le Pr Mamoudou Hama Dicko : Le Pr Mamoudou Hama Dicko est un Enseignant-chercheur en Biochimie et en Biotechnologie à l’Université Joseph Ki-Zerbo de Ouagadougou.

L’un de ces noms pourrait, de mon point de vue, bien seoir à la future Université de Dori qui est pour le moment, un Centre Universitaire rattaché à l’Université Thomas Sankara de Ouagadougou.

Vivement donc le retour de la paix, de la sécurité et de la sérénité. En attendant, nous sommes aujourd’hui, mardi, le 07 octobre 2025. Que Dieu veuille et veille. Que Allah nous garde et nous guide.

Texte : Hama Hamidou DICKO
Crédit photos : Images d'illustration tirées du Net.

GRANDE MARE DE DORILa perte en attendant peut-être le profit.Avant de parler de la Grande Mare de Dori, je rappelle que ...
01/10/2025

GRANDE MARE DE DORI

La perte en attendant peut-être le profit.

Avant de parler de la Grande Mare de Dori, je rappelle que les propositions de baptiser des rues ou le Centre Multimédia de Dori sont des propositions vraiment à la portée des acteurs du moment. Un comité ou une commission de réflexion et l’affaire est vite entendue. Donc.

Donc revenons à la Grande Mare de Dori. Le dimanche 17 mars 2024 et le lundi 15 avril 2024, j’en ai parlé et reparlé. La perte en attendant peut-être le profit disais-je. La perte parce que pour le moment la Grande Mare de Dori est en état de souffrance et ne donne pas l’essentiel de son potentiel. Le profit viendra certainement avec sa mise en valeur.
Ce poumon aquatique et économique est un mythique, voire mystique point d’eau. Beaucoup de choses ont été faites ou envisagées, mais rien n’y fit. Certes toutes ces différentes réalisations ou volontés ont été, d’une manière ou d’une autre, salutaires pour la Grande Mare de Dori, mais force est de constater que sa face n’est toujours pas reluisante. Jadis grande étendue d’eau intarissable la Grande Mare de Dori est devenue aujourd’hui l’ombre d’elle-même du fait surtout de l’action anthropique combinée au dérèglement climatique. L’hivernage aidant, on pourrait croire que la Grande Mare de Dori est au top de son niveau. Que nenni. Attendons juste janvier ou février et on en reparlera.

Dans l’un de mes écrits je me suis inquiété que la Grande Mare de Dori ne devienne comme la Mer d’Oural. Située entre le Kazakhstan et l'Ouzbékistan, la Mer d’Oural couvrait plus de 66.000 km2 et était le 4e plus grand lac au monde. En 50 ans, la Mer d’Oural a perdu 90 % de son volume décimant ainsi les poissons du lac dont 20 espèces endémiques. Une grande partie des 40.000 pêcheurs qui vivaient autour du lac, s’est exilée. Actuellement, il ne reste que des bateaux rouillant au milieu du désert.

Dans l’autre écrit, j’appelais à la mise en place d’un comité de réflexions et d’actions sur cette emblématique retenue naturelle d’eau. De taille raisonnable, ce comité aura toutes les latitudes pour se pencher sur le patient « Grande Mare de Dori ». Au comité et à l’autorité de trouver les voies et moyens de la faisabilité. Les bonnes volontés seront sûrement attendues.

Après avoir épluché les résultats obtenus, l’autorité verra la faisabilité et convoquera des Journées Communales de Réflexions et d’Action sur la Grande Mare de Dori (JCRA - GMD). Les participants, les modalités de participation et la durée desdites Journées Communales de Réflexion et d’Action sur la Grande Mare de Dori (JCRA - GMD) seront à la discrétion de l’autorité ; l’essentiel étant de cibler réellement des actrices et des acteurs à même de diagnostiquer et de proposer un traitement adéquat à la Grande Mare de Dori. Peut-être même que l’Etat sera appelé à la rescousse pour en faire un mini-Samandéni. Pourquoi pas. Bref.

Ces quelques idées sont certainement perfectibles. Appliquées, elles seront à coup sûr bénéfiques. C’est une certitude. Et c’est la mienne.

