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🔴   : Des dealers de produits pharmaceutiques condamnésAppréhendés par une unité de police judiciaire le 1er novembre 20...
13/12/2025

🔴 : Des dealers de produits pharmaceutiques condamnés

Appréhendés par une unité de police judiciaire le 1er novembre 2025 en possession de sacs contenant des médicaments prohibés, Mahamoudou et Sériba (noms d'emprunt) ont été conduits devant le procureur du Faso. Auditionnés au parquet, ils ont fait l'objet de poursuites pour des faits présumés d’exercice illégal de la profession de pharmacien. Ils ont comparu à la barre du tribunal correctionnel de Bobo-Dioulasso le 02 décembre 2025 pour répondre des accusations portées contre eux. Les prévenus ont reconnu les faits.

Le tribunal leur a demandé pourquoi ils se livraient à la vente de médicaments représentant un danger pour la santé des populations.

— « Nous le faisons pour avoir à manger », répond l’un d’eux.
— « Où vous ravitaillez-vous en médicaments ? »
— « Au grand marché de Bobo », rétorque le second.
— « Comment arrivez-vous à les conserver ? »
— « Nous les mettons dans des sachets puis dans des sacs et nous les étalons sur une table au marché. Parfois, nous nous promenons aussi avec les médicaments », a expliqué Sériba.

Dans la dynamique de questions-réponses, le procureur a demandé à Mahamoudou de lui dire comment il savait que certains de leurs produits soignaient les douleurs.

— « Ce sont nos grossistes qui nous l’ont dit », a-t-il avoué.

Le ministère public a fait savoir que les deux individus n’avaient pas la qualité de pharmacien. Il a estimé que les faits reprochés étaient constitués. Il a demandé aux juges de les maintenir dans les liens de la prévention et de les déclarer coupables. Pour les réprimer, il a requis six mois de prison avec sursis et une amende ferme de 1 000 000 F CFA. Il a également sollicité la confiscation des sacs de médicaments saisis sur les deux prévenus.

Dans sa décision, le tribunal a déclaré Mahamoudou et Sériba coupables de l’infraction d’exercice illégal de la profession de pharmacien. Il les a condamnés à six mois d’emprisonnement avec sursis et à une amende ferme de 500 000 F CFA. Les juges ont fixé la contrainte judiciaire à trois mois de prison. Le tribunal a par ailleurs ordonné la confiscation des sacs de médicaments.

Justice Infos Burkina


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🔴  : Au-delà du protocole et de la politique, il y a la chaleur humaine. Une belle image de complicité entre le Présiden...
12/12/2025

🔴 : Au-delà du protocole et de la politique, il y a la chaleur humaine. Une belle image de complicité entre le Président Alassane Ouattara et son jeune homologue Bassirou Diomaye Faye.

C’était lors de la visite officielle d’amitié et de travail du Président sénégalais Bassirou Diomaye Faye en Côte d’Ivoire, le mardi 7 mai 2024, au Palais de la Présidence de la République à Abidjan-Plateau.


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🔴Épisode Tiégnan – Phase 2 : le dossier renvoyé au 15 décembre 2025L’examen du dossier Tiégnan phase 2, impliquant notam...
12/12/2025

🔴Épisode Tiégnan – Phase 2 : le dossier renvoyé au 15 décembre 2025

L’examen du dossier Tiégnan phase 2, impliquant notamment l’ancien directeur de la gestion des finances du ministère de l’Action humanitaire, Camille Yé Yaké, s’est ouvert ce vendredi 12 décembre 2025 devant le Tribunal de grande instance de Ouaga I.

Prévu pour se tenir ce vendredi, le procès n’a finalement pas pu avoir lieu à la demande des accusés qui disent "ne pas être prêts pour le jugement". En plus de Camille Yé Yaké, l’ancienne ministre de l’Action humanitaire Laure Zongo/Hien, ainsi que six autres coaccusés, n’ont pas comparu à l’audience. Le tribunal a décidé de renvoyer le procès au 15 décembre prochain.

Ce dossier est étroitement lié à celui d’Amidou Tiégnan, dans lequel un détournement de plus de 3 milliards de francs CFA au sein du ministère de l’Action humanitaire est en cause.

