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L'hebdomadaire Conseil des ministres se tient ce mercredi 12 mars 2025 sous la présidence de Son Excellence  le Capitain...
12/03/2025

L'hebdomadaire Conseil des ministres se tient ce mercredi 12 mars 2025 sous la présidence de Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, Président du Faso, Chef de l’État.
D'importantes décisions sont attendues de cette instance au sommet de l’État dans le sens de répondre aux aspirations profondes et légitimes des Burkinabè.

Le Ministre d'État en charge de l'agriculture reçoit symboliquement des deux mains les clés des gros engins remises par ...
11/03/2025

Le Ministre d'État en charge de l'agriculture reçoit symboliquement des deux mains les clés des gros engins remises par le Président du Faso

Le Président du Faso aux cinéastes : « votre présence au FESPACO est un message que vous envoyez au monde »(Ouagadoug...
27/02/2025

Le Président du Faso aux cinéastes : « votre présence au FESPACO est un message que vous envoyez au monde »

(Ouagadougou, 27 février 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a échangé́ ce jeudi dans la matinée avec une délégation de cinéastes, présents à Ouagadougou, à l’occasion de la 29e édition du Festival panafricain du Cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO). La délégation était conduite par le ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO.

Il a indiqué́ que la délégation est composée d’acteurs du 7e art, venus de tous les continents. Pour le ministre en charge de la Culture, Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO, cette rencontre d’échanges du Président du Faso avec les cinéastes va « permettre de tracer des sillons probants pour le cinéma africain ».

Le porte-parole de la délégation, le réalisateur malien Cheick Oumar SISSOKO a traduit les remerciements des acteurs du cinéma au Président du Faso, au gouvernement et au peuple burkinabè, pour l’organisation de cette biennale depuis 1969. Selon M. SISSOKO, le Burkina Faso a compris que l’image et le cinéma sont des facteurs déterminants qui permettent au peuple de comprendre le monde et de se prendre en charge.

Le cinéma africain, acteur de lutte pour la souveraineté́

« Nous sommes vos soldats derrière la caméra » contre l’hégémonie médiatique de la nouvelle géopolitique, soutient Cheick Omar SISSOKO qui souligne que le cinéma s’inscrit dans la dynamique d’une quête de souveraineté́ et du refus d’un quelconque diktat. « Nous voulons contribuer avec nos caméras, nos idées, nos films à ce même refus », a-t-il déclaré.
Prenant la parole, le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a remercié́ la délégation pour le message envoyé́ au monde entier en montrant que le Burkina Faso est debout et reste résilient. « Votre présence n’est pas juste pour participer au FESPACO, mais c’est un message que vous envoyez dans vos patries respectives et au monde que le Burkina Faso est debout et que nous continuons de vivre », soutient le Capitaine Ibrahim TRAORÉ.

A cette occasion, le Chef de l’État a réaffirmé́ son attachement à la culture et à l’image pour la construction d’un monde meilleur.

Il a invité́ les cinéastes à créer des contenus pour éduquer les jeunes générations sur les valeurs intrinsèques de paix, de cohésion sociale et d’harmonie. « Nous ne pouvons pas continuer à consommer ce qu’on veut nous imposer », soutient le Chef de l’État.

Le Chef de l’Etat a saisi cette occasion pour féliciter le Comité national d’organisation pour la bonne conduite des activités entrant dans le cadre de la 29e édition de ce grand-messe des cinémas d’Afrique dans la capitale burkinabè.
A l’issue de l’entretien avec le Président du Faso, le porte-parole de la délégation a indiqué́ que les cinéastes ont eu la confirmation que le Burkina Faso restera la terre de promotion du cinéma en Afrique.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Régulation des médias et de la communication : les rapports publics 2022 et 2023 du CSC remis au Président du Faso(Ouaga...
18/02/2025

Régulation des médias et de la communication : les rapports publics 2022 et 2023 du CSC remis au Président du Faso

(Ouagadougou, 18 février 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a reçu ce mardi au cours d'une audience, les rapports publics des années 2022 et 2023 du Conseil supérieur de la Communication (CSC).