Vivement donc le retour de la paix, de la sécurité et de la sérénité. En attendant, nous sommes aujourd’hui, mercredi, le 1er octobre 2025. Que Dieu veuille et veille. Que Allah nous garde et nous guide.

Texte : Hama Hamidou DICKO
Crédit photos : Le Net et Hama Hamidou Dicko.

COMMUNE URBAINE DE DORIPropositions fusionnées et réitérées.Le mercredi 15 mars 2023, j’avais fait la première propositi...
26/09/2025

COMMUNE URBAINE DE DORI

Propositions fusionnées et réitérées.

Le mercredi 15 mars 2023, j’avais fait la première proposition, puis le mercredi 23 août 2023, la deuxième. Aujourd’hui, je les fusionne et les réitère. Il s’agit d’une part de baptiser des rues et d’autre part, le Centre Multimédias de Dori.

Pour les rues, je précise que cette liste n’est pas exhaustive. D’autres noms pourraient y être ajoutés par une commission ou un comité à mettre en place pour y réfléchir.

Je pense que cette période est vraiment plus propice pour une telle initiative par rapport à une période électorale. Des autorités élues pourraient être entravées dans leurs agissements par leur électorat alors que des autorités nommées n’ont en principe aucun calcul à faire vis-à-vis d’un quelconque électorat. Baptiser une rue ou un lieu est un acte et un geste hautement sensible qui pourrait entraîner certainement des réactions, ouvertes ou latentes. Donc, les autorités actuelles semblent moins gênées aux encoignures.

Tout choix ayant forcément une dose de subjectivité, voici lesdits noms, sans aucune hiérarchisation.

Albert Kobié : C’est un Anesthésiste de renom qui a passé l’essentiel de sa carrière à Dori. Il y a pris sa retraite et cela lui fait quarante ans de service sanitaire et de vie sociale à Dori.

Hannafi Amirou Dicko : Un agent des services de l’élevage qui a également servi pour l’essentiel à Dori. Il y a également pris sa retraite et y vit toujours.

Dr Boubacar Sadou Ly : Docteur vétérinaire, Dr Ly a consacré l’essentiel de ses activités à Dori. Très connu à travers l’Association pour la Promotion de l’Elevage dans le Sahel et la Savane, APESS, Dr Boubacar Sadou Ly est également très connu à travers ses communications nationales et internationales. A Dori il a créé et anime l’école de la sagesse sur dunes, entrée espérée. Il vit toujours à Dori.

Parmi les noms qui figurent sur ma liste, il y’a hélas d’autres qui ne sont plus de ce monde.

Sita Hountondji : C’est un Instituteur qui a également servi à Dori et y avait pris sa retraite.

Tongoga Youssifi Dicko : D’abord militaire colonial puis voltaïque, il fut rappelé selon certaines indiscrétions par le Capitaine Thomas Sankara pour servir pendant « l’escarmouche des pauvres ». Certaines sources disent qu’il avait le grade de Sergent.

Halidou ou Inoussa ( ???) Sawadogo dit Nicko : J’avoue que son prénom m’échappe mais son surnom et ses fonctions faisaient qu’il était très bien connu à Dori et même au-delà. Il fut un agent de l’élevage. Mais le domaine où il était très bien connu, c’est bien le football.

Boureima Yéro Carrière Dicko : Des sources me disent qu’il a atteint le grade de Sergent-Chef de l’armée coloniale. Il a servi en Algérie et en Indochine. Bien que retraité de l’armée coloniale, il était resté très actif et bien connu à Dori.

A cette liste d’alors, j’ajoute aujourd'hui, le nom de Zakariaou Diallo, le père fondateur ; en tout cas l’un des pères fondateurs du Conseil Régional des Unions du Sahel, le CRUS.

Avec donc une commission ou un comité de réflexion, des noms pourraient y être ajoutés parce qu’il y’a beaucoup d’autres noms également méritants et ce ne sont pas des rues qui manquent à Dori.

Quelques cinq mois plus t**d, j’avais proposé de baptiser le Centre Multimédias de Dori au nom de….. Hama Bouraima Dicko. On pourrait dire Centre Multimédias Hama Bouraïma Dicko ou Centre Multimédias Nassourou Bounty Dicko. On pourrait également dire Centre Multimédias Nassourou Bounty ou même Centre Multimédias Soupe Loupe. L’un dans l’autre, l’une ou l’autre des appellations. Toujours est-il que c’est un hommage qui lui sied comme d’un gant à la main.

