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Djeelix News est née de la prise de conscience d'un besoin en informations capitales des populations. Dans ce flot continue d'informations qui circulent, il se pose la problématique du choix par les citoyens des informations justes, vérifiées et vérifiables: une condition capitale pour le développement. Il s'agit, pour l'équipe de Djeelix News, d'opérer ces choix en tenant compte de la crédibilité

des sources d'informations et de l'importance des sujets traités au delà des polémiques passagères. Djeelix News se donne pour mission d'apporter une information juste, utile et capitale sur des sujets divers et importants dans le processus de décentralisation, du développement et de démocratisation du Burkina Faso. L'outil Djeelix News, regroupe un site internet djeelix.com dont les informations seront déclinées sur l'ensemble des réseaux sociaux et bientôt la mise en place d'une application mobile. Adossée à Djeelix, l’Agence Veenem Infos est opérationnelle pour répondre aux besoins en Informations justes vérifiées et vérifiables. À la carte ou par abonnement, c'est un outil efficace privilégié pour les personnalités pour leur prise de parole publique, pour les entreprises et les organisations pour le développement stratégique. Sur commande, l'équipe pluridisciplinaire de Veneem vous donnera les informations correctes sur des sujets que vous définissez de l’actualité interne et étrangère. Nous vous offrons également sur mesure, le bruit médiatique vous concernant et ou vos produits dans l'optique du contrôle de votre image.

27/07/2025

🦟 Contre le paludisme :

Le paludisme tue silencieusement, mais nous pouvons l'arrêter ensemble.
Protégez-vous et protégez votre famille.
Chaque geste compte :
- Dormez toujours sous une moustiquaire imprégnée.
- Éliminez les eaux stagnantes autour de votre maison.
- Portez des vêtements couvrants, surtout la nuit.
- Consultez un agent de santé au moindre symptôme.
Le paludisme n’aura pas le dernier mot.

15/07/2025

𝐏𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮 𝐥𝐨𝐠𝐨 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐁𝐄𝐀𝐂

Lors de sa session ordinaire tenue le 10 juillet 2025 à Malabo, en République de Guinée Equatoriale, le Conseil d’Administration de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC) a adopté le nouveau logo de la Banque Centrale, constitué d’un pictogramme en couleur or uni, du monogramme « BEAC » et de la signature « BANQUE DES ÉTATS DE L’AFRIQUE CENTRALE ».

1. Objectifs

Le logo est un élément d’identification et de communication essentiel de la BEAC. Sa refonte vise notamment à :

- remédier aux faiblesses actuelles de l’identité visuelle de la BEAC (obsolescence graphique, inadéquation aux supports numériques modernes, multiplicité des versions non harmonisées, et absence d’un cadre normatif régissant leur utilisation) ;
- ancrer la Banque Centrale dans la modernité et refléter son adaptation continue aux exigences d’un environnement économique en perpétuelle mutation ;
- améliorer la clarté des messages et la visibilité de l’Institution ;
- renforcer la sécurité des symboles graphiques ;
- renforcer son image dynamique et innovante de la Banque Centrale dans un langage visuel renouvelé.

2. Symbolique

Les têtes d’élan de Derby représentent la richesse de la faune de l’Afrique Centrale, soulignant l’attachement de la BEAC à ses racines régionales. Elles symbolisent la force, la coopération et la stabilité de l’Institution ainsi que le rôle de locomotive qu’elle joue au sein du système financier sous-régional.

Le retrait du cercle et la suppression des herbes sur le pictogramme symbolisent l’ouverture de la BEAC à de nouvelles perspectives. Cette simplification reflète l’ouverture sans limites de la BEAC sur le monde et vers de nouveaux horizons.

La couleur jaune-or renvoie à la richesse, à l’abondance et à la prospérité.

La typographie originale, moderne et lisible, renforce la crédibilité et le professionnalisme de l’Institution. L’alignement du texte à droite des têtes d’élan de Derby crée un équilibre visuel agréable.

3. Perspectives

L’adoption par le Conseil d’Administration de la BEAC de ce logo repensé, sobre et contemporain, permettra d’offrir à la BEAC une charte graphique cohérente et adaptée aux standards de communication actuels, tant dans les formats imprimés que numériques.

05/07/2023

FOIRE INTERNATIONALE DU LIVRE DE OUAGADOUGOU (FILO_2023)

Le Ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme a le plaisir d'informer le public burkinabè en général et les acteurs du Livre en particulier, de l'organisation de la 17ème édition de la Foire internationale du Livre de Ouagadougou (FILO).

Cet événement est prévu se tenir du 23 au 26 novembre 2023 au Pavillon Soleil levant du SIAO sous le thème : « Les opportunités du numérique pour le développement de l'industrie du livre au Burkina Faso ». Cette biennale est un espace de rendez-vous offert aux écrivains, aux éditeurs, aux imprimeurs, aux diffuseurs, aux lecteurs et autres visiteurs en vue de la dynamisation de la filière du Livre.

Les principales activités au programme de la présente édition sont :
👉Exposition-vente de livres;
👉Olympiades littéraires;
👉Grand prix du Livre ;
👉Prix spéciaux;
👉Colloque et ateliers professionnels ;
👉Animation de l'espace enfants;
👉Dédicaces.

Il invite les acteurs du Livre et de la lecture intéressés par les différentes activités à bien vouloir prendre attache avec la Direction générale de la Culture et des Arts aux adresses suivantes :
Tél:(+226) 70224748 / 76232197; Email: [email protected].

«Une nation qui lit est une nation qui gagne !».


Sécurité et Défense : le Chef de l’Etat encourage les organisateurs du SYSDEF(Ouagadougou, 5 juillet 2023). Le Président...
05/07/2023

Sécurité et Défense : le Chef de l’Etat encourage les organisateurs du SYSDEF

(Ouagadougou, 5 juillet 2023). Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a visité ce mercredi les stands du Salon International Synergie Sûreté, Sécurité et Défense (SYSDEF) qui a ouvert ses portes hier mardi 4 juillet dans la capitale burkinabè.

Pour le commissaire du SYSDEF, Hyacinthe ZOURE, la visite du Chef de l’Etat montre qu’il est proche de son peuple.
Placée sous le thème : « Quelles contributions du secteur privé dans la sécurisation des Etats? », cette première édition réunit tous les corps militaires et paramilitaires ainsi que des acteurs du secteur privé qui proposent des outils et des services de sécurité et de défense.

« On a mis également en avant la jeunesse qui innove à travers l’organisation d’un hackathon autour des solutions de sécurité et de défense parce qu’on veut vraiment accompagner l’industrie de la sécurité et de la défense », a soutenu le commissaire du SYSDEF.
C’est le Directeur de cabinet du Président de la Transition, le Capitaine Martha Céleste Anderson MEDAH qui a procédé le 4 juillet dernier au lancement des activités du SYSDEF à laquelle participe une quinzaine de sociétés africaines, européennes et asiatiques.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Nouvelle année 2023 : Les vœux de l’association Beog Néere  Les membres adhérents et  bénévoles de l’association Beog Né...
12/01/2023

Nouvelle année 2023 : Les vœux de l’association Beog Néere

Les membres adhérents et bénévoles de l’association Beog Néere ainsi que des personnes invitées de la présidente Madame Marie Cécile YOUGBARE, se sont retrouvées à l’occasion d’une cérémonie sobre de présentation de vœux, le 07 janvier 2023 au siège de l’association sis au Quartier Ouidi de Ouagadougou.

