Kalsaka Actu

Kalsaka Actu Journaliste, cet espace de liberté est ma modeste contribution à la commune qui m'a vu naître. E

Dans vos kiosques
07/05/2024

Dans vos kiosques

01/05/2024

Burkina/Orpaillage à Kalsaka : « J’ai eu trois millions de FCFA pour m’acheter un tricycle et une moto », Yassia Sawadogo, orpailleur

A Kalsaka, dans la province du Yatenga, région du Nord, l’orpaillage est la principale activité des jeunes. A l’occasion d’une visite occasionnelle dans cette ville septentrionale du Burkina Faso, nous avons fait une escale sur un site d’exploitation artisanale à ciel ouvert. Yassia Sawadogo est un orpailleur qui a quitté la classe de CM2 pour se consacrer à cette activité où il estime bien s’en sortir.

https://lefaso.net/spip.php?article129909&fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR3k2B9Oeu6LVhiiQZNMyCXpnPt9fDcBX7wcb7K557kZjpJjw1kpEENQBow_aem_Abwk6HvhxoxN-b9EQIc88u2cBxeNR-Mx4bbdBSlloHdESoFycG_wxlp1Ys-r2pXL6lsbdCsyu8ZG5t3Uex4fSGFn

A Dieu, champion Mahamadi Kiemdé à été enterré ce jour, 27 avril 2024 à Boussé.
27/04/2024

A Dieu, champion
Mahamadi Kiemdé à été enterré ce jour, 27 avril 2024 à Boussé.

Procès de la marche du 29 janvier 2024 à Ouahigouya: Le roi du Yatenga, quant à lui, a refusé de se constituer partie ci...
22/02/2024

Procès de la marche du 29 janvier 2024 à Ouahigouya: Le roi du Yatenga, quant à lui, a refusé de se constituer partie civile et a renoncé à tout dédommagement

Le tribunal de grande instance de Ouahigouya a rendu son verdict, le mercredi 21 février 2024, à l’issue du procès des huit présumés coupables poursuivis pour organisation d’une manifestation illicite, attroupements armés et acte de vandalisme causés lors de la marche du 29 janvier dernier
Entamé, hier 21 février, aux environs de 8h30mn, le procès de la marche du 29 janvier 2024 à Ouahigouya a livré son verdict. Un seul prévenu a écopé d’une peine de 36 mois avec sursis avec une amande de 2 millions CFA ferme à payer, quatre autres ont été condamnés à 24 mois assortis de sursis avec un million F CFA ferme que chacun doit payer et les trois autres ont été relaxés au bénéfice du doute.
Il s’agit de A.A. Ouédraogo (membre du mouvement jeunesse engagée pour la libération du Nord), S. Sawadogo et Issouf Ouédraogo. Ils ont été accusés d’avoir organiser une manifestation illicite, qui occasionnera un attroupement armé et des actes de vandalisme lors de la marche du 29 janvier 2024. Laquelle marche a occasionné des saccages des biens publics au niveau de l’antenne régionale de la Rtb2 Nord, du palais du roi du Yatenga, Naaba Kiiba, au 12e Régiment d’infanterie commando (RIC) et de la compagnie de la gendarmerie.

A la barre, le 21 février 2024, dans une salle comble de monde, les huit prévenus ont comparu pour se défendre. Tous ont plaidé non coupable.

Parmi eux, quatre prévenus que sont le vice-président, le chargé à l’organisation, le chargé à la communication et à l’information et un membre, tous issus du mouvement jeunesse engagée pour la libération du Nord. Selon leur version des faits, tout serait partie de l’association des jeunes commerçants du marché de Ouahigouya.
« Lors d’une nuit de la veille citoyenne à la place de la Nation, nous avons été approchés pour l’organisation d’un meeting de soutien à la Transition. J’ai donc informé mon président qui réside à Ouagadougou. Nous avons donc tenu une rencontre, mais finalement l’association des jeunes commerçants s’est retirée car son président dit n’avoir pas été informé de la démarche. Mais, nous avions déjà informé la population de ce meeting à travers les groupes WhatsApp, le crieur public et autres canaux », a indiqué le présumé coupable, le vice- président du mouvement.
Et de poursuivre que le 28 janvier soit la veille de la marche, tous les membres des organisations de la société civile ont été reçus par le gouverneur de la région afin de sursoir à la marche. « De retour de cette rencontre, on a envoyé des messages vocaux et fait une vidéo en direct postée sur notre page Facebook informant la population de l’annulation du meeting.
Dans la même soirée, j’ai reçu des menaces de violence sur ma personne comme quoi on aurait reçu de l’argent chez le Gouverneur. C’est ce qui justifie son annulation donc ils vont s’en prendre à nous. J’ai informé le reste du groupe et leur demander de se mettre à l’abri. C’est ainsi que moi et le chargé de communication, nous nous sommes refugiés à Baporé, un village voisin », a-t-il confirmé. C’est n’est qu’après qu’ils ont appris qu’une marche a eu lieu à Ouahigouya occasionnant des dégâts, selon ses dires.