Je précise toujours que je ne quémande pas l’unanimité. Je propose. Et l’homme Hama Bouraïma Dicko n’est plus à présenter. Si par moment il s’est essayé à la politique, il est surtout socialement connu à Dori et même ailleurs. Et ses domaines de prédilection, ce sont surtout la culture et les médias.

Dans le domaine culturel, il a marqué la Semaine Nationale de la Culture (SNC) qui se tient à Bobo-Dioulasso où des troupes qui sont passées sous son magistère se sont positivement distinguées.

Dans le domaine médiatique, il a évolué depuis longtemps surtout dans le volet radiophonique. Et il continue à le faire merveilleusement. Il est d'ailleurs l'actuel Directeur de la Radio Municipale de Dori.

C’est certainement sa connaissance, que dis-je, ses connaissances en culture générale, en culture locale, bref, en culture tout court, qui lui ont valu le prestigieux trophée et titre du Trésor Humain Vivant de la Région du Sahel, avec agrafe culture.

Bien que plusieurs urgences soient à traiter, cela ne gêne pas d’inscrire ces réflexions au rôle comme on le dit ailleurs. Autorités décentralisées de la Transition à vos …sessions pour une délibération.

Vivement donc le retour de la paix, de la sécurité et de la sérénité. En attendant, nous sommes aujourd’hui, vendredi, le 26 septembre 2025. Que Dieu veuille et veille. Que Allah nous garde et nous guide.

Texte: Hama Hamidou Dicko.
Crédit photos : Hama Hamidou Dicko et le Net.

DORIAlbert Kobié, quarante ans de service sanitaire et de vie sociale.Deux heures d’horloge qu’il m’a reçu. Et lui, c’es...
25/09/2025

DORI

Albert Kobié, quarante ans de service sanitaire et de vie sociale.

Deux heures d’horloge qu’il m’a reçu. Et lui, c’est Albert Kobié Anesthésiste à la retraite. Et sa retraite, il l’a effectivement prise le lundi 1er janvier 2018 à Dori. « C’était mon premier jour de retraite » m’a-t-il précisé.
« Cela me fait aujourd’hui quarante ans à Dori. C’est le mercredi 25 septembre 1985 que je suis arrivé à Dori avec trois autres collègues » a introduit Albert Kobié lorsque je l’ai rejoint chez lui par ces temps où l’essence est assez compliquée à avoir à Dori. « Nous étions quatre mais le quatrième n’est venu que plus t**d » a poursuivi Albert Kobié. Jean-Pierre Guibila, aide opérateur ; Yamba Ouédraogo, biochimiste, celui-là même qui révolutionnera le laboratoire du Centre Hospitalier Régional de Dori et Albert Kobié, anesthésiste. Voilà l’équipe conduite par un chauffeur Gendarme dans un camion de la Gendarmerie de Ouagadougou à Dori.

Partis de Ouagadougou à 10 heures, c’est finalement à 23 heures qu’ils sont arrivés à Dori. Albert Kobié est natif de Dossi, à 15 kilomètres au Sud de Boni qui est située à mi-chemin entre Pa et Houndé, sur la route de Bobo-Dioulasso. « Je suis un enfant de paysan ; donc je n’avais aucune appréhension en venant à Dori » m’a-t-il précisé. En l’absence de Yaya Sidibé, Haut-Commissaire du Séno, ils seront reçus par Maurice Arsène Ouédraogo, le Secrétaire Général de la Province du Séno. « Allez voir le Directeur de l’hôpital. Nous ne recevons pas de fonctionnaires affectés ici ». Accueil assez glacial et glaçant. Qu’a cela ne tienne, Albert Kobié ne se laissera pas démotiver.
« A l’époque, c’était le Capitaine Valentin Tarnagda, Officier de Transmission qui était le Directeur Général de l’hôpital et c’était Stanislas Sansan Kambou qui était le Directeur Provincial de la Santé. Mais c’était Apollinaire Konsa Hien qui était l’intérimaire des deux » a ajouté Albert Kobié. Déterminé à servir partout où besoin était, Albert Kobié, déjà marié et père de deux enfants, s’installera à Dori, avec sa femme et ses deux enfants. « Et depuis lors, c’est comme si on m’avait attaché à un arbre à Dori » a-t-il rigolé m’entraînant avec lui dans cette hilarité.