«Nous présentons à tous ainsi qu’à nos proches tous nos meilleurs vœux pour cette nouvelle année. Nous espérons que 2023 nous apportera le bonheur, la santé et la concrétisation des projets qui nous tiennent à cœur», a dit la présidente, Madame Marie Cécile YOUGBARE qui n’a pas manqué de souhaiter «un retour rapide de la paix au Burkina» et de demander à «Dieu de guérir toutes les personnes qui souffrent de maladies handicapantes».

«Je souhaiterais également profiter de cette occasion pour vous remercier pour votre engagement sans faille à nos côtés durant l’année écoulée», a ajouté la présidente de Beog Néere en reconnaissance des efforts consentis par les membres pour les résultats atteints en 2022. Et de préciser à l’attention de l’assistance que « sans vous, il aurait été impossible à notre association de mener à bien les actions collectives que nous avons porté».

Pour l’année qui débute, Madame YOUGBARE dit espérer que «notre association et nos activités vous apporteront toute la satisfaction recherchée et que nous resterons liés par notre passion commune qui est d’offrir une rééducation fonctionnelle à l'ensemble de nos patients ».

Djeelix News

Sécurité : le véhicule de Serge Bayala incendié !Le véhicule de Serge Bayala, alias Lianhoué Ihmotep, secrétaire du mouv...
23/08/2022

Sécurité : le véhicule de Serge Bayala incendié !

Le véhicule de Serge Bayala, alias Lianhoué Ihmotep, secrétaire du mouvement "Deux heures pour nous, deux heures pour Kamita" , un activiste de la société civile bien connu, a été incendié hier soir, autour de...
Lire la suite sur

https://kaceto.net/spip.php?article12155

23/08/2022

«Terroriste ne foule pas le sol de mon village », doit être désormais, le slogan de ralliement, selon Ahmed Newton Barry

Dans un post Facebook publié lundi 22 août à 17 40 le journaliste Ahmed Newton Barry évoque le choc des images provoqué par «le pont de Naré re dynamité !». D'où il tire que «les terroristes se jouent de notre refus de changer». Pour NAB, «désormais le projet des terroristes de couper le Sahel du reste du Burkina est quasiment réalisé».

Selon lui, «l’Etat Burkinabè n’a pas pu s’y opposer. Pire, il a alourdi son passif humain, de nouveaux cadavres qui alourdissent le climat social sans apporter une perspective de solution». Revenant sur ce qu'il qualifie de «drame de Tougouri», lors de l’opération de représailles, sous les renseignements des VDP de essentiellement des anciens Koglweogo devenus VDP, le journaliste informe qu'un chef de village a été «arrêté et exécuté». Il se trouve que ce chef de village a deux de ses enfants militaires dans les forces armées nationales Burkinabè.
Depuis les événements de Tougouri les deux militaires, selon NAB trouvent quasiment portes closes auprès de leur hiérarchie. Ils ont demandé le soutien de l’armée pour pouvoir enlever le corps de leur père et procéder à son enterrement. Mais précise le journaliste, «jusqu’à jeudi de la semaine passé, leur hiérarchie ne leur avait pas donné une suite favorable». NAB plaide pour que l'Armée aide les deux militaires à aller chercher le corps de leur père.

En guise de proposition de solution Ahmed Newton Barry milite pour que l'Armée engage autrement la guerre contre le terrorisme. Car selon lui, la stratégie actuelle consistant à venir après coup, à opérer des « enlever-tuer » ou procéder par des frappes aériennes sur des cibles dont on est pas toujours certain de l’exactitude ou encore depuis un lieu éloigné du théâtre procéder par le pilonnage aux mortiers a montré son inefficacité et sa dangerosité. Il faut aujourd’hui, alors qu’il est encore possible, déclarer une guerre générale inclusive. « Terroriste ne foule pas le sol de mon village ! » Ce doit être désormais, le slogan de ralliement.

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=2291417984332607&id=100003932847666

djeelix.com

Lutte contre le terrorisme : Le Niger prêt à partager son expérience avec le Burkina Faso (Lefaso.net)Les ministres de l...
22/08/2022

Lutte contre le terrorisme : Le Niger prêt à partager son expérience avec le Burkina Faso (Lefaso.net)

Les ministres de la Défense nationale du Burkina Faso et du Niger ont tenu une séance de travail, ce lundi 22 août 2022 à Ouagadougou. Il s'est agi essentiellement de la coopération militaire dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.

Le Burkina Faso et le Niger veulent continuer à travailler main dans la main pour lutter contre le terrorisme. Toute la journée, les deux armées ont passé en r***e leur coopération militaire.

Le Niger, à travers son ministre de la Défense nationale, a témoigné sa disponibilité à partager l'expérience de son pays dans la lutte contre le terrorisme avec son voisin le Burkina Faso.

Quant au ministre burkinabè, général Aimé Barthélémy Simporé, il a qualifié cette journée de "frustueuse".

Lefaso.net

Le pardon dans la tradition moaga, selon le Pr Albert Ouédraogo, spécialiste des littératures orales  Source: L'Observat...
28/07/2022

Le pardon dans la tradition moaga, selon le Pr Albert Ouédraogo, spécialiste des littératures orales

Source: L'Observateur Paalga du 28 juillet 2022

✍🏾Quelle aurait dû être la démarche de Blaise Compaoré dans cette demande de pardon ?

La démarche mérite encore d’être peaufinée, mieux finie parce qu’on a encore des ressources dans nos traditions qui peuvent aider à demander pardon sans pour autant qu’on entre dans la grande médiation. En réalité, les grands pardons n’ont pas besoin de grandes médiations. Ils se font dans le silence, dans l’humilité moyennant des sacrifices. Au regard de ce qui s’est passé, il y a des sacrifices à faire pour apaiser les esprits violentés par ce qui s’est passé. Depuis la mort de Norbert Zongo, il y a eu beaucoup d’autres morts. J’ai eu l’occasion de dire déjà que la terre du Burkina est désormais assoiffée de sang. Il faut peut-être apaiser ces esprits qui recherchent du sang et de plus en plus de sang. On a toujours de plus en plus de sang. Ce n’est pas le terrorisme qui va venir faire le contraire. Il va falloir, à un moment donné, arrêter le cycle du sang et de la violence. La terre du Burkina a bu trop de sang. C’est clair qu’à un moment donné il va falloir faire de grandes immolations, de grandes incantations et voir les tenants des traditions de nos cultures respectives pour qu’on essaie d’enlever la souillure dont le Burkina est gorgé. Il faut qu’on lave ce sang, qu’on purifie le pays. Ce sang ne peut être purifié que par le sang. C’est du sang humain, il faut peut-être utiliser du sang animal pour nettoyer cette salissure. Et ça, ce sont les chefs de terre accompagnés des chefs qui peuvent nous aider à sortir de cycle de violence. Pour cela, il est impérieux que tous ceux qui sont responsables, d’une manière ou d’une autre, de ce qui s’est passé puissent se repentir ; qu’ils demandent sincèrement pardon.