Les mis en cause dans cette seconde phase devront répondre de leur rôle dans cette affaire que suivent de près les Burkinabè.
C360 TV


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12/12/2025

🔴Urgent! : Un mandat d’arrêt lancé contre l’activiste Kémi Séba

12/12/2025

🔴Burkina Faso : Le e-certificat et le e-casier judiciaire génèrent plus de 337 millions de F CFA en deux ans
Faso 7

🔴   | CREATION DE LA BANQUE CONFEDERALE : le Président de l’AES reçoit les Ministres de l’Economie et des Finances de l’...
12/12/2025

🔴 | CREATION DE LA BANQUE CONFEDERALE : le Président de l’AES
reçoit les Ministres de l’Economie et des Finances de l’Alliance
Le Président de la Transition, Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA, Chef de l’Etat, Président de la Confédération des États du Sahel (AES), a reçu ce jeudi 11 décembre 2025 une délégation ministérielle de haut niveau venue finaliser un chantier stratégique : l’opérationnalisation de la Banque confédérale pour l'investissement et le développement (BCID-AES).

Conduite par le Ministre malien de l’Économie et des Finances, M. Alousseni SANOU, la délégation regroupait également le ministre burkinabè de l’Économie, des Finances et de la Prospective, Dr Aboubakar NACANABO, ainsi que le Premier Ministre nigérien et Ministre des Finances, Ali Lamine ZEINE. Tous ont fait le déplacement à Bamako dans le cadre de la réunion des Ministres des Finances de l’AES, consacrée à la naissance effective de la BCID-AES.

L’audience de cet après-midi avait pour objectif de présenter au Chef de l’État les résultats des travaux techniques menés ces derniers mois et obtenir les orientations finales pour lancer officiellement la nouvelle institution financière.

Selon le Ministre burkinabè Aboubakar NACANABO, porte-parole de la délégation, les travaux ont abouti à une étape structurante : « Ce matin, nous avons travaillé à valider les statuts de la banque. Nous avons procédé à la signature des statuts, ce qui marque la création de la Banque confédérale pour l'investissement et le développement ».

Cette validation ouvre la voie à la phase opérationnelle. La BCID-AES se veut un levier essentiel de financement au service des projets structurants, de l’intégration sahélienne et de la souveraineté économique des trois États.

Décrite comme un instrument stratégique, la future banque aura vocation à mobiliser des ressources souveraines et à financer des projets hautement prioritaires tels que les infrastructures routières et le désenclavement, l’agriculture et la sécurité alimentaire, l’énergie et les interconnexions régionales, ainsi que l’appui aux projets privés adossés aux priorités nationales.

Le ministre burkinabè a saisi l’occasion pour expliquer l’impact attendu de cette banque. « Grâce à cette banque, nous allons pouvoir réaliser des projets structurants… au profit de nos populations. Les orientations étaient claires : des projets impactants, qui nous permettent de rester sur la ligne de la souveraineté tracée par nos trois Chefs d’État », a-t-il déclaré.
Le capital social de la BCID-AES a déjà été validé par le Conseil des Gouverneurs, composé des trois Ministres des Finances. Une partie de ce capital est déjà libérée par les États fondateurs, et un prélèvement confédéral contribuera à l’alimenter durablement.
La nomination des dirigeants de la banque constitue la prochaine étape. Une fois les organes en place, la BCID-AES pourra lever des financements additionnels pour amplifier sa capacité d’investissement. La banque pourra également financer des projets portés par des entreprises, à condition qu’ils soient proposés par l’un des États membres.

L’audience a permis, selon les Ministres, d’obtenir des orientations précises du Président de la Confédération, le Général d’Armée Assimi GOÏTA concernant la vocation stratégique de la BCID-AES. L’institution devra servir de bras financier à l’intégration sahélienne et accompagner les projets destinés à renforcer la souveraineté des trois pays, tant sur les plans économiques qu’infrastructurel. « Toutes les actions que nous menons, ce sont des actions pour les populations », a précisé le Ministre burkinabè.
Source : Présidence du Mali
Agence d'information du Burkina


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🔴 La diaspora burkinabè fait entrer annuellement près de 350 milliards de FCFA (Resp)Ouagadougou, 12 déc. 2025 (AIB)-La ...
12/12/2025

🔴 La diaspora burkinabè fait entrer annuellement près de 350 milliards de FCFA (Resp)

Ouagadougou, 12 déc. 2025 (AIB)-La diaspora burkinabè fait parvenir annuellement au pays près de 350 milliards de FCFA, soit 3 % du PIB, a affirmé vendredi la directrice de la Promotion économique et des investissements de la diaspora, Jacqueline Ouédraogo.

