Studio STEVE Vision Officiel

Studio STEVE Vision Officiel MÉDIA EN LIGNE
Information 24/24

STUDIO STEVE VISION
- Reportage et montage Vidéo/photo
- Réalisation de clips vidéo, films...
- Transfert de K7 audio et vidéo
- Location de sonorisation 2000Watts/4000Watts/6000Watts
- location de lampes mandarines, gélatine...
- location de véhicule de mariage
- numérisations diverses
- maintenance informatique

𝐒𝐔𝐈𝐕𝐄𝐙 𝐃É𝐒𝐎𝐑𝐌𝐀𝐈𝐒 𝐓𝐎𝐔𝐓𝐄 𝐋'𝐀𝐂𝐓𝐔𝐀𝐋𝐈𝐓É 𝐄𝐍 𝐒𝐔𝐈𝐕𝐀𝐍𝐓 𝐂𝐄 𝐋𝐈𝐄𝐍 𝐕𝐄𝐑𝐒 𝐋𝐀 𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐋𝐋𝐄 𝐏𝐀𝐆𝐄 𝐈𝐍𝐅𝐎𝐏𝐋𝐔𝐒𝟐𝟒 👇🏿👇🏿👇🏿https://www.facebook.com/pr...
24/05/2024

𝐒𝐔𝐈𝐕𝐄𝐙 𝐃É𝐒𝐎𝐑𝐌𝐀𝐈𝐒 𝐓𝐎𝐔𝐓𝐄 𝐋'𝐀𝐂𝐓𝐔𝐀𝐋𝐈𝐓É 𝐄𝐍 𝐒𝐔𝐈𝐕𝐀𝐍𝐓 𝐂𝐄 𝐋𝐈𝐄𝐍 𝐕𝐄𝐑𝐒 𝐋𝐀 𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐋𝐋𝐄 𝐏𝐀𝐆𝐄
𝐈𝐍𝐅𝐎𝐏𝐋𝐔𝐒𝟐𝟒
👇🏿👇🏿👇🏿

https://www.facebook.com/profile.php?id=61560018422527&mibextid=ZbWKwL

𝐂É𝐋É𝐁𝐑𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐃𝐔 𝟏𝐄𝐑 𝐌𝐀𝐈 : 𝐋𝐄 𝐆𝐎𝐔𝐕𝐄𝐑𝐍𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓 𝐈𝐍𝐓𝐄𝐑𝐃𝐈𝐓 𝐋𝐀 𝐌𝐀𝐑𝐂𝐇𝐄, 𝐋𝐄𝐒 𝐒𝐘𝐍𝐃𝐈𝐂𝐀𝐓𝐒 𝐒𝐄 𝐂𝐎𝐍𝐓𝐄𝐍𝐓𝐄𝐍𝐓 𝐃𝐔 𝐌𝐄𝐄𝐓𝐈𝐍𝐆.La journée internati...
01/05/2024

𝐂É𝐋É𝐁𝐑𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐃𝐔 𝟏𝐄𝐑 𝐌𝐀𝐈 : 𝐋𝐄 𝐆𝐎𝐔𝐕𝐄𝐑𝐍𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓 𝐈𝐍𝐓𝐄𝐑𝐃𝐈𝐓 𝐋𝐀 𝐌𝐀𝐑𝐂𝐇𝐄, 𝐋𝐄𝐒 𝐒𝐘𝐍𝐃𝐈𝐂𝐀𝐓𝐒 𝐒𝐄 𝐂𝐎𝐍𝐓𝐄𝐍𝐓𝐄𝐍𝐓 𝐃𝐔 𝐌𝐄𝐄𝐓𝐈𝐍𝐆.

La journée internationale du travail est célébrée le 1er mai de chaque année par la communauté internationale. Au Burkina Faso, l’Unité d’Action Syndicale (UAS) composée des centrales syndicales et des syndicats autonomes a célébré cette journée ce mercredi 1er mai 2024 à travers un meeting organisé à la bourse du travail de Ouagadougou. A Ouagadougou, la marche a été interdite pour des raisons sécuritaires, selon le gouvernement. Seul le meeting a pu se tenir.