En mooré, le pardon c’est ‘’sougri’’ ou le toit de chaume. C’est le toit de chaume qui couvre tout. Grâce à ce pardon, on peut tout construire ; on peut tout bâtir ; on peut repartir de zéro. Tant que le pardon n’est pas là, on est dans la rancœur, dans la revanche. Il est temps aujourd’hui, comme on dit chez les Indiens, qu’on fume le calumet de la paix. Mais cela n’enlève rien au processus de la justice. Le pardon n’est pas une notion juridique. La justice moderne ignore le pardon. C’est dans nos justices transitionnelles qu’on connaît le pardon. C’est une valeur très forte de notre société. C’est pourquoi, au-delà de la justice, il faut avoir le cœur au pardon. Une première démarche a été faite. Une lettre est arrivée. J’estime que plus la faute est lourde, profonde et ancienne, plus la démarche pour demander pardon peut être longue. Mais ce n’est pas grave. L’essentiel est qu’on retrouve la voie qui mène au pardon. Je crois que c’est ce qui est en train de commencer.

✍🏾Il a choisi d’envoyer sa propre fille. Quelle signification vous donnez à cela ?

Quand on reprend l’histoire des Mossé, il y a des choses similaires. Quand la princesse Yennenga a quitté Gambaga et s’est rendu en brousse où elle a eu son enfant, elle ne pouvait pas revenir chez elle à Gambaga. C’était interdit. Elle avait commis une faute lourde. Elle est revenue avec son fils pour demander pardon et le pardon lui a été accordé. Quand c’est une fille, c’est encore plus fort. Les femmes ont toujours été sources de pardon. S’il a accepté de mettre sa fille en avant, je pense que c’est un geste fort. Je pense que c’est parce qu’il estime que la vie ne s’arrête pas à lui. Il y a sa progéniture, la génération à venir. Elle vient intercéder pour les fautes de son père. Dans la tradition, c’est tout à fait recevable. La démarche doit se faire auprès des parents des victimes afin qu’elle puisse revêtir un caractère beaucoup plus intime parce que le pardon n’est pas spectaculaire. Le pardon se fait dans l’intimité. C’est au fond de soi qu’on pardonne. Ce n’est pas devant les médias qu’on pardonne. La blessure qu’on a vécue, c’est au fond de soi, c’est à l’intérieur de soi donc il est important que cette intimité puisse être respectée dans cette démarche.

✍🏾Pour cette demande de pardon, quelle pourrait être la délégation type qui peut accompagner l’ancien président auprès de la famille Sankara et éventuellement chez d’autres familles de victimes ?

Quand une affaire a atteint une certaine dimension, ce n’est plus une affaire d’individus. Dans ce qui s’est passé, il y a des familles qui ont été affectées de part et d’autre, aussi bien du côté du président Blaise Compaoré que du côté de toutes les victimes. C’est un peu comme le gacaca au Rwanda. Il faut que tous ceux qui ont été affectés puissent être conviés.

Nous sommes dans des sociétés structurées. Que ce soit la famille de Blaise ou de Norbert Zongo, nous avons des chefs de terre, des chefs traditionnels, des chefs religieux, des vieillards, des personnes habilitées dans ces traditions à demander pardon lorsqu’il y a des crimes de sang. S’il y a un crime de sang avec brûlure de cadavres, c’est le travail des forgerons. Il faut demander à ces personnes de monter au créneau et d’officier cette demande de pardon. C’est vraiment une affaire de forgerons. C’est vrai que pour qu’ils le fassent, il faut que les chefs leur donnent leur quitus. Il y a le feu qui est passé par là et c’est donc le travail des forgerons.


✍🏾Cela est propre aux Mossis, est-ce que vous connaissez ce qui se passe ailleurs dans d’autres cultures ?

Ce qui passe chez les Mossé, vous avez cela aussi chez les Gourounsi, les Bwaba, les Bobo. Chez les Bobo, si ce n’est pas le griot, c’est le forgeron. Ce sont des personnes qui sont habilitées à demander pardon. Chez les Moosé, à un moment donné on peut ne pas passer par le forgeron mais passer par le Wemba, quand c’est une affaire qui touche la chefferie à un certain seuil. A Ouagadougou, c’est le Wemtenga Naaba qui joue ce rôle. Si ce n’est pas lui, on se réfère au Poé Naba. Donc, il y a beaucoup de mécanismes de demande de pardon dans notre société. Quand on commence par l’un et qu’on ne trouve pas de solution, on passe au suivant. Il y a plusieurs formes de demande de pardon dans la société moaga.

✍🏾Dans certains cas peut-on faire recours à la parenté à plaisanterie ?

La parenté à plaisanterie fonctionne à fond dans la prévention. Quand il s’agit de guérir, on peut l’utiliser mais elle a moins de solennité et de rituel. Par exemple après ce qui s’est passé à Yirgou avec le roi de Boussouma, on a fait venir des forgerons pour faire des libations et dire que plus jamais un forgeron ne doit verser le sang d’un Peulh. Nous avons participé à cela. C’est le roi du Boussouma qui a présidé ce rituel avec des responsables peulh. C’est pour cela que depuis lors il n’y a pas eu de récidive dans cette affaire. C’est de la repentance collective. Au-delà de Blaise Compaoré, que tout le monde ait le courage de pardonner à son voisin car le pays en a besoin. Il y a trop de rancœurs en nous et cela se voit dans la moindre dispute et tout de suite ça va trop loin. Il faut qu’on réapprenne à vivre en frère, on a trop vécu en ennemi.

✍🏾Le problème ici est plus politique et moderne. Peut-on ou doit-on refuser le pardon ?

On peut refuser le pardon. Mais celui qui le refuse est mort. Celui qui refuse le pardon finira par mourir de la mauvaise manière. Refuser le pardon est funeste chez les Mossé. Quand on vient vous demander pardon une fois, deux fois, trois fois et vous refusez, c’est que vous êtes en train de sortir du rang des hommes pour rentrer dans celui du diable. Le pardon est d’abord divin. C’est parce qu’on se rapproche de Dieu qu’on peut accepter le pardon. Si on demande à quelqu’un de pardonner, c’est pour qu’il se rapproche de Dieu. Si vous refusez, vous êtes plus proche du sorcier que de Dieu. Dans la société traditionnelle, on vous met à l’écart.

Extrait interview réalisée par Lévi Constantin Konfé et Harouna Abdoulaye Nass in L'Observateur Paalga du 28 juillet 2022

Lutte contre le terrorisme : « Nous n’agissons qu’à la demande des autorités burkinabè », a déclaré l’ambassadeur de la ...
21/07/2022

Lutte contre le terrorisme : « Nous n’agissons qu’à la demande des autorités burkinabè », a déclaré l’ambassadeur de la France au Burkina Faso.

