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elle est spécialisée dans l'information, les analyses d'experts, la généralité, la promotion des communes des collines et le soutien aux initiatives jeunes.

18/12/2025

Mandat présidentiel : *« Cinq ans, c’est trop court »*

•« Le temps de l’action politique est plus long que le temps de la reddition de compte »

•« En cinq ans, tout ce qui se fait, c’est dans la précipitation ».

Le septennat, « ce n’est pas à mon profit. Ce sera au profit du Bénin »

18/12/2025

Coup d'État déjoué

Patrice Talon, Président de la République du Bénin 👇👇👇

« Je vais bien, même si mon moral a pris un petit coup. Je suis peiné, je continue de l’être, pour l’image que ceux-là donnent de notre PAYS. Dites aux enfants que je vais bien ...»

18/12/2025

*Soutenance de mémoire à la FASEG*

En ce jour, 17 décembre 2025, le fervent chrétien de l’Église catholique de Pira et ancien berger de cette paroisse, *IMOROU Urbain*, a brillamment soutenu son mémoire de Master en Sciences Économiques dans *la salle 12* de l’Université de Parakou.

Son travail, portant sur le thème délicat et d’actualité :
*« Analyse des facteurs explicatifs des retards dans l’exécution des marchés publics de travaux dans la Commune de Bassila»*,
a été réalisé sous l’encadrement du Professeur *Léandre GBAGUIDI, Doyen de la FASEG.*

Grâce à une présentation claire, structurée et méthodiquement rigoureuse, le candidat a su convaincre le jury et a obtenu la prestigieuse mention Très Bien, témoignant de la qualité scientifique et de la pertinence de son travail.

En termes clairs, cette soutenance a mis en lumière un enjeu crucial du développement local : les retards dans l’exécution des marchés publics de travaux. L’étude menée par *IMOROU Urbain* vise à identifier les principaux facteurs responsables de ces retards, dans le but de proposer des solutions concrètes et adaptées au contexte de la Commune de Bassila.

Au cours de sa présentation, il a exposé avec assurance les enjeux liés aux marchés publics et leurs impacts sur le développement communal. Il s’est appuyé sur une méthodologie rigoureuse, combinant analyses qualitatives et quantitatives, pour explorer les différents facteurs explicatifs du phénomène étudié.

Le jury, composé du *Professeur ABOUDOULAYE M. Ramanou, du Professeur TEKPANZO et du Docteur Falylath,* a posé des questions pertinentes auxquelles le candidat a répondu avec clarté et maîtrise, démontrant ainsi sa parfaite compréhension du sujet. Les membres du jury ont unanimement salué la qualité du travail, la pertinence des analyses et l’apport scientifique de cette étude à la compréhension des enjeux de la gestion publique locale.

Cette soutenance, marquée par un réel enthousiasme, s’est révélée être un franc succès. L’obtention de la mention Très Bien vient couronner un travail sérieux et engagé, offrant des perspectives importantes pour l’amélioration de l’exécution des marchés publics de travaux dans la Commune de Bassila.

*À la plume de Mohamed OKPE, V. P. R*

18/12/2025

*Soutenance de Mémoire de Master à l'Université de Parakou .

