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🔴𝙇𝙞𝙨𝙩𝙚 𝙙𝙚𝙨 𝘿𝙪𝙤  𝘾𝙖𝙣𝙙𝙞𝙙𝙖𝙩𝙨 𝙙é𝙘𝙡𝙖𝙧é𝙨 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙡𝙖 𝙋𝙧é𝙨𝙞𝙙𝙚𝙣𝙩𝙞𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙙'𝙖𝙫𝙧𝙞𝙡 2026 𝙋𝙍𝙊𝘾𝙃𝘼𝙄𝙉𝙀𝙎 É𝙏𝘼𝙋𝙀𝙎 𝘾𝙍𝙐𝘾𝙄𝘼𝙇𝙀𝙎 :La Commission Électo...
16/10/2025

🔴𝙇𝙞𝙨𝙩𝙚 𝙙𝙚𝙨 𝘿𝙪𝙤 𝘾𝙖𝙣𝙙𝙞𝙙𝙖𝙩𝙨 𝙙é𝙘𝙡𝙖𝙧é𝙨 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙡𝙖 𝙋𝙧é𝙨𝙞𝙙𝙚𝙣𝙩𝙞𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙙'𝙖𝙫𝙧𝙞𝙡 2026

𝙋𝙍𝙊𝘾𝙃𝘼𝙄𝙉𝙀𝙎 É𝙏𝘼𝙋𝙀𝙎 𝘾𝙍𝙐𝘾𝙄𝘼𝙇𝙀𝙎 :

La Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) procèdera à l'examen des dossiers.

■𝘾𝙤𝙢𝙥𝙡é𝙩𝙪𝙙𝙚 : Les duos dont les dossiers sont jugés incomplets disposent de 72 heures (à compter de la notification de la CENA) pour fournir les pièces manquantes.

■𝙇𝙞𝙨𝙩𝙚 𝙋𝙧𝙤𝙫𝙞𝙨𝙤𝙞𝙧𝙚 : La publication de la liste provisoire des candidatures retenues est prévue pour le 26 octobre 2025.

■ 𝙋𝙪𝙗𝙡𝙞𝙘𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙡𝙞𝙨𝙩𝙚 𝙙é𝙛𝙞𝙣𝙞𝙩𝙞𝙫𝙚 𝙥𝙖𝙧 𝙡𝙖 𝙘𝙤𝙪𝙧 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙩𝙞𝙩𝙪𝙩𝙞𝙤𝙣𝙣𝙚𝙡𝙡𝙚 : Vendredi 31 octobre 2025.

Info certifiée *Michel Sodjinou parle* *enfin* Pour le respect pour le peuple Béninois, mes compatriotes, mes camarades ...
16/10/2025

Info certifiée

*Michel Sodjinou parle* *enfin*

Pour le respect pour le peuple Béninois, mes compatriotes, mes camarades de parti et surtout pour la démocratie interne et la survie politique du parti Les Démocrates, je prends aujourd’hui la parole, non pas par colère, mais par devoir; devoir envers l’histoire de notre pays, de notre parti Les Démocrates, envers les milliers de militants qui croient encore à la justice, au dialogue et à la liberté d’expression. Devoir, enfin, envers ma propre conscience.

Je suis Michel François Oloutoyé SODJINOU, coordonnateur de la 19e circonscription électorale du parti LD, élu et militant de la première heure, témoin de nos victoires, de nos douleurs et de nos dérives. Un parti né de l’espoir démocratique.

Lorsque nous avons fondé Les Démocrates, c’était pour offrir au peuple béninois une véritable alternative : une force politique unie, libre, respectueuse des valeurs de justice et de démocratie. Nous voulions bâtir un parti qui ne reproduise pas les erreurs du passé, un parti où chaque voix compte, où le mérite prime sur les vieux démons du sectarisme, des clivages régionaux voire ethniques.

Aucun de nous ne pouvait imaginer que nous allions sombrer dans une telle crise de gouvernance du parti comme ce à quoi nous avons assisté et nous assistons encore ces dernières années. L'idéal a été asphyxié par un leadership d'un autre âge.