Avant Dori, Albert Kobié avait roulé sa bosse à Boni et à Koudougou comme élève avant d’être admis aux concours des Infirmiers Diplômés d’Etat ; formation qu’il suivra à Ouagadougou. De là, il passera cinq ans à Diapaga avant de réussir à l’examen professionnel de spécialisation d’anesthésiste. Cette formation, il la fera à Ouagadougou. « Et depuis le mercredi 25 septembre 1985, je suis à Dori. Cela me fait aujourd’hui quarante ans à Dori ».

A ses débuts, Albert Kobié a travaillé sous la responsabilité de Dr Gilbert Ouédraogo, le Médecin-Chef du Centre Hospitalier Régional de Dori. « En termes d’infrastructures, le changement est radical » m’a confié Albert Kobié. « En termes de travail on observe une différence de mœurs, de mentalités et de comportements » a ajouté, énigmatique, Albert Kobié.

Ce furent deux heures pleines d’anecdotes, de souvenirs, parfois douloureux, des fois agréables. « Ce sont vraiment ma volonté, ma détermination et ma persévérance qui m’ont permis de tenir » m’a confié Albert Kobié. Et cette volonté de toujours bien faire lui a valu une médaille de Chevalier de l’Ordre National, le 11 décembre 1994. « Cette médaille, vraiment je la dois au Haut-Commissaire du Séno de l’époque, feu Geoffroy Damiba qui m’a proposé et insisté sinon du côté de la santé, je n’ai reçu aucune médaille ».

Après sa retraite Albert Kobié avait tenté une initiative pour élargir l’offre de soins de santé en ouvrant le cabinet de soins Djamu à Dori. « Hélas, j’ai rencontré beaucoup de difficultés qui m’ont amené à fermer le samedi 13 juillet 2024 ». Actuellement Albert Kobié passe le clair de son temps à domicile. Pour le Burkina Faso, il souhaite la paix et la sécurité.

Vivement donc le retour de la paix, de la sécurité et de la sérénité. En attendant, nous sommes aujourd’hui, jeudi, le 25 septembre 2025. Que Dieu veuille et veille. Que Allah nous garde et nous guide.

Texte et crédit photos :
Hama Hamidou Dicko

Burkina Faso L’Institut des Sciences des Sociétés tient la 7è édition de ses Journées Scientifiques.Du mardi 23 au jeudi...
19/09/2025

Burkina Faso

L’Institut des Sciences des Sociétés tient la 7è édition de ses Journées Scientifiques.

Du mardi 23 au jeudi 25 septembre 2025, l’enceinte de l’Institut des Sciences des Sociétés sis au Centre National de Recherches Scientifiques et Technologiques à Ouagadougou abrite la 7è édition de ses Journées Scientifiques.

Sous la présidence du Dr Emmanuel Nanéma, Directeur de recherches et Délégué Général du Centre National de Recherches Scientifiques et Technologiques et le parrainage du Général Aimé Barthélémy Simporé, Directeur Général du Centre National d’Etudes Stratégiques, les panelistes et les participants plancheront sur le thème évocateur « Espaces et sociétés : approche des sciences humaines et sociales pour un développement durable ».

Pour ce faire, la cérémonie d’ouverture est prévue pour ce mardi 23 septembre 2025 à partir de 08 heures 00 minutes dans la Salle des Conférences de l’Institut des Sciences des Sociétés, au Centre National de Recherches Scientifiques et Technologiques.

Voilà donc un rendez-vous très important et à ne pas rater, surtout au vu de la pertinence du thème retenu dans le contexte actuel qui est le nôtre. En tout cas le Dr Hamidou Tamboura et ses collègues et collaborateurs nous y attendent. Au passage, précisons que le Dr Hamidou Tamboura est le Chef du Département de la Socio-Economie et Anthropologie du Développement de l’Institut des Sciences de Sociétés et que l’Institut des Sciences de Sociétés est un département du Centre National de Recherches Scientifiques et Technologiques.