_À la plume de Mohamed OKPE._

*OGOU Moussa, le Chef d'Arrondissement de BANTÈ, titulaire des Baccalauréats C et D, d'une maîtrise en Sciences Economiques et de Gestion et d'un BAPES en Mathématiques,* a présenté avec succès son mémoire de Master en ce jour ,*17 décembre 2025 à 17 heures* précises dans la salle numéro 08 de l'IFSIO de l'Université de Parakou. Son travail s’est penché sur *«Problématique de l'abandon des marchés publics de travaux dans la commune de Bantè»*,un sujet d'actualité et d'importance pour le développement local.
Encadré par la première autorité de l'Université de Parakou, *Professeur SOGBOSSI BOCCO Bertrand*, le candidat a démontré fortement une compréhension approfondie des enjeux liés aux marchés publics de travaux, en articulant clairement les facteurs qui contribuent à leur abandon. Rigoureusement, *OGOU Moussa* a appliqué des méthodes quantitatives et qualitatives soutenues par des données pertinentes.
Ainsi, il a proposé des recommandations concrètes pour remédier à la problématique, mettant l’accent sur l’amélioration de la transparence et de la gestion des projets.
En effet, le jury composé du Professeur OLOUKOÏ Laurent et du Dr DEDEHOUANOU Gbénoukpo Modeste Arnaud, a salué la qualité du travail, le jugeant bien structuré et pertinent. L'impétrant *OGOU Moussa* a obtenu la mention "Bien" et a été reconnu comme le major de sa promotion en écrit avec une note de *15,72*.
Ce point souligne l'importance du travail de recherche effectué par le CA central de BANTÈ et ses implications pour la gestion des marchés publics dans la région.
La soutenance de *OGOU Moussa* a été un succès, marquant une étape significative dans son parcours académique. Ses travaux contribuent au champ des études économiques et offrent des perspectives intéressantes pour les décideurs de la commune de Bantè. Malgré ses diplômes dressés ci-dessus, celui-ci compte aller plus haut et toucher le plafond objectivement fixé. Après les mots de vocabulaire en félicitations qui lui ont été adressés, M. OGOU Moussa en retour laisse ses mots de gratitude.

Football Le 11 de l'année 2025 selon la FIFA
16/12/2025

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Le 11 de l'année 2025 selon la FIFA

16/12/2025

🚨🇧🇯Tentative de putsch/ Criet: 30 militaires et 1 civil déposés en prison pour assassinat, trahison et atteinte à la sûreté de l'État.
Bip Radio

15/12/2025

🇧🇯Bénin: Chabi YAYI, Fils de l'ancien président Boni YAYI a été libéré !

15/12/2025

Bantè : le maire Comlan FAGBEMON élevé au rang d’Officier de l’Ordre National.
Les collines

🚨🇧🇯 Bénin : La population de Bantè est sortie pour dit NON au tentative de coup d'État et apporter son soutien au Présid...
13/12/2025

🚨🇧🇯 Bénin : La population de Bantè est sortie pour dit NON au tentative de coup d'État et apporter son soutien au Président Patrice Talon

12/12/2025

CANDIDE AZANNAÏ arrêté

😂😂😂😃😃
11/12/2025

😂😂😂😃😃

Alors enfin, l’hypocrisie a un nom!!Alors enfin, l’hypocrisie a un nom.Elle ne se cache plus derrière les paravents de c...
11/12/2025

Alors enfin, l’hypocrisie a un nom!!

Alors enfin, l’hypocrisie a un nom.
Elle ne se cache plus derrière les paravents de courtoisie, elle ne se voile plus de pudeur empruntée ; elle se tient là, nue, tremblante, surprise par la lumière qu’elle voulait éviter.
Depuis quelques jours, elle s’agite, elle bégaie, elle balbutie son innocence fraîchement inventée, distribuant des communiqués bricolés comme des pansements sur des intentions inavouables.
« Nous condamnons », écrivent-ils.
« Nous désapprouvons », murmurent-ils.
Mais leurs mots portent l’odeur rance d’un regret : le regret que le coup de force n’ait pas abouti.

Car il faut le dire sans trembler : beaucoup espéraient que le fracas des armes résonne plus fort que la voix du peuple, que la brutalité supplante la légitimité, et que la République ploie sous le poids d’ambitions personnelles.
Ceux-là, aujourd’hui, jouent aux vestales de vertu, comme si l’échec les avait soudain convertis à la morale.
La Rochefoucauld avait raison : « L’hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu. »
Ils rendent hommage à la vertu parce que leur vice a perdu.

Alors, les voilà tous métamorphosés en apôtres de la paix, en champions de la démocratie, en princes de la légalité.
Vidéo après vidéo, déclaration après déclaration, ils récitent des litanies morales avec la ferveur d’un acteur qui répète un rôle qu’il ne comprend pas.
Leur indignation tardive n’est qu’un masque mal fixé, et à travers les fissures, on voit encore briller l’éclat sombre de leurs véritables envies.

Mais posons la question, calmement, froidement, lucidement :
qu’est-ce qui pourrait justifier un coup de force au Bénin aujourd’hui ?
Qu’on me donne un seul motif sérieux, un seul argument moral, un seul fondement républicain.