« Pourquoi n’avoir pas utilisé les mêmes canaux d’information pour informer la population de l’annulation du meeting ? », a demandé le parquet. Le prévenu, chargé de communication a expliqué que le temps était court pour faire appel à un crieur public. « Notre rencontre avec le gouverneur est finie aux environs de 18h.
Donc, c’était difficile de le faire », a-t-il répondu. Aviez-vous une autorisation pour l’organisation du meeting ? Et le prévenu, vice-président de répondre qu’il ignorait qu’on devrait avoir une autorisation avant d’organiser un meeting. « On a déjà organisé un meeting, mais je ne savais pas qu’il fallait une autorisation », a-t-il ajouté.
Le président du tribunal lui a expliqué que la ville, le pays est régi par des lois nationales, traditionnelles, religieuses. «S’il y a la liberté d’aller et de venir, c’est parce que ces lois sont respectées », a précisé le président.
M. Ilboudo, agent judiciaire représentant les victimes à savoir la RTB2 Nord, le Naaba Kiiba, le 12e RIC et la compagnie de la gendarmerie, a demandé qu’une réparation soit faite. Les dommages et intérêts de la RTB2 ont été estimés à 4 644 450FCFA et le RIC a 2 000 050FCA.
Le roi du Yatenga, quant à lui, a refusé de se constituer partie civile et a renoncé à tout dédommagement.

F. BIRBA et A. OUEDRAOGO (Stagiaire) pour sidwaya.info

Une formation sur le transport sanitaire et la gestion des urgences sanitaires a regroupé le personnel et les ambulancie...
28/08/2023

Une formation sur le transport sanitaire et la gestion des urgences sanitaires a regroupé le personnel et les ambulanciers de la Clinique YIDIA, les 24 et 25 août 2023 dans les locaux de la Clinique YIDIA, sis au Quartier Saint-Léon, Zone Oscar Yaar, Secteur N°2 de la ville de Ouagadougou.

Secourisme : la Clinique YIDIA renforce les capacités de ses ambulanciers et de son personnel August 28, 2023cyidiaActualitéUne formation sur le transport sanitaire et la gestion des urgences sanitaires a regroupé le personnel et les ambulanciers de la Clinique YIDIA, les 24 et 25 août 2023 dans...

Burkina :  Les examens scolaires auront lieu du 6 juin au 7 juillet 2023 pour les épreuves écrites Le Ministère de l’Edu...
27/04/2023

Burkina : Les examens scolaires auront lieu du 6 juin au 7 juillet 2023 pour les épreuves écrites

Le Ministère de l’Education nationale, de l’alphabétisation et de la promotion des langues nationales (MENAPLN) a organisé une conférence de presse ce jeudi 27 avril 2023 , à Ouagadougou.

Il s’est agi de faire le bilan des inscriptions de la session 2023, de l'organisation des examens .

Comme chiffres, on peut noter au
CEP 376 275 candidats inscrits dont 208 901 filles et 167 374 garçons. Par rapport à l'année dernière, on constate une baisse de 14,75 %.

Au BEPC, on dénombre 216 284 candidats inscrits soit 127 171 filles et 89 113 garçons. On constate une baisse de 16, 83%.

En ce qui concerne le BEP , on enregistre 14055 candidats inscrits soit 5 048 filles et 9 007 garçons. Cela représente 9,26% de hausse comparativement à 2022.

Au CAP , il y a eu 9 540 candidats inscrits dont 3 808 filles et 5 732 garcons avec une hausse de 19,07% par rapport à l’an dernier.

En dernier, pour le Baccalauréat, on note 136 110 candidats inscrits, soit 68 717 filles et 67 393 garçons . Le chiffre démontre une baisse de 04, 65% par rapport à 2022.

Les dates des examens ont été également données.

Pour les épreuves physiques et sportives aux examens du BEPC, BEP et CAP, elles vont avoir lieu le 22 mai 2023.

Pour les candidats au Baccalauréat , elles se feront à partir du 22 mai.

En ce qui concerne les épreuves écrites et orales le calendrier est le suivant :

-Du 06 au 08 juin 2023 pour le CEP.

-Du 1er au 14 juin 2023 pour le BEPC.

Du 1 er au 11 juin 2023 pour le CAP.

Du 1 er au 12 juin 2023 pour le BEP.

- Du 20 juin au 07 juillet 2023 pour le BAC.

Le budget mobilisé par l’Etat pour les examens de 2023 est estimé à plus de 23 milliards.