Le président du CSC, Wendingoudi Louis Modeste OUEDRAOGO et sa délégation se disent satisfaits des échanges avec le Chef de l’État. « Nous repartons très motivés et nous pensons que nous pourrons davantage accomplir de grandes choses pour que la communication soit une communication sociale saine, afin que le CSC puisse contribuer plus efficacement aux différentes actions de développement de notre pays », indique Wendingoudi Louis Modeste OUEDRAOGO.

Au cours de cette audience, la délégation du CSC a présenté l’état des médias et de la communication. Selon le président du CSC, les rapports 2022 et 2023 soulignent une amélioration du contenu, surtout dans les médias classiques, tout en reconnaissant la nécessité de redoubler de vigilance et de poursuivre dans le bon sens.

« Avec toutes les actions entreprises en termes de prévention, c’est-à-dire la formation des journalistes, la sensibilisation, nous observons maintenant que le contenu des médias est satisfaisant. Nous avons des contenus qui prennent en compte nos sensibilités, nos valeurs nationales et qui promeuvent notre culture», se réjouit M. OUEDRAOGO.

Régulation des nouveaux médias, enjeu majeur du CSC

Par contre, le président de l’instance de régulation des médias et de la communication reconnait que les nouveaux médias (réseaux sociaux) constituent un enjeu majeur de régulation. « Les médias sociaux évoluent vite et nous sommes en train d’imaginer la solution pour anticiper, pour amener nos compatriotes à faire attention à la désinformation qui est aujourd’hui à l’œuvre sur les réseaux sociaux. Et cette désinformation peut constituer un facteur limitant pour toutes les actions de développement et surtout pour toutes les actions engagées sur le terrain de la reconquête de notre territoire national », explique-t-il.

Lors de cette audience, le président du CSC Wendingoudi Louis Modeste OUEDRAOGO et sa délégation ont évoqué avec le Président du Faso, les perspectives pour l’année 2025. « Nous avons pu en termes de perspective, informer le Président du Faso, de ce que nous comptons organiser comme activités qui entrent dans nos missions et dans le cadre de la mise en œuvre de la loi organique, à savoir nos nouvelles attributions, qui nous amènent à réguler les réseaux sociaux », indique le président du CSC, qui prend l’engagement de mieux faire pour assainir l’espace médiatique afin « d’affirmer notre entière souveraineté sur notre espace audiovisuel et communicationnel ».

La délégation dit également avoir bénéficié auprès du Chef de l’État des conseils sur les actions de communication à mener pour que le CSC puisse contribuer véritablement au rayonnement de notre pays mais aussi à l’apaisement du climat social.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

𝐂𝐨𝐨𝐩𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 - 𝐂𝐚𝐧𝐚𝐝𝐚 : L𝐞 𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐚𝐠𝐞 𝐬𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐢𝐨𝐫𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥’𝐚𝐦𝐛𝐚𝐬𝐬𝐚𝐝𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐜𝐚𝐧𝐚𝐝𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞Le Premier...
18/02/2025

𝐂𝐨𝐨𝐩𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 - 𝐂𝐚𝐧𝐚𝐝𝐚 : L𝐞 𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐚𝐠𝐞 𝐬𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐢𝐨𝐫𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥’𝐚𝐦𝐛𝐚𝐬𝐬𝐚𝐝𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐜𝐚𝐧𝐚𝐝𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞

Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a reçu en audience, ce mardi 18 février 2025, à Ouagadougou, l’ambassadrice du Canada au Burkina Faso, Tina Guthrie. Cette entr***e a permis d’évoquer les axes prioritaires de la coopération entre les deux nations.

Le Canada et le Burkina Faso entretiennent une relation de coopération ancienne de plus de 60 ans. Les deux personnalités ont passé en r***e les priorités communes aux deux nations, qui s’articulent autour de plusieurs domaines, notamment l’économie, la santé, l’éducation et les questions humanitaires.

Tout en exprimant la disponibilité de son Gouvernement à la poursuite de cette coopération de longue date, le Premier ministre s’est voulu ferme sur les nouvelles bases à établir : une coopération respectueuse de la souveraineté et de l’indépendance du Burkina sur le choix de ses partenaires, le respect de ses valeurs endogènes et la réalisation d’actions à fort impact sur les populations.

