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08/10/2025
  : Quand l’humanitaire masque l’espionnage — le Burkina Faso démasque une opération de renseignement transfrontalierCe ...
08/10/2025

: Quand l’humanitaire masque l’espionnage — le Burkina Faso démasque une opération de renseignement transfrontalier

Ce 7 octobre 2025, le ministre de la Sécurité, Mahamadou Sana, a révélé l’un des plus graves cas d’ingérence étrangère jamais documentés sur le territoire burkinabè.
L’ONG International NGO Safety Organisation (INSO), active depuis 2019 sous couvert de formation sécuritaire pour les ONG humanitaires, s’est avérée être un véritable bras opérationnel de renseignement au service de puissances étrangères. Ce n’était pas une dérive ponctuelle, mais une stratégie planifiée, structurée et exécutée avec méthode.

Les faits sont accablants.
INSO collectait des données d’une sensibilité extrême : itinéraires militaires, compositions des convois, coordonnées GPS des accrochages entre les FDS et les groupes terroristes, bilans humains après les attaques, mouvements des VDP, et même les dispositifs d’alerte et les types d’armement déployés.

Ces informations, qui relèvent du secret défense, étaient centralisées dans une base de données à l’étranger, puis transmises à des partenaires financiers non identifiés.
Le ministre a souligné que cette collecte violait non seulement la convention d’établissement de l’ONG, mais aussi les fondements de la souveraineté nationale.

Mais ce qui rend cette affaire encore plus inquiétante, c’est la sophistication du dispositif de recrutement. INSO ne se contentait pas d’observer. Elle infiltrait.
Elle ciblait les zones les plus vulnérables du pays Soum, Tapoa, Sirba, Liptako, Goulmou, Bankuy, Sourou là où l’État mène une guerre de survie contre le terrorisme. Dans ces régions, l’ONG identifiait des profils stratégiques : anciens FDS pour leur expertise militaire, orpailleurs pour leur mobilité, commerçants pour leur réseau, enseignants et infirmiers pour leur accès aux communautés.

Ces individus étaient recrutés avec des salaires allant jusqu’à 3,5 millions FCFA par mois, bien au-delà des standards humanitaires. Ils formaient un réseau à trois niveaux : analystes, agents de terrain, et relais communautaires.

Le ministre Sana a décrit un processus d’infiltration méthodique : d’abord l’identification du milieu cible, ensuite le repérage de la personne la mieux placée pour accéder à l’information, puis l’approche par rémunération. Une fois recruté, l’agent entrait dans une chaîne de collecte et d’analyse, avec des consignes précises venues du siège de l’ONG à La Haye. Ce n’était pas de l’aide humanitaire. C’était du renseignement militaire.

Et malgré la suspension officielle de ses activités le 31 juillet 2025, INSO a poursuivi ses opérations en toute clandestinité. Réunions en ligne, collectes sur le terrain, déplacements organisés depuis l’étranger tout a continué, en violation flagrante de l’arrêté ministériel. Sept personnes ont été interpellées : quatre Burkinabè, un Malien, une Franco-Sénégalaise (Aminata Marianne Guisse, directrice adjointe), et un Tchèque (Thomas Muzik, directeur des programmes). Le directeur pays, un ressortissant français, avait déjà été arrêté en juillet.

Ce réseau n’était pas un accident.
C’était une opération de pénétration, financée, coordonnée, et exécutée avec précision.
Le ministre Sana a été catégorique : toutes les personnes impliquées seront déférées pour espionnage et trahison.
Il a lancé un appel à la vigilance nationale, exhortant les citoyens à ne jamais troquer leur intégrité contre l’argent de l’impérialisme.

Ce scandale révèle une vérité brutale : la guerre contre le terrorisme ne se joue pas uniquement sur le terrain. Elle se joue dans les coulisses de l’information, dans les bases de données, dans les ONG infiltrées. Elle se joue dans les esprits, dans les complicités locales, dans les failles de la vigilance. Le Burkina Faso, sous la conduite du Capitaine Ibrahim Traoré, ne tolérera aucune pénétration étrangère dans ses dispositifs de défense.