Une dérive qui a pris un coup d'accélérateur depuis notre congrès de 2023 à Parakou où le parti a changé de direction.

Il n'a échappé à personne les discours à la limite de l'humiliation et du regionnalisme, je pèse bien mes mots, du régionalisme qui a motivé ce changement.

Nous avons donc commencé à glisser vers un fonctionnement fermé, dominé par quelques-uns, où les décisions les plus importantes se prennent dans l’ombre, sans consultation, sans transparence, parfois même contre la volonté des militants. Et à chaque fois que nous avons tenté d’alerter, de proposer ou de corriger, nous avons été accusés de rébellion, de trahison ou d’ambition personnelle.

Le parti est progressivement rentré dans une ère de déjà vécue comme aux moments sombres de FCBE dont j'étais déjà militant sous le leadership du Président Yayi Boni alors président de la République.

En 2016 vous vous souvenez de la déception d’un choix imposé d’en haut : celui de Lionel Zinsou, parachuté comme candidat du pouvoir sortant.

Cette décision, prise sans concertation, nous a conduits à une défaite douloureuse. C'est le même schéma qui a été reproduit, 5 ans plus t**d, en 2021, toujours avec le même leadership du Président Yayi, cette fois-ci avec LD. L’histoire s’etait répétée. Contre toute logique démocratique. notre parti a fini par choisir de porter la candidature de Mme Reckya Madougou — une personnalité certes compétente, mais totalement étrangère à la vie du parti. Ce choix, encore une fois décidé dans un cercle restreint, a non seulement divisé nos rangs, mais aussi éteint l’espoir de nombreux militants fidèles qui s’étaient préparés à servir.

Je vous épargne toutes les humiliations, les dérives et les approximations qui ont émaillé le fonctionnement interne du parti depuis lors. Il fallait remettre en cause tout les acquis pendant que le Président Eric Houndété occupait le poste de président du parti et pouvait avoir une parcelle de pouvoir. Une fois que cette position lui a été arrachée (arrachée à Eric Houndété bien entendu), tous ceux qui ont été dans son équipe devraient subir le martyr sous les coups de boutoir de la nouvelle “caste”. Je m'excuse pour ce langage cru et direct. Mais croyez moi, nous sommes nombreux à avoir subi ces dérives.

Je comprends que les autres aient opté finalement pour le silence pour ne pas être désigné comme les traîtres ou les empêcheurs anti-yayi. Mais il était nécessaire de rendre justice au peuple en lui montrant comment son combat peut être confisqué au service de causes qui ne servent pas forcément l'intérêt de la nation.

Je me promets de verser à l'opinion publique ce que personnellement j'ai vécu dans ma circonscription et qui a été porté à la connaissance du président Yayi sans que cela ne connaisse de suite. Au contraire.

Je me garde d'évoquer les atteintes, les provocations, les souillures et les calomnies dont ont été victimes d'autres camarades députés et cadres non issus du bon cercle voire de la bonne région. Je n'ai pas reçu de leur part la permission d'en parler. Mais ils se reconnaissent les nombreux coordonnateurs de zones sur papier mais qui sur le terrain sont dépouillés de leurs prérogatives respectives. Au niveau des départements et des circonscriptions électorales nous avons des dizaines de coordonnateurs sur papier mais dans la réalité à peine 4 ou 5 prennent les décisions.

Pour en revenir à la désignation du candidat à l’élection présidentielle de 2026, nous avons assisté au même scénario : les mêmes méthodes, les mêmes manipulations, la même absence de concertation comme si un plan conçu en cercle restreint va être déroulé. Tout les Béninois ont suivi le débat malsain sur un soi disant auto-parainage qui constituait la ligne de défense du Président Yayi, relayé par une garde rapprochée intellectuelle au sein du parti qui n'ont pas hésité à utiliser les provocations, les intimidations, les agressions verbales voire physiques. Mais est apparu en filigrane un autre débat abject que les tenants se gardent de porter sur la place publique, c'est le dégoûtant débat sur la nécessité D'UN CANDIDAT DU NORD. Cet activisme a fini par empoisonner l'ambiance et à exclure tout débat transparent autour du sujet.

