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(240)

11/08/2025
08/08/2025

😳•••••APRÈS LUI, PLUS RIEN••••••😳
PARTIE 1.

● Maddy ●

Aujourd'hui nous sommes lundi et comme chaque lundi je dois me rendre au centre pénitentiaire pour parler avec un individu qui, il me semble, devrait bientôt sortir si tout se passe bien.

Espérons...

Je me lève donc, file prendre un petit déjeuner et je vais en vitesse dans la salle de bain pour m'apprêter, me maquiller et me coiffer. Je ne suis pas resté dans l'appartement que nous avions Jordan et moi car je n'arrivais plus à y vivre. A chaque endroit je voyais une partie de lui, je sentais son odeur dans chaque recoin de la maison et lorsque je prenais la do**he par exemple, je sentais sa peau collée à la mienne car nous prenions souvent la do**he ensemble mais maintenant c'est fini ... J'ai emménagé dans un petit appartement à Nice, certes ce n'est vraiment pas spacieux mais ça me convient tout à fait : je m'y sens bien. Après une vingtaine de minutes sous la do**he je sors, je m'enroule dans ma serviette, me regarde dans le miroir, souffle un bon coup et je pars en direction de ma chambre pour m'habiller. Je prends un pantalon gris avec des rayures blanches ainsi qu’une veste blazer assorti avec un top blanc, style costume, je me dois d’être correctement apprêtée. Ensuite, je retourne dans la salle de bain où je me maquille très légèrement et pour finir je fais valser mes cheveux de gauche à droite puis je les boucle un petit peu.

(...)

Le centre n'est pas très loin de chez moi donc j'y arrive assez rapidement. Une fois devant, je rentre et comme d'habitude je dois laisser certain objet à l'entrée donc je les pose dans la caisse qui m'est attribué. Ensuite les gardiens m'ouvrent les portes et je marche d'un pas assuré vers la pièce où je dois me rendre, avec mon dossier dans les mains.

- Bonjour ! Dis-je avec un ton jovial.

Le jeune homme en face de moi me regarde avec un large sourire sur les lèvres qui, je dois bien l'avouer est assez mal saint mais je ne laisse rien paraître, comme toujours. Il est assis sur sa chaise de façon très incorrecte et il ne m'a même pas répondu lorsque je l'ai salué, c'est à dire que quand je lui ai tendu la main, il l'a regardé pour ensuite rigoler et ne pas me tendre la sienne.

Ça promet ...

- Bon, eh bien si vous voulez commencez comme ça, c'est votre choix. Ajoutais-je sur un ton froid.

Étant donné qu'il n'est pas prêt pour faire preuve de politesse ou même pour parler avec moi, je commence à ouvrir son dossier mais il pose sa main brutalement dessus en me regardant droit dans les yeux, toujours avec ce sourire narquois. Je le regarde à mon tour, en lui montrant qu'il ne me fait tout bonnement pas peur et que m'intimider ne va servir à rien : j'ai bien trop l'habitude de ce genre de personne.

- Que voulez-vous ?
- Jouons un peu, pour une fois que j'ai de la visite féminine... Au lieu de lire mon dossier, devinez pourquoi je suis ici.

Lorsque j’entends ça, je me dis que je n'ai clairement pas de temps à perdre avec des imbéciles pareils qui me provoque de la sorte : je ne supporte pas ça et si je n'étais pas entre ces quatre murs, il y aurait longtemps que je serais sorti de mes gongs ! Mais bon, étant sur mon lieu de travail et sachant pertinemment que je suis en sécurité puisque les gardes ne sont pas loin, je choisi de "jouer" avec lui pour voir où ça va nous mener car parfois, faire croire au prisonnier qu'on est de leur côté, ça marche divinement bien et ils se confient facilement. De toute façon, au premier abord, quand je l’ai vu, je me suis dis que c’était simplement un garçon qui aime qu’on le remarque et qu’il ne prend pas au sérieux le fait d’être en prison. En plus c’est assez rare qu’on me mette sur des affaires grave ou dangereuse, du coup, je me dis qu’il s’amuse simplement à se donner un genre de Bad Boy pour m’impressionner mais ça ne marche pas.

- A mon avis c'est pour une histoire de drogue ou vol, quelque chose de petit je dirais. Avouais-je, sûr de moi.