La sécurité nationale est une ligne rouge.
Et cette ligne ne sera jamais franchie sans riposte. Le démantèlement d’INSO est une victoire stratégique. Mais c’est aussi un avertissement. À toutes les organisations opérant sur le territoire : le Burkina Faso coopère, mais ne se soumet pas.
Il accueille, mais ne se laisse pas manipuler.
Il protège, mais ne pardonne pas la trahison.
La République est en éveil. Et elle ne reculera devant rien pour défendre sa souveraineté.

’espionnageNeutralisé

08/10/2025

🚭 C'est Officiel À partir du 17 octobre 2025, il sera interdit de fumer dans les lieux publics et les transports en commun au Burkina Faso.
Le décret n°2025-0455, signé depuis avril, entre officiellement en vigueur pour protéger la santé publique. Le Dr Arthur Joël Kiendrebéogo appelle toutes les structures à faire respecter cette mesure sans exception.
Les espaces de travail doivent devenir des zones non-fumeurs, sous peine de sanctions.
Les fumeurs risquent une amende de 15 000 FCFA, et les responsables négligents jusqu’à 200 000 FCFA. Cette décision marque une avancée majeure pour un environnement plus sain et responsable. Le ministère insiste : tolérance zéro, santé d’abord.

🔴  : le Lieutenant-Colonel HEMA Bakiéné Aboubacar prend les commandes de la DCMA — vers une logistique militaire souvera...
08/10/2025

🔴 : le Lieutenant-Colonel HEMA Bakiéné Aboubacar prend les commandes de la DCMA — vers une logistique militaire souveraine et opérationnelle

Ce 7 octobre 2025, dans l’enceinte du Groupement Central des Armées à Ouagadougou, le Chef d’État-major Général Adjoint des Armées, le Colonel Théophile NIKIEMA, a procédé à l’installation officielle du nouveau Directeur Central du Matériel des Armées (DCMA), le Lieutenant-Colonel HEMA Bakiéné Aboubacar. Cette cérémonie, hautement symbolique, marque une nouvelle étape dans la consolidation des capacités logistiques des Forces Armées Nationales, dans un contexte de guerre asymétrique et de montée en puissance des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP).

La DCMA, bras technique du Groupement Central des Armées, joue un rôle vital dans la chaîne de commandement opérationnelle.
Elle est chargée de garantir la disponibilité, la fiabilité et l’adéquation du matériel militaire — des véhicules blindés aux équipements individuels, en passant par les moyens de communication, les armes lourdes et les dispositifs de ravitaillement. Dans un contexte de lutte contre le terrorisme, où chaque convoi, chaque unité, chaque mission dépend d’une logistique irréprochable, la DCMA est plus qu’un service technique : elle est le nerf de la guerre, le pilier silencieux de la victoire.

Prenant la parole, le Lieutenant-Colonel HEMA Bakiéné Aboubacar a exprimé sa volonté de poursuivre et d’amplifier les efforts de son prédécesseur, le Colonel SEMDE Abdoul-Ramane, salué pour son « travail remarquable et structurant ».
Le nouveau DCMA a affirmé : « Aujourd’hui, en prenant la tête de cette direction,
je m’engage à poursuivre et à amplifier ces efforts. Ma vision s’inscrit dans une logique de continuité et d’ambition. »

Cette déclaration s’inscrit dans la ligne stratégique du Chef Suprême des Armées, le Capitaine Ibrahim Traoré,
qui exige des structures militaires une performance maximale, une efficacité opérationnelle constante, et une adaptation permanente aux réalités du terrain.
Le Colonel NIKIEMA, dans son allocution, a exhorté le nouveau directeur à inscrire son action dans cette vision, soulignant que la logistique militaire n’est pas une fonction secondaire, mais une mission de souveraineté.