Chaque année, lors de cette célébration, une plateforme revendicative est remise au gouvernement par le biais du ministre en charge de la fonction publique à travers une marche meeting. Mais pour cette célébration 2024, la marche qui devrait conduire les travailleurs de la Bourse du travail de la capitale au ministère de la fonction publique pour la remise de la plateforme revendicative a été refusée par le gouvernement.

Selon les explications des responsables syndicaux, contrairement à la procédure habituelle qui voudrait que les travailleurs aillent remettre la plateforme revendicative, le Gouvernement a indiqué qu’il se déplacerait à la Bourse du travail pour réceptionner le cahier de doléances des travailleurs.
Une procédure refusée par les syndicats qui ont préféré tenir seulement le meeting et se concerter afin de pouvoir répondre à l’exécutif en ce qui concerne la plateforme revendicative.

« C’est à 7h30 que nous avons reçu la correspondance du président de la délégation spéciale (PDS) de Ouagadougou pour dire que la demande d’organisation de la marche meeting a été refusée, mettant en exergue le communiqué n°2 du MPSR2 lors de la prise du pouvoir le 30 septembre 2022, qui interdit les activités des partis et formations politiques et des organisations de la société civile et surtout du contexte sécuritaire du pays. Cette décision intervient alors que nous avons respecté les délais et les procédures en la matière. Mais cette information nous l’avons eue hier soir à 19 heures. C’est le directeur de cabinet du ministre de la fonction publique qui nous a appelé pour nous dire que la marche était interdite et que le gouvernement se déplacera à la Bourse du travail pour réceptionner le cahier de doléances des travailleurs. Ce n’est pas le PDS mais le directeur de cabinet du ministre de la fonction publique qui nous a donné d’abord l’information. Donc les syndicats préfèrent maintenir leur meeting à la bourse du travail », explique Marcel Zanté, secrétaire général de la confédération nationale des syndicats du Burkina (CNTB) et président du mois des centrales syndicales.
Les syndicats disent regretter cette décision des autorités qui avancent comme raison le contexte sécuritaire pendant qu’au même moment, des organisations favorables au gouvernement manifestent sans interdiction.

« D’abord, nous n’avons pas déposé une autorisation de marcher, nous avons adressé au PDS une information que nous allons marcher pour aller remettre le cahier de doléances. Donc ce n’est pas une demande d’autorisation. Le PDS nous refuse d’emprunter les artères pour aller remettre notre cahier de doléances en citant le contexte sécuritaire, pourtant nous avons marché l’année passée dans le même contexte. Dans le même contexte, beaucoup d’organisations surtout favorables au pouvoir en place ont eu à manifester dans la ville de Ouagadougou. Elles n’ont pas été interdites. Pourquoi donc refuser à l’UAS de marcher ? D’habitude nous faisons la marche et nous partons remettre le cahier de doléances au niveau du ministère de la fonction publique. Cette fois-ci, si le gouvernement refuse de nous autoriser à marcher, nous préférons tenir notre meeting et nous lui (gouvernement) reviendrons pour la suite de notre cahier de doléances. Pour le moment, nous avons décidé de suspendre la marche de remise du cahier de doléances et nous allons repartir nous concerter pour donner la suite qui convient au gouvernement », soutient Marcel Zanté.

InfoPlus24

𝟏𝟗𝟓𝟎-𝟏𝟗𝟓𝟐 : 𝐥𝐞 𝐟é𝐭𝐢𝐜𝐡𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐚𝐧, 𝐥’𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝’𝐮𝐧 𝐦𝐨𝐮𝐯𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐧é𝐨-𝐟é𝐭𝐢𝐜𝐡𝐢𝐬𝐭𝐞 𝐞𝐧 𝐡𝐚𝐮𝐭𝐞 𝐯𝐨𝐥𝐭𝐚L’année 1950 en Haute Volta est pa...
23/04/2024

