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Le gouvernement béninois est toujours dans la dynamique d’attirer les afro-descendants et de faciliter leur retour sur l...
24/07/2025

Le gouvernement béninois est toujours dans la dynamique d’attirer les afro-descendants et de faciliter leur retour sur la terre de leurs ancêtres déportés. Le président béninois, Patrice Talon, a nommé ce 23 juillet le célèbre cinéaste et réalisateur américain Spike Lee et son épouse Tonya, ambassadeurs thématiques auprès de la diaspora afro-descendante des États-Unis. Comme la loi permettant aux Afro-descendants de demander la nationalité béninoise, cette nomination vise à rétablir les liens historiques et culturels avec cette communauté dans le monde.

24/07/2025

Dans l'opération de l'affaire Comlan Hugues Sossoukpè, le mutisme des journalistes béninois constitue une trahison de classe. Une profession qui se tait pendant qu’on déporte un confrère, c’est une armée de scribes couchés, enchaînés à des primes de carburant. Pas un mot, pas un cri, pas une levée de stylo. Ils ont préféré courber l’échine plutôt que d’ouvrir les yeux.

François Comlan

23/07/2025

🚨 *ORAL BAC 2025*
*URGENCE SIGNALÉE* 🚨

🦚Le candidat AGONVENON Nathan, élève au CEG LA VERDURE ABOMEY-CALAVI, ne s'est pas présenté à l'Oral du Bac série D au *CEG1 ABOMEY-CALAVI*.

🦚Le candidat GAMOU Sessi Jean Claude TleB au CEG OKÉDAMA admissible au BAC 2025 est invité d'urgence au Lycée Mathieu Bouké pour subir les épreuves orales
À toutes fins utiles bien vouloir nous contacter au 0198985435

🦚URGENT: CANDIDATS ABSENTS À L'ORAL*
Les candidats suivants ne se sont pas présentés au centre du CEG1 Lokossa pour prendre part à l'oral.
IL s'agit de :
1. *Jury 122 série B*
N° 76-KA11-280 M. GADEGBE William N.
CEG1 COME
2. *Jury 123 série A1*
N°53-KA1-10 Mlle DONOUVO Dorcas
CEG ATHIÉMÉ
Ils sont attendus demain matin à 7h00 au centre de délibération du CEG1LOKOSSA.

Large diffusion

23/07/2025

🇧🇯 Abomey-Calavi : Il vole les batteries solaires de son père… mais ce dernier plaide pour sa libération

Un jeune homme de 25 ans a été présenté ce mardi 22 juillet 2025 au tribunal d’Abomey-Calavi. Il est accusé d’avoir volé 5 batteries photovoltaïques installées par son propre père. Valeur totale : 750.000 Fcfa.

🔋 Les batteries, vendues à un acheteur de fer usagé, ont été rapidement retracées. Arrêté avec le receleur, le jeune homme a reconnu les faits à la barre, implorant le pardon… de son propre père, la victime.

À la surprise générale, le père n’a exigé aucun remboursement, demandant même la relaxe de son fils. Il a simplement souhaité que ce dernier change de comportement et honore ses parents à l’avenir.

⚖️ Le verdict :
▪️ Le fils a été relaxé pour cause d’immunité parentale, un principe juridique qui protège certains membres de la famille dans des affaires comme celle-ci.
▪️ Le receleur, lui, a écopé de 4 mois de prison ferme et 100.000 Fcfa d’amende, même s’il affirme ne pas savoir que les batteries étaient volées.

Source : BIP radio Cotonou

23/07/2025

🔴🇧🇯 Bénin : Un faux agent du CNIN arrêté à Dantokpa pour escroquerie sur Facebook. Il se faisait passer pour le CNIN.

Un homme a été arrêté le samedi 19 juillet 2025 à Dantokpa pour avoir créé un faux compte Facebook au nom du Centre National d’Investigations Numériques (CNIN), dans le but de tromper et d’extorquer de l’argent à des victimes.