Sous la direction du Lieutenant-Colonel HEMA, la DCMA devra relever plusieurs défis :
- Renforcer l’autonomie logistique en réduisant la dépendance aux fournisseurs étrangers.
- Optimiser la maintenance préventive et corrective des équipements déployés sur le front.
- Moderniser les systèmes de gestion du matériel, avec des outils numériques de suivi et de traçabilité.
- Intégrer les besoins spécifiques des VDP, souvent déployés dans des zones reculées avec des moyens limités.
- Sécuriser les chaînes d’approvisionnement, face aux risques d’interception, de sabotage ou de corruption.

Cette approche exige une doctrine claire, une planification rigoureuse, et une capacité d’anticipation stratégique. Le Burkina Faso, engagé dans une transition sécuritaire et institutionnelle, ne peut tolérer les ruptures logistiques, les lenteurs administratives ou les défaillances techniques. Chaque unité sur le terrain doit pouvoir compter sur un matériel fiable, disponible et adapté — sans exception, sans délai, sans compromis.

L’installation du Lieutenant-Colonel HEMA à la tête de la DCMA est un signal fort : le Burkina Faso renforce ses fondations militaires, avec des hommes compétents, engagés et alignés sur la vision républicaine du Chef de l’État. Cette nomination s’inscrit dans une dynamique de professionnalisation, de responsabilisation et de consolidation des structures de défense.

Dans un contexte régional marqué par les menaces hybrides, les ingérences étrangères et les tentatives de déstabilisation, la maîtrise du matériel militaire devient une question de survie nationale. Le Burkina Faso,
sous la conduite du Capitaine Traoré, choisit la rigueur, la souveraineté et la performance.
La DCMA, désormais sous commandement renouvelé, devra incarner cette exigence, jour après jour, mission après mission.

La République ne se défend pas seulement par les armes — elle se défend par la logistique, la discipline et la vision.
Et le Burkina Faso est prêt.

🔴 :  , une ONG au cœur d’un réseau d’espionnage transfrontalier — preuves, modus operandi, complicité locale et stratégi...
08/10/2025

🔴 : , une ONG au cœur d’un réseau d’espionnage transfrontalier — preuves, modus operandi, complicité locale et stratégie de déstabilisation révélés

Ce 7 octobre 2025, le gouvernement burkinabè a révélé l’existence d’un réseau d’espionnage sophistiqué, opéré sous couverture humanitaire par l’ONG étrangère International NGO Safety Organisation (INSO).
Cette organisation, installée au Burkina Faso depuis 2019 sous la convention d’établissement N°057-2019/MINEFID/INSO, prétendait former les ONG humanitaires en matière de sécurité. Mais derrière cette façade, les services de renseignement ont mis au jour une opération de collecte massive de données militaires, politiques et administratives, orchestrée au profit de puissances étrangères.

📌 Des preuves accablantes et une méthodologie militaire

Les faits révélés par le ministre de la Sécurité, Mahamadou Sana, ne laissent aucune place au doute. INSO ne se contentait pas d’observer le contexte sécuritaire : elle menait une collecte systématique, ciblée et clandestine d’informations classifiées, avec une précision qui relève de l’intelligence militaire.

Les données recueillies comprenaient :

- Les itinéraires, horaires et compositions des convois militaires et de ravitaillement, normalement tenus secrets pour éviter les embuscades.
- Les coordonnées GPS exactes des accrochages entre les FDS et les groupes terroristes, ainsi que les zones d’explosion d’engins explosifs improvisés (EEI).

- Le dénombrement des victimes après chaque attaque, accompagné de photographies des corps et des lieux.
- L’inventaire des moyens militaires déployés : nombre de soldats, types de véhicules, armes lourdes, motos, etc.
- La surveillance des mouvements terroristes, des décisions administratives locales, et des dysfonctionnements dans les délégations spéciales.
- L’extension de la collecte au Mali, à partir du territoire burkinabè, avec centralisation des données dans des bases étrangères.

Ces éléments ne relèvent pas d’un simple excès de zèle ou d’un malentendu administratif. Ils constituent une violation délibérée de la législation nationale, une atteinte directe à la souveraineté,
et une mise en danger des opérations militaires en cours. Le niveau de détail et la nature des informations collectées démontrent une intention claire : cartographier les capacités militaires du Burkina Faso et les vulnérabilités de ses dispositifs de défense.