Son regard est de plus en plus insistant envers moi mais je ne perds pas le contrôle. Il écoute attentivement ce que je lui dis et il finit par rire en disant :
- Tu penses ?

Je lui fais oui de la tête pour lui faire comprendre que je suis sûr que c'est ça, sauf qu'il s'approche de moi et qu'il met sa main autour de mon cou en serrant un peu, avant de dire :
- Et pourquoi ne penses-tu pas que j'ai pu tuer des femmes en serrant leur joli coup jusqu'à temps que leurs jolis yeux se ferment ?

Dès lors que ces mains ont touché mon corps, j’aurai dû prendre mes jambes à mon cou mais son arrogance a eu raison de moi. J’avais envie de voir jusqu’où il était capable d’aller car c’est bien la première fois qu’un détenu se permet de faire une telle chose. D’habitude, ils ont bien en tête le fait que j’ai leur vie entre les mains et ils ne s’amusent pas à faire les malins, comme lui le fait. Pourtant, j’en ai connu des personnes qui ne me prenaient pas au sérieux étant donné que je suis une fille mais jamais personne n’a osé mettre ses mains sur moi car c’est clairement dépasser les bornes. En plus, je suis beaucoup trop joueuse pour m’arrêter comme ça et j’ai beaucoup trop de fierté pour baisser les yeux face à un individu comme lui, alors, je réplique :
- Je ne vous pense pas capable de faire une telle chose. Riais-je.

Ces mains sont toujours autour de mon cou et je ne cesse de le regarder dans les yeux, lui il me foudroie du regard, clairement, et je vois bien que je l'énerve mais en même temps, je le déstabilise. En soit, je ne sais pas du tout ce qu’il cherchait en voulant jouer avec moi mais une chose est sûre, il n’aura pas ce qu’il veut.

Il comprend que je n'ai pas peur de lui.

Il finit par enlever la main qui se trouvait autour de mon cou et il dit :
- Jolie et intelligente, enfin quelqu'un qui va pouvoir écourter ma peine. Répondit-il, sûr de lui.
- Ça, ça dépendra uniquement de votre coopération envers moi.

Ensuite, il enlève doucement sa main qui était, auparavant sur le dossier et je l'ouvre tranquillement tout en lui adressant un sourire exagéré. Franchement, à quel moment tu te permets de dépasser les bornes et de croire encore que je vais écourter ta peine, sérieusement ? quel genre de garçon est-il ? Il faut avoir un pète au casque pour penser une telle chose et jouer à ce point. J’avoue que moi aussi j’aime jouer mais il y a des moments pour et des moments où il faut savoir être sérieux, surtout que là, on parle de ces jours en prison, il peut y rester encore trois mois dans le meilleur des cas tout comme il peut y rester six mois et ça, il n’a pas l’air de le comprendre.

- Comment ça se fait que je ne t'ai jamais vu ici auparavant ? Tu viens d'arriver ?
- Je ne suis pas ici pour parler de ma vie personnelle mais plutôt de votre avenir.

Je me remets à lire son dossier en sentant le regard insistant qu'il me lance.

- De toute façon tu n'as pas besoin de lire le dossier, toi et moi on sait tous les deux que tu vas écourter ma peine. Rie-t-il.
- Vous croyez ? Rétorquais-je en haussant un sourcil.

Incroyablement arrogant ce type.

Sans mentir, vu le petit jeu stupide qu’il m’a fait depuis que je suis arrivé, je n’ai qu’une seule envie, c’est partir d’ici au plus vite car je sais déjà ce que je vais faire de sa peine : la rallonger. Certes, lorsque j’ai ouvert son dossier j’ai vu qu’il était tombé pour avoir vendu à un mineur mais ça ne change rien, il est quelque peu dérangé et je vois bien que la prison ne lui a pas permis de s’assagir !

- J'en suis sûr ma jolie. Et si par malheur tu choisis de la prolonger, je t'attendrais à la sortie. Lance-t-il.

Non mais qui ose dire ce genre de chose à une personne qui est là pour l’aider, certes, il joue mais il joue beaucoup trop, à un moment il faut savoir s’arrêter ! Peut-être que ce sont des paroles en l’air mais ça n’est pas drôle, il joue beaucoup sur les apparences mais il ne faut pas trop me chercher.

- C'est une menace ? Vous savez que c'est un motif pour prolonger votre séjour ?