Sous le nom « Centre Nation d'Investigations Numérique CNIN Police République du Bénin », il faisait croire aux internautes qu’il pouvait recevoir des plaintes en ligne. Une victime, croyant avoir affaire à un vrai service de la police, lui a confié tous les détails de son problème.

Profitant de cette confiance, le faux agent a réclamé de l’argent tous les jours, prétextant une « enquête en civil ». Mais après plusieurs excuses étranges et demandes répétées de frais, la victime a commencé à douter.

Elle s’est alors rendue à la DLC (CNIN) pour signaler le cas. L’escroc a été rapidement repéré et arrêté.

Source : Peace FM

BURKINA FASO: SOUTIEN AUX DÉPLACÉS INTERNES.Mahamadou Bonkoungou  , le bâtisseur au grand cœur : un don de plus de 1,7 m...
23/07/2025

BURKINA FASO: SOUTIEN AUX DÉPLACÉS INTERNES.

Mahamadou Bonkoungou , le bâtisseur au grand cœur : un don de plus de 1,7 milliard FCFA pour les déplacés internes de Dédougou

Fidèle à sa discrétion légendaire mais toujours attentif aux souffrances des plus vulnérables, le Président du groupe EBOMAF, Mahamadou Bonkoungou, vient une fois de plus d’inscrire son nom en lettres d’or dans le cœur des Burkinabè. Par un geste d’une rare générosité, il a offert un don d’une valeur estimée à près de 2 milliards de FCFA, dont 1 milliard 722 millions de FCFA de matériels déjà mobilisés, en faveur des personnes déplacées internes vivant dans des conditions précaires à Dédougou.

Les bénéficiaires, retrouvent aujourd’hui espoir et dignité grâce à cette action salvatrice. Vivres, abris temporaires, et appuis sanitaires figurent parmi les éléments composant ce soutien massif.

Dans une rare prise de parole, un collaborateur proche du philanthrope confiait : « Le Président Bonkoungou agit toujours avec le cœur, il estime que la vraie réussite, c’est celle qui change des vies. »

Cette action à Dédougou s’ajoute à de nombreuses autres œuvres sociales qu’il a réalisées dans l’ombre, notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé, et du développement communautaire.

Un geste salutaire, noble, et profondément humain.

22/07/2025

Sossoukpè, un cas de conscience professionnelle

De mémoire de journaliste béninois, jamais ne s’est produite une situation pareille à celle qui s’est produite avec l’arrestation le jeudi 10 juillet 2025, à Abidjan, de Comlan Hugues Sossoukpè, qui était régulièrement invité par le ministère ivoirien du numérique pour une couverture médiatique.

Aussitôt extradé au Bénin, il a été présenté au juge des libertés et de la détention de la Cour de repression des infractions économiques et du terrorisme ( ) et placé sous mandat de dépôt.

Le Web-activiste et lanceur d’alerte bénéficiant du statut de réfugié au Togo, est poursuivi pour des faits d’«incitation à la rébellion, incitation à la haine et à la violence, harcèlement par le biais d’une communication électronique et apologie du terrorisme».

En dehors de toute considération politique et partisane, outre les péripéties judiciaires, cette affaire occasionne une certaine gêne des professionnels des médias et révèle la perte totale de repère au sein de la profession, chacun s’interrogeant sans pouvoir répondre de la bonne posture à adopter en l’occurrence. Avec quelle main faut-il manger cette patate brûlante qui menace de rester en travers de la gorge et d’ébouillanter les muscles de la déglutition et de la phonation ?

𝐔𝐧𝐞 𝐧𝐚𝐯𝐫𝐚𝐧𝐭𝐞 𝐝𝐞́𝐦𝐢𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧

Sans forcément avoir une posture belliqueuse, les associations professionnelles de journalistes au Bénin avaient l’obligation de prendre leurs responsabilités, non pas nécessairement en condamnant, mais tout au moins en constatant les faits, en s’interrogeant et en exhortant au respect des règles de procédures et des droits du confrère, avant d’être plus amplement informés.