Selon le diplomate, la France respecte la souveraineté du Burkina Faso. Donc elle ne peut intervenir que si les autorités leur font la demande.

Lefaso.net

Bitumage de la route Ouahigouya Djibo et nomination de préfets de département, haut-commissaires de provinces en Conseil...
13/07/2022

Bitumage de la route Ouahigouya Djibo et nomination de préfets de département, haut-commissaires de provinces en Conseil des Ministres ce mercredi 13 juillet 2022

Le Conseil des ministres s’est tenu à Ouagadougou,
le mercredi 13 juillet 2022,
en séance ordinaire, de 09 H 00 mn à 16 H 17 mn,
sous la présidence de
Son Excellence Monsieur Paul-Henri Sandaogo DAMIBA
Président du Faso, Président du Conseil des ministres.

Il a délibéré sur les dossiers inscrits à son ordre du jour,
entendu des communications orales,
procédé à des nominations,
et autorisé des missions à l’étranger.

I. DELIBERATIONS

I.1. AU TITRE DE LA PRIMATURE

Le Conseil a adopté un décret portant organisation, attributions et fonctionnement des services du Premier ministre.
L’adoption de ce décret permet aux services du Premier ministre d’assurer efficacement leurs missions de coordination de l’action gouvernementale.

I.2. AU TITRE DU MINISTERE DE LA JUSTICE ET DES DROITS HUMAINS, CHARGE DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS

Le Conseil a adopté trois (03) décrets.
Le premier décret porte autorisation de répudiation de la nationalité burkinabè.
L’article 186 du Code des personnes et de la famille offre la possibilité à tout Burkinabè de répudier sa propre nationalité au profit d’une nationalité étrangère.
L’adoption de ce décret permet à vingt-sept (27) personnes qui en ont fait la demande de renoncer à la nationalité burkinabè au profit d’autres nationalités.
Le deuxième décret porte rectification du décret n°2021-0716/PRES/PM/MJDHPC du 12 juillet 2021 portant naturalisation.
L’adoption de ce décret permet de corriger les erreurs contenues dans ledit décret concernant trois (03) personnes afin que ces bénéficiaires de la nationalité burkinabè et leurs ayants droits puissent j***r du statut de Burkinabè.
Le troisième décret porte naturalisation.
Ce décret vise à accorder la nationalité burkinabè à des personnes de nationalité étrangères vivant au Burkina Faso qui en ont fait la demande selon les dispositions des articles 151, 155, 158 et 162 du Code des personnes et de la famille.
L’adoption de ce décret permet à cent quarante-six (146) personnes ainsi qu’à leurs enfants mineurs d’être naturalisés et de j***r du statut de Burkinabè.

I.3. AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE, DES FINANCES ET DE LA PROSPECTIVE
Le Conseil a adopté deux (02) rapports.
Le premier rapport est relatif à un avant-projet de loi de règlement du budget de l’Etat et ses annexes, exercice 2021.
Cet avant-projet de loi rend compte de l’exécution du budget de l’Etat, exercice 2021. Il retrace les autorisations en matière de recettes et de dépenses du budget général et des comptes d’affectation spéciale ainsi que leur état d’exécution, l’état d’exécution des opérations de trésorerie et la présentation du résultat d’exécution des Lois de finances.
Le Conseil a marqué son accord pour la transmission dudit projet de loi à l’Assemblée législative de Transition.
Le second rapport est relatif à un projet de décret portant mutation du Fonds national de solidarité en Fonds national de solidarité et de résilience sociale.

L’adoption de ce décret permet de disposer d’un instrument adapté à l’évolution du processus d’aide pérenne aux personnes vulnérables et au nouveau contexte d’urgences sociales et humanitaires notamment la prise en charge des victimes de guerre et/ou d’attaques terroristes de même que la capacitation et la résilience des couches sociales vulnérables en détresse.

I.4. AU TITRE DU MINISTERE DES INFRASTRUCTURES ET DU DESENCLAVEMENT

Le Conseil a adopté un rapport relatif à une demande d’approbation des résultats de l’appel d’offres international ouvert n°2021-0204/MID/SG/DMP/SMT-PI du 19/03/2021 relatif aux travaux de construction et de bitumage de la route nationale n°23 Ouahigouya-Djibo y compris les travaux connexes (voiries et pistes rurales).
Le Conseil a marqué son accord pour l’attribution du marché à l’Entreprise Africaine des Travaux Publics (ATP) pour un montant de quarante-huit milliards cent quarante-quatre millions cinq cent quarante-huit mille cent quarante-quatre (48 144 548 144) F CFA TTC, avec un délai d’exécution de trente (30) mois y compris la saison des pluies.

Le financement est assuré par le Fonds koweitien pour le développement économique arabe (FKDEA), le Fonds saoudien de développement (FSD), la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA) et le Budget de l’Etat.

I.5. AU TITRE DU MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ALPHABETISATION ET DE LA PROMOTION DES LANGUES NATIONALES

Le Conseil a adopté un rapport relatif à la problématique du paiement de la quote part des frais de scolarité des élèves affectés par l’Etat dans les établissements privés d’enseignement post-primaire et secondaire.
Pour remédier au déficit des capacités d’accueil dans les établissements publics d’enseignement, le ministère de l’Education nationale, de l’alphabétisation et de la promotion des langues nationales a signé des conventions d’affectation d’élèves avec les établissements privés, désignés sous le terme d’établissements privés conventionnés.

Cependant, la prise en charge de ces frais de scolarité se pose avec acuité, entrainant des arriérés d’année en année.

Le Conseil a instruit les ministres chargés de l’Education nationale et celui des Finances de prendre toutes les dispositions nécessaires en vue de l’apurement de ces arriérés. Il a également instruit qu’une réflexion soit menée en vue d’améliorer le mécanisme des subventions dus aux établissements conventionnés et aux structures faîtières.

I.6. AU TITRE DU MINISTERE DE LA COMMUNICATION, DE LA CULTURE, DES ARTS ET DU TOURISME

Le Conseil a adopté un décret portant organisation du ministère de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme.

L’adoption de ce décret permet au ministère de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme d’assurer efficacement ses missions, conformément aux dispositions du décret n°2022-0026/PRES-TRANS/PM/SGG-CM du 31 mars 2022 portant attribution des membres du Gouvernement et du décret n°2022-0055/PRES-TRANS/PM/SGG-CM du 20 avril 2022 portant organisation-type des départements ministériels.

I.7. AU TITRE DU MINISTERE DE L’URBANISME, DES AFFAIRES FONCIERES ET DE L’HABITAT

Le Conseil a adopté un décret portant organisation du ministère de l’Urbanisme, des affaires foncières et de l’habitat.
L’adoption de ce décret permet au ministère de l’Urbanisme, des affaires foncières et de l’habitat d’assurer efficacement ses missions, conformément aux dispositions du décret n°2022-0026/PRES-TRANS/PM/SGG-CM du 31 mars 2022 portant attribution des membres du Gouvernement et du décret n°2022-0055/PRES-TRANS/PM/SGG-CM du 20 avril 2022 portant organisation-type des départements ministériels.