Vivement donc le retour de la paix, de la sécurité et de la sérénité partout où besoin est actuellement. En attendant, nous sommes aujourd’hui, vendredi, le, 19 septembre 2025. Que Dieu veuille et veille. Que Allah nous garde et nous guide.

Crédit photos : Le Net et Dr Hamidou Tamboura.
Texte : Hama Hamidou Dicko.

CENTENAIRE DU CHR DE DORI.Une attestation de reconnaissance décernée au CICR à Dori.Le Directeur Général du Centre Hospi...
15/09/2025

CENTENAIRE DU CHR DE DORI.

Une attestation de reconnaissance décernée au CICR à Dori.

Le Directeur Général du Centre Hospitalier Régional de Dori, décerne au Comité International de la Croix Rouge (CICR), une attestation de reconnaissance et ce, en témoignage de la reconnaissance du CHR de Dori pour son appui constant et sa contribution significative à la bonne marche et au rayonnement de l’hôpital au titre de l’année 2024.

C’est ce qu’on peut lire sur cette attestation signée le dimanche 14 septembre 2025, par Stéphane Zagré, le Directeur Général du CHR de Dori qui célèbre son centenaire du dimanche 14 au samedi 20 septembre 2025.

Cette attestation vient une fois de plus prouver si besoin était, le constant engagement du CICR pour le bien et le bien-être des populations.

Précisons que cette attestation a été remise lors d’une cérémonie organisée à l’hôtel Kuin-Déni de Dori ce dimanche 14 septembre 2025. C’est donc avec joie et satisfaction que Lawrence Baya, le Chef de la Sous-Délégation du CICR de Dori a reçu, des mains de Dr Lucien Robert Jean-Claude Kargougou, le Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, cette attestation au nom de tout le personnel du Comité International de la Croix Rouge (CICR).

Bravo donc et très bonne suite d’engagement à tout le personnel du CICR sans oublier également la Croix Rouge Burkinabè.

Vivement donc le retour de la paix, de la sécurité et de la sérénité partout où besoin est actuellement. En attendant, nous sommes aujourd’hui , lundi, le, 15 septembre 2025. Que Dieu veuille et veille. Que Allah nous garde et nous guide.

Texte : Hama Hamidou Dicko.
Crédit photos : CICR

ADAPTATION CINEMATOGRAPHIQUE AU BURKINA FASODany, fais-le s’il te plaît.Dany, c’est le célèbre Dany Kouyaté bien sûr, le...
10/09/2025

ADAPTATION CINEMATOGRAPHIQUE AU BURKINA FASO

Dany, fais-le s’il te plaît.

Dany, c’est le célèbre Dany Kouyaté bien sûr, le fils du non moins célèbre Sotigui Kouyaté. Dany, je m’adresse à toi, mais au-delà de toi, à toutes les réalisatrices et à tous les réalisateurs du Burkina Faso et même au-delà. Je m’adresse à toi parce que tu es l’actuel porte étendard du cinéma burkinabé et même au-delà. D’ailleurs, permets-moi de marquer une escale pour te féliciter mais également te dire merci pour le prestigieux trophée acquis de haute lutte lors de la dernière édition du FESPACO. Bravo et merci parce qu’il y’a longtemps que ce trophée séjournait à Ouagadougou juste le temps de la cérémonie pour prendre une autre direction. Tu viens ainsi de le stabiliser au Burkina Faso, je l’espère. En tout cas, je le souhaite.

Ceci dit, venons-en à ma sollicitation. Fais-le s’il te plaît Dany. Je t’en sais capable. Tu es parvenu à réaliser Katanga, la danse des scorpions. Chez nous quand on dit Katanga, le commun des mortels voit tout de suite une rude difficulté. Quand on parle de scorpions, là également, on sait que ce n’est pas chose aisée. Mais tu es parvenu à franchir ce qui est Katanga pour danser sur et avec les scorpions. Le résultat ? L’étalon d’or du Yennenga. Bravo donc Dany. J’ai soigneusement évité de crier avec la clameur générale pour ne pas faire noyer ma petite voix. Bref, je ne finirais pas de te féliciter.

Dany, fais-le s’il te plaît, disais-je. Mais tu me diras : Quoi enfin ? Voilà, il s’agit du fabuleux récit épique que nous a légué l’inimitable N**i Boni. Tu as très bien et très vite compris. Dany, merci d’adapter au petit écran, le Crépuscule des Temps Anciens. J’avoue que ce sera un très beau challenge à la hauteur de ta stature mais également une véritable œuvre utile que tu auras accomplie.