🧠 Un réseau structuré, des relais locaux et des salaires motivants

INSO avait mis en place un réseau de collaborateurs locaux, recrutés parmi les anciens membres des FDS, des commerçants, des enseignants, des orpailleurs et des agents de santé. Ces individus, rémunérés entre 500 000 et 3,5 millions FCFA par mois selon leur rôle, étaient chargés de collecter les données sur le terrain, de les analyser, et de les transmettre via des canaux sécurisés.
Ce système de rémunération élevé, bien au-dessus des standards humanitaires, révèle une stratégie d’achat de loyautés et de pénétration sociale.

Malgré la suspension officielle de ses activités le 31 juillet 2025, INSO a poursuivi ses opérations en toute clandestinité, organisant des réunions en ligne et en présentiel, et continuant à alimenter ses bases de données. Ce mépris des autorités burkinabè démontre une volonté manifeste de contourner les institutions et de poursuivre une mission d’espionnage sous couverture humanitaire.

👥 Des interpellations ciblées et des profils révélateurs

Huit personnes ont été interpellées :

- Quatre Burkinabè, identifiés comme relais locaux.
- Un ressortissant malien, impliqué dans la collecte transfrontalière.
- Une Franco-Sénégalaise, Aminata Marianne Guisse, directrice adjointe.
- Un Tchèque, Thomas Muzik, directeur des programmes.

Le directeur pays, un ressortissant français, avait déjà été arrêté en juillet pour collecte illégale de données sensibles.
Ces profils, tous liés à la direction opérationnelle de l’ONG, confirment que les activités malveillantes étaient organisées, planifiées et exécutées au plus haut niveau.
Il ne s’agissait pas d’initiatives isolées, mais d’une stratégie coordonnée, transnationale, et financée par la DGSE France.

Le ministre Mahamadou Sana a annoncé que toutes les personnes impliquées seront déférées devant le Procureur du Faso pour espionnage et trahison.
Il a également lancé un appel à la vigilance citoyenne, exhortant les Burkinabè à ne jamais troquer leur intégrité contre l’argent de l’impérialisme. Cette affaire s’inscrit dans une stratégie plus large de sécurisation du territoire, de lutte contre les ingérences, et de consolidation de la souveraineté nationale.

Le gouvernement burkinabè, sous la conduite du Capitaine Ibrahim Traoré, a fait de la lutte contre le terrorisme et ses soutiens indirects une priorité absolue. Le démantèlement d’INSO s’inscrit dans cette logique : tarir les sources de renseignement et de financement qui alimentent les groupes ter-roristes.

Les faits sont clairs : INSO n’était pas une ONG humanitaire. Elle était un instrument de renseignement déguisé,
opérant dans des zones sensibles, infiltrant les communautés, et transmettant des données critiques à des puissances étrangères.
Son démantèlement est une victoire stratégique pour le Burkina Faso, un avertissement pour les autres ONG opérant sur le territoire, et une démonstration de la vigilance républicaine.

Ce cas illustre une vérité fondamentale : la guerre moderne ne se limite pas aux armes — elle se joue aussi dans l’information, la perception et la manipulation. Le Burkina Faso, en choisissant de riposter, affirme que sa souveraineté ne se négocie pas, ne se marchande pas, et ne se laisse pas infiltrer.

Le Burkina Faso ne se laisse pas espionner.
Il surveille, il protège, il riposte. La souveraineté n’est pas un slogan — c’est une ligne de front.