II. COMMUNICATIONS ORALES

II.1. Le Conseil a instruit le ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des relations avec les institutions de prendre toutes dispositions utiles pour l’activation de la Haute Cour de justice.

L’opérationnalisation de cette haute juridiction permettra de connaître des dossiers pendants jusque-là restés sans suite.

II.2. Le ministre de l’Administration territoriale de la décentralisation et de la sécurité a fait au Conseil une communication relative à l’organisation de la 17ème rencontre des Chefs des services de renseignement et de la sécurité des pays membres de l’initiative d’Accra, les 26 et 27 juillet à Ouagadougou au Burkina Faso.

L’initiative d’Accra qui regroupe sept (07) pays dont le Burkina Faso, le Bénin la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Mali, le Niger et le Togo a pour objectif de lutter contre la criminalité transfrontalière, le grand banditisme, la fraude en tout genre et surtout le terrorisme.

II.3. Le ministre de la Solidarité nationale et de l’action humanitaire a fait au Conseil deux (02) communications.

La première communication est relative au dispositif de réponse humanitaire concernant le déplacement des personnes en provenance des zones d’intérêt militaire.

Cette réponse humanitaire repose sur le dispositif institutionnel classique de prévention et de gestion des catastrophes et des crises humanitaires qu’est le Conseil national de secours d’urgences et de réhabilitation (CONASUR).

La seconde communication est relative à l’organisation d’un panel sur la promotion de la solidarité au Burkina Faso prévu le 22 juillet 2022 à Ouagadougou.

Placé sous le thème central « la solidarité nationale, facteur de paix et de cohésion sociale : quelles perceptions, prescriptions et recommandations pour la promotion de la solidarité au Burkina Faso ? », le panel a pour objectif général de susciter la réflexion et les échanges entre les différents acteurs sur la promotion de la culture de la solidarité au sein de la société burkinabè pour le renforcement de la cohésion et de la paix au pays.

III. NOMINATIONS

III.1. NOMINATIONS DANS LES FONCTIONS INDIVIDUELLES

A. AU TITRE DU MINISTERE DE L’ADMINISTRATION TERRITORIALE, DE LA DECENTRALISATION ET DE LA SECURITE

- Monsieur Saïdou SANKARA, Mle 59 713 C, Administrateur civil, 1ère classe, 11ème échelon, est nommé Secrétaire général adjoint ;
- Monsieur Georges Marie COMPAORE, Colonel-Major, est nommé Conseiller Conseiller technique ;
- Monsieur Barké IMA, Mle 28 151 H, Administrateur civil, 1ère classe, 13ème échelon, est nommé Inspecteur général des services ;
- Monsieur Mwinbagfu Hugues Landry HIEN, Mle 118 963 D, Administrateur civil, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Secrétaire permanent de la Commission nationale de la Décentralisation (SP/CONAD) ;
- Madame Salimata DABAL, Mle 91 139 J, Administrateur civil, 1ère classe, 8ème échelon, est nommée Secrétaire permanent de la Commission nationale des frontières ;
- Monsieur Bienvenu Claude Valery BADO, Mle 130 317 X, Magistrat de grade exceptionnel, 1er échelon, est nommé Coordonnateur national de contrôle des Forces de police ;
- Monsieur Bantida Samiré YONI, Mle 262 515 M, Commissaire principal de police, catégorie 1, 2ème échelon, est nommé Commandant de la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité ;
- Monsieur Jean-Pierre VOGNA, Mle 98 021 K, Administrateur civil, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Directeur général de l’Administration du territoire ;
- Monsieur Porzanga Saïbou TRAORE, Mle 238 007 H, Administrateur civil, 1ère classe, 5ème échelon, est nommé Directeur général adjoint de l’Administration du territoire ;
- Monsieur Justin Omer BALIMA, Mle 59 709 N, Administrateur civil, 1ère classe, 11ème échelon, est nommé Directeur général de la Modernisation de l’état civil ;
- Monsieur Issoufou KONGO, Mle 59 761 M, Administrateur civil, 1ère classe, 9ème échelon, est nommé Directeur général des Collectivités territoriales ;
- Monsieur Adama BATORO, Mle 97 424 K, Administrateur civil, 1ère classe, 10ème échelon, est nommé Directeur général adjoint des Collectivités territoriales ;
- Monsieur Lazare YAGO, Officier, Colonel-Major, est nommé Directeur général de la protection civile ;
- Monsieur Gommêtekba Toussaint DIPAMA, Mle 216 137 I, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 6ème échelon, est Directeur général des études et des statistiques sectorielles ;
- Monsieur Mahamadou BA, Mle 37 106 X, Conseiller en sciences et techniques de l’information et de la communication, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Directeur de la communication et des relations presse ;
- Monsieur Batia BAZIE, Mle 70 052 K, Conseiller en gestion des ressources humaines, 1ère classe, 13ème échelon, est nommé Directeur des ressources humaines ;
- Monsieur Namoussa Yenoapo François BANGOU, Mle 260 184 D, Administrateur civil, 1ère classe, 5ème échelon, est nommé Directeur du développement institutionnel et de l’innovation ;
- Monsieur Hamidou SAMANDOULGOU, Mle 247 242 Z, Conseiller en archivitisque, 1ère classe, 5ème échelon, est nommé Directeur des archives et de la documentation.

Les personnes dont les noms suivent sont nommées Chargés de missions :
- Monsieur Bouraogo Casimir SEGUEDA, Mle 23 617 P, Administrateur civil ;
- Monsieur Halhassane SINARE, Mle 41 154, Juriste ;
- Monsieur Khalil BARA, Mle 28 169 K, Administrateur civil ;
- Monsieur Sibiri de Issa OUEDRAOGO, Mle 23 593 L, Administrateur civil ;
- Monsieur Antoine N. OUEDRAOGO, Mle 28 137 M, Administrateur civil ;
- Madame Irène COULIBALY, Mle 28 164 C, Administrateur civil ;
- Madame Josiane Y. KABRE/ZOUNGRANA, Mle 28 398 J, Administrateur civil ;
- Monsieur François de Sales Charlemagne NAMA, Mle 28 142 D, Administrateur civil ;
- Monsieur Abdoulaye OUEDRAOGO, Mle 28 138 B, Administrateur civil ;
- Madame Alizèta DABIRE/SAWADOGO, Mle 59 707 Y, Administrateur civil ;
- Madame Nana Fatoumata BENON/YATASSAYE, Mle 88 836 K, Administrateur civil ;
- Madame Joséphine KOUARA APIOU/KABORE, Mle 25 760 S, Administrateur civil.