Je ne le quitte pas des yeux et j'essaye de déceler en lui n'importe qu'elle mal aise ou autre mais rien.

Il me provoque.

- Prend le comme tu veux chérie, mais au moins tu es prévenu.
- On continuera cette conversation dans environ... six mois !
- Tu bluffe ! Rigole-t-il.

Je me lève pour aller vers la porte, je me retourne une dernière fois vers lui, qui n'a d'ailleurs pas bouger d'un poil.

Il a trouvé son maître, il pensait m'amadouer mai je ne suis pas dupe.

- Peut-être ou peut-être pas. Dis-je en lui faisant un signe de main très exagéré.

Lorsque le gardien ferme la porte je le regarde toujours et son sourire est toujours accroché à son visage : il ne me prend pas au sérieux ! Pourtant il devrait car il ne faut pas trop jouer avec moi, son arrogance m'énerve et j’ai trouvé son cinéma très ridicule.

Je vais sûrement le regretter, tôt ou t**d.

Vous rencontrez le personnage principale de cette histoire, Que pensez vous de Maddy ? son caractère ? sa façon d'être ? et le prisonnier en face d'elle, qu'en pensez vous ? dites le moi en commentaire !
N'hésitez pas à partager.
fans

06/08/2025

Mention spéciale à mes nouveaux(elles) super fans ! Socrate LE Majissien, Elodie Dohou, Salimata Ye, Jonas Lumbidi, Miracle Amon, Wilfried Nanfa, Simon Simon, Laura Mukam, Fìls Lagaré Bõndaogo, Palenfo Jacob, Michelle Tia, Dérick Pognon, Mariam Ajm, Assana Sankara, Séyô Djam, EPHREM , Yasper Kevin Guissou, Gerack Agonglo, Elena Biock, Carole Bonkoungou, Zed Bell, Maïva Lontsié, Anaëlle Soglo, Mxi Ololade, Mendoza Alvarez, Michell Adankon, Floriane Mve, Mariam Sanou, Chabelle Kdvo, Armand Ahoumenou, Ahmed Camus, Fambaye Fall, Anaïse Prine Carine Konan, Ashley Ro, Joie Queen, Abdoul Comara, Pascal Brenier, Mani Ouedraogo, Alinkoulin Elione, Ingrid Kwebou, Audrey Lyvia, Juan Marcos Valdez, Assistantmarketplace Inbox, Hamed Diomande, Herve-Raoul Papy Dak, Morelle L'élu de Dieu, Mariam Karimou, Félicitÿ Sagbo, Vicky Ngo, Bhénilde Christian Diémé

06/08/2025

🔴⚪PROLOGUE.⚪🔴
😳•••••APRÈS LUI, PLUS RIEN••••••😳

Je suis une jeune femme plutôt épanouie dans sa vie de tous les jours. Du haut de mes vingt-quatre ans, je suis une jeune femme qui croque la vie à pleine dent, qui ne se prend pas au sérieux et qui a un fort caractère, je tends ma main à tout ceux qui veulent la pendre : j’ai le cœur sur la main et quand j’aime je ne compte pas, je ferais clairement tout pour ceux que j’aime, enfin … je devrais dire que j’étais cette fille là car je ne le suis plus … En revanche, j'exerce les deux métiers qui me plaisent le plus au monde : Auxiliaire de puériculture à mi-temps et Assistante sociale dans un centre pénitentiaire. Il faut avouer que ce n'est pas facile tous les jours, car en prison je rencontre tout un tas de personne qui sont complètement aux antipodes... Néanmoins j'adore ce que je fais et en même temps, mes boulots sont tous ce que j'ai, alors je fais mon maximum pour les garder. En ce qui concerne, ma vie sentimentale : elle est au point mort depuis que mon unique amour est décédé lors d'un accident de voiture. Il rentrait de soirée, tandis que moi j'étais à l'hôpital en train de bo**er. Il avait trop bu et il a perdu le contrôle de sa voiture qui s'est mise à faire tonneau sur tonneau et il n'a pas survécu ... Ça fait maintenant deux longues années mais je ne m'en suis toujours pas remise, je l'aimais tellement ! Nous nous étions rencontrés pendant nos années lycée et le feeling était directement passé entre nous : le coup de foudre. Nous nous sommes cherchés pendant un petit moment avant de nous mettre enfin ensemble ce qui rendit notre amour plus fort : il y avait un réel jeu de séduction entre nous, on se cherchait du regard à longueur de journée et je ne regrette absolument pas m’être mise en couple avec lui.