Tougma K. Flavien Ali Badra Sambo Sidibé Issouf Sawadogo Ali Dianda Issouf Sankara Aimé Compaore Bayala Lianhoué Imhotep Amadou Dicko BAZIE Bassolma Urbain Traore

🔴 –  : coopération militaire renforcée, mais vigilance stratégique face aux infiltrations Du 29 septembre au 2 octobre 2...
08/10/2025

🔴 – : coopération militaire renforcée, mais vigilance stratégique face aux infiltrations

Du 29 septembre au 2 octobre 2025, Ouagadougou a accueilli la deuxième réunion de la Commission Militaire Mixte entre le Burkina Faso et le Royaume du Maroc. Organisée par la Direction Générale de la Coopération Militaire et de Défense du Ministère de la Défense et des Anciens Combattants, cette rencontre a réuni une délégation marocaine
d’experts militaires et leurs homologues burkinabè pour évaluer les engagements pris lors de la première session et identifier de nouvelles pistes de collaboration.

Cette coopération, initiée par l’accord militaire et technique signé en 2024, s’est intensifiée dans plusieurs domaines clés : formation des cadres burkinabè dans les écoles militaires marocaines, appui en santé militaire, renforcement logistique, et échanges techniques. Le Maroc s’est positionné comme un partenaire actif, proposant des solutions dans la lutte contre les menaces sécuritaires régionales, notamment le terrorisme et les trafics transfrontaliers.

Mais derrière cette dynamique de partenariat, des interrogations stratégiques émergent.
Car si le renforcement des capacités militaires est une nécessité dans le contexte actuel, la dépendance prolongée à des structures étrangères, même alliées, peut engendrer des risques d’influence doctrinale,
de captation décisionnelle et d’infiltration silencieuse.La formation des cadres dans des institutions extérieures, aussi prestigieuses soient-elles, expose les forces nationales à des schémas d’action, des réflexes et des priorités qui ne sont pas toujours alignés avec les réalités du terrain burkinabè.

Le Burkina Faso, engagé dans une transition souverainiste sous la conduite du Capitaine Ibrahim Traoré, ne peut se permettre de diluer sa doctrine militaire dans des modèles importés. La République doit rester maîtresse de ses orientations stratégiques, de ses choix tactiques et de ses alliances.
La coopération ne doit jamais devenir une sous-traitance de la sécurité nationale.

Des signaux faibles, mais préoccupants, ont été relevés par certains analystes : multiplication des missions marocaines dans les centres sensibles, présence accrue dans les formations techniques, et propositions de standardisation des procédures opérationnelles. Ces éléments, s’ils ne sont pas encadrés avec rigueur, peuvent ouvrir la voie à une influence structurelle sur les mécanismes de défense du Burkina Faso.

La vigilance s’impose donc.
Le partenariat avec le Maroc doit être rééquilibré, recentré sur les besoins réels du pays, et soumis à une grille de lecture souverainiste. Il ne s’agit pas de rejeter l’appui marocain, mais de l’intégrer dans une logique de renforcement endogène,
où chaque contribution est évaluée à l’aune de la souveraineté, de la cohérence doctrinale et de la sécurité nationale.

Le Burkina Faso doit également accélérer la montée en puissance de ses propres écoles militaires, renforcer ses centres de formation, et investir dans la production locale de doctrine, d’équipement et de stratégie.
La sécurité ne se délègue pas — elle se construit, elle se défend, elle s’incarne.

Dans ce contexte, la Commission Militaire Mixte ne doit pas être un simple espace de coordination technique, mais un lieu de clarification politique,
où le Burkina Faso affirme ses lignes rouges, ses priorités, et sa vision de la défense nationale. Le Capitaine Traoré, porteur d’une ligne claire et d’une volonté de rupture avec les dépendances historiques, doit veiller à ce que chaque partenariat soit un outil de puissance, et non un vecteur d’influence.

La République est en éveil.
Le Burkina Faso ne se laissera pas pénétrer.
Il coopère, mais ne se soumet pas.
Il échange, mais ne abdique pas. Il construit, mais ne délègue pas sa souveraineté.

08/10/2025

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🔴  Faso : tolérance zéro sur l’alcool au volant — l’État impose le contrôle systématique dans les gares routièresDans le...
07/10/2025

🔴 Faso : tolérance zéro sur l’alcool au volant — l’État impose le contrôle systématique dans les gares routières

Dans le cadre du renforcement de la sécurité routière, le gouvernement burkinabè applique avec rigueur le décret n°2017-0826 du 19 septembre 2017, rendant obligatoire le contrôle du taux d’alcoolémie pour tous les conducteurs des sociétés de transport en commun avant chaque départ.
Cette mesure, portée par l’Office National de la Sécurité Routière (ONASER),
vise à protéger les citoyens, prévenir les accidents et instaurer une discipline exemplaire dans le secteur du transport.