Quand le pouvoir personnel remplace la collégialité Depuis les élections législatives de 2023, qui ont vu notre parti remporter 28 sièges, nous avions un élan formidable. Ce succès devait nous conduire à renforcer nos structures, à consolider nos bases, à rétablir la confiance du peuple. Mais au lieu de cela, nous avons assisté à une centralisation excessive du pouvoir, à des décisions unilatérales et à une marginalisation progressive de plusieurs cadres historiques. Il ne reste donc qu'à dérouler ce plan d'un autre âge.

Sous prétexte d’unité, on a exigé des députés qu’ils signent à blanc leurs fiches de parrainage, sans même connaître le nom du candidat qu’ils parrainaient. On a fait croire que la discipline de groupe signifiait l’obéissance aveugle. On a organisé des commissions de désignation où les équilibres étaient déjà fixés à l’avance, où les représentants de certains départements ont été remplacés, simplement parce qu’ils ne faisaient pas partie de la “bonne région” ou du “bon clan"

Alors même que la commission n’a pas terminé ses travaux, tout le monde sait que le choix de M. Renaud Agbodjo est déjà acté — un jeune avocat estimable, mais dont personne ne connaît les réalisations politiques. Est-ce cela, la démocratie que nous avons jurée de défendre ?

La dérive d’un leadership sans partage
Je veux le dire avec respect, mais aussi avec franchise : Boni Yayi, notre président, ne peut pas continuer à décider seul du destin de notre parti. Le respect que nous lui devons ne doit pas nous empêcher de dire la vérité.

Depuis deux ans, son influence directe sur les organes du parti est devenue totale. Chaque nomination, chaque décision stratégique, chaque arbitrage porte sa marque. Et cela, au détriment de la collégialité que nous prônions à nos débuts.

Ce parti n’a pas été créé pour servir de tremplin à quelques ambitions personnelles. Il a été créé pour redonner une voix au peuple. Et aujourd’hui, cette voix est confisquée.

Un appel à la responsabilité collective je n’écris pas pour diviser. Je parle pour sauver ce qui peut encore l’être. Je demande simplement que les règles soient respectées, que le débat soit ouvert, que les militants soient entendus. Nous devons retrouver le sens du collectif, de la loyauté et de la vérité. Je ne conteste pas l’autorité du président d’honneur. Mais je conteste les méthodes qui, sous couvert d’autorité, étouffent la démocratie interne.

Il est temps que le parti Les Démocrates redevienne une organisation vivante, pluraliste, où la base a son mot à dire. Il est temps que nous cessions de fonctionner comme une cour fermée, où seuls quelques privilégiés dictent la ligne à suivre.

*Ma position et ma* *décision*

C’est dans cet esprit que j’annonce publiquement que je ne reconnais pas le processus actuel de désignation du duo présidentiel, tel qu’il a été conduit.

Je ne peux pas me rendre complice d’une mise en scène qui trahit nos principes fondateurs. Je réclame donc, en toute responsabilité.

Ce n’est pas un geste de rupture. C’est un acte de fidélité — fidélité à nos valeurs, à nos militants et à notre histoire commune.

Reconstruire plutôt que détruire. Je crois encore profondément que notre parti peut se relever. Mais pour cela, nous devons faire preuve de courage moral. Nous devons accepter de nous remettre en question, de reconnaître nos erreurs et d’écouter la base.

La vraie grandeur politique ne réside pas dans l’autorité, mais dans la capacité à rassembler, à fédérer, à faire confiance.

Je lance un appel à mes frères et sœurs de Les Démocrates : ne cédons pas au découragement.

Ce parti ne s’effondrera pas. Il survivra, car il est porté par des femmes et des hommes sincères, par des militants qui croient encore en un Bénin juste et libre.

Concentrons nos forces sur les prochaines législatives. Gagnons-les avec dignité et préparons l’avenir, sans rancune mais sans naïveté. L’histoire retiendra toujours ceux qui ont osé dire non à l’injustice, même quand elle se déguise sous les habits du pouvoir.