Selon Mme Ouédraogo, ce montant est calculé uniquement à partir des transferts qui passent par des circuits formels tels que les banques.

Jacqueline Ouédraogo a précisé que ce transfert annuel dépasse souvent l'aide au développement accordée par les 38 pays de l' Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

Mme Ouédraogo a informé que les montants transférés ne servent plus uniquement aux besoins de bases mais à implémenter aussi des projets.

La diaspora burkinabè compte 16 millions de personnes, selon les dernières statistiques, a indiqué la directrice.

Elle s'exprimait lors de la journée "presse-diplomatie", organisée vendredi à Ouagadougou par le ministère des Affaires étrangères.
Agence d’Information du Burkina
HEY/ata


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12/12/2025

Formation Express en IA à Ouaga: La compétition est très rude, rentrez en 2026 avec plus de confiance et de maîtrise face à l’avenir.

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12/12/2025

Burkina : 30,59 milliards FCFA de crédits décaissés par les Microfinances au profit de leurs clients en 3 mois.
Horonya Finance

🔴 Détournement de deniers publics : Le procès de l'affaire « Amidou Tiegnan acte 2 » s'ouvre ce 12 décembre au TGI Ouaga...
12/12/2025

🔴 Détournement de deniers publics : Le procès de l'affaire « Amidou Tiegnan acte 2 » s'ouvre ce 12 décembre au TGI Ouaga 1

Le procès de l'affaire « Amidou Tiegnan acte 2 » s'ouvre, ce vendredi 12 décembre 2025 au TGI Ouaga 1.

Parallèlement au jugement de l'affaire Amidou Tiegnan et autres qui avaient été jugés en décembre 2024, un autre dossier s'ouvre contre des agents du Ministère de l'action humanitaire.

En effet, à l'issue de la condamnation de Amidou Tiegnan et autres, une procédure a été ouverte contre Yaké Camille Yé et autres personnes.

C'est Amidou Tiegnan qui a mis en cause son supérieur hiérarchique, Yaké Camille Yé, bien que l'enquête pénale ait été initiée suite à la plainte ou la dénonciation de ce dernier.

Au cours de la procédure devant la chambre de jugement spécialisée, Amidou Tiegnan a fourni une liste de personnes présumées avoir participé aux malversations financières survenues au sein du Ministère de l'action humanitaire.

À la clôture de l'information judiciaire, le juge d'instruction a retenu la suffisance des charges contre Yaké Camille Yé (DAF, au moment des faits, supérieur hiérarchique de Amidou Tiegnan), Laure Zongo/Hien (ex-ministre), Kouka Dimanche Yaméogo, Billy Mandel Josito Zongo, Billa Payiwendé Pasgo, Lydie Bonkoungou, Issiaka Sangaré, Sompagnimdi Ismaël Ouédraogo.

Tous sont agents ou ex-agents du Ministère de l'Action Humanitaire et de la Solidarite
Nationale, à l'exception du dernier, commerçant de son état.

Les infractions de détournement de deniers publics, complicités de détournement de deniers publics, enrichissement illicite et blanchiment de capitaux ont été retenus contre eux.

Restez connectés sur www.minute.bf pour ne rien rater du procès.

Minute.bf

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🔴 Grande croisade à Boassa : La Synagogue de l’Exaucissement annonce une croisade spéciale les 19,20 et 21 décembre 2025...
12/12/2025

🔴 Grande croisade à Boassa :

La Synagogue de l’Exaucissement annonce une croisade spéciale les 19,20 et 21 décembre 2025 avec le Prophète Major Power. Trois jours de prières et de délivrance à Boassa, dès 08h.