Cette idée m’est venue en tête quand je relisais tout récemment ce chef d’œuvre. Tu pourrais le faire en Français et en Dioula ou le faire en Dioula avec sous-titrage français.

Mais, et là j’ouvre une parenthèse taquine, ne le fais surtout pas en Bwamu. Déjà que Bouan (Bwan dans le roman) et Bondoukouy (Bonikuy dans le roman) sont suffisamment cités, si tu devais faire cette adaptation en Bwamu, ce serait une autre longueur d’avance que tu auras donnée à Yacouba Yacou Koumbia, le fameux Lomboza de Bondoukouy. Et là Boureima Diallo Kaf te dira deux mots. On ferme la comique parenthèse.

Donc et comme je te le disais Dany, réaliser cette adaptation, ce serait sauver un pan très important du passé de ce cher pays, notre pays, le Burkina Faso. Avec cette adaptation, ce serait l’élargissement de l’appropriation. Je le dis parce que, et le constat est là, très amer : les gens ne lisent pas, certains ne lisent plus. Donc le petit écran pourrait apporter sa part contributive. Et je suis presque sûr que cette adaptation sera la porte d’entrée d’un autre étalon du Yennenga.

Dany, il y’a plein de chefs d’œuvres qui retiennent l’attention et qui méritent une adaptation cinématographique. Mais comme on ne peut aller que progressivement, je te propose donc de commencer par et avec le Crépuscule des Temps Anciens de N**i Boni. Et comme je te le disais, à travers toi Dany, je m’adresse à toutes les réalisatrices et à tous les réalisateurs du Burkina Faso, et même au-delà. Donc, le monde du cinéma, la b***e est dans votre camp. Le roman ? Mais il est accessible partout au Burkina Faso. Vous pouvez l’acquérir chez des libraires comme vous pouvez également l’avoir avec des vendeurs ambulants des documents qui écument les rues des villes du Burkina Faso. Donc.

Donc, Dany, fais-le s’il te plaît. Faites-le s’il vous plaît, vous les réalisatrices, vous les réalisateurs. Ce sera une œuvre utile, une très grande œuvre utile sur une non moins très grande œuvre utile qu’est le Crépuscule des Temps Anciens de N**i Boni.

Vivement donc le retour de la paix, de la sécurité et de la sérénité partout où besoin est actuellement. En attendant, nous sommes aujourd’hui, mercredi, le 10 septembre 2025. Que Dieu veuille et veille. Que Allah nous garde et nous guide.

Texte : Hama Hamidou Dicko.
Crédit photos : Hama Hamidou Dicko et le Net.

NOUVEL HABILLAGE DE MA MOTO.Merci beaucoup petite sœur.Après une décennie d'énormes services rendus à ma personne et sûr...
30/08/2025

NOUVEL HABILLAGE DE MA MOTO.

Merci beaucoup petite sœur.

Après une décennie d'énormes services rendus à ma personne et sûrement bien au-delà, ma moto entame une nouvelle ère.

Une nouvelle ère dans ce sens qu'elle vient d'être habillée avec de nouvelles coques par ma petite sœur.

Réduit à enfourcher cette moto telle qu'elle était et ce malgré l'état avancé de dégradation de son plumage, je voyais, impuissant, se désagréger à chaque course, ses coques.

Tenaillé que je suis actuellement et étant dans l'impossibilité de changer la situation, je la vivais ainsi. Heureusement que cela n'a pas laissé indifférente ma petite sœur qui a décidé de mettre à chaque fin de mois, un peu de côté, de son pécule de SND pour me permettre, à défaut d'avoir une nouvelle moto, au moins de pouvoir rouler sur et avec une moto au nouvel habillage.

Décision prise à mon insu, et il fallait trouver quelqu'un pour acheminer ces coques de Ouagadougou à Dori par ces temps de convois où tout vous coûte une fortune surtout si c'est à destination de Dori.

Et ce fut Noufou Kafando qui s'en est occupé. Au finish, c'est aujourd'hui que j'ai pu déshabiller et habiller de nouveau ma décennale moto.