Cinq ans que nous étions ensemble, cinq ans et on me l'a enlevé. Mon seul amour ...

Depuis ce jour, je n'ai jamais réussi à me remettre en couple pour de vrai. La seule chose que je fais, c'est me concentrer sur le boulot et encore le boulot et je m'en sors plutôt bien quand je ne pense pas à ce tragique accident. J'estime avoir une agréable vie, malgré ce drame. Sinon, au niveau familial c’est un peu compliqué, je ne les ai pas vu depuis des années car ils n'ont jamais accepté ma relation avec Jordan : qui est maintenant mort ... Je n'ai jamais su pourquoi ils ne l'acceptaient pas, c'était pourtant un garçon en or et qui m'aimait de tout son cœur.

J'en suis intimement convaincu !

Revenons-en au fait que je ne sois plus du tout la même fille qu’avant l’accident de Jordan, j’ai clairement changé du tout au tout après ça car j’ai eu beaucoup de mal à m’en remettre et je ne m’en suis toujours pas complétement remise. J’étais beaucoup entouré lorsque j’étais au lycée, les amis de Jordan était devenu les miens et inversement, on avait un bon groupe d’amis et on était si bien ensemble ! Seulement, quand il est mort, je me suis éloigné de tout et de tout le monde car être avec nos amis me faisait trop penser à lui et c’était trop difficile à supporter … Du coup, au jour d’aujourd’hui, je n'ai pas non plus énormément de copine et comme vous l’aurez compris je n’ai pas du tout gardé contact avec mes anciens camarades et lorsque je suis venu habiter ici, je n’ai pas cherché à m’en faire des nouveaux, je me suis contenté de me concentrer sur ma carrière. Autant vous dire que dorénavant tout ce qui est soirée, bar, alcool et toutes ces choses je ne supporte plus mais vraiment. Je fais d’ailleurs mon maximum pour éviter de me faire entrainer dans ce genre d’endroit.

Je ne regrette en aucun cas m’être éloigné du monde.

Je ne suis peut-être pas parfaite : pas la plus belle ni la plus intelligente mais je suis qui je suis. J'essaye d'avancer dans ma vie avec le fardeau que je porte sur mon dos et surtout, je ne m'accroche à personne car s'accrocher fait souffrir : tu tiens à quelqu'un de tout ton être et BAMon te le retire sans que tu ne puisses rien faire, c'est toujours comme ça, toujours ...

L'amitié fait souffrir tout comme l'amour : la vie fait elle-même souffrir !

Je cache mes souffrances à travers mon caractère bien trempé, je ne me laisse pas faire ni même monter sur les pieds. En même temps, si nous n'avons pas un minimum de caractère et de mental, il serait tout bonnement impossible de travailler avec des personnes qui sont en prison et qui ont parfois fait des choses horribles ... Je suis là pour les aider, pour allonger leur peine ou parfois la raccourcir pour bonne conduite mais mes problèmes à moi doivent rester loin et je dois faire la part des choses : je ne dois avoir aucun jugement et je dois savoir passer outre les problématiques des individus, ça ne doit pas me toucher ou me perturber d'une quelconque manière.

Jusqu'au jour où je perdis le contrôle ...

{Voilà le prologue de la nouvelle chronique ! j'espère qu'il va vous plaire et que ça va vous donner envie de lire la suite, dites le moi en commentaire !

Les chapitres seront posté ce soir en espérant réussir à garder le rythme !
Bonne lecture}

Abonnez-vous sur notre page pour découvrir la suite de l'histoire.

15/07/2025

🔞🔞 JE ME MASTURBE AUSSI 🔞🔞

🚫🚫 Épisode Unique 🚫🚫

Je m'appelle Inès, j'ai dix sept ans, je mesure 1m72, mes parents possèdent un hôtel très haut de gamme au cœur de Cotonou. L'hôtel s'adresse principalement aux très riches, il y a 15 suites/appartements indépendants et ils sont généralement habités par des clients de longue durée pendant des mois. J'ai mené une vie très protégée, j'avais peu ou pas d'amis et j'avais du mal à entretenir des amitiés après l'école car je devais rentrer directement à la maison et aider mes parents dans l'entreprise.