Chaque gare routière doit désormais être équipée d’au moins deux éthylotests normalisés et fonctionnels, accessibles aux conducteurs avant toute prise de service.
Le seuil légal d’alcoolémie est fixé à moins de 0,2g/l, et tout dépassement entraîne l’interdiction immédiate de conduite pour le contrevenant. Les sociétés de transport sont tenues de respecter cette obligation sous peine de sanctions financières.

Les employeurs, maîtres et commettants qui refusent de soumettre leurs chauffeurs au contrôle s’exposent à une amende de 50 000 FCFA par conducteur non testé.
De même, le refus d’installer les éthylotests est passible d’une amende de 50 000 FCFA par constatation, avec un plafond de six constats par semaine, jusqu’à régularisation.

Cette politique incarne la volonté du Burkina Faso de bâtir une sécurité routière souveraine, préventive et citoyenne, où chaque acteur du transport est responsable de la vie des passagers. Elle s’inscrit dans une dynamique de gouvernance rigoureuse, où les lois ne sont pas des formalités mais des outils de transformation sociale.

L’ONASER appelle à une mobilisation collective : passagers, conducteurs, exploitants et citoyens doivent s’unir pour faire des routes burkinabè des espaces sûrs, disciplinés et respectueux de la vie humaine. Le gouvernement de transition,
fidèle à sa ligne de fermeté et de protection populaire, montre une fois de plus que la sécurité n’est pas négociable — elle est un droit et une priorité nationale.

🔴  : la République frappe au cœur du banditisme — huit braqueurs interpellés, dont deux ex-RSP infiltrés dans les dispos...
07/10/2025

🔴 : la République frappe au cœur du banditisme — huit braqueurs interpellés, dont deux ex-RSP infiltrés dans les dispositifs de sécurité

Le 7 octobre 2025, le Commissariat Central de Ouagadougou a annoncé une opération de sécurité d’envergure qui marque un tournant dans la lutte contre le grand banditisme urbain. Huit individus, spécialisés dans les braquages et les vols à main armée,
ont été interpellés dans plusieurs quartiers de la capitale. Parmi eux, deux anciens membres du Régiment de sécurité présidentielle (RSP), radiés de l’armée, ont été identifiés comme les cerveaux d’un réseau structuré et particulièrement dangereux.

Cette opération, menée par la Brigade de recherche avec une précision tactique remarquable, s’inscrit dans la doctrine sécuritaire du gouvernement qui place la protection des citoyens et la neutralisation des réseaux criminels au cœur de sa mission républicaine.

Le commissaire principal Hamado Tassembedo, en conférence de presse, a salué « l’action acharnée et méthodique » de ses équipes, soulignant que cette intervention a permis la saisie de deux fusils Kalachnikov, un pistolet automatique, des munitions, une voiture et vingt motos volées — un arsenal qui témoigne du niveau de dangerosité du groupe.

Le premier groupe, composé des ex-RSP, opérait avec une sophistication militaire : repérage des cibles à la sortie des banques ou des institutions financières,
filature à moto, puis braquage à domicile avec usage d’armes de guerre. L’un des suspects, selon les autorités, aurait usurpé une identité pour intégrer les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), révélant une tentative d’infiltration des dispositifs de sécurité nationale. Une carte VDP a été retrouvée sur les lieux, preuve d’une stratégie de camouflage visant à détourner les mécanismes de défense populaire pour des fins criminelles.

Le second groupe, plus orienté vers les cambriolages et le vol d’engins à deux roues, ciblait des domiciles identifiés à l’avance.
Les membres, parfois cagoulés, pénétraient par effraction ou escalade, munis de pistolets, de couteaux, de tournevis et d’arrache-clous. Ils immobilisaient les occupants avant de les dépouiller, puis dissimulaient les biens volés dans des parkings publics pour les revendre. L’argent était immédiatement partagé, révélant une organisation bien huilée, motivée par le profit et la violence.