𝟏𝟗𝟓𝟎-𝟏𝟗𝟓𝟐 : 𝐥𝐞 𝐟é𝐭𝐢𝐜𝐡𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐚𝐧, 𝐥’𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝’𝐮𝐧 𝐦𝐨𝐮𝐯𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐧é𝐨-𝐟é𝐭𝐢𝐜𝐡𝐢𝐬𝐭𝐞 𝐞𝐧 𝐡𝐚𝐮𝐭𝐞 𝐯𝐨𝐥𝐭𝐚

L’année 1950 en Haute Volta est particulièrement marquée par l’apparition d’un mouvement insolite : le fétiche de San. Ce mouvement aux allures un peu mystiques et parfois paradoxal va susciter de l’engouement et aussi des tensions au sein de la population voltaïque, avant d’être interdit par le Moogho Naaba, l’administration coloniale et la mission catholique en 1952. Comment ce mouvement est-il apparu ? Quels ont été ses promesses, ses objectifs ; les illusions et les revers d’un tel mouvement ? Pourquoi a-t-il été interdit ? Dans notre chronique, nous tenterons d’apporter des éléments de réponses à ces questions.

L’origine du fétiche de San

Le fétiche de San aurait débuté dans les différents territoires de l’AOF (Afrique occidentale française) en 1950 notamment au Soudan, en Haute Volta et en Côte d’Ivoire. Le fétiche de San est une appellation de l’administration coloniale. Les populations quant à elles, l’ont désignées comme étant le mouvement « envoyé de Dieu », traduction libre de « Allah Deng ou Wend Biiga » (mooré) ou encore nouveau Dieu « Allah Koura » (Dioula). Ce mouvement semble trouver son origine dans le cercle de San (Soudan français) où en 1949 son leader M Péni Dembélé, un Miniaka (groupe Mandé), connu sous le nom d’homme de Wolo (le lieu où il résidait), a dû recevoir la divine puissance et s’est transformé en prophète d’une nouvelle religion basée sur des fétiches avec une morale rigoureuse.
À la suite de M Peni Dembélé a émergé une quantité de sous-prophètes appelés « envoyés de Dieu », moins connus et moins notoires que leur maître, mais ayant établi un pouvoir sur les populations à l’échelle des villages. Ces imitateurs de l’homme de Wolo ont ainsi donné une grande ampleur au mouvement, au point de susciter des craintes au niveau de l’administration coloniale, du Moogho Naaba et de la mission catholique.
Les objectifs du fétiche de San

Grosso modo, la vision du mouvement était la recherche de la paix, de bonnes récoltes, la lutte contre la vie chère, l’obéissance aux chefs, la lutte contre les sorciers et parfois la lutte contre l’islam. Les préceptes du fétiche sont simples : interdiction de travailler deux jours dans la semaine notamment les lundis et les vendredis, la concorde dans la famille et dans les villages, la fidélité des femmes, l’obéissance aux anciens. Lorsque ces prescriptions sont observées, le fétiche promet la paix et la prospérité dans le village.
La croyance au fétiche du San amènerait de bonnes récoltes, augmenterait la fécondité des femmes et chasserait les sorciers, ces mangeurs d’âmes croupis dans l’ombre qui endeuillent les populations.

En ce qui concerne la sorcellerie, qui était très répandue dans les villages, la venue du fétiche de San sonnait comme un ouf de soulagement. Les sorciers devront enfin prendre un coup dur. Gabriel Massa note qu’à l’annonce de la venue du fétiche « dans un village du cercle de Banfora, le jour même de l’arrivée de la corne de bélier, rapportée de Wolo, les sorciers du village sont allés en cachette se débarrasser de leur matériel, en le jetant au marigot. Ils pensent que s’ils persistaient dans leurs pratiques, le nouveau fétiche, si puissant, va les frapper ».
Le fétiche ne s’obtient pas de façon individuelle. C’est par village que l’on acquiert le fétiche. Les habitants des villages se réunissent et délèguent des gens qui vont à Wolo (le lieu du fétiche) pour prendre le fétiche. Une fois du retour dans le village, on trouve une case où une maisonnette pour l’installer. Les habitants viennent tour à tour le consulter et font des requêtes et des demandes.