Petite sœur Djénéba Hamidou Dicko, merci beaucoup. L'intention valant autant que l'action, merci beaucoup à ton intention qui allait au-delà des coques. Mais j'avoue franchement que je ne boude pas mon plaisir. Merci beaucoup donc. Très certainement que la prochaine fois ce sera une voiture toute neuve. Yacou Koumbia viens lui dire merci beaucoup si toutefois tu veux toujours que Boureima Diallo dît Kaf change les coques de ta double décennale moto, comme tu nous le demandais.Tu es en tout cas prévenu. Viens dire merci beaucoup à ma petite sœur. C'est une très grande partie de son pécule de SND qui est là. Grand merci également au mécanicien Baba Jeune Dicko. Encore merci beaucoup Djénéba Hamidou Dicko. Bref. Vivement donc le retour de la sécurité et de la sérénité partout où besoin est actuellement.

En attendant, nous sommes aujourd'hui samedi, le, 30 août 2025. Que Dieu veuille et veille. Que Allah nous garde et nous guide.
Texte et crédit photos :
Hama Hamidou Dicko.

RENCONTRE TRUMP – POUTINE.Quand Anchorage nous envoie un message subliminal.Le vendredi 15 août 2025 devant des centaine...
16/08/2025

RENCONTRE TRUMP – POUTINE.

Quand Anchorage nous envoie un message subliminal.

Le vendredi 15 août 2025 devant des centaines de journalistes et en face du monde entier grâce à la magie de la technique et de la technologie, Donald Trump le Président Américain, a reçu Vladimir Poutine, le Président Russe, à Anchorage, dans l’Alaska, le grand Nord des Etats-Unis d’Amérique. Anchorage est à environ 6.800 Km de Washington, la capitale fédérale. Et il se dit que Poutine, pour des raisons d’itinéraire aérien, a parcouru environ 23.000 Km pour y être.

Si je parle de la rencontre Poutine – Trump, ce n’est pas pour évoquer la chaleur avec laquelle Trump a accueilli Poutine. Ce n’est pas non plus pour parler de la chaleur qui étouffe le monde, au propre comme au figuré ; (in)humainement comme climatiquement. C’est d’ailleurs peut-être pour éteindre ou atténuer cette étouffante chaleur mondiale que Trump a reçu Poutine, à Anchorage, dans l’Alaska réputé pour sa froidure.

Cette rencontre a cristallisé les regards et les attentions de plusieurs manières. Personnellement, c’est le message subliminal de Anchorage que je retiens. De cette rencontre, je retiens que dans certains pays, les autres villes n’ont rien à envier à la capitale. La capitale ne l’est que de façon administrative mais tout ce que la capitale peut faire, plusieurs autres villes pourraient ou peuvent le faire. Même Vladimir Poutine quand il rencontre ses invités en Russie, la plupart du temps, c’est à Sotchi, la ville balnéaire russe qui n’a rien à envier à Moscou, la capitale. D’autres villes russes abritent également des rencontres, en fonction de la symbolique ou du message à envoyer au monde ou aux invités.

Ainsi, Anchorage nous parle, disais-je. Anchorage nous envoie un message subliminal. Voilà une ville presque oubliée mais que Trump vient de dépoussiérer à la face du monde avec cette grande rencontre historique. Que dire de chez nous, en Afrique ?

Dans la majeure partie des pays africains, donc y compris le Burkina Faso, l’essentiel se passe à la capitale et dans la capitale. Souvent des villes dites ou supposées deuxièmes d’un pays africain n’ont de ville que de nom. Quelques rues bitumées, généralement la principale voie qui traverse la ville. Quelques endroits un peu attrayants et puis c’est tout. Plus rien. Depuis bientôt six décennies d’autonomie. Le Capitaine Thomas Sankara avait commencé une exception. Selon des témoignages, il avait reçu des ambassadeurs accrédités au Burkina Faso, dans la ville de Nouna. Ce n’était pas pour dire que la ville de Nouna avait des infrastructures assez avancées à l’époque, mais c’était plutôt pour dire à ces ambassadeurs : voyez la réalité de mon pays. Bref.