*Conclusion*

Je prends donc mes responsabilités, avec sérénité et détermination. Je reste un militant de la démocratie, un défenseur du dialogue et un bâtisseur d’unité. Mais je ne serai jamais complice de décisions imposées, encore moins de manipulations qui déshonorent notre combat.

Pour le Bénin, pour la jeunesse, pour la vérité, il est temps de tourner la page des calculs personnels.

Il est temps de reconstruire Les Démocrates sur des fondations solides — celles de la confiance, du respect et du courage politique.

Je vous remercie.

Michel François Oloutoyé SODJINOU

Je partage avec vous la lettre du député Eric Louis Houndété à son collègue SODJINOU Michel. 𝗘𝗿𝗶𝗰 𝗟𝗼𝘂𝗶𝘀 𝗛𝗢𝗨𝗡𝗗𝗘𝗧𝗘Député à...
16/10/2025

Je partage avec vous la lettre du député Eric Louis Houndété à son collègue SODJINOU Michel.

𝗘𝗿𝗶𝗰 𝗟𝗼𝘂𝗶𝘀 𝗛𝗢𝗨𝗡𝗗𝗘𝗧𝗘

Député à l'Assemblée nationale
1er vice-président du parti les Démocrates

Cotonou, le 15 octobre 2025

A mon frère et ami Michel SOJDJINOU

Depuis 15 jours au moins, je n'ai pas eu l'occasion de parler avec toi. Michel!

En particulier, depuis le jour où tu as envoyé ton exploit d'huissier au président du parti pour réclamer ta fiche de parrainage, mes nombreuses tentatives pour rentrer en contact avec toi sont restées vaines. Tu ne décroches pas au téléphone, tu ne rappelles pas ou carrément ton téléphone ne passe pas. Je me suis porté à ton domicile en délégation à deux reprises la première fois, le 13 octobre avec l'honorable OGBON Djiman et la deuxième fois, le 14 octobre au petit matin après les travaux du Conseil National, avec le Ministre AKADIRI, le Président LODJOU, Maitre FADE, madame SAKA SERO Gnanki et madame SAKA SALEY Jihane. J'ai aussi fait le tour de quelques-uns de tes amis que je connais dont une fois, avec les honorables OGBON et HOUNMENOU. Je ne désespère pas de pouvoir te parler le plus tôt possible. J'en ai besoin dans l'intérêt de la Nation.

𝗝𝗲 𝗱𝗼𝗶𝘀 𝗿𝗲𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶̂𝘁𝗿𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗲 𝟮 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟱, 𝗹𝗼𝗿𝘀𝗾𝘂𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗮𝘃𝗼𝗻𝘀 𝗿𝗲𝘁𝗶𝗿𝗲́ 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿𝗿𝗮𝗶𝗻𝗮𝗴𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗖𝗘𝗡𝗔, 𝘁𝘂 𝗮𝘃𝗮𝗶𝘀 𝗱𝗲́𝗷𝗮̀ 𝗲𝘅𝗽𝗿𝗶𝗺𝗲́ 𝘁𝗲𝘀 𝗮𝗽𝗽𝗿𝗲́𝗵𝗲𝗻𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀. 𝗧𝘂 𝗮𝘃𝗮𝗶𝘀 𝗽𝗿𝗶𝘀 𝗹𝗮 𝗱𝗲́𝗰𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗻𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝗿𝗲𝗺𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲 𝘁𝗶𝗲𝗻, 𝗼𝘂 𝗱𝗲 𝗻𝗲 𝗹𝗲 𝗿𝗲𝗺𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗼𝗿𝘀𝗾𝘂𝗲 𝘁𝘂 𝗮𝘂𝗿𝗮𝗶𝘀 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗱'𝗮𝗰𝗰𝗼𝗿𝗱 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁 𝗰𝗵𝗼𝗶𝘀𝗶. 𝗖'𝗲𝘀𝘁 𝗺𝗼𝗶 𝗾𝘂𝗶 𝘁'𝗮𝘃𝗮𝗶𝘀 𝘀𝘂𝗽𝗽𝗹𝗶𝗲́ 𝗱𝗲 𝗹𝗲 𝗿𝗲𝗺𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗶𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗶𝗻𝘀𝘁𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶. 𝗝𝗲 𝘁𝗲 𝗿𝗲𝗺𝗲𝗿𝗰𝗶𝗲 𝗱𝗲 𝗺'𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲́.