Le fétiche de San n’avait pas un contenu doctrinaire très strict. Il avait un caractère très ouvert et universaliste, basé sur de simples prédications avec quelques fétiches. Il n’était pas basé sur les rites traditionnels. Son but principal c’est la paix, le bonheur collectif et la prospérité dans le village. Il s’accommodait avec les autres religions notamment avec les autres fétiches traditionnels.
Réactions contre le fétiche de San

Le Moogho Naaba, les élus voltaïques, la mission catholique, l’administration coloniale ont vivement réagit contre le fétiche de San.

Pour le Moogho Naaba, le fétiche de San a un caractère subversif envers les coutumes et menace l’unité politique de son royaume. Il ordonna la cessation de toute pratique du culte de San en fin septembre 1951. Quelques jours plus t**d, tous les pèlerinages pour le fétiche de San à Sabou furent stoppés, illustrant l’accomplissement de l’ordre du Moogho Naaba.
Ensuite, c’est au tour des élus voltaïques d’interpeller les villages sur le caractère nuisible de la pratique du fétiche de San. Mais en réalité, ces élus semblent avoir été influencés par les ordres du Moogho Naaba. Dans une lettre adressée au gouverneur pour qu’il prenne des mesures pour interdire le fétiche de San, les élus notaient que le fétiche de San « ne correspondait en rien aux pratiques coutumières du Mossi et que celles-ci laisse présager des troubles sanglants ». Un des signataires de la lettre, le député Guissou, a même mené des tournées personnelles dans son village pour inviter les habitants à se débarrasser du fétiche de San.
Les élus mossis étaient tous presque des catholiques et n’étaient pas enclins de ce fait à défendre des fétiches. On peut alors penser qu’ils ont ainsi porté le message de la mission catholique qui, dans l’ombre, voulait en finir avec cette pratique qui menace la foi des nouveaux convertis. La mission catholique ne t**dera pas à sortir de son silence : le 18 novembre monseigneur Socquet, évêque de Ouagadougou, est on ne peut plus clair sur l’affaire du fétiche de San à travers ces termes : « ceux qui adhéreraient au fétiche de San seraient pécheurs publics. Ils ne pourraient se racheter que par leur confession publique et devraient assister à la messe au-dehors de l’église avant d’être acceptés à nouveau à l’intérieur ».
L’administration coloniale, en dernier ressort, va mener des actions pour l’interdiction du fétiche de San dans les villages. Il sera demandé à chaque chef de canton d’interdire formellement cette pratique sous peine d’être révoqué. Les chefs de terre ont été sommés d’observer et de prévenir tout engouement nouveau vers le mouvement.

L’administration coloniale a mobilisé les arguments contre le fétiche de San : des raisons économiques, sociétales et politiques. En effet, le fait que le fétiche commande les jours de repos (lundi et vendredi) est vu comme une promotion de la paresse, un manque à gagner pour l’économie. Il en va de même pour les cadeaux et les objets que l’on offre au fétiche. Par ailleurs, le mouvement est vu comme un danger social, surtout au Moogho où il semble créer un relâchement des populations vis-à-vis des coutumes. Enfin, l’administration coloniale craignait que le fétiche de San n’entrave son autorité dans les villages.

𝙡𝙚𝙨 𝙥𝙧𝙤𝙢𝙚𝙨𝙨𝙚𝙨 𝙞𝙡𝙡𝙪𝙨𝙤𝙞𝙧𝙚𝙨 𝙙𝙪 𝙛é𝙩𝙞𝙘𝙝𝙚 𝙙𝙚 𝙨𝙖𝙣
Le fétiche de San n’a pas tenu promesse dans les régions où il a prospéré. Les populations ont vite désenchanté. Pas de pluies abondantes, pas de récoltes satisfaisantes, pas de paix, pas de prospérité ; les femmes continuaient d’abandonner leurs vieux maris pour s’enfuir avec leurs jeunes amants en Côte d’Ivoire, les sorciers continuaient de manger les âmes et les maladies n’arrêtaient pas de décimer la volaille. Les populations vont retourner ainsi à leurs anciennes coutumes et le fétiche de San va connaître son déclin, après tant d’enthousiasme et d’espoir suscités.