Le Président de la République a annoncé qu’il ne se représenterait pas.
Le processus électoral est engagé, transparent, surveillé, structuré.
Les acteurs politiques ont la liberté et même le devoir de se mobiliser.
Le pays, qu’on l’aime ou non, avance.
Et ce progrès-là n’a pas besoin d’être aimé pour exister.

Reconnaissons-le avec dignité : le Bénin a connu des avancées spectaculaires.
Les esprits honnêtes le savent, les observateurs le constatent, et même les détracteurs le murmurent en privé.
Qu’on en cite quelques-unes pour mémoire :
– la restauration de l’autorité de l’État et l’assainissement sans précédent des finances publiques ;
– la modernisation des infrastructures, des réseaux routiers, des hôpitaux, des ports, des zones industrielles ;
– la dynamisation de l’économie nationale et l’attractivité retrouvée auprès des investisseurs ;
– la réorganisation de l’administration et la lutte frontale contre la corruption systémique ;
– la stabilité sécuritaire et institutionnelle qui fait du Bénin un véritable îlot de paix dans une sous-région secouée.

Ce sont là des faits.
Et les faits, disait Lenin, « sont têtus ».
On peut les détester, mais on ne peut pas les détruire.

À quelques frontières de là, pendant que certains veulent jouer à allumer un incendie qu’ils ne sauraient éteindre, d’autres pays en payent déjà le prix du sang et de la ruine.
Regardons sans ciller le Mali, le Niger, le Burkina Faso : trois nations meurtries par la tentation du putsch.
Elles connaissent aujourd’hui l’effondrement économique, la sortie brutale des partenaires, l’exode des compétences, l’insécurité rampante, l’isolement diplomatique, la peur du lendemain.
Le rêve du sursaut national s’est mué en cauchemar permanent.
Montesquieu nous avait prévenus : « Il n’est point de pire tyrannie que celle qui s’exerce à l’ombre des lois et sous la couleur de la justice. »

Pourquoi vouloir importer le chaos là où la paix continue, envers et contre tout, de s’affirmer ?
Pourquoi souhaiter pour le Bénin ce que les peuples de l’AES, eux, tentent désespérément de fuir ?
Pourquoi certains béninois veulent-ils voir brûler la maison dans laquelle ils vivent ?
Le coup d’État est devenu, pour certains, un fantasme : celui d’un raccourci vers le pouvoir, celui d’une revanche personnelle, celui d’une vengeance déguisée en révolution.
Mais comme disait Césaire : « Il est des victoires qui déshonorent ceux qui les remportent. »

Qu'on se le répète : un coup de force n’a jamais construit un pays ; il n’a fait que détruire des rêves.
Il n’a jamais rétabli la justice ; il a toujours substitué une injustice à une autre.
Il n’a jamais créé la paix ; il n’a engendré que la peur, la haine et la suspicion.

La République, elle, ne se renverse pas au gré des rancœurs.
Elle se protège.
Elle se renforce.
Elle se défend.
Elle résiste aux désirs des hommes qui veulent la manipuler pour satisfaire leurs appétits.

Ceux qui rêvent de chaos doivent entendre cette vérité :
le Bénin n’est pas un terrain de jeu pour frustrations politiques.
Ce pays a trop souffert, trop espéré, trop construit pour redevenir un laboratoire d’aventurisme.

Alors oui, l’hypocrisie a un nom.
Elle a des visages, des discours, des vidéos, des silences.
Elle se niche dans les contradictions de ceux qui voulaient l’effondrement et qui pleurent maintenant la stabilité retrouvée.

Mais le Bénin n’a pas vocation à suivre les illusions de quelques nostalgiques du désordre.
Le Bénin continuera de choisir la paix, la démocratie, la stabilité, la maturité.
Et comme l’écrivait Camus : « La vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent. »

Alors oui, le Bénin avance.
Et ceux que dérange ce mouvement n’arrêteront jamais la marche d’un peuple déterminé.
Avec ou sans eux,
la République se tiendra debout.

Le citoyen Ananias O. Mikpon

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Banté

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