Ces vacances, je m'étais lié d'amitié avec l'une des femmes de chambre appelée Christina, elle avait 21 ans, lors de son premier placement loin de la maison, nous sommes devenues très proches et après beaucoup de harcèlement et de persuasion, mes parents ont accepté que je puisse partager sa chambre. Je pense qu'ils avaient finalement réalisé que j'avais besoin d'amis à moi, soit ça, soit c'était une excuse pour me confier à quelqu'un d'autre, j'ai toujours eu l'impression que j'étais une épine dans la liberté de leur côté pour ainsi dire. La chambre était juste au sommet de la maison, avec des lits jumeaux avec une petite salle de bains et des lucarnes au plafond, j'étais tellement excitée de pouvoir partager avec elle.

Les premières nuits où nous nous déshabillions rapidement avant de nous coucher, gênée d'être nue l'une devant l'autre, je ne pouvais m'empêcher de jeter des regards furtifs sur le corps plus mature de Christina en comparant le sien au mien. Elle avait des seins plus gros que moi, elle avait une coupe de cheveux noirs brillants et les poils de sa ch**te étaient foncés mais coupés, rasés ou épilés en un petit triangle, elle était si différente de moi, je suis blonde avec des cheveux mi-longs, de petits seins en développement et juste un léger duvet entre mes jambes. Je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder, à part me changer pour aller à la gym ou faire du sport à l'école, je n'avais jamais vu le corps d'une autre personne !

La troisième ou la quatrième nuit, je me suis réveillé tout d'un coup, allongé très immobile, j'ai entendu Christina gémir doucement, ce devait être la pleine lune car notre chambre était baignée d'une brillante lumière argentée provenant des lucarnes. J'ai regardé le lit de Christina, c'était une nuit assez chaude donc son corps n'était recouvert que d'un drap, elle était visiblement nue car je pouvais voir sa chemise de nuit jetée par son oreiller. Réalisant qu'elle était réveillée, je garde les yeux presque fermés pour qu'elle ne me voie pas la regarder, je pouvais voir des mouvements sous le drap au niveau de ses seins et en bas par le haut de ses jambes. Au fur et à mesure que ses gémissements devenaient plus forts, le mouvement semblait devenir plus rapide, j'ai dû fermer les yeux assez rapidement alors qu'elle j'étais soudainement le drap de son corps et je n'étais pas sûr si elle sortait du lit et m'aurait vu la regarder. .

En écoutant, j'ai rouvert les yeux une fois certain qu'elle était toujours sur le lit, quel spectacle ! Elle était allongée nue, serrant ses mamelons d'une main et son autre main était entre ses jambes ouvertes, se déplaçant par des saccades assez rapides de plus en plus vite, tout à coup elle a incliné son bassin hors du lit en criant avant de ralentir sa main entre ses jambes. Son corps brillait de sueur, je n'avais aucune idée de ce qu'elle faisait mais ma ch**te picotait comme une f***e.

Finalement, elle a semblé s'endormir et je me suis ennuyé à ne rien regarder, alors je me suis retourné en lui tournant le dos et je me suis rendormi. Quand je me suis réveillé le matin, elle était à nouveau couverte et profondément endormie.

Nos journées de travail à l'hôtel étaient assez chargées, donc je la voyais à peine toute la journée jusqu'au soir, nous servions le dîner aux résidents qui le voulaient et nous retirions dans notre chambre pour manger le nôtre. Plus t**d, alors que nous nous changeons pour nous coucher et que nous étions nus dans notre chambre, Christina m'a regardé et m'a demandé :

"M'as-tu vu me faire j***r hier soir, Inès ?"

« Nnnnooo, je ne vois pas ce que tu veux dire. » Murmurai-je nerveusement.

"Tu es allongée dans ton lit, les yeux mi-clos, en me regardant jouer avec moi-même, n'est-ce pas ?" » a-t-elle demandé, il était évident qu'elle m'avait vu regarder, à quoi bon le nier, je ne voulais pas me brouiller avec elle et finir par retourner seul dans ma chambre.

« D'accord, oui, je t'ai regardé, tu m'as réveillé avec tes gémissements ! » Dis-je sur la défensive.

"Tu n'as jamais eu envie de te faire j***r Inès ?" » demanda-t-elle doucement.