Avec la tournure que prennent les évènements aujourd'hui, et vu ton refus de me parler. je comprends que tu crains que je ne réussisse à nouveau à te convaincre de remettre le parrainage.

Parce que nous sommes députés au nom du parti, nous avons reçu les parrainages en son nom et notre engagement politique nous enjoint de les mettre à sa disposition. Toutefois, je te reconnais le droit d'exercer ta liberté et de parrainer qui tu veux.

Je rappelle que toi et moi sommes des amis d'enfance, nous avons grandi ensemble. Même lorsque nos chemins ont divergé à un moment donné moi dans l'Union fait la Nation et toi dans les FCBE - cela n'a pas altéré notre amitié et notre fraternité. Lorsque nous nous sommes retrouvés à nouveau au parti Les Démocrates, cela nous a davantage rapprochés.

𝗝𝗲 𝘀𝗮𝗶𝘀 𝗾𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗼𝗻𝘁 𝗲́𝘁𝗲́ 𝘁𝗲𝘀 𝗳𝗿𝘂𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗼𝘂𝘁𝗲𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗮𝗿𝗶𝗲́𝘁𝗲́𝘀 𝘃𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗵𝘂𝗺𝗶𝗹𝗶𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗶𝗻𝘂𝘁𝗶𝗹𝗲𝘀 𝗻𝗼𝘂𝗿𝗿𝗶𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝘁𝗲𝗻𝘂𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗰𝗲𝗿𝘁𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘀 𝗰𝗮𝗺𝗮𝗿𝗮𝗱𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶 𝗮̀ 𝗺𝗼𝗻 𝗲𝗻𝗱𝗿𝗼𝗶𝘁. 𝗝𝗲 𝘀𝗮𝗶𝘀 𝗾𝘂'𝗮̀ 𝘁𝗶𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹, 𝘁𝘂 𝗮𝘀 𝘀𝗼𝘂𝗳𝗳𝗲𝗿𝘁 𝗲́𝗴𝗮𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝗴𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝗿𝘁𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗰𝗮𝗺𝗮𝗿𝗮𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝘁𝗮 𝗰𝗶𝗿𝗰𝗼𝗻𝘀𝗰𝗿𝗶𝗽𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲́𝗹𝗲𝗰𝘁𝗼𝗿𝗮𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗼𝗿𝗱𝗶𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗿𝗼𝘅𝗶𝗺𝗶𝘁𝗲́.

Je voudrais simplement te rappeler que ce qui nous a unis au sein du parti Les Démocrates est au-delà de notre fraternité et de notre amitié. Il s'agit du destin de tout un peuple, car notre parti, que nous avons créé ensemble, s'est engagé à faire renaître notre démocratie, à reconquérir nos droits et nos libertés et à réconcilier le peuple béninois.

Mon frère Michel, je suis heureux et fier de savoir que tu aurais pris fait et cause pour moi. 𝗧𝘂 𝗮𝘂𝗿𝗮𝗶𝘀 𝗰𝗼𝗻𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲́ 𝘁𝗼𝗻 𝗽𝗮𝗿𝗿𝗮𝗶𝗻𝗮𝗴𝗲 𝗮̀ 𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗲 𝗰𝗵𝗼𝗶𝘅 𝗱𝘂 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁 𝘀𝗼𝗶𝘁 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗺𝗮𝗻œ𝘂𝘃𝗿𝗲 𝗱’𝗲𝘅𝗰𝗹𝘂𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝘂 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶 𝗾𝘂𝗲 𝘁𝘂 𝗷𝘂𝗴𝗲𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗮𝗽𝘁𝗲. 𝗝𝗲 𝘀𝘂𝗶𝘀 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗮𝘂𝘀𝘀𝗶 𝗽𝗲𝗶𝗻𝗲́ 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗽𝗼𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲́𝗰𝗹𝗲𝗻𝗰𝗵𝗲́ 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗻𝗮𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗱𝗲́𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗽𝗮𝗿𝗿𝗮𝗶𝗻𝗮𝗴𝗲.