Réf :
-Cent ans d’histoire :1895-1995, Gabriel Massa, P910
-Gabriel Massa, le fétiche de San,.195
-MARCEL Cardair, L’islam et le territoire africain,.1954

*Selon nos confrères de SIKA Finance, en 2023 au Togo, on note la création de 243 entreprises par des burkinabé.*Il faut...
18/04/2024

*Selon nos confrères de SIKA Finance, en 2023 au Togo, on note la création de 243 entreprises par des burkinabé.*

Il faut noter également que le marché financier de ce pays est aujourd'hui détenu en grande partie par des étrangers, ce pays qui est stratégiquement bien placé pour le trafic commercial, son port offre un grand nombre d'opportunités surtout pour les étrangers businessman
On peut ajouter que depuis les sanctions de la CEDEAO contre les pays de l'AES, ce pays a saisi l'opportunité de s'ouvrir davantage aux pays de l'AES.
Pendant que le Nigéria, le Bénin, le Sénégal et la Côte d'Ivoire fermaient leurs frontières à ces pays, le Togo a trouvé cela comme une opportunité, en plus d'ouvrir ses frontières à ces pays, les autorités ont mis en place des politiques pour favoriser et faciliter la transition commerciale entre ces pays.

© InfoPlus24

*LE BURKINA FASO SERA AU CHAMPIONNAT DU MONDE DE ROBOTIQUE AUX USA*Cette semaine, nos jeunes talents vont s'envoler vers...
18/04/2024

*LE BURKINA FASO SERA AU CHAMPIONNAT DU MONDE DE ROBOTIQUE AUX USA*

Cette semaine, nos jeunes talents vont s'envoler vers le Texas pour représenter le Burkina Faso au championnat du monde de robotique.

L'équipe du collège International Bilingual Schools of Africa - IBSA (IBSA OUAGA 2000), composée de quatre brillants élèves et guidée par leur enseignant et coach, Monsieur Francis Ki, est prête à relever ce défi avec audace, ingéniosité et détermination.

Ces jeunes prodiges ne se contentent pas de construire des robots, ils construisent aussi des ponts vers l'avenir, repoussant les limites de la technologie et de l'innovation.

Team IBSA BF, nous croyons en vous, en votre talent et en votre capacité à conquérir le monde de la robotique.
Nous sommes tous très fiers.

*Les Inspecteurs de l’enseignement primaire appellent le Capitaine Traoré à réparer une « injustice grave » dans leur tr...
18/04/2024

*Les Inspecteurs de l’enseignement primaire appellent le Capitaine Traoré à réparer une « injustice grave » dans leur traitement salarial*
_L’Organisation syndicale des inspecteurs de l’enseignement primaire et de l’éducation non formelle (OS/IEPENF) a dénoncé ce mercredi 17 avril 2024, au cours d’une conférence de presse à Ouagadougou, une « injustice grave » que subissent ses membres dans leur traitement salarial. Elle appelle le président de la transition, le Capitaine Ibrahim Traoré à la rescousse, pour « corriger ce manquement »._

Selon les conférenciers, avec la décision de l’État burkinabè le 27 janvier 2018, d’accorder un statut revalorisant au corps enseignant, certains corps d’enseignement en l’occurrence ceux des Instituteurs Adjoints (A), Instituteurs Adjoints Certifiés (AC), Instituteurs Principaux (lP) et des Conseillers Pédagogiques Itinérant (CPI), ont été éteints. Ces différents corps d’enseignements sont désormais regroupés en un seul corps d’encadrement pédagogique et leurs occupants ont été reversés dans ce nouveau corps tout en gardant leurs échelles. Et, pour permettre à ces derniers de j***r des avantages du nouveau corps, des dires du Syndicat, un concours spécial a été ouvert à l’intention des IP et des CPl avec un aménagement des âges limites pour leur permettre de postuler à ce concours. Ainsi, disent-ils, l’âge limite est passé de 47 ans à 55 ans.