Les personnes dont les noms suivent sont nommées au poste de Secrétaire général de régions :
Région du Centre
- Monsieur Joseph R. KAFANDO, Mle 91 943, Administrateur civil ;
Région du Plateau-Central
- Monsieur Hamidou SORE, Mle 23 665 K, Administrateur civil ;
Région du Sahel
- Monsieur Boureima SAWADOGO, Mle 28 203 G, Administrateur civil ;
Région des Hauts-Bassins
- Madame Mariama KONATE/GNANOU, Mle 59 720, Administrateur civil ;
Région du Centre-Ouest
- Monsieur Sévérin Zoumèsègh SOME, Mle 28 156 L, Administrateur civil ;
Région du Sud-Ouest
- Monsieur Robert ZOUNGRANA, Mle 28 175 X, Administrateur civil ;
Région de la Boucle du Mouhoun
- Madame Adjara OUEDRAOGO, Mle 59 700 D, Administrateur civil ;
Région du Nord
- Monsieur Albert Kouliga ZONGO, Mle 59 766 R, Administrateur civil ;

Région du Centre-Sud
- Madame Abibata Ouo BAMOUNI/TRAORE, Mle 75 654 J, Administrateur civil ;
Région du Centre-Nord
- Monsieur Inoussa KABORE, Mle 28 018 U, Administrateur civil ;
Région de l’Est
- Monsieur Siaka de Issa OUATTARA, Mle 23 621 Z, Administrateur civil ;
Région du Centre-Est
- Monsieur Sayouba SAWADOGO, Mle 28 530 N, Administrateur civil ;
Région des Cascades
- Madame Anastasie SAWADOGO/SAWADOGO, Mle 28 128 R, Administrateur civil.
Les personnes dont les noms suivent sont nommées au poste de conseiller technique chargé des questions relatives aux libertés publiques, à la prévention et à la gestion des conflits dans les régions suivantes :
Région de la Boucle du Mouhoun
- Monsieur Hamadé BOÏNA, Mle 32 454, Administrateur civil ;
Région des Cascades
- Monsieur Boureima SOW, Mle 28 114 Y, Administrateur civil ;

Région du Centre
- Monsieur Cyprien OUEDRAOGO, Mle 73 712 Z, Administrateur civil ;
Région du Centre-Est
- Madame Madéleine B. TRAORE/BICABA, Mle 85 089, Administrateur civil ;
Région du Centre-Nord
- Monsieur Rasmané NIKIEMA, Mle 91 925 U, Administrateur civil ;
Région du Centre-Ouest
- Monsieur Mahamadi ZABA, Mle 28 528 A, Administrateur civil ;
Région du Centre-Sud
- Monsieur Hamado OUEDRAOGO, Mle 28 396 X, Administrateur civil ;
Région de l’Est
- Monsieur Sékou SO, Mle 98 039 T, Administrateur civil ;
Région des Hauts-Bassins
- Madame Charlotte E. BADO, Mle 304 112, Administrateur civil;
Région du Plateau-Central
- Monsieur Thomas BAMBARA, Mle 212 059 K, Administrateur civil ;
Région du Nord
- Monsieur Yala DAHOUROU, Mle 25 669 G, Administrateur civil ;

Région du Sahel
- Monsieur Abdoul Aziz BANDAOGO, Mle 206 185 G, Administrateur civil ;
Région du Sud-Ouest
Monsieur Bertrand Djinta DABIRE, Mle 25 755 F, Administrateur civil.

Les personnes dont les noms suivent sont nommées au poste de Haut-Commissaire de provinces :
Région de la Boucle du Mouhoun
Province des Balé
- Monsieur Ibrahim BOLY, Mle 98 002 A, Administrateur civil ;
Province des Banwa
- Monsieur Oumarou SANDWIDI, Mle 91 920 V, Administrateur civil ;
Province de la Kossi
- Monsieur Dô Jacques Abel SANOU, Mle 283 351 Y, Commissaire de Police ;
Province du Mouhoun
- Monsieur Souleymane NAKANABO, Mle 105 193, Administrateur civil ;
Province du Nayala
- Monsieur Honoré Frédéric PARE, Mle 98 013 B, Administrateur civil ;
Province du Sourou
- Monsieur Salif TRAORE, Mle 105 208 U, Administrateur civil.

Région des Cascades
Province de la Comoé
- Monsieur Hamidou MASSA, Mle 200 324 P, Administrateur civil ;
Province de la Léraba
- Monsieur Mahamadi CONGO, Mle 91 891 U, Administrateur civil.
Région du Centre
Province du Kadiogo
- Monsieur Maurice KONATE, Mle 105 189 Y, Administrateur civil.
Région du Centre-Est
Province du Boulgou
- Monsieur Constantin Domèbèguièrè DABIRE, Mle 105 182 N, Administrateur civil.
Province du Koulpélogo
- Monsieur Ousmane OUATTARA, Mle 111 301 F, Administrateur civil ;
Province du Kouritenga
- Madame Aissata Angélina TRAORE, Mle 104 429 K, Administrateur civil.
Région du Centre-Nord
Province du Bam
- Monsieur Adama Jean Yves BERE, Mle 92 922 H, Administrateur civil ;
Province du Namentenga
- Monsieur Adama CONSEIGA, Mle 111 296 Y, Administrateur civil ;
Province du Sanmatenga
- Monsieur Abraham Yiyé SONDO, Mle 105 205 W, Administrateur civil.
Région du Centre-Ouest
Province du Boulkiemdé
- Monsieur Théophile Koultiga OUEDRAOGO, Mle 59 772 E, Administrateur civil ;
Province du Sanguié
- Madame Germaine Talari OUOBA, Mle 229 989 F, Administrateur civil ;
Province de la Sissili
- Monsieur Téwindé Isaac SIA, Mle 98 018 V, Administrateur civil ;
Province du Ziro
- Monsieur Saïba ZOROME, Mle 91 933 G, Administrateur civil.
Région du Centre-Sud
Province du Bazèga
- Madame Justine KIENTEGA/ILBOUDO, Mle 220 656 W, Administrateur civil ;
Province du Nahouri
- Monsieur Auguste KINDA, Mle 91 868, Administrateur civil ;
Province du Zoundwéogo
- Monsieur Julien OUEDRAOGO, Mle 52 205, Administrateur civil.
Région de l’Est
Province de la Gnagna
- Monsieur Jean Baptiste BEOGO, Mle 91 935 E, Administrateur civil ;
Province du Gourma
- Monsieur Toussaint MEDA, Mle 75 413 T, Administrateur civil ;
Province de la Komondjari
- Monsieur Valentin GNAGNOU, Mle 220 654 B, Administrateur civil ;
Province de la Kompienga
- Monsieur Ismael OUATTARA, Mle 245 871, Administrateur civil ;
Province de la Tapoa
- Monsieur Réné KARAMBIRI, Mle 220 660 W, Administrateur civil.
Région des Hauts-Bassins
Province du Houet
- Monsieur Adama BIDIGA, Mle 238 001 J, Administrateur civil ;
Province du Kénédougou
- Monsieur Saidou SAKIRA, Mle 105 203 Y, Administrateur civil ;

Province du Tuy
- Monsieur Issaka SEGDA, Mle 32 446 X, Administrateur civil.
Région du Nord
Province du Lorum
- Monsieur Djibril BASSOLE, Officier, Lieutenant de Gendarmerie ;
Province du Passoré
- Madame Francine R. Irma ZOUNGRANA, Mle 75 237, Administrateur civil ;
Province du Yatenga
- Monsieur Tasséré NACOULMA, Mle 59 770 R, Administrateur civil ;
Province du Zandoma
- Monsieur Aboubacar Sidiki NABE, Mle 308 625 G, Commissaire de police.
Région du Plateau-Central
Province du Ganzourgou
- Madame Aminata SORGHO/GOUBA, Mle 212 187 R, Administrateur civil ;
Province du Kourwéogo
- Monsieur Siaka BARRO, Mle 212 398 J, Administrateur civil ;
Province de l’Oubritenga
- Monsieur Sahabani ZEBA, Mle 28 517 A, Administrateur civil.