Baissant la tête, embarrassé, j'ai dit :

« Je ne sais même pas comment faire.

Elle rigola doucement, me faisant rougir encore plus.

"Tu veux dire que tu n'as jamais joué avec toi-même ni exploré ton corps, Inès ?"

J'ai simplement haussé les épaules, que pourrais-je dire d'autre ? Je ne pouvais même pas la regarder dans les yeux, je me sentais rougir jusqu'aux racines.

''Viens ici.'' Elle m'a exhorté doucement. Je me suis approché d'elle, refusant toujours d'établir un contact visuel avec elle. Elle a mis ses doigts sous mon menton et a poussé mon visage vers le sien :

" Pauvre petite vierge Inès, je vais te montrer quoi faire, nous pouvons nous amuser ensemble. "

Elle ne le pensait pas méchamment, elle était tellement choquée que je ne m'étais jamais touché. C'est à ce moment-là que j'ai réalisé à quel point j'étais sexuellement arriérée pour mon âge, voici Christina de quatre ans de plus que moi et pourtant pleinement consciente de son propre corps et des autres, j'en étais certaine
Elle a posé ses mains sur mes épaules, caressant mes bras le long de mes bras, son contact m'a provoqué la chair de poule alors que je frissonnais d'anticipation. Ses mains se déplacèrent sur mon sternum et descendirent jusqu'à mes mamelons, les effleurant légèrement du dos de ses doigts. J'inspire brusquement tandis que la chair autour d'eux se resserrait, transformant mes petits bourgeons en nœuds serrés de chair sensible. Ma ch**te a commencé à picoter de la même manière que lorsque je la regardais hier soir,

"Touche mes seins, copie-moi Inès," Suggéra Christina.

Nous nous sommes caressés et explorés les seins de chacun, j'ai copié les actions de Christina alors qu'elle caressait et attirait ses doigts vers mes mamelons, faisant rouler les pics durs entre ses doigts, nous faisant gémir tous les deux. La sensation de picotement entre mes jambes a persisté et j'ai commencé à avoir chaud et à être mouillé là-bas.

"Pourquoi ma ch**te est-elle mouillée et picote a-t-elle ?" J'ai demandé à Christina :

"Tu es excitée, c'est ton jus qui mouille." Elle a expliqué, je l'ai regardée d'un air maussade,

'Je ne comprends pas…' '

Quand tu es excitée, ta ch**te sécrète du jus qui aide à lubrifier ton trou, prêt pour une bite ou tout ce que tu veux y mettre.'

J'étais toujours déconcerté par sa réponse, je me sentais si épais et inexpérimenté, mon visage était écarlate d'embarras.

"Tu as visiblement mené une vie très protégée, je couchais à ton âge !" elle a ri et m'a attrapé la main, me tirant vers le lit et me poussant à m'asseoir sur le bord. Elle attrapa un grand miroir du dressing, une relique d'avant la rénovation de l'hôtel qui avait été placée à l'étage dans les quartiers du personnel. Christina a positionné le miroir devant moi et elle est venue s'asseoir à côté de moi, les jambes ouvertes me faisant signe de faire de même.

« Maintenant, regarde-toi dans le miroir et ouvre les lèvres de ta ch**te, oh mon Dieu, tu ne sais rien ! Copie-moi. Maintenant, en haut se trouve un morceau de chair crasseux derrière le capuchon, c'est ton cl****is, c'est le paradis sur un bouton une fois que vous savez comment l'utiliser, c'est l'un des meilleurs endroits pour vous faire j***r. Maintenant, vous voyez plus bas, il y a beaucoup de trucs crémeux de couleur blanche, eh bien, c'est votre jus et si vous poussez soigneusement votre doigt dans le trou, c'est votre ch**te. C'est là que les garçons collent leurs boutons, ou vous pouvez utiliser un vibromasseur ou tout ce qui vous plaît, je suppose !'

Suite à ses actions, j'ai cherché mon bouton de cl****is en essayant de la copier, la façon dont elle le touchait puis je me suis aventuré jusqu'à ma ch**te en sentant la substance crémeuse et glissante, je l'ai copiée en caressant sa ch**te de haut en bas en appréciant la sensation de mes doigts qui bougeaient de haut en bas. ma fente.