A en croire les membres du Syndicat, si cette mesure a été bien accueillie par les travailleurs du Ministère en charge de l’éducation nationale, dans sa mise œuvre cependant, elle présente assez d’insuffisances. « Quelques temps après le début de sa mise en oeuvre, les ex IP et ex CPI, deux corps éteints ont déchanté. Par le truchement des concours spéciaux, ils ont été obligés de passer ces concours afin de j***r pleinement du nouveau corps. Naïvement, ils les ont faits tout en espérant que l’organisation de ces concours serait accompagnée de mesures spéciales. Ce qui a encouragé des agents à qui il ne restait que 8, 7,6 ou 5 ans pour faire valoir leur droit à la retraite d’accepter retourner à l’École Normale Supérieure. À la sortie, après deux ans de formation, il reste à certains d’entre eux 3, 4,5 ou 6 ans pour planifier leur départ à la retraite, une nouvelle vie qui mérite une préparation. Mais hélas! C’est en ce moment qu’ils vont constater avec amertume qu’aucune mesure spéciale n’a été aménagée pour que les indemnités soient maintenues pendant et après leur formation », a déploré Mohammadi Zoungrana, Secrétaire général de l’OS/IEPENF.
D’après lui, ces agents sont plutôt régis par le décret qui remplace les indemnités de l’agent admis à un concours professionnel qui va en formation par une bourse d’étude, bien en deçà des indemnités dont ils bénéficiaient. Ce qui, à l’en croire, ne facilite pas la tâche à ces agents qui pourtant sont à quelques pas de la retraite. « Nombre d’encadreurs pédagogiques concernés n’arrivent pas à dormir et cela précipite la survenue des maladies de vieillesse, occasionnées par le stress du fait de la diminution drastique de leur salaire. Les moins chanceux s’en sont déjà allés et un grand nombre est victime aujourd’hui d’AVC », a-t-il décrié.

Pour ses camarades et lui, tous ces « malheurs » sont nés du fait qu’aucune mesure spéciale n’a été prise pour accompagner les bénéficiaires. Ce qui constitue une « insuffisance grave » qui occasionne une diminution significative des salaires des bénéficiaires « qui deviennent plutôt des victimes de leur promotion ».

Aux dires des conférenciers, la majorité des IEPENF affectés par cette situation sont ceux qui avaient été victimes du « reversement calamiteux » dans la loi 081 le 1er Janvier 2016 à travers « une grille salariale pleine d’incohérences et d’iniquités ». Cela a, de leur avis, renversé la pyramide, le sommet étant devenu la base alors que ces derniers étaient des Inspecteurs Principaux dans la catégorie A3.

L’OS/IEPENF a également dénoncé le mode de reversement. Selon le syndicat, les agents fonctionnaires de la catégorie B1 ont été reversés « grade pour grade, échelon pour échelon », alors que ceux ayant réussi aux concours professionnels ont été mal reversés. « Ils n’ont pas été reclassés dans la catégorie « A », grade pour grade, échelon pour échelon mais plutôt pour indice immédiatement supérieur. Ils ont eté considérés comme des agents ayant été recrutés directement en catégorie « A ». In fine, ils ont perdu leur ancienneté générale de service, ce qui fait que les agents restés en B1 ont un salaire indiciaire plus élevé que celui d’un agent de la même promotion qu’eux ayant réussi à un concours professionnel. Conséquence, on se retrouve dans une situation où le caporal de l’armée perçoit un salaire équivalant à celui du capitaine de la même armée », a déploré le SG invitant le Chef de l’État à réparer cette « injustice ».
S’ils ont décidé d’interpeller directement le Chef de l’État, c’est parce que, selon eux, toutes leurs démarches entreprises auprès des autorités directement impliquées sont restées vaines. Ils disent avoir notamment rencontré le Premier ministre, le Ministre en charge de l’éducation nationale, celui de la Fonction publique et même le Vice-président de l’assemblée législative de Transition, sans suite.