Région du Sahel
Province de l’Oudalan
- Monsieur Valentin MARE, Mle 229 881 H, Administrateur civil ;
Province du Séno
- Monsieur Jean R. OUEDRAOGO, Mle 200 345 V, Administrateur civil ;
Province du Soum
- Monsieur Emile Firmin W. BAMAS, Mle 25 756 S, Administrateur civil ;
Province du Yagha
- Monsieur Issouf OUATTARA, Mle 107 222, Commissaire principal de police .
Région du Sud-Ouest
Province de la Bougouriba
- Monsieur Hamidou KONATE, Mle 212 085 B, Administrateur civil ;
Province du Ioba
- Madame Bernadette ADENYO/SERME, Mle 220 655 W, Administrateur civil ;
Province du Noumbiel
- Monsieur Jean Marie KIENTEGA, Mle 105 186 K, Administrateur civil ;
Province du Poni
Monsieur Lucien GUENGUERE, Mle 91 945 R, Administrateur civil.

B. AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION REGIONALE ET DES BURKINABE DE L’EXTERIEUR
- Monsieur Wendengoudi TAPSOBA, Mle 58 621 L, Inspecteur du Trésor, 1ère classe, 5ème échelon, est nommé Trésorier près l’Ambassade du Burkina Faso à Ottawa (CANADA).

C. AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE, DES FINANCES ET DE LA PROSPECTIVE
- Madame Ouindlassida Delphine OUEDRAOGO/ZOUNDI, Mle 216 162 E, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 6ème échelon, est nommée Comptable principale des matières du ministère des Affaires étrangères, de la coopération régionale et des Burkinabè de l’extérieur.
D. AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES RELIGIEUSES ET COUTUMIERES

- Monsieur Ambroise SOME, Mle 28 127 B, Administrateur civil, 1ère classe, 13ème échelon, est nommé Inspecteur général des services.

E. AU TITRE DU MINISTERE DES INFRASTRUCTURES ET DU DESENCLAVEMENT

- Madame Kiswendsida Alice OUEDRAOGO, Mle 88 666 A, Economiste, 1ère classe, 10ème échelon, est nommée Secrétaire permanent du Programme sectoriel des transports.

F. AU TITRE DU MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ALPHABETISATION ET DE LA PROMOTION DES LANGUES NATIONALES

- Madame Fatimata ZONGO/OUEDRAOGO, Mle 250 231 D, Conseiller d’éducation, 1ère classe, 5ème échelon, est nommée Inspecteur technique des services ;
- Monsieur Rasmané ZEBRET, Mle 29 938 G, Inspecteur de l’enseignement du 1er degré, 1er grade, 10ème échelon, est nommé Secrétaire permanent de la promotion des langues nationales ;
- Madame Habibata TONE/OUEDRAOGO, Mle 36 637 X, Inspecteur de l’enseignement secondaire, catégorie PB, 2ème classe, 12ème échelon, est nommée Directrice de l’enseignement pédagogique, de la formation initiale et continue ;
- Monsieur Boureima OUEDRAOGO, Mle 46 461 A, Professeur certifié des lycées et collèges, 1ère classe, 9ème échelon, est nommé Directeur des activités sportives, culturelles et des loisirs de l’éducation ;
- Monsieur Tiambè DIOMA, Mle 20 808 N, Inspecteur général de l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe, 14ème échelon, est nommé Directeur de la recherche en éducation non formelle ;
- Monsieur Sidbewindin Innocent SAWADOGO, Mle 45 057 G, Conseiller d’administration scolaire et universitaire, 1ère classe, 10ème échelon, est nommé Directeur de la production des manuels et matériels didactiques ;
- Madame Aïssata ILBOUDO/BOUDA, Mle 49 934 S, Conseiller d’orientation scolaire et professionnelle, 1ère classe, 15ème échelon, est nommée Directrice de l’information, de l’orientation scolaire, professionnelle et des bourses ;
- Monsieur Bertin TOE, Mle 26 666 T, Inspecteur de l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 3ème classe, 11ème échelon, est nommé Directeur des technologies de l’information et de la communication pour l’éducation ;
- Monsieur Y. B. Bonaventure MEDA, Mle 34 622 U, Inspecteur de l’enseignement secondaire, catégorie PB, 2ème classe, 10ème échelon, est nommé Directeur des curricula, programmes et référentiels ;
- Monsieur Karim KABORE, Mle 33 681 D, Inspecteur de l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe, 16ème échelon, est nommé Directeur de l’enseignement privé ;
- Monsieur Ambroise PARE, Mle 30 551 R, Inspecteur de l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe, 10ème échelon, est nommé Directeur régional de l’enseignement primaire et de l’éducation non-formelle de la Boucle du Mouhoun ;
- Monsieur Soilliou KARANTAO, Mle 36 871 G, Inspecteur de l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Directeur régional de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle des Cascades ;
- Monsieur Bourbila Pierre SILGA, Mle 43 575 R, Inspecteur de l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe, 10ème échelon, est nommé Directeur régional de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle du Centre-Est ;
- Monsieur Hamidou GUIRO, Mle 19 998 H, Inspecteur de l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe, 14ème échelon, est nommé Directeur régional de l’éducation préscolaire primaire et non-formelle du Centre-Nord ;
- Madame Adiarata SAWADOGO, Mle 43 557 C, Inspecteur de l’enseignement du premier degré, 1ère classe, 11ème échelon, est nommée Directrice régionale de l’éducation préscolaire primaire et non-formelle du Centre-Ouest ;
- Madame Emilienne KONSEM/SAWADOGO, Mle 52 917 J, Inspecteur de l’enseignement du premier degré, 1ère classe, 6ème échelon, est nommée Directrice régionale de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle du Centre-Sud ;
- Monsieur Zakarie ZOURE, Mle 26 512 H, Inspecteur de l’enseignement du premier degré, 1ère classe, 13ème échelon, est nommé Directeur régional de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle des Hauts-Bassins ;
- Monsieur Elhadj BOUBACAR, Mle 34 494 E, Inspecteur de l’enseignement du premier degré, 1ère classe, 11ème échelon, est nommé Directeur régional de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle du Sahel ;
- Monsieur Raogo Aristide BALIMA, Mle 26 073 T, Conseiller d’administration scolaire et universitaire, 1ère classe, 13ème échelon, est nommé Directeur régional de l’Institut national de formation des personnels de l’éducation du Nord ;
- Monsieur Noufou TAO, Mle 50 958 F, Inspecteur de l’enseignement du premier degré, 1ère classe, 6ème échelon, est nommé Directeur régional de l’Institut national de formation des personnels de l’éducation du Sahel ;
- Monsieur Ousseini Moukaylou MAIGA, Mle 42 285 B, Inspecteur de l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle de l’Oudalan ;
- Monsieur Hamidou CISSE, Mle 52 734 W, Inspecteur de l’enseignement du premier degré, 1ère classe, 6ème échelon, est nommé Directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle du Soum ;
- Monsieur Hamadou Boureima DICKO, Mle 52 613 B, Inspecteur de l’enseignement primaire, 1er grade, 7ème échelon, est nommé Directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle du Séno ;
- Monsieur Issiaka Hamidou BOKOUM, Mle 48 263 A, Inspecteur de l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non-formelle du Yagha.