Je voudrais te dire que nous devons transcender ces divergences, penser à notre parti, penser à la République, penser aux filles et aux fils de ce pays. C'est pour cela que je viens très humblement me mettre à tes genoux pour te supplier de remettre le parrainage au parti. Je sais que c'est difficile pour toi, mais l'histoire nous interpelle et le Bénin tout entier nous regarde. Nous avons le devoir d'être à la hauteur des attentes du peuple. Car il ne devrait pas être dit que la non remise de ton parrainage a empêché qu'une compétition saine se passe dans l'intérêt du pays.

Appelle-moi mon frère et parlons-nous.

Dieu te protège et protège notre pays.

Ton collègue, frère et ami, Eric.

(Signature agadja-goudjou)

Eric Louis HOUNDETE

14/10/2025

*COMMUNIQUÉ OFFICIEL DU PARTI LES DÉMOCRATES*

Le Parti Les Démocrates rappelle que, conformément à la Constitution du Bénin, la compétence en matière de contentieux électoral, notamment pour l’élection présidentielle, relève exclusivement de la Cour constitutionnelle.

En ce sens, les litiges relatifs aux actes préparatoires, tels que la délivrance ou le retrait de fiches de parrainage, ne sauraient relever d’une juridiction de l’ordre judiciaire. Une ordonnance récemment rendue par un juge du tribunal de première instance, dans une affaire de retrait de parrainage, suscite donc une vive préoccupation quant au respect de l’ordre juridique constitutionnel.

Face à cette situation, le Parti entend saisir la Cour constitutionnelle afin de :

faire constater l’incompétence du juge judiciaire en la matière ;

rappeler la portée juridique de sa jurisprudence ;

préserver l’intégrité du processus électoral contre toute tentative de remise en cause irrégulière d’une candidature.

Cette saisine reposera sur la jurisprudence constitutionnelle, les dispositions en vigueur du Code électoral, ainsi que le calendrier établi par la CENA.

Par ailleurs, le Parti Les Démocrates procédera ce soir à la présentation officielle de son duo de candidature à l’élection présidentielle, dûment soutenu par les vingt-huit (28) parrainages de ses députés, en conformité avec la législation en vigueur.

Le Parti réaffirme son attachement aux principes de l’État de droit, au respect de la Constitution et à l’organisation d’élections libres, transparentes et inclusives.

Le Secrétaire National à la Communication.

Dr. Guy Dossou MITOKPE

14/10/2025

👀Dernière minute: Le Député Sodjinou est passé à la Céna retirer sa nouvelle fiche de parrainage

Urgent - Présidentielle 2026 : Décision de la CENA portant invalidation de la fiche de parrainage délivré à M. Sodjinou ...
14/10/2025

Urgent - Présidentielle 2026 : Décision de la CENA portant invalidation de la fiche de parrainage délivré à M. Sodjinou Michel François Oloutoye

🇧🇯 Presidentielle 2026 au Bénin | Prince Anatole Ouinsavi et sa colistière Bello Agathe sont à la CENA pour le dépôt de ...
14/10/2025

🇧🇯 Presidentielle 2026 au Bénin | Prince Anatole Ouinsavi et sa colistière Bello Agathe sont à la CENA pour le dépôt de leurs dossiers de candidature.

À suivre ....

14/10/2025

SCOOP
Dernière minute

*He Sodjinou aperçu à 8h12 au portail de la CENA pour le retrait d'une autre fiche de parrainage*

14/10/2025

Fumée blanche :
Duo Candidats des LD: Renaud Agbodjo et Judes Lodjou.
Reste l'équation des parrainages.

La justice ordonne à Boni Yayi de remettre à l'huissier, la fiche de parrainage de l'honorable Sodjinou
13/10/2025

La justice ordonne à Boni Yayi de remettre à l'huissier, la fiche de parrainage de l'honorable Sodjinou

13/10/2025

Arrivée de Maître au siège du parti.

13/10/2025

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