Les zones touchées par ces opérations criminelles incluent Tengandogo, Balkuy, Kamboinsin, Zongo, Bonheur Ville, Pissy, Somgandé, Tanghin, Garghin, ainsi que Koudougou dans le Boulkiemdé.
Ces quartiers, souvent densément peuplés et stratégiques, ont été ciblés pour leur vulnérabilité et leur activité économique. L’enquête, désormais bouclée, a conduit à la présentation des huit suspects devant le Procureur du Faso près le Tribunal de grande instance Ouaga I. Un neuvième membre du réseau est toujours en cavale, activement recherché par les forces de sécurité.

Cette opération ne se limite pas à une simple arrestation : elle est une démonstration de force, une affirmation de la capacité de l’État à reprendre le contrôle de ses espaces urbains et à empêcher toute tentative de déstabilisation. Elle révèle aussi la vigilance des autorités face aux résurgences de l’ancien système, notamment les éléments du RSP, qui tentent de se recycler dans des activités criminelles ou de s’infiltrer dans les structures de défense.

Le gouvernement burkinabè, sous la conduite du Capitaine Ibrahim Traoré, réaffirme sa volonté de bâtir une sécurité populaire, enracinée dans la justice,
la transparence et la fermeté. Cette opération est une victoire tactique, mais aussi symbolique : le Burkina Faso ne tolérera aucune dérive sécuritaire, aucune infiltration, aucune trahison. La République est debout, et ses institutions sont en ordre de bataille pour garantir la paix, la justice et la sécurité.

🔴  : le Burkina Faso prend les rênes — Aboubakar Nacanabo à la tête du Conseil des ministres pour une Union souveraine e...
07/10/2025

🔴 : le Burkina Faso prend les rênes — Aboubakar Nacanabo à la tête du Conseil des ministres pour une Union souveraine et solidaire

Le 6 octobre 2025 à Dakar, une nouvelle page s’est ouverte pour l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) avec la désignation du ministre burkinabè de l’Économie et des Finances, Dr Aboubakar Nacanabo, à la présidence du Conseil des ministres statutaire de l’Union.
Cette nomination, saluée par les huit États membres, consacre la montée en puissance du Burkina Faso dans les instances régionales et marque une rupture avec les logiques de marginalisation qui ont longtemps freiné les États souverainistes.

Le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye, hôte de la session, a reçu les ministres de l’Union pour des échanges centrés sur la coordination des politiques économiques, la stabilité monétaire et le développement partagé. Mais c’est la présidence burkinabè qui a cristallisé l’attention : le Burkina Faso,
après avoir été écarté lors de la session de juillet à Lomé, reprend sa place légitime au cœur de la gouvernance régionale.

Dr Nacanabo, artisan des réformes budgétaires et fiscales au Burkina, incarne une vision rigoureuse, transparente et résolument panafricaine. Son élection est un signal fort : l’UEMOA ne peut plus ignorer les voix qui portent la souveraineté, la justice économique et la convergence réelle des politiques publiques. Il succède à l’Ivoirien Adama Coulibaly pour un mandat de deux ans, dans un contexte marqué par des tensions budgétaires, une inflation persistante et des disparités structurelles entre États membres.

Sous la présidence burkinabè, l’Union devra accélérer la modernisation des finances publiques, renforcer la gouvernance économique et promouvoir un environnement propice aux investissements endogènes.
Le Burkina Faso, membre actif de l’Alliance des États du Sahel (AES), entend faire de cette présidence un levier pour réorienter l’UEMOA vers les intérêts des peuples africains, loin des injonctions extérieures et des dogmes néolibéraux.

Cette désignation est plus qu’un symbole : c’est une victoire politique, une affirmation de compétence, et une promesse de transformation. Le Burkina Faso ne revendique pas seulement une place — il propose une voie.

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