"Maintenant, copie-moi et je vais te montrer comment caresser ce merveilleux petit bouton d'amour jusqu'à ce que tu jouisses !" » Christina a ordonné.

Je l'ai regardée commencer à masser son cl****is avec de légers mouvements circulaires, j'ai essayé de faire la même chose avec le mien mais j'étais tellement obsédée par sa observation que je me suis arrêté et j'ai glissé sur le sol, assis à ses pieds, et j'ai regardé fixement. Elle bougea ses doigts de plus en plus vite sur son cl****is, fermant les yeux et se mordant les lèvres, gémissant entre des halètements haletants. Au bout d'un moment, ses orteils ont commencé à se recourber, son haletant est devenu plus rapide, ses doigts bougeaient si vite,

"Oui, ouais, j'y suis presque, oh pu**in, plus vite, plus vite, lèche-moi, s**e mon cl****is pour moi…". Oh ma parole……je jouis !' elle a crié, sa ch**te a commencé à expulser des tonnes de glu, son trou s'ouvrant et se fermant comme un poisson haletant.

Elle est restée assise sur le ventre pendant des siècles, sa respiration finissant par ralentir et revenir à la normale.

« Est-ce que ça va, j'étais inquiet pour toi ? Lui ai-je demandé nerveusement.

"Oui, je vais bien, c'est ce qu'un bon orgasme fait pour une fille, l'anéantit, idiot !" elle a ri. "Qu'est-ce qui t'est arrivé, je pensais que tu me copiais ?"

"Désolé, j'étais tellement fasciné de te regarder que j'ai oublié ce que tu m'as montré." J'ai senti que ma réponse était si pathétique : « Veux-tu me montrer à nouveau… ». S'il te plaît?'

"J'adorerais, j'adore la ch**te moi-même, je n'en ai jamais assez !"

Sur ce, elle m'a dit de m'asseoir sur le lit et de m'agenouiller entre mes jambes. Elle a commencé à faire glisser lentement ses doigts de haut en bas de ma fente, frottant mon jus sur ma ch**te, je me suis assis sur mes coudes et je l'ai regardée dans le miroir. Son contact était génial, tout mon corps était chaud, mes mamelons sont devenus très durs, une sensation de bourdonnement dans mon ventre. Puis elle a commencé à se concentrer sur mon cl****is, frottant ses deux premiers doigts d'avant en arrière, mon cœur s'est accéléré, j'ai ouvert mes jambes plus largement pour qu'elle frotte plus fort.

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Puis elle s'est arrêtée, elle a glissé ses pouces le long de ma fente et a remonté les lèvres intérieures, ouvrant mon témoin rose juteux pour que je puisse le voir dans le miroir. Elle me taquine avec le bout de sa langue, puis laisse la plénitude chaude de sa langue glisser de mon trou de cul, entre mes lèvres et jusqu'à mon cl****is gonflé et sensible. Elle l'a fait des cercles très lents et paresseux, puis l'a capturé dans sa bouche, le taquinant, le grignotant, le suçant doucement mais fermement.

Elle glisse deux doigts à l'entrée de mon trou d'amour, juste assez pour que je lui en demande plus :

« S'il te plaît ! Ne vous arrêtez pas ! Baise-moi, s'il te plaît !'

Elle pousse ses doigts en moi alors que je lève mes hanches pour répondre à ses poussées et un rythme commence. Sa bouche taquine toujours mon cl****is,

« Ohhhhh ! » Je gémis bruyamment pendant que je jouis sur sa main et son visage. L'orgasme est la meilleure sensation que j'ai jamais eue, mon corps picote et se tord, pulsant de merveilleuses sensations à travers mon corps.

Elle continue de lécher le jus de mes lèvres de ch**te, une fois qu'elle a fini, elle s'assied et pose ses doigts mouillés sur mes lèvres en me demandant :

"Veux-tu te goûter ?" Allez, lèche-moi les doigts.

Ses doigts ont une odeur musquée, je tire timidement la langue et tamponne son doigt, attirant la saveur dans ma bouche, ce n'est pas désagréable mais une saveur étrange, j'aspire ses doigts dans ma bouche en caressant ma langue autour d'eux en les léchant proprement.

Elle me regarde avec ses immenses yeux marron,

"Tu vas me faire maintenant ?"