Et puis, malheureusement après lui, on est retombé dans un développement déséquilibré. La capitale grossissait, les autres villes s’atrophiaient. Espérons qu’avec les élans pris, de-ci, de-là, on en sortira de cette situation. En tout cas la rencontre de Anchorage, au-delà de tous les autres aspects, pourrait nous encourager et nous stimuler. C’est vraiment le message que j’ai retenu. Et j'y crois et j'en espère. Vivement donc le retour de la paix et de la sérénité, partout où besoin est actuellement.

En attendant, nous sommes aujourd’hui, samedi, le 16 août 2025. Que Dieu veuille et veille. Que Allah nous garde et nous guide.

Texte : Hama Hamidou Dicko
Crédit photos : Images d’illustration tirées du Net.

RADIO MUNICIPALE DE DORI.Mes neuf (09) ans à la R.M.D, la 87.9 FM.Petit récapitulatif d’une présence médiatique. Ce n’es...
16/08/2025

RADIO MUNICIPALE DE DORI.

Mes neuf (09) ans à la R.M.D, la 87.9 FM.

Petit récapitulatif d’une présence médiatique. Ce n’est nullement un bilan, encore moins une mise au point. C’est juste une escale, une petite rétrospection. Egalement une introspection doublée d’une projection.

Rétrospection dans ce sens que je jette un petit regard sur le chemin parcouru. Il a été jalonné de bas et surtout de hauts que je préfère retenir même si les bas aussi sont importants dans la mesure où ils ont été et ils sont toujours des moments redresseurs.

Introspection dans ce sens que je me permets d’analyser le moment présent pour entrevoir la suite ; une suite que je présage et que je souhaite apportant le meilleur.

Projection dans ce sens que cela me permet de rêver. Et il se trouve que les réalisations partent toujours d’un rêve, d’une visualisation, d’une conception futuriste.

Ceci dit, je dirai grand merci à Hama Bouraima Dicko, le Directeur de la Radio Municipale de Dori et à tout le personnel. Malgré les vicissitudes du moment, je reste confiant à la suite et pour la suite.

Juste rappeler que c’était le mardi 16 août 2016 que j’ai mis les pieds à la Radio Municipale de Dori mais c’était le jeudi 18 août 2016 que j’y ai posé ma voix pour la première fois. C’était pour le journal parlé. Le samedi 20 août 2016, j’ai posé la voix pour les émissions ; émissions qui iront crescendo. Même si actuellement il y’a une sorte de végètement, je suis sûr et confiant du rebond qui sera encore plus fulgurant.

Aux auditrices et aux auditeurs, de même qu’aux différents partenaires de l’outil communautaire, la R.M.D, la 87.9 FM, la Radio Municipale de Dori, de par ma petite voix, vous dit merci ; grandement merci ; merci beaucoup pour votre confiance, pour votre fidélité sans cesse renouvelées. Avec nos faiblesses, mais également avec nos petites forces, nous continuerons à tracer d’autres sillons et à maintenir le cap. Et nous souhaitons que vous soyez de la partie. Et nous savons que vous serez de la partie.

Pour revenir à ma modeste personne, je dirai que cela fait mes quatorze (14) ans de la presse écrite, en papier comme en ligne. Du journal Le Pays au journal Le Sahélien en passant par Fasopic.

Cela me fait également mes treize (13) ans de radio car il faut préciser ou rappeler que j’avais passé trois (03) bonnes années à la voix des sans voix, la Radio Kantigiya de Nouna, la R.K.N, la 88.8 FM. Traore Marcellin Issiaka, Inocent Konate et autres pourraient en témoigner au besoin.

Et cela me fait donc neuf (09) ans à la Radio Municipale de Dori, la R.M.D, la 87.9 FM, l’outil communautaire.

Aujourd’hui où je voulais arroser tout cela avec une émission, le ciel s’en est chargé en ouvrant ses vannes et en arrosant Dori et environs, avec une bonne et grande pluie.

La suite ? Elle est entre les mains de l’Être Suprême, l’Alpha et l’Oméga, Allah. Et j’ai pleinement confiance en Lui. Donc on attend ; j’attends sereinement la suite.

Et en attendant, nous sommes aujourd’hui, samedi, le 16 août 2025. Que Dieu veuille et veille. Que Allah nous garde et nous guide.

Textes et crédit photo : Hama Hamidou Dicko.

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