À l’issue de cette audience, la diplomate Tina Guthrie, sur la base des grands axes du Plan d’action pour la stabilisation et le développement du Burkina Faso déclare "Nous avons constaté que nous avons toujours des priorités en commun, surtout dans les secteurs de l'éducation, de la santé et de la gestion des crises humanitaires".

"Le Canada reste engagé à soutenir les secteurs stratégiques tels que la santé et l’éducation, qui constituent des piliers essentiels du développement durable", a-t-elle confié. Le renforcement de la croissance économique figure également parmi les axes prioritaires de cette coopération.

La diplomate canadienne a aussi exprimé la préoccupation de son pays face à la situation sécuritaire et à la crise humanitaire au Burkina Faso. Elle a, du reste, réitéré l’engagement du Canada à rester aux côtés du Burkina Faso pour l’accompagner dans la gestion de ces défis majeurs.

𝐃𝐂𝐑𝐏/𝐏𝐫𝐢𝐦𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞

Conseil des ministres du 12 février 2025 : la perspective d’un statut de la chefferie coutumière et traditionnelle actée...
12/02/2025

Conseil des ministres du 12 février 2025 : la perspective d’un statut de la chefferie coutumière et traditionnelle actée

(Ouagadougou, 12 février 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a présidé, ce mercredi, l’hebdomadaire Conseil des ministres. Selon le ministre Porte-parole du Gouvernement, Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO, au cours de cette séance, plusieurs dossiers ont été examinés et adoptés.

Au titre du ministère de l'Administration territoriale et de la Mobilité, le Conseil a examiné et adopté un projet de loi portant statut de la chefferie coutumière et traditionnelle au Burkina Faso. Pour le ministre d’État chargé de l’Administration territoriale, Emile ZERBO, ce projet de loi permettra de régir « l’une des plus anciennes institutions de notre histoire » qui a été impliquée dans la résolution de plusieurs crises traversées par notre pays. Ce projet de loi vient clairement fixer le rôle et la fonction de la chefferie traditionnelle et permet son intégration dans l'ordonnancement juridique de notre pays.
« Il permet de revaloriser la chefferie coutumière et traditionnelle afin de participer à la consolidation de la paix au Burkina Faso. Le texte prévoit aussi les modes de dévolution de la chefferie traditionnelle », indique le ministre. Emile ZERBO rappelle également que ce texte interdit et sanctionne l'auto-proclamation.

Attention, pas de rémunération, pas d’activités politiques !

En outre, ce projet de loi ne prévoit aucune rémunération pour les chefs coutumiers et/ou traditionnels et exige de ces acteurs la démission s’ils veulent s’engager en politique. « C'est un texte qui permet aux chefs coutumiers et traditionnels de jouer le rôle que nous avons toujours voulu au Burkina Faso, c'est-à-dire des chefs qui rassemblent les populations et consolident la paix », précise le ministre d’État.

Gestion du flux migratoire : le décret d'application de la loi adopté

Pour le compte du ministère de la Sécurité, le Conseil a adopté un décret relatif aux modalités d'application de la loi du 22 février 2024 portant conditions d'entrée et de séjour des étrangers, de sortie des nationaux et des étrangers du territoire national.
Selon le ministre de la Sécurité, Mahamadou SANA, ce décret vise à renforcer et à clarifier les dispositions législatives en matière de gestion du flux migratoire tout en prenant en considération non seulement les normes et les standards internationaux et communautaires, mais également certaines tendances modernes en matière de droits comparés.
Le décret d’application va contribuer à lutter efficacement contre le terrorisme et toutes les autres formes de menaces transnationales. Il servira de base juridique pour encadrer le visa électronique et facilitera davantage le traitement de l'entrée et du séjour des étrangers au Burkina Faso.
Le ministre de la Sécurité rassure que ce décret d’application tient compte des décisions prises au sein des pays de la Confédération AES, des normes communautaires, des conventions internationales ratifiées par notre pays, et du principe de réciprocité.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Quelques images du lancement de l'Osep koupela 2,
06/02/2025

Quelques images du lancement de l'Osep koupela 2,

Assainissement et accès à l'eau potable à l'Ouest : des forages profonds qui ouvrent « une nouvelle ère pour la recherch...
01/02/2025

Assainissement et accès à l'eau potable à l'Ouest : des forages profonds qui ouvrent « une nouvelle ère pour la recherche »

(Bobo-Dioulasso, 1er février 2025). Le Directeur de Cabinet du Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Martha Céleste Anderson Dekomwin MEDAH, a procédé, ce samedi, au lancement des travaux de réalisation de forages profonds à Souroukoudougou dans la commune de Bama, région des Hauts-Bassins.