Quelles que soient par ailleurs les accusations portées contre le confrère et sans préjudice des droits que se réserve l’Etat de se prémunir contre certaines dérives.

Mais elles ont simplement choisi d’être absentes du débat et de bâillonner leur conscience, en suggérant le sentiment d’une navrante démission. Donnant par là même, la preuve de la léthargie de cette profession qui n’a plus de repère. Naguère, l’union des journalistes professionnels du Bénin (UJPB) qui avait ses insuffisances, aurait donné la preuve de son existence et de son utilité, en signant au moins un communiqué de principe.

En attendant. Et ceci aurait eu le mérite de répondre à certaines préoccupations qui nourrissent la polémique sur la toile, et qui discrédite la profession. Certains points de discussion qui creusent le fossé des malentendus auraient ainsi été clarifiés et tranchés. Et si Comlan Hugues Sossoukpè n’est pas reconnu comme journaliste, la nécessité d’une clarification devenait encore plus impérieuse.

𝐉𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥𝐢𝐬𝐭𝐞 𝐨𝐮 𝐩𝐚𝐬 ?

Parce que la vérité et l’honnêteté sont consubstantielles à la profession de journaliste, un communiqué (peut-être conjoint) des associations professionnelles devrait fixer tout le monde sur le statut de Comlan Hugues Sossoukpè. S’agit-il d’un journaliste ? Si oui, que pensent ses confrères de sa situation et que décident-ils ? Quelles démarches subséquentes sont-elles envisagées ou menées à l’endroit des autorités concernées pour comprendre et cerner la situation ?

Et si l’intéressé n’est pas reconnu comme un journaliste, que fait la profession pour éteindre la polémique à son sujet ? Il y a là une décision courageuse à prendre pour affirmer la position très attendue des professionnels béninois dans cette affaire. Faute de quoi, la profession sombre dans l’agonie. Peut-être parce que la relève est mal assurée. Ou que, par opportunisme, les paradigmes ont à ce point changé. Hier, il y avait un combat à mener pour inventer et camper une profession dans l’écosystème démocratique.

Aujourd’hui, manifestement, l’individualisme a tué tous les codes corporatistes. Chacun s’assoit dans le journalisme et Dieu le pousse vers ses succès personnels. Quitte à jeter la fierté à la poubelle. En prospérant dans la lâcheté et la compromission.

Anicet Oké

20/07/2025

*LA DETTE DE LA PROSTITUÉE*

Je ne sais pas qui est l’auteur de ce texte, mais lisez-le, c’est brillant…

En août, dans une petite ville frappée par la crise, une pluie torrentielle s’abat depuis plusieurs jours. L’endroit est désert, l’économie est à l’arrêt. Ici, tout le monde a des dettes et vit à crédit.

Un jour, un riche voyageur arrive en ville. Il entre dans le seul hôtel et demande une chambre. Il dépose un billet de 100 euros sur le comptoir et part visiter les chambres.

Aussitôt, le propriétaire de l’hôtel prend le billet et court payer sa dette au boucher.
Le boucher, soulagé, utilise cet argent pour régler ce qu’il doit à l’éleveur de porcs.
L’éleveur de porcs, à son tour, court rembourser le moulin qui lui fournit l’alimentation pour ses bêtes.
Le propriétaire du moulin, ravi, s’empresse de régler Maria, la prostituée, à qui il doit encore une prestation. En période de crise, même elle doit faire crédit…
Maria, avec le billet en main, se rend immédiatement à l’hôtel, où elle avait une dette pour ses chambres. Elle remet le billet au propriétaire.

C’est alors que le voyageur redescend. Il annonce que les chambres ne lui conviennent pas, reprend son billet et quitte la ville.

Résultat ?
Personne n’a gagné un centime, mais désormais, toute la ville est sans dettes… et peut envisager l’avenir avec confiance !

MORALITÉ

Quand l’argent circule dans l’économie locale, la crise s’apaise.