G. AU TITRE DU MINISTERE DES TRANSPORTS, DE LA MOBILITE URBAINE ET DE LA SECURITE ROUTIERE

- Monsieur Ditierisse HIE, Mle 117 002 W, Conseiller en gestion des ressources humaines, est nommé Chargé d’études ;
- Monsieur Mohamed Awallo ZAMPALIGRE, Mle 228 374 N, Conseiller de jeunesse et d’éducation permanente, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur régional des Transports, de la mobilité urbaine et de la sécurité routière du Centre-Est ;
- Monsieur Boukari SAVADOGO, Mle 238 564 J, Conseiller en emploi et en formation professionnelle, 1er grade, 3ème échelon, est nommé Directeur régional des Transports, de la mobilité urbaine et de la sécurité routière des Hauts-Bassins ;
- Monsieur Nouffou COMPAORE, Mle 247 494 Y, Conservateur d’archives, 1ère classe, 4ème échelon, est nommé Directeur régional des Transports, de la mobilité urbaine et de la sécurité routière du Nord.

H. AU TITRE DU MINISTERE DE L’URBANISME, DES AFFAIRES FONCIERES ET DE L’HABITAT

- Madame Sétou COMPAORE, Mle 130 357 R, Magistrat, catégorie P5, 1er grade, 4ème échelon, est nommée Conseiller technique ;
- Monsieur Sylvain Appolinaire COMPAORE, Mle 372 813 W, Technicien supérieur en aménagement foncier, 1ère classe, 8ème échelon, est nommé Chargé de missions, en remplacement de Monsieur Emmanuel TAPSOBA.

I. AU TITRE DU MINISTERE DES SPORTS, DE LA JEUNESSE ET DE L’EMPLOI

- Monsieur Drissa KONATE, Mle 59 651 T, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 9ème échelon, est nommé Directeur général des études et des statistiques sectorielles ;
- Monsieur Idrissa TRAORE, Mle 117 343 M, Conseiller de jeunesse et d’éducation permanente, 1ère classe, 10ème échelon, est nommé Conseiller technique ;
- Monsieur Boubakar DRABO, Mle 57 153 W, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Directeur général du Fonds d’appui au secteur informel (FASI).

III.2. NOMINATIONS DANS LES CONSEILS D’ADMINISTRATION

Le Conseil a procédé à la nomination d’Administrateurs aux Conseils d’administration :
- du Centre hospitalier régional de Kaya et du Centre hospitalier universitaire Yalgado OUEDRAOGO au titre du ministère de la Santé et de l’hygiène publique ;
- de l’Agence burkinabè de normalisation, de la métrologie et de la qualité (ABNORM), de la Société nationale burkinabè d’hydrocarbures (SONABHY), de la Société nationale des cartons et d’emballages du Burkina (SONACEB) et de l’Agence burkinabè des investissements (ABI) au titre du ministère du Développement industriel, du commerce, de l’artisanat et des petites et moyennes entreprises.

Le Conseil a également procédé à la nomination d’un Président au Conseil d’administration du Centre hospitalier universitaire Yalgado OUEDRAOGO au titre du ministère de la Santé et de l’hygiène publique.


A. MINISTERE DE LA SANTE ET DE L’HYGIENE PUBLIQUE

Le Conseil a adopté trois (03) décrets.
Le premier décret nomme les personnes ci-après, Administrateurs au Conseil d’administration du Centre hospitalier régional de Kaya pour un premier mandat de trois (03) ans.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LA COMMISSION MEDICALE
- Monsieur Barnabé SANON, Mle 238 821 H, Pharmacien, en remplacement de Dr Aimé BILGO.
ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LES TRAVAILLEURS DE L’ETABLISSEMENT
- Monsieur Ousséni SAWADOGO, Mle 85 329 X, Attaché de santé.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LES ASSOCIATIONS DES MALADES
- Monsieur Boukaré OUEDRAOGO, Membre de la coordination régionale des organisations de la société civile du Centre-Nord.

Le deuxième décret nomme Monsieur Alexandre SANFO, Mle 51 324 B, Administrateur des hôpitaux et des services de santé, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de la santé et de l’hygiène publique au Conseil d’administration du Centre hospitalier universitaire Yalgado OUEDRAOGO pour un premier mandat de trois (03) ans, en remplacement de Monsieur Eric TOUGOUMA.

Le troisième décret nomme Monsieur Alexandre SANFO, Mle 51 324 B, Administrateur des hôpitaux et des services de santé, Président du Conseil d’administration du Centre hospitalier universitaire Yalgado OUEDRAOGO pour un premier mandat de trois (03) ans.

B. MINISTERE DU DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL, DU COMMERCE, DE L’ARTISANAT ET DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES

Le Conseil a adopté quatre (04) décrets.

Le premier décret nomme les personnes ci-après, Administrateurs au Conseil d’administration de l’Agence burkinabè de normalisation, de la métrologie et de la qualité (ABNORM) pour un premier mandat de trois (03) ans.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT L’ETAT

Au titre du ministère du Développement industriel, du commerce, de l’artisanat et des petites et moyennes entreprises :
- Madame Lydie ZONGO/SANON, Mle 111 324 L, Conseiller des affaires économiques.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE DU BURKINA FASO (CCI-BF)
- Monsieur Ibrahim TRAORE, Elu consulaire, Directeur général de la société nouvelle huilerie et savonnerie (SN-CITEC).

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LE PERSONNEL DE L’AGENCE BURKINABE DE NORMALISATION, DE LA METROLOGIE ET DE LA QUALITE
- Monsieur Bahilama Moussa SOURABIE, Mle 14 054, Technicien supérieur en contrôle qualité.
Le deuxième décret nomme Monsieur Bolo SANOU, Cadre supérieur de banque, Administrateur représentant l’Etat, au titre de la Présidence du Faso au Conseil d’administration de la Société nationale burkinabè d’hydrocarbures (SONABHY) pour un premier mandat de trois (03) ans, en remplacement de Monsieur Patrice KOURAOGO.

Le troisième décret nomme Monsieur Nazaire THIOMBIANO, Mle 52 156 K, Administrateur des services financiers, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère du Développement industriel, du commerce, de l’artisanat et des petites et moyennes entreprises au Conseil d’administration de la Société nationale des cartons et d’emballages du Burkina (SONACEB) pour un premier mandat de trois (03) ans.

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