La réalisation de ces travaux revêt une importance capitale car ils permettront au monde scientifique de disposer d’informations géologiques et hydrogéologiques plus fiables et de proposer un modèle de gestion du bassin sédimentaire aquifère de l’Ouest du Burkina.

En effet, ces travaux entrent dans le cadre du Programme d’Approvisionnement en Eau et d’Assainissement (PAEA) du ministère de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement.

Ainsi, il est prévu la réalisation de seize (16) ouvrages composés de huit (08) forages profonds et huit (08) piézomètres dans plusieurs localités des régions des Cascades et des Hauts-Bassins.

« Son Excellence Monsieur le Président du Faso accorde une place importante à la recherche et à la découverte des potentialités qui se trouvent sur notre territoire. Le lancement des travaux aujourd’hui répond de cette recherche, parce qu’elle va au-delà de cette question d’eau », précise le Directeur de Cabinet du Président du Faso, le Capitaine MEDAH.
Avec des profondeurs allant de 500 à 1000 mètres, et un débit minimal attendu de 500 m3/h, ces forages marquent un tournant décisif dans la recherche et l’exploitation des ressources hydriques et géologiques du sous-sol burkinabè.
Dans le discours du Président du Faso, prononcé par le ministre chargé de l'Environnement, Roger BARO, il est ressorti que ces forages ouvrent « une nouvelle ère pour la recherche dans les domaines de l'hydrogéologie et de la géologie avec des retombées durables pour les générations futures ».

« En effet, les forages profonds et les piézomètres permettront non seulement de mieux comprendre les dynamiques des sédimentaires aquifères mais aussi d’avoir une longueur d’avance sur les défis croissants liés à la gestion des ressources en eau dans le contexte actuel de changement climatique », souligne le ministre BARO.

Pour ce faire, une invite a été faite aux équipes techniques, chercheurs et à tous les acteurs à se mobiliser, à consentir des efforts et à rester engagés pour garantir une mise en œuvre réussie des travaux.

Le Programme d’Approvisionnement en Eau et d’Assainissement (PAEA) né de la volonté du Gouvernement burkinabè, vise à faire du droit d’accès à l’eau potable et à l’assainissement une réalité pour tous les burkinabè.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

Initiative présidentielle pour la santé : la construction de centres médicaux communaux lancée à Bérégadougou(Bérégadoug...
31/01/2025

Initiative présidentielle pour la santé : la construction de centres médicaux communaux lancée à Bérégadougou

(Bérégadougou, 31 janvier 2025). Le Directeur de Cabinet du Président du Faso, le Capitaine Martha Céleste Anderson Dekomwin MEDAH représentant le Chef de l’État, a procédé ce vendredi, au lancement des travaux de construction des centres médicaux communaux dans le cadre de l’Initiative présidentielle pour la santé (IPS).

A Bérégadougou, commune située à une dizaine de kilomètre de Banfora (région des Cascades) sortira de terre bientôt un centre médical communal, doté de services d’urgences médicales, d’imagerie, d’une pharmacie, d’un bloc opératoire, d’un service d’hospitalisation, d’un laboratoire, d’une banque de sang, et d’un bloc administratif.

La pose de la première pierre de ces infrastructures marque le lancement de la construction de centres médicaux communaux et de blocs de réanimation et d’anesthésie dans le cadre de l’Initiative présidentielle pour la santé (IPS), avec pour objectif l’amélioration de l’accès aux soins de santé et la qualité des prestations offertes aux populations.

Il s’agit de réaliser 55 centres médicaux communaux sur les cinq prochaines années sur toute l’étendue du territoire national et 5 blocs de réanimation et d’anesthésie dans les hôpitaux du pays.

Le Directeur de Cabinet du Président du Faso, le Capitaine Martha Céleste Anderson Dekomwin MEDAH précise que pour l’année 2025, une vingtaine de centres médicaux communaux, 2 unités d’hémodialyses, 5 blocs de réanimation et 1 institut de cœur seront réalisés ainsi que la mise à disposition de produits innovants pour permettre le diagnostic moléculaire du cancer du sein.