L'information en temps réel du Burkina, Médias, journaux, infos, direct, les dernières nouvelles, politiques.

Imam Tiégo Tiemtoré : « Malgré les progrès technologiques, nos cœurs, no s âmes et nos esprits ont soif et faim de Dieu ...
15/04/2023

Imam Tiégo Tiemtoré : « Malgré les progrès technologiques, nos cœurs, no s âmes et nos esprits ont soif et faim de Dieu »

Pour l’imam Tiégo Tiemtoré, le Ramadan est un mois particulier pour le musulman qui doit se dire qu’il fait partie des privilégiés de Dieu pour bénéficier d’un Ramadan supplémentaire, en vue de se rapprocher davantage de lui. Dans cet entretien, Tiégo Tiemtoré, imam des mosquées de l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina Faso (AEEMB) et du Cercle d’études, de recherches et de formation islamique (CERFI), distille des conseils pour un Ramadan réussi.

Pour l'imam Tiégo Tiemtoré, le Ramadan est un mois particulier pour le musulman qui doit se dire qu'il fait partie des privilégiés de Dieu pour (...)

Utilisation des engrais chimiques dans les zones à forts défis sécuritaires : Les explications du colonel Boukaré ZOUNGR...
07/04/2023

Utilisation des engrais chimiques dans les zones à forts défis sécuritaires : Les explications du colonel Boukaré ZOUNGRANA sur la mesure relative à son interdiction

Le Ministère de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité (MATDS) était devant la Commission du Développement Durable de l’Assemblée Législative de Transition (ALT), le vendredi 07 avril 2023 pour éclairer les parlementaires sur l’interdiction de l’utilisation des engrais chimiques dans les zones à forts défis sécuritaires.

Cet exercice a permis à l’équipe technique du MATDS, conduite par son premier responsable, le Colonel Boukaré ZOUNGRANA, de revenir sur la problématique de l’utilisation interdite des engrais chimiques dans les zones à forts défis sécuritaires. Les questions relatives à la catégorie des produits frappés par l’interdiction, à la cartographie des zones interdites à l’utilisation de ces engrais chimiques et l’effectivité de la mesure ont aussi été abordées par le Colonel ZOUNGRANA.

Dans son exposé, le Ministre de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité, le Colonel Boukaré ZOUNGRANA, a informé les Députés que la liste de ces produits dits « produits spécifiques » est bien disponible et pourra au besoin, être mise à leur disposition. Quant à la cartographie des zones interdites à l’utilisation de ces engrais chimiques, le Ministre ZOUNGRANA a indiqué que l’application de la mesure est tributaire de la situation sécuritaire du pays. En effet, elle s’applique à toutes les zones dont la situation sécuritaire s’est progressivement dégradée. Il s’agit des régions de l’Est, du Nord, du Sahel, de la Boucle du Mouhoun et des Cascades.
Sur la question de l’effectivité de la mesure d’interdiction, le Colonel Boukaré ZOUNGRANA a confié qu’elle est bien mise en œuvre sur le terrain. « Oui, la mesure est effective parce que sur le terrain, nous avons des FDS et VDP qui se sont engagés à la faire appliquer ». Mais, selon le Ministre, par endroit, les engrais chimiques sont toujours utilisés par « l’ennemi » pour fabriquer des Engins Explosifs Improvisés (EEI) contre les forces combattantes.

Le président de la Commission du Développement Durable de l’ALT, l'honorable Moussa KONÉ, a indiqué que ce passage du MATDS s’inscrit dans une logique de recherche d’informations quant à l’utilisation des produits chimiques par les populations, notamment celles des zones à forts défis sécuritaires.

Au terme des échanges, les Députés membres de la Commission ont exprimé leur satisfécit quant aux réponses apportées à l’ensemble des préoccupations qui ont été posées. Ils ont rassuré le Colonel Boukaré ZOUNGRANA et sa délégation de leur engagement à l’accompagner à relever tous les défis dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.

DCPR/MATDS



06/04/2023

Déclaration de l’état d’urgence dans huit (08) régions du Burkina Faso : Quelles implications pour les populations des localités concernées ?

Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, le Conseil des ministres, en sa séance du vendredi 24 mars 2023, a adopté un décret portant déclaration de l’état d’urgence dans huit (08) régions sur les treize (13) que compte le Burkina Faso. Ce décret a pris effet depuis le 30 mars 2023 dans les localités concernées. Mais que renferme cette situation d’état d’urgence pour les populations ?