Je hoche la tête, nous échangeons nos places, elle s'allonge sur le lit avec les jambes écartées et je m'agenouille entre ses jambes, je pose mes mains sur ses cuisses en caressant sa peau olive du bout des doigts. J'enfonce mon nez dans les lèvres de sa ch**te pour la sentir, nerveusement je mets ma bouche sur sa ch**te et commence à boire ses jus au goût étrange. Christina tient ses lèvres grandes ouvertes avec sa main pendant que j'entre et que je lèche sa fente de haut en bas – par de longs mouvements qui couvrent toute sa ch**te. De son vagin ruisselant jusqu'au sommet de son cl****is, je la lèche encore et encore, de plus en plus vite, avec ma bouche enfouie dans son monticule, je sens le jus mouiller mon visage, couler jusqu'à son cul.

Elle halète : « Arrêtez une minute ! » se roule sur le côté de son lit et atteint le placard pour en sortir ce que je réalise être un vibromasseur.

« Baise-moi avec ça ! »

« Qu'est-ce que je fais avec ? Je me sens encore une fois stupide et gêné.

« Glissez-le lentement dans ma ch**te pour démarrer et tournez-le pour augmenter les vibrations, faites-le ! » elle halète de frustration.

Je l'insère lentement, pouce par pouce délicieux, dans la ch**te humide de Christina,puis je le fais entrer et sortir doucement, le regardant disparaître dans son trou d'amour. Je lèche son jus sur les lèvres de sa ch**te, je m'arrête et la regarde :

"Tu aimes avoir ce gode à l'intérieur de toi ?"

'Oui! Oh oui! S'il vous plaît, ne vous arrêtez pas ! »

Je tourne la base de la machine ce qui augmente le bourdonnement en elle, continuant à lui lécher le cl****is et à la ba**er avec le jouet. Elle commence à se tortiller avec son orgasme. Je n'arrive pas à y croire, hier j'étais une jeune fille naïve, aujourd'hui je suis en charge d'une « bite » vibrante et giratoire en elle avec moi qui la pompe dans et hors de sa ch**te juteuse, et ma bouche lui lèche le cl****is et une succion inoubliable.

'Oh mon Dieu! Ça fait tellement du bien de se faire s**er et ba**er en même temps ! S'il te plaît! S'il te plaît! Ne t'arrête pas !'

Inutile de dire que non, j'augmente lentement la pression et le rythme de sa baise et elle crie :

« Plus fort ! Plus rapide! Oh mon Dieu, baise-moi ! S'il te plaît! Fais-moi j***r !'

Je commence à lui pomper la ch**te et à s**er son cl****is pour tout ce que je vaux, tout à coup, elle commence à se lever du lit et à écraser sa ch**te sur le jouet et sur mon visage et à crier : « Je jouis

! Oh mon Dieu! Je jouis !'

Sa ch**te commence à pomper davantage de son jus autour du vibromasseur, j'aspire goulûment la crème musquée. Je ralentis le vibromasseur et le fais glisser hors de sa ch**te humide, laissant son trou rose avoir des spasmes, j'enfonce curieusement ma langue dans la cavité et je sens ses muscles tirer et me caresser.

Lorsqu'elle a récupéré, nous rampons ensemble sur le lit et nous nous allongeons dans les bras l'un de l'autre en nous faisant des câlins. Je regarde avec amour dans les yeux de Christina, impressionnée par tout ce qu'elle m'a montré ce soir, nous nous endormons, sachant que d'autres doivent être à venir.

Chaque soir, après cela, Christina m'a montré comment profiter de mon corps et du sien, nous nous sommes explorés en jouissant plusieurs fois chaque soir. Elle m'a montré comment triber, en ciseaux ma ch**te humide et glissante contre la sienne jusqu'à ce que nous soyons tous les deux en sueur. Elle m'a montré comment s**er la bite d'un homme avec son vibromasseur, elle m'a même montré comment porter sa sangle et la ba**er comme un homme mais la seule chose qu'elle a refusé de faire a été de me pénétrer avec son gode. Elle a insisté pour que je laisse un homme faire ça, pour que je me souvienne de ce que ça faisait, ça me frustrait tellement que c'était la seule chose qui me manquait. Mais finalement j'ai eu à le faire avec un homme de cette page d'ailleurs mais ça c'est une autre histoire et pour une prochaine fois.

😌😌 PAS DE SUJET TABOU AVEC LA SEXETEAM 😌😌
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