Infos : 66 44 46 12 / 01 60 29 24

🔴 La Cour des comptes sanctionne un comptable du BUMIGEB pour irrégularités dans la justification des dépensesLa Cour de...
12/12/2025

🔴 La Cour des comptes sanctionne un comptable du BUMIGEB pour irrégularités dans la justification des dépenses

La Cour des Comptes du Burkina Faso a rendu le jeudi 30 janvier 2025 un deuxième arrêt important en matière de discipline budgétaire. Cette fois, c'est l'ancien comptable principal du Bureau des Mines et de la Géologie du Burkina (BUMIGEB), M. S. A, qui était au centre des débats pour des faits de gestion remontant à l'exercice 2017.

Cette affaire illustre une nouvelle fois la pertinence du rôle de l’ASCE-LC dans la détection et la transmission des irrégularités financières, confirmant son engagement à renforcer la transparence et la discipline budgétaire.

En rappel selon l’article 6 de la loi organique N° 082-2015/CNT du 24 novembre 2015 l’ASCE-LC : « reçoit copie de tous les rapports établis par les organes administratifs de contrôle interne des départements ministériels, des institutions, des établissements publics de l’Etat des collectivités territoriales et des projets et programmes de développement ».

En outre selon l’article 9 de la même loi l’ASCE-LC est chargée de « saisir la justice de toute violation commise par les services du secteur public ainsi que par leurs agents, des textes législatifs et règlementaires qui en régissent le fonctionnement administratif, financier et comptable ».

Suite à l’examen d’un rapport initié par le Bureau des Mines et de la Géologie du Burkina (BUMIGEB), l’ASCE-LC a procédé à une analyse approfondie et conclu à l’existence de faits présomptifs de fautes de gestion. Fidèle à sa mission de prévention et de répression, elle a transmis le rapport au Procureur général près la Cour des Comptes, démontrant sa vigilance constante dans la lutte contre les dérives financières.

Le Ministère Public reprochait à l'intéressé deux principales infractions : la violation des principes budgétaires et comptables concernant le reversement intégral du produit de la vente de dossiers d'appel d'offres (DAO), et la violation des règles relatives à l'exécution des dépenses pour des irrégularités dans la présentation des pièces justificatives.

Sur le premier chef, concernant le reversement intégral de la somme de 3 270 000 FCFA sur le compte du BUMIGEB alors qu'elle devait être partagée avec l'Autorité de Régulation de la Commande Publique (ARCOP), la Cour a relaxé M. S A. La cour a estimé que l'élément matériel de la faute n'était pas établi à son encontre, constatant l'absence de sa signature sur le bordereau de l'opération incriminée.

En revanche, la Cour a retenu sa culpabilité sur le second chef d'accusation. Il a été établi que M. S A avait utilisé la même pièce justificative – relative à l'acquisition de mobilier de bureau pour un montant de 3 040 000 FCFA – pour justifier deux dépenses distinctes. De plus, il avait présenté des pièces justificatives datant de 2018 pour régulariser des dépenses engagées en 2017, notamment pour une visite médicale des agents d'un coût de 749 000 FCFA.

L'ancien comptable a reconnu les faits, les attribuant à une « maladresse » et une « inattention », sans intention délibérée de violer la réglementation. Cependant, la Cour a rappelé qu'en sa qualité de comptable public, il avait l'obligation stricte d'assurer la conservation et la présentation de pièces justificatives conformes à l'orthodoxie comptable. Ces manquements ont été qualifiés de faute de gestion.

En conséquence, M. S A a été condamné à une amende de 300 000 FCFA pour violation des règles relatives à l'exécution des recettes et des dépenses de l'Etat.

Cet arrêt, notifié au Contrôleur Général d'Etat le 13 novembre 2025, vient renforcer la crédibilité de l’action de l’ASCE-LC. Il démontre que les contrôles menés et les transmissions opérées par l’Autorité ne sont pas de simples formalités, mais des leviers concrets de responsabilisation et de bonne gouvernance. Chaque sanction contribue à instaurer une culture de rigueur et de transparence dans la gestion des finances publiques.

DCP / ASCE-LC


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