Le Capitaine MEDAH souligne que cette initiative vise à « moderniser les infrastructures de santé tout en renforçant l’offre et la qualité des soins au Burkina Faso pour tous les burkinabè où qu’ils soient (...) et à offrir un meilleur cadre de travail aux agents de santé ». Il invite donc les bénéficiaires à s’approprier cette initiative et à mobiliser les savoirs et les ressources pour sa meilleure mise en œuvre.

Le Coordonnateur national de l’Initiative présidentielle pour la Santé, Drissa TRAORÉ rappelle que le Chef de l’État fait de la santé une priorité nationale. L’IPS s’inscrit donc dans une vision du progrès et pose les bases d’un système sanitaire performant.

Revenant sur la vision du Président du Faso pour le secteur de la santé, le ministre de la Santé Robert Lucien Jean-Claude KARGOUGOU, indique que des réformes audacieuses ont été engagées. Parmi celles-ci, l’allocation de 12% du budget de l’État au ministère de la Santé, l’amélioration des plateaux techniques des hôpitaux, la réduction drastique des coûts de certains examens médicaux, l’acquisition de matériel performant au profit des structures sanitaires du Burkina Faso et l’Initiative présidentielle pour la santé.

Adopté en Conseil des ministres le 3 juillet 2024, l’IPS vise à réformer notre système de santé à travers l’amélioration de l’offre de santé et de l’accessibilité des Burkinabè aux soins de santé, l’amélioration du cadre de travail du personnel.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

Le Président du Faso, Chef de l'État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, préside ce mercredi 29 janvier 2025 l'hebdomadaire Co...
29/01/2025

Le Président du Faso, Chef de l'État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, préside ce mercredi 29 janvier 2025 l'hebdomadaire Conseil des ministres.

Plusieurs dossiers inscrits à son ordre du jour seront examinés et des décisions importantes prises pour la bonne marche de la Nation.

Retrait de la CEDEAO : les ministres des Affaires étrangères de l’AES rendent compte de leurs travaux au Président du Fa...
27/01/2025

Retrait de la CEDEAO : les ministres des Affaires étrangères de l’AES rendent compte de leurs travaux au Président du Faso

(Ouagadougou, 27 janvier 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a reçu en audience, ce lundi en fin de matinée, les ministres des Affaires étrangères de la Confédération des États du Sahel, en séjour à Ouagadougou dans le cadre d’une réunion d’échanges sur les contours de la future collaboration avec la CEDEAO.

Pour le ministre chargé des Affaires étrangères de la République du Mali, Abdoulaye DIOP, dont le pays assure la présidence de l’AES, cette audience, au-delà d’une visite de courtoisie au Président du Faso, est un rendez-vous pour les ministres des Affaires étrangères de l’AES pour rendre compte au Chef de l’État de leur réunion qui a pris fin hier dimanche dans la soirée.

La délégation des ministres des Affaires étrangères a présenté au Président Ibrahim TRAORÉ les pistes qui ont été dessinées au cours des travaux de Ouagadougou en vue de leur validation par les Chefs d'État.

Le ministre Abdoulaye DIOP indique que les échanges avec le Président du Faso se sont déroulés dans une atmosphère de cordialité, de fraternité, mais aussi avec une très grande convergence sur l'ensemble des questions qui ont été discutées. « Il est important pour nous de pouvoir avoir une approche commune en tant que Confédération des États du Sahel pour porter les préoccupations de nos Chefs d'État, mais aussi les préoccupations des populations du Sahel dans le cadre d'un dialogue avec la CEDEAO ou toute autre entité, qui préserve les intérêts fondamentaux de nos populations », souligne le ministre DIOP.

« Nous avons aussi en retour recueilli les orientations du Président du Faso par rapport à la poursuite de ce travail. Je pense que le Président du Faso comme le Président du Mali et le Président du Niger sont sur la même longueur d'onde », ajoute le porte-parole de la délégation.

La délégation des ministres des Affaires étrangères se dit « réconfortée par le message très clair, l'engagement du Président du Faso, sa vision et sa détermination de maintenir le cap et d'avancer pour pouvoir aller très rapidement à la préservation de la paix et de la sécurité dans nos pays, de travailler à renforcer notre action diplomatique ».

