13/09/2025                                                                            
                                    
                                                                            
                                            DE DUBAÏ AU BUSH KHALIFA, À LA CHINE POUR LA 3ᵉ FOIS : MON HISTOIRE EST LA PREUVE
Quand j’ai démarré Longrich, je n’avais pas les moyens. Mon upline m’a offert un pack de produits pour que je puisse me lancer. C’était mon point de départ. J’étais loin d’imaginer jusqu’où ce cadeau allait me conduire.
En 2022, j’ai voyagé pour la première fois grâce à Longrich : Dubaï. Je me souviens encore de cette photo devant le Bush Khalifa, l’immeuble le plus haut du monde. Ce jour-là, je me suis fait une promesse : chaque année, je me filmerais dans un endroit unique au monde pour prouver que le rêve est accessible à celui qui ose.
En 2023, Longrich m’a emmené en Chine. En 2024, encore en Chine. Et demain, je pars pour mon 3ᵉ voyage en Chine consécutif. Pékin, Shanghai, Soochow, Guangzhou. Douze jours d’expériences, tout pris en charge. Et je ne pars pas seul : une équipe de plus de 150 Africains et partenaires venus du Cameroun, de la RCA, du Gabon, du Sénégal, de la Zambie, du Canada, d’Allemagne, des USA et bien d’autres pays vivront cette aventure avec moi.
Alors je le dis sans détour : si un jeune qui a commencé sans rien, avec un simple pack offert, peut voyager aux quatre coins du monde chaque année, qu’est-ce qui t’empêche toi d’écrire ton histoire ?
Aujourd’hui, Longrich n’est plus une opportunité à observer de loin. C’est un train en marche. Ceux qui montent voient leur vie changer. Ceux qui hésitent restent sur le quai. Et quand nous reviendrons de Chine, d’autres auront déjà pris de l’avance.
La vraie question est la suivante : vas-tu continuer à regarder les autres vivre leurs rêves ou vas-tu nous rejoindre avant notre retour et commencer à écrire le tien ?
C'est l'histoire de MARCHEL MEKAM je t'invite donc suivre.
Contacte moi maintenant et devient acteur de ton propre changement.
Hamlidi Ibrahim MONOA