Faustin-Archange Touadéra, le président centrafricain est à l’Elysée ce mercredi 17 avril, dans le cadre d'un déjeuner d...
18/04/2024

Faustin-Archange Touadéra, le président centrafricain est à l’Elysée ce mercredi 17 avril, dans le cadre d'un déjeuner de travail.

Avec le président français Emmanuel Macron, ils vont s’entretenir autour de la situation en Centrafrique, dans la région ainsi que les différents aspects de la relation bilatérale.

Rappelons que les deux hommes s'étaient déjà rencontrés à l'Elysée il y a six mois pour marquer leur volonté de retisser des liens après des années de brouille.

La France avait dénoncé ces dernières années l'emprise croissante du groupe de mercenaires russe Wagner en République centrafricaine, l'accusant d'exactions et de pillage des ressources naturelles.

TOGO*Tout le monde ne voit pas d’un bon œil la visite de la Cédéao dans le pays.*"Un coup d'Etat constitutionnel est pir...
18/04/2024

TOGO

*Tout le monde ne voit pas d’un bon œil la visite de la Cédéao dans le pays.*
"Un coup d'Etat constitutionnel est pire qu'un coup d'Etat militaire.
Dans les autres pays où il y a eu un coup d'Etat, les délégations de la Cédéao étaient des délégations de haut niveau conduites par un chef d'Etat.
Mais ici, on a vu que cette délégation n'est pas mise à ce niveau-là. On se demande quelle est l'intention réelle de la Cédéao. Je crois qu'il y a un travail à faire parce que si la Cédéao veut agir, telle qu'elle le fait dans les autres pays, c'est ici qu'elle doit commencer à démontrer qu'un coup d'Etat, quel qu'il soit, est à condamner," souligne Jean Kissi, qui est conseiller municipal et candidat aux élections législatives et régionales.

CÔTE D'IVOIRE*Un pays doit-il être (trop) endetté pour mieux amorcer son développement.*La question de l’endettement du ...
18/04/2024

CÔTE D'IVOIRE

*Un pays doit-il être (trop) endetté pour mieux amorcer son développement.*

La question de l’endettement du pays fait débat sur les réseaux sociaux. Le taux de pauvreté est certe passé de 55% en 2011 à 35% en 2020, selon les chiffres compilés par l’AFP, mais l'endettement actuel de la Côte d’Ivoire, détenu principalement par les bailleurs occidentaux classiques et la Chine, s'élève à 58% du PIB, contre 38% en 2019.

"Le ratio d'endettement par rapport au PIB recommandé se situe entre 60 et 70%. On n'a pas dépassé les 60%, il n'y a pas le feu en la demeure", estime Blaise Makaye, docteur en économie et chercheur à l'université de Bouaké.

"Le FMI dit que pour les petites économies comme la Côte d'Ivoire, dépasser 49% d'endettement peut être dangereux", répond Séraphin Prao, toujours interrogé par l’AFP. L’économiste ivoirien met en garde contre des "taux d'intérêt élevés" et les "bases fragiles" de l'économie ivoirienne.

Le FMI et la Banque mondiale, "ont toujours dit que notre dette était soutenable, ce qui veut dire que la Côte d'Ivoire ne présente pas de risque de non-paiement de sa dette", se défend le ministre de l'Economie Adama Coulibaly.

"Tant qu'on vit sous perfusion, on ne voit pas le problème, mais si la perfusion est enlevée on verra qu'il n'y a plus de moyens d'alimenter le budget de l'Etat", semble lui répondre Ahoua Don Mello, du PPA-CI, le parti de Laurent Gbagbo.

Adresse

62470000
Ouagadougou
01BP6803

Téléphone

78470000

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Studio STEVE Vision Officiel publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter L'entreprise

Envoyer un message à Studio STEVE Vision Officiel:

Partager

Type