Nous avons tous un rôle à jouer :

- Privilégions les petits commerces et les marchés locaux.
- Arrêtons les banalités et soutenons nos proches !

- Si ton ami a une microentreprise, achète chez lui.
- S’il vend des vêtements, des chaussures, de la pâtisserie… encourage-le !
- Si ton amie fait des ongles, recommande-la.
- Si ton ami est comptable, consulte-le.
- S’il ouvre un restaurant, vas-y manger.

Avant de te rendre dans une grande enseigne, pense à ton entourage : ton cousin, ta sœur, ton ami qui vend des produits faits main ou propose des services.

Parce qu’en fin de compte, les grandes entreprises récupèrent l’essentiel de l’argent et l’envoient hors du pays.

Mais en achetant auprès d’un entrepreneur, d’une PME, d’un artisan local, tu participes à la croissance de ton pays et aides des familles entières à prospérer.

Soutenons l’entrepreneuriat.
Soutenons la consommation locale.
Soutenons la production nationale.

Ensemble, faisons tourner notre économie !

20/07/2025

🇧🇯Le Bénin a désormais à sa disposition un outil d’identification numérique qui permet de suivre chaque citoyen. Il s’agit du Registre National des Personnes Physiques (RNPP), un système qui offre une multitude de possibilités en matière d’identification et de suivi des citoyens. C’est du moins ce qu’a fait savoir l’expert Numérique Seth Amon Dèdèhouanou lors d’un café politique organisé le vendredi 18 juillet 2025 à Cotonou par le Réseau Alumni des jeunes leaders du Bénin. Selon lui , « Avec l’ANIP tout est verrouillé. C’est à dire, dès qu’on tape votre identifiant unique, on a le nom de ton papa, de votre maman, où que vous êtes et tout. ».Au cœur de ce système se trouve X-Road, la plateforme numérique nationale d’échange de données. Cet outil assure l’interconnexion sécurisée et l’interopérabilité de l’ensemble des services parapublics du pays. En d’autres termes, les différentes institutions peuvent désormais partager instantanément des informations liées à l’identité, aux télécommunications, ou encore aux services bancaires.

Seth Amon Dèdèhouanou a précisé que « on a mis une base de données unique pour tous les opérateurs, et c’est lié à tout ce système. On connaît tous vos numéros de téléphone. » Il a également ajouté que « Quand on va chez les opérateurs, on sait qu’actuellement, votre téléphone est peut-être dans cette salle, parce que ça envoie les coordonnées. Avec le temps on sait que chaque soir, sur les réseaux, vous dormez à Akpakpa. ». L’expert numérique a mis en garde les citoyens béninois sur l’importance de prendre conscience des implications de leur activité en ligne, notamment sur les réseaux sociaux.

« L’identité numérique est devenue un enjeu stratégique. Il est impératif que les citoyens béninois prennent conscience des implications de leur activité en ligne, notamment sur les réseaux sociaux, et s’approprient les principes de la protection des données à caractère personnel. », a conclu Seth Amon Dèdèhouanou

Oxygène

18/07/2025

Une de mes publications a obtenu plus de 500 réactions la semaine dernière. Merci à tout le monde pour votre soutien ! 🎉

Côte d’Ivoire : Molare jeté en prisonL’onde de choc est immense : Molare, icône du coupé-décalé, a été placé sous mandat...
17/07/2025

Côte d’Ivoire : Molare jeté en prison

L’onde de choc est immense : Molare, icône du coupé-décalé, a été placé sous mandat de dépôt ce 17 juillet. En cause, un tragique accident à Abidjan ayant coûté la vie à une passante. Alors qu’il avait exprimé sa volonté de prendre en charge les soins de la victime, la justice a tranché. Désormais incarcéré au Pôle pénitentiaire d’Abidjan, l’artiste se retrouve face à une procédure judiciaire lourde, qui bouleverse l’opinion publique. Ce drame relance les débats sur la sécurité routière et la responsabilité des personnalités publiques. La célébrité n’absout pas les actes, et la justice, elle, suit son cours.

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