Les ministres des Affaires étrangères entendent rassurer les populations de l’espace AES que la marche de la Confédération se poursuit sans aucune inquiétude. « Nos Chefs d'État ont pris une décision qui a été mûrement réfléchie », rassure le ministre malien des Affaires étrangères. Il en veut pour preuve la mise en circulation à partir du 29 janvier prochain du passeport de la Confédération des États du Sahel.

Selon le porte-parole de la délégation, cette rencontre de Ouagadougou a « pour objectif essentiel pour nos pays de pouvoir discuter des relations entre la Confédération des États du Sahel et la CEDEAO un an après avoir acté le 28 janvier 2024 notre sortie de cette organisation, pour pouvoir gérer la suite de ce retrait ».

Direction de la communication de la Présidence du Faso

𝐓𝐫𝐚𝐧𝐬𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐜𝐨𝐭𝐨𝐧 : 𝐋𝐞 𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞  𝐯𝐢𝐬𝐢𝐭𝐞 𝐮𝐧 𝐜𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞́𝐝𝐢𝐞́ 𝐞𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚̀ 𝐁𝐨𝐛𝐨-𝐃𝐢𝐨𝐮𝐥𝐚𝐬𝐬𝐨Le Premier mini...
26/01/2025

𝐓𝐫𝐚𝐧𝐬𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐜𝐨𝐭𝐨𝐧 : 𝐋𝐞 𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐭𝐞 𝐮𝐧 𝐜𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞́𝐝𝐢𝐞́ 𝐞𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚̀ 𝐁𝐨𝐛𝐨-𝐃𝐢𝐨𝐮𝐥𝐚𝐬𝐬𝐨

Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a visité le chantier de construction du Centre national d’appui à la transformation artisanale du coton (CNATAC), ce samedi 25 janvier 2024, à Bobo-Dioulasso. Cette visite lui a permis de constater l’état d’avancement des travaux de ce centre de formation et de transformation de l'or blanc.

La construction du Centre national d’appui à la transformation artisanale du coton (CNATAC) s’inscrit dans la vision du gouvernement burkinabè de faire de la filière textile un pilier stratégique de l’économie nationale, en valorisant le coton local et en renforçant les compétences des artisans.

Bâti sur une superficie de 10 hectares, le CNATAC est conçu pour devenir un centre international de formation et de transformation textile.

L'infrastructure comprendra, entre autres, un atelier de tissage, un atelier de teinture, un atelier de couture, une salle d’exposition et des bâtiments administratifs.

Le centre qui va accueillir principalement les artisans burkinabè, les organisations professionnelles et les entreprises artisanales vise à professionnaliser les acteurs du secteur dans trois domaines, à savoir le tissage, la teinture et la coupe-couture.

A l'issue de la visite, le Premier ministre a souligné l’importance de cette infrastructure dans la valorisation du savoir-faire local, notamment à travers la promotion des textiles traditionnels comme le Faso Dan Fani et d’autres étoffes inspirées des techniques endogènes.

« Il est important d'avoir un centre comme celui-là, qui va accompagner la recherche de l'excellence et de la qualité dans la filière. C'est en cela que ce centre-là est très important », a-t-il affirmé.

Le chantier, démarré en 2024, avance à un rythme satisfaisant, selon le Chef du Gouvernement.
«Dans les semaines à venir, pour ce qui concerne la réalisation des bâtiments, on devrait connaître l'achèvement pour laisser place à une deuxième phase qui va voir la réalisation d'infrastructures d'extension, notamment des dortoirs et d'autres infrastructures connexes », a-t-il indiqué.

Le Premier ministre a instruit le ministère de l'industrie, du commerce et de l'artisanat d'anticiper l'élaboration des textes encadrant le fonctionnement du CNATAC, afin d’assurer sa mise en service rapide dès la livraison des réalisations de la première phase du projet.

Une fois les travaux achevés, la région des Hauts-Bassins disposera d'un outil essentiel pour transformer le potentiel artisanal existant dans le domaine du textile en une véritable industrie compétitive et durable.

𝐃𝐂𝐑𝐏/𝐏𝐫𝐢𝐦𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞

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