De l’avis du Conseiller Technique Juridique du Ministre de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité, Monsieur Hikoti GNOUMOU, l’état d’urgence est une situation de crise qui permet aux autorités administratives, à savoir le Ministre de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité et les Chefs de Circonscriptions administratives, de prendre des mesures exceptionnelles en matière de sécurité et qui sont susceptibles de porter atteinte aux droits et libertés des citoyens. Autrement dit, il s’agit d’un état d’exception qui donne des pouvoirs exceptionnels aux autorités administratives de prendre des mesures en matière de sécurité pouvant restreindre les libertés publiques. Il ressort des explications du Conseiller Technique du Ministre qu’il existe deux (02) grandes situations dans lesquelles l’état d’urgence peut être déclaré sur tout, ou une partie du territoire national.

Pour le premier cas, lorsqu’il y a un péril imminent qui résulte des atteintes graves à l’ordre public, le Chef de l’État peut déclarer l’état d’urgence par décret, après délibération en Conseil des ministres.

Concernant le deuxième cas, lorsqu’il y a des événements qui présentent un caractère de calamité publique, de par leur nature et envergure (grandes inondations, séismes ou invasion des récoltes par des criquets), l’état d’urgence peut être déclaré.

Quant à la durée de l’état d’urgence, Monsieur GNOUMOU souligne que conformément aux dispositions de la loi 023-2019/AN du 14 mai 2019 portant règlementation de l'état de siège et de l'état d’urgence au Burkina Faso, lorsque l’état d’urgence est déclaré en période de session de l’Assemblée nationale, elle ne peut excéder trente (30) jours. Sa durée maximale est de quarante-cinq (45) jours, sil est déclaré en période hors session. Toutefois, a-t-il soutenu, à l’expiration de ces délais, si le Gouvernement estime qu’il est toujours nécessaire de maintenir la situation, il lui est fait obligation de saisir l’Assemblée nationale pour demander une prorogation. Ce délai peut encore être prorogé à son expiration et ce, dans les mêmes conditions, a-t-il indiqué.

Lorsque l’état d’urgence est déclaré dans une localité donnée, les Chefs de Circonscriptions administratives de ces localités peuvent prendre des mesures qui sont de nature à restreindre les libertés et droits des personnes. Par conséquent, et pour ce qui est du cas du Burkina Faso, prévient Monsieur GNOUMOU, les populations doivent s’attendre à ce que certaines mesures qui seront prises, portent atteinte à leurs libertés et droits. Toutefois, ces mesures doivent rester dans le cadre de la loi, c’est-à-dire, demeurer des mesures de sécurité.
Aussi, rassure-t-il, les mesures susceptibles d’être prises sont encadrées. En effet, lorsqu’un Chef de Circonscription administrative viendrait à prendre une mesure dans son ressort territorial où l’état d’urgence est déclaré, il devrait d’abord se rassurer que cette décision respecte deux principes : le principe de la nécessité ou d’opportunité et le principe de la proportionnalité. En d'autres termes, la mesure envisagée est-elle nécessaire au regard de la situation qui prévaut dans la localité concernée ? En outre, la mesure envisagée est-elle proportionnelle (adéquate ou adaptée) ? En cas de non-respect de ces deux (02) principes, le citoyen a le droit d’attaquer ladite décision devant le juge administratif.

La situation d’état d’urgence au Burkina Faso est donc encadrée et il y a des garanties données aux citoyens qui peuvent exercer des recours contre les décisions prises par ces Chefs de Circonscriptions administratives. L’état d’urgence n’est donc pas un état de non droit, a conclu le Conseiller Technique Juridique, Monsieur Hikoti GNOUMOU.

DCRP/MATDS


24/03/2023

Extrait du Compte rendu du conseil des ministres du 24 mars 2023

L’état d’urgence est déclaré dans les zones ci-après du territoire national, à compter du 30 mars 2023, à partir de 00 heure, conformément à l’article 11 de la loi n°023-2019/AN du 14 mai 2019 portant règlementation de l’état de siège et de l’état d’urgence au Burkina Faso.

Il s’agit :
- des provinces des Banwa, de la Kossi, du Nayala et du Sourou dans la région de la Boucle du Mouhoun ;

- de la province du Koulpelogo dans la région du Centre-Est ;

- des provinces de la Gnagna, du Gourma, de la Komondjari, de la Kompienga et de la Tapoa dans la région de l’Est ;

- des provinces du Kénédougou et du Tuy dans la région des Hauts-Bassins ;

- des provinces du Lorum et du Yatenga dans la région du Nord ;

- des provinces de l’Oudalan, du Séno, du Soum et du Yagha dans la région du Sahel ;

- de la province de la Comoé dans la région des Cascades ;

- des provinces du Bam, du Namentenga et du Sanmatenga dans la région du Centre-Nord.

L’adoption de ce décret permet de renforcer l’existence des moyens juridiques dans le cadre de la lutte contre le terrorisme dans ces régions.

Adresse

Ouagadougou

Téléphone

+22678736348

Site Web

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Kalsaka Actu publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter L'entreprise

Envoyer un message à Kalsaka Actu:

Partager