21/10/2025
[ ] 21 octobre 2022 – 21 octobre 2025 : Trois ans de serment, trois ans d’engagement patriotique de S.E.M. le Capitaine Ibrahim TRAORÉ
Il y a trois ans jour pour jour, le 21 octobre 2022, S.E.M. le Capitaine Ibrahim TRAORÉ prêtait serment devant le Conseil constitutionnel, engageant son honneur et sa vie pour la défense du Burkina Faso. Ce jour-là, il prononçait ces mots lourds de sens devenus aujourd’hui un repère historique et moral « Je jure devant le peuple burkinabè et sur mon honneur de préserver, de respecter, de faire respecter et de défendre la Constitution, la Charte de la Transition et les lois, de tout mettre en œuvre pour garantir la justice à tous les habitants du Burkina Faso. » Trois ans plus t**d, ce serment résonne encore comme le socle d’un combat assumé pour la reconquête de la souveraineté et la restauration de la dignité nationale.
À la tête de l’État dans un contexte sécuritaire critique et face à une guerre asymétrique imposée aux populations, S.E.M. le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a fait le choix de la vérité, de la franchise et de la responsabilité. Loin des discours creux ou des promesses sans lendemain, il a placé l’action au cœur de son leadership. Sous son impulsion, le Burkina Faso a engagé une dynamique sans précédent de résistance et de reconquête du territoire, portée par des forces armées réorganisées et renforcées ainsi que par la mobilisation patriotique des Volontaires pour la Défense de la Patrie. Des localités autrefois abandonnées à la barbarie terroriste ont été reprises, des corridors stratégiques ont été rouverts et des populations déplacées ont entrepris leur retour progressif dans la dignité.
Dirigeant de conviction, S.E.M. le Capitaine Ibrahim TRAORÉ n’a cessé de rappeler que la souveraineté n’est pas négociable. Convaincu que la liberté d’un peuple ne se quémande pas mais se conquiert et se construit, il a engagé le Burkina dans une rupture assumée avec toute forme de domination extérieure. La diversification des partenariats stratégiques, la montée en puissance de l’industrie militaire nationale et les investissements massifs dans l’effort de guerre témoignent de la cohérence de sa vision qui est de bâtir un Burkina libre, fort et maître de son destin.
Au-delà du front militaire et diplomatique, le Président du Faso œuvre également pour la justice sociale et le développement endogène. Sous sa direction, l’État développe un nouveau modèle économique fondé sur la transformation locale, l’exploitation souveraine des ressources et la valorisation du potentiel national. À travers des initiatives renforcées ou nouvelles telles que Faso Baara, Faso Attiéké, Faso Pionnier, Faso Dan Fani, Faso Mêbo ou encore l’École de Production, S.E.M. le Capitaine Ibrahim TRAORÉ imprime une orientation claire pour libérer l’économie des chaînes de la dépendance et créer de la valeur au profit du peuple burkinabè.
Trois ans après son serment, l’homme reste fidèle à sa parole en servant sans trahir. Sa gouvernance, sobre et rigoureuse, renoue avec l’éthique patriotique et le sens du sacrifice. Son engagement inspire la jeunesse, redonne confiance aux populations et rassemble les forces vives autour d’un idéal commun de refondation nationale dans la dignité, la souveraineté et la justice sociale.
En trois ans, S.E.M. le Capitaine Ibrahim TRAORÉ s’est imposé comme le symbole d’un réveil national porté par le refus de la résignation et la défense de la patrie. Dans un contexte marqué par la guerre et d’immenses défis, il a prouvé qu’il n’était pas un homme de parole seulement mais aussi et surtout un homme d’action et de principes. Il a fait le choix du courage et de l’honneur. Il a fait le choix de la vérité et de la responsabilité. Il a fait le choix du Burkina Faso.